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- SéraphineNiveau 2
Bonjour à tous, sur le descriptif, en dehors des lectures analytiques, parlez-vous de textes et documents complémentaires ou adoptez-vous une autre appellation ?
Je suis dans le doute car j'ai eu pas mal d'échos différents ( dont un me disant qu'en fait , tout cela pouvait être rassemblé sous le titre : lectures cursives, ce que les textes officiels semblent confirmer...Bref , je doute!)
Je suis dans le doute car j'ai eu pas mal d'échos différents ( dont un me disant qu'en fait , tout cela pouvait être rassemblé sous le titre : lectures cursives, ce que les textes officiels semblent confirmer...Bref , je doute!)
- IphigénieProphète
Pourquoi compliquer? Le descriptif sert simplement à renseigner l'examinateur, ce n'est pas un acte notarié. ...cool!
Lecture cursive c'est une oeuvre complète lue mais non étudiée en détail en classe
Des textes vus en complement, ben ce sont des textes complémentaires.
Lecture cursive c'est une oeuvre complète lue mais non étudiée en détail en classe
Des textes vus en complement, ben ce sont des textes complémentaires.
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
Tout à fait. Ce qui est important c'est de bien différencier pour l'examinateur les lectures analytiques des autres textes et documents. Moi je mentionne à part tout ce qui a été fait comme travaux autour de la séquence, les textes complémentaires les lectures analytiques, mais aussi les lectures d'images, parfois certains devoirs, les analyses d'extraits de film et s'il y en a eu, les représentations théâtrales si les élèves ont eu la possibilité d'en voir une. ..
Bref, tout ce qui peut aider l'examinateur à trouver des questions pour l'entretien- et accessoirement, à permettre aux élèves de comprendre que TOUT ce qu'on fait en classe est important!
Bref, tout ce qui peut aider l'examinateur à trouver des questions pour l'entretien- et accessoirement, à permettre aux élèves de comprendre que TOUT ce qu'on fait en classe est important!
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- totoroMonarque
Attention cependant : n'oubliez pas que certains examinateurs interrogent sur les GT en documents complémentaires parce qu'ils sont indiqués comme des "groupements de textes" (même si par ailleurs, vous avez précisé que les autres textes étaient des "lectures analytiques".)
Préciser "groupement de textes en lecture cursive" peut être utile dans ce cas-là.
Préciser "groupement de textes en lecture cursive" peut être utile dans ce cas-là.
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- IsidoriaDoyen
Les deux inspecteurs avec qui nous avons parlé descriptif nous ont demandé d'appeler tout document "lecture cursive", car la notion de document complémentaire n'existe plus dans les derniers textes officiels.
Chez moi, nous avons adopté une présentation tabulaire du descriptif. Sur une apremière ligne, on précise "Lectures analytiques (exposé)", et sur une deuxième "Lectures cursives (entretien)".
Mais je suis d'accord avec les collègues un document complémentaire reste complémentaire, quel que soit comment on l'appelle.
Chez moi, nous avons adopté une présentation tabulaire du descriptif. Sur une apremière ligne, on précise "Lectures analytiques (exposé)", et sur une deuxième "Lectures cursives (entretien)".
Mais je suis d'accord avec les collègues un document complémentaire reste complémentaire, quel que soit comment on l'appelle.
- IsachocolatNiveau 3
Bonjour,
chez moi, on nous demande de mettre en parallèle les lectures analytiques et les textes échos ( GT ou LCA). Du coup, une de mes collègues a adopté une présentation en 2 colonnes pour la première partie de sa page ( sous le titre, l'objet d'étude etc)
Lecture analytique XXXXX I Texte(s) echo(s) XXXXX
Puis cela fait, elle liste avec des tirets toutes les " activités complémentaires" ( HDA, LC etc..).
J'ai trouvé cela très clair, et pour l'examinateur et pour l'élève, qui voit bien quels sont les textes en rapport.
Bonne journée
chez moi, on nous demande de mettre en parallèle les lectures analytiques et les textes échos ( GT ou LCA). Du coup, une de mes collègues a adopté une présentation en 2 colonnes pour la première partie de sa page ( sous le titre, l'objet d'étude etc)
Lecture analytique XXXXX I Texte(s) echo(s) XXXXX
Puis cela fait, elle liste avec des tirets toutes les " activités complémentaires" ( HDA, LC etc..).
J'ai trouvé cela très clair, et pour l'examinateur et pour l'élève, qui voit bien quels sont les textes en rapport.
Bonne journée
- NLM76Grand Maître
On est un...Isachocolat a écrit:Bonjour,
chez moi, on nous demande
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AphrodissiaMonarque
Notre IPR s'est mis en tête de nous faire harmoniser nos pratiques:
- d'un point de vue formel, un seul modèle de liste pour l'académie: les LA d'un côté et les L complémentaires de l'autre; sans mention des activités personnelles: les élèves d'une classe doivent avoir la même liste exactement. Un collègue qui arrive tout juste d'une autre académie nous disait que l'an dernier, l'IPR voulait des descriptifs personnalisés pour chaque élève.
- pour les OI: les oeuvres classiques en 2de, le plus possible de contemporains en 1e (XXe et XXIe siècle - avec la précision "pas de Molière par exemple en OI"), pas de textes traduits même dans l'OE Humanisme et Renaissance en Europe.
Ces consignes nous sont parvenues la semaine dernière ; alors, j'ai bien relu les Instructions Officielles et je vais continuer à m'y conformer. Et quand bien même, si je n'ai pas prévu de faire une pièce du XXe siècle en OI, qu'est-ce que ça fait? J'ai été un peu agacée par cette ingérence dans ma liberté pédagogique (je plaisante — à moitié).
- d'un point de vue formel, un seul modèle de liste pour l'académie: les LA d'un côté et les L complémentaires de l'autre; sans mention des activités personnelles: les élèves d'une classe doivent avoir la même liste exactement. Un collègue qui arrive tout juste d'une autre académie nous disait que l'an dernier, l'IPR voulait des descriptifs personnalisés pour chaque élève.
- pour les OI: les oeuvres classiques en 2de, le plus possible de contemporains en 1e (XXe et XXIe siècle - avec la précision "pas de Molière par exemple en OI"), pas de textes traduits même dans l'OE Humanisme et Renaissance en Europe.
Ces consignes nous sont parvenues la semaine dernière ; alors, j'ai bien relu les Instructions Officielles et je vais continuer à m'y conformer. Et quand bien même, si je n'ai pas prévu de faire une pièce du XXe siècle en OI, qu'est-ce que ça fait? J'ai été un peu agacée par cette ingérence dans ma liberté pédagogique (je plaisante — à moitié).
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- Une passanteEsