- Heraut MontjoyNiveau 2
Bonjour à tous,
en parallèle à un désir de reconversion / abandon de la profession, j'aimerais évoquer ce qui faisait (me semble-t-il) l'aisance et le plaisir de cette pratique durant ces années. Je ne crois pas que la fraîcheur et la jeunesse y déterminaient tout.
Voilà, juste histoire de trouver - sans excès de nostalgie - une certaine communauté d'expérience, et d'échanger quelques réflexions.
Salutations !
HM
en parallèle à un désir de reconversion / abandon de la profession, j'aimerais évoquer ce qui faisait (me semble-t-il) l'aisance et le plaisir de cette pratique durant ces années. Je ne crois pas que la fraîcheur et la jeunesse y déterminaient tout.
Voilà, juste histoire de trouver - sans excès de nostalgie - une certaine communauté d'expérience, et d'échanger quelques réflexions.
Salutations !
HM
- TardisNiveau 9
Les manuels d'anglais étaient beaucoup mieux que les horreurs d'aujourd'hui ! Plus simples, moins denses et adaptés aux vrais niveaux des élèves. 'Step In', 'English Live' etc... En 4ème j'utilise toujours des photos et des dessins de 'Step In' pour faire le Prétérit et le Present Perfect car ils sont tout simplement mieux que les documents trop dures de 'e for English' et autres.
- DeliaEsprit éclairé
« Dans les années 90, les souris couraient moins vite » pour parodier Ravachol, le vieux chat de la Soupe aux choux.
Ces années-là, des choses allaient mal, des choses allaient bien, comme maintenant. Pas les mêmes choses que maintenant, bien sûr.Penser à la nostalgie des années 2010 qui hantera nos descendants me fait relativiser.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- PetraPortoNiveau 10
Je naissais à peine donc je ne peux pas vous aider.
- IphigénieProphète
Tiens, bien d'accord!Delia a écrit:« Dans les années 90, les souris couraient moins vite » pour parodier Ravachol, le vieux chat de la Soupe aux choux.Ces années-là, des choses allaient mal, des choses allaient bien, comme maintenant. Pas les mêmes choses que maintenant, bien sûr.
Penser à la nostalgie des années 2010 qui hantera nos descendants me fait relativiser.
- User21929Expert
Dans les années 90, les classes de B(E)P métiers de l'électronique était limitée à 24 élèves et on étaient deux enseignants en classe entière de matière professionnelle. Nos élèves n'avaient pas tous le diplôme, mais avaient du travail en sortant de leur formation. Ils nous supportaient 16H hebdomadaires.
Aujourd'hui j'ai un groupe de 20 seul 8H hebdomadaires. Ils ont tous leur BP et aucun n'est employable.
Aujourd'hui j'ai un groupe de 20 seul 8H hebdomadaires. Ils ont tous leur BP et aucun n'est employable.
- Graisse-BoulonsNiveau 10
Whypee a écrit:Dans les années 90, les classes de B(E)P métiers de l'électronique était limitée à 24 élèves et on étaient deux enseignants en classe entière de matière professionnelle. Nos élèves n'avaient pas tous le diplôme, mais avaient du travail en sortant de leur formation. Ils nous supportaient 16H hebdomadaires.
Aujourd'hui j'ai un groupe de 20 seul 8H hebdomadaires. Ils ont tous leur BP et aucun n'est employable.
Oh ça va ! Jamais content ! On s'en fout de l'employabilité : Maintenant ils vont en BTS, ils font des zzzétudes, alors hein, bon.
- Guermantes729Neoprof expérimenté
Ben moi j'ai commencé en 1995, j'avais une classe , stagiaire, de 2nde, épouvantable! une élève avait....20 ans (je n'exagère pas!), un autre m'avait menacé de mort, un 2ème avait refusé de changer de place, personne n'avait jamais son manuel, je ne les avais QUE de 16 à 18h, etc...)
bref, ce fut de très loin, la pire expérience de toute ma carrière!! d'ailleurs, l'IPR lors de ma titularisation m'avait dit (parce qu'au final, j'avais réussi à les "dompter" peu ou prou) "vous vous êtes sortie de cette classe, vous vous sortirez de tout!!"
23 ans après, parfois, quand j'ai un coup de mou, je pense à ce qu'avait dit cet IPR et je me dis "tu vas t'en sortir!" lool
Donc le "c'était mieux avant", je suis pas convaincue à 100% au vue de ma petite expérience :/
bref, ce fut de très loin, la pire expérience de toute ma carrière!! d'ailleurs, l'IPR lors de ma titularisation m'avait dit (parce qu'au final, j'avais réussi à les "dompter" peu ou prou) "vous vous êtes sortie de cette classe, vous vous sortirez de tout!!"
23 ans après, parfois, quand j'ai un coup de mou, je pense à ce qu'avait dit cet IPR et je me dis "tu vas t'en sortir!" lool
Donc le "c'était mieux avant", je suis pas convaincue à 100% au vue de ma petite expérience :/
- User21929Expert
Ma première année, avant les années 90, dans une classe de Tale constituée de 24 redoublants j'étais le plus jeune de la classeGuermantes729 a écrit:Ben moi j'ai commencé en 1995, j'avais une classe , stagiaire, de 2nde, épouvantable! une élève avait....20 ans (je n'exagère pas!), un autre m'avait menacé de mort, un 2ème avait refusé de changer de place, personne n'avait jamais son manuel, je ne les avais QUE de 16 à 18h, etc...)
bref, ce fut de très loin, la pire expérience de toute ma carrière!! d'ailleurs, l'IPR lors de ma titularisation m'avait dit (parce qu'au final, j'avais réussi à les "dompter" peu ou prou) "vous vous êtes sortie de cette classe, vous vous sortirez de tout!!"
23 ans après, parfois, quand j'ai un coup de mou, je pense à ce qu'avait dit cet IPR et je me dis "tu vas t'en sortir!" lool
Donc le "c'était mieux avant", je suis pas convaincue à 100% au vue de ma petite expérience :/
- Thalia de GMédiateur
C'est à ce moment-là que tu t'es fait les dents. :labas:
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Isis39Enchanteur
Ma première année de titulaire en 94 ? Ouille.
Poste partagé : un lycée avec deux secondes. Un LP avec des CAP, des 4e techno, des bac pro, des BMA. En CAP je devais faire de la législation du travail.
Une année de dingue.
Poste partagé : un lycée avec deux secondes. Un LP avec des CAP, des 4e techno, des bac pro, des BMA. En CAP je devais faire de la législation du travail.
Une année de dingue.
- OxfordNeoprof expérimenté
Whypee a écrit:Ma première année, avant les années 90, dans une classe de Tale constituée de 24 redoublants j'étais le plus jeune de la classeGuermantes729 a écrit:Ben moi j'ai commencé en 1995, j'avais une classe , stagiaire, de 2nde, épouvantable! une élève avait....20 ans (je n'exagère pas!), un autre m'avait menacé de mort, un 2ème avait refusé de changer de place, personne n'avait jamais son manuel, je ne les avais QUE de 16 à 18h, etc...)
bref, ce fut de très loin, la pire expérience de toute ma carrière!! d'ailleurs, l'IPR lors de ma titularisation m'avait dit (parce qu'au final, j'avais réussi à les "dompter" peu ou prou) "vous vous êtes sortie de cette classe, vous vous sortirez de tout!!"
23 ans après, parfois, quand j'ai un coup de mou, je pense à ce qu'avait dit cet IPR et je me dis "tu vas t'en sortir!" lool
Donc le "c'était mieux avant", je suis pas convaincue à 100% au vue de ma petite expérience :/
...t'as dû en emballer !
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- User21929Expert
Que des mecs, sorties en boite à plus de 100km minimum.
Le plus rigolo, c'est que j'ai revu un des ces élèves il y a 2 ans et quand je lui ai dit que j'étais le plus jeune de la classes à l'époque il m'a demandé si j'étais encore plus jeune que lui aujourd'hui. Bah, oui.
Le plus rigolo, c'est que j'ai revu un des ces élèves il y a 2 ans et quand je lui ai dit que j'étais le plus jeune de la classes à l'époque il m'a demandé si j'étais encore plus jeune que lui aujourd'hui. Bah, oui.
- OxfordNeoprof expérimenté
La scoumoune, quoi !
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- CleroliDoyen
1ère année, 95 pour moi aussi. Ce sont mes premières vraies grèves longues (merci Juppé ) et sans retrait de salaire car mon établissement ne communiquait pas avec l'IUFM (la secrétaire faisait barrage).
Mes deux classes étaient à 24 et adorables (j'étais dans un bon lycée, ça aide) et l'horaire prof et élève plus conséquent qu'aujourd'hui. Bref, pas de nostalgie mais de bons souvenirs.
Mes deux classes étaient à 24 et adorables (j'étais dans un bon lycée, ça aide) et l'horaire prof et élève plus conséquent qu'aujourd'hui. Bref, pas de nostalgie mais de bons souvenirs.
- Guermantes729Neoprof expérimenté
Whypee a écrit:Ma première année, avant les années 90, dans une classe de Tale constituée de 24 redoublants j'étais le plus jeune de la classeGuermantes729 a écrit:Ben moi j'ai commencé en 1995, j'avais une classe , stagiaire, de 2nde, épouvantable! une élève avait....20 ans (je n'exagère pas!), un autre m'avait menacé de mort, un 2ème avait refusé de changer de place, personne n'avait jamais son manuel, je ne les avais QUE de 16 à 18h, etc...)
bref, ce fut de très loin, la pire expérience de toute ma carrière!! d'ailleurs, l'IPR lors de ma titularisation m'avait dit (parce qu'au final, j'avais réussi à les "dompter" peu ou prou) "vous vous êtes sortie de cette classe, vous vous sortirez de tout!!"
23 ans après, parfois, quand j'ai un coup de mou, je pense à ce qu'avait dit cet IPR et je me dis "tu vas t'en sortir!" lool
Donc le "c'était mieux avant", je suis pas convaincue à 100% au vue de ma petite expérience :/
C'est là que j'ai compris qu'en tant que prof, jeune ou pas, j'étais "la vieille"
parfois pour me "provoquer", ils me demandaient si j'aimais tel ou tel groupe de musique, comme j'aurai pu le faire avec ma mère, sauf que....j'avais leur âge à qque chose près et donc leurs goûts (à qque chose près aussi^^)
- DeliaEsprit éclairé
Dan les années 90, j'avais trente ans de moins qu'aujourd'hui. Je chante, comme Danielle Darrieux dans le Plaisir :
Combien je regrette
Mon bras si dodu,
Ma jambe bien faite,
Et le temps perdu !
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- patteNiveau 5
Même situation pour moi en 1995 : 2 classes de lycée, les 1ères grèves, les fous-rires à l'IUFM...et le début d'un questionnement intérieur : continuer ou pas dans l'enseignementCleroli a écrit:1ère année, 95 pour moi aussi. Ce sont mes premières vraies grèves longues (merci Juppé ) et sans retrait de salaire car mon établissement ne communiquait pas avec l'IUFM (la secrétaire faisait barrage).
Mes deux classes étaient à 24 et adorables (j'étais dans un bon lycée, ça aide) et l'horaire prof et élève plus conséquent qu'aujourd'hui. Bref, pas de nostalgie mais de bons souvenirs.
Sinon, aucune nostalgie pour cette période. J'ai travaillé durant ces années en Zep, la situation équivaut à celle d'aujourd'hui. Les actes de violence se sont sans doute généralisés aux établissements réputés plus calmes mais le métier était et reste difficile. Donc, aucune idéalisation de mon côté de mes années de jeune enseignante.
- Panta RheiExpert
Stagiaire en 95. Bon lycée de centre ville. Rétrospectivement, je demandais à mes 2ndes LV2 des choses qui se font maintenant en Tale € LELE etc...
La mode était le fonctionnel-notionnel et le manuel "Flying Colours"
Affecté en collège ensuite, je rejoins mes collègues sur la transition bienvenue entre les manuels désuets (TOP 6: artificiels et mécanique) et Channel (beaucoup mieux) puis Step In est arrivé avec en effet des drills à base d'illustrations fort jolies.
En 1999, mes 3èmes voyaient la voix passive à tous les temps y compris sans complément d'agent. Ils partaient au lycée avec des rudiments de grammaire énonciative (S/P - énonciateur - invariant / valeur de base - effet de sens - savaient faire la différence entre he's washed the car / he's been washing the car / you've been smoking!)
[mon collège est rural et accueille une population mixte + avec des gamins aux parents CSP (-) qui poussent leurs enfants...]
NOSTALGIE! Quel gâchis, quelle déliquescence... En anglais, sur 100 élèves envoyés en 2nde, selon les années, seulement 5 à 10 valident un vrai B1 dans les 5 AL (d'après les bulletins). Les autres réussissent à se maintenir et consolider un entre A2 et B1 (mais comme il faut avoir A2 pour avoir 10/20 au Bac...)
merci pour ce fil original!
A ré-ouvrir dans 10 ans et l'année de ma retraite (si ...)
La mode était le fonctionnel-notionnel et le manuel "Flying Colours"
Affecté en collège ensuite, je rejoins mes collègues sur la transition bienvenue entre les manuels désuets (TOP 6: artificiels et mécanique) et Channel (beaucoup mieux) puis Step In est arrivé avec en effet des drills à base d'illustrations fort jolies.
En 1999, mes 3èmes voyaient la voix passive à tous les temps y compris sans complément d'agent. Ils partaient au lycée avec des rudiments de grammaire énonciative (S/P - énonciateur - invariant / valeur de base - effet de sens - savaient faire la différence entre he's washed the car / he's been washing the car / you've been smoking!)
[mon collège est rural et accueille une population mixte + avec des gamins aux parents CSP (-) qui poussent leurs enfants...]
NOSTALGIE! Quel gâchis, quelle déliquescence... En anglais, sur 100 élèves envoyés en 2nde, selon les années, seulement 5 à 10 valident un vrai B1 dans les 5 AL (d'après les bulletins). Les autres réussissent à se maintenir et consolider un entre A2 et B1 (mais comme il faut avoir A2 pour avoir 10/20 au Bac...)
merci pour ce fil original!
A ré-ouvrir dans 10 ans et l'année de ma retraite (si ...)
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- Signature:
- 'Don't you find yourself getting bored?' she asked of her sister. 'Don't you find, that things fail to materialise? NOTHING MATERIALISES! Everything withers in the bud.'
'What withers in the bud?' asked Ursula.
'Oh, everything—oneself—things in general.'First Page of Women in Love, D. H. Lawrence
- Guermantes729Neoprof expérimenté
En fait, ce qui, de mon point de vue, a le plus changé depuis ces années-là, ce ne sont pas tant les élèves, que la "machine" éduc nat
en 1995, nos priorités étaient (ordre indifférent)
1°) le programme à faire
2°) la gestion de classe
maintenant nos priorités sont (ordre indifférent)
1°) les élèves en PAI (j'en ai qd même 3 en terminale ES cette année, officiellement, en gros retard de lecture :/)
2°) les sorties (au cinéma, au théâtre, au ski, à Londres, à Rome, ...)
3°) le contrat d'objectif (dont je n'ai toujours pas compris le fonctionnement)
4°) travailler avec les autres disciplines, autres classes, autres collègues, voire, autres établissements
5°) s'investir dans la citoyenneté à l'école, le mérite pour tous (ou pour personne), les parcours différents, ...
6°) s'occuper des surdoués ( tout d'un coup, prolifiques)
7°) s'occuper de créer, installer, faire vivre, des "ateliers" pour les élèves
etc
et une fois tout ceci fait, on regarde si on a le temps de faire le programme ou/et si on peut gérer la classe (à condition de pas de cours magistral, les surdoués, les pai, etc...)
d'ailleurs il suffit de lire les nouvelles grilles d'évaluation des fameux rdv carrière pour comprendre que le "est-ce que les élèves apprennent qque chose?" est vraiment le dernier souci de l'EN actuelle !
Pas de doute, je suis une vieille aigrie
en 1995, nos priorités étaient (ordre indifférent)
1°) le programme à faire
2°) la gestion de classe
maintenant nos priorités sont (ordre indifférent)
1°) les élèves en PAI (j'en ai qd même 3 en terminale ES cette année, officiellement, en gros retard de lecture :/)
2°) les sorties (au cinéma, au théâtre, au ski, à Londres, à Rome, ...)
3°) le contrat d'objectif (dont je n'ai toujours pas compris le fonctionnement)
4°) travailler avec les autres disciplines, autres classes, autres collègues, voire, autres établissements
5°) s'investir dans la citoyenneté à l'école, le mérite pour tous (ou pour personne), les parcours différents, ...
6°) s'occuper des surdoués ( tout d'un coup, prolifiques)
7°) s'occuper de créer, installer, faire vivre, des "ateliers" pour les élèves
etc
et une fois tout ceci fait, on regarde si on a le temps de faire le programme ou/et si on peut gérer la classe (à condition de pas de cours magistral, les surdoués, les pai, etc...)
d'ailleurs il suffit de lire les nouvelles grilles d'évaluation des fameux rdv carrière pour comprendre que le "est-ce que les élèves apprennent qque chose?" est vraiment le dernier souci de l'EN actuelle !
Pas de doute, je suis une vieille aigrie
- CisilHabitué du forum
Premier poste de maître auxiliaire fin des années 80 : nommée à l'autre bout de l'académie, sur poste partagé collège/lycée, pour 15h, avec une 4è, une 3è, une seconde, une première, une terminale. Je n'avais jamais fait un cours... heureusement que les élèves étaient sympas et indulgents !
Puis stagiaire 18h (enfin 21h, j'avais trois HSA), sur deux lycées, sept secondes avec le même manuel... Un seul cours à préparer donc, mais j'ai dû apprendre à m'organiser
Le poste fixe, l'année suivante, sur un seul établissement, en zone très rurale, avec des élèves bien gentils, m'a paru bien confortable !
Puis stagiaire 18h (enfin 21h, j'avais trois HSA), sur deux lycées, sept secondes avec le même manuel... Un seul cours à préparer donc, mais j'ai dû apprendre à m'organiser
Le poste fixe, l'année suivante, sur un seul établissement, en zone très rurale, avec des élèves bien gentils, m'a paru bien confortable !
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"Si haut que l’on soit placé, on n’est jamais assis que sur son cul." Montaigne.
"When I went to school, they asked me what I wanted to be when I grew up. I wrote down ‘happy’. They told me I didn’t understand the assignment, and I told them they didn’t understand life.” John Lennon
- amethysteDoyen
Bien d'accord avec Guermantes, les priorités n'étaient pas les mêmes.
Enfin, là, je prends un coup de vieux avec ce fil :colereage: .
Enfin, là, je prends un coup de vieux avec ce fil :colereage: .
- CNFANiveau 10
En 91, j'avais des classes de sixième à 6h hebdomadaires et des cinquièmes à 5h30 ! En français, nous avions 3 classes maximum et franchement, ça m'allait bien !
- DeliaEsprit éclairé
Dans les années 70, les 6e avaient 6 heures hebdomadaires, dont 3 en demi-groupe. Ci, 9 heures pour le professeur.
On peut avoir nostalgie de ces horaires confortables.
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Un vieillard qui meurt, c'est une bibliothèque qui brûle.
Amadou Hampaté Ba
- Thursday's children - documentaire sur l'enseignement dans une école pour sourds en Angleterre dans les années 50
- Qui enseigne dans les Alpes de Haute Provence ?
- Capes interne après avoir enseigné dans le privé : quel reclassement ?
- Reconversion et années de services dans l'armée
- Agrégation interne possible alors qu'on enseigne dans le privé ?
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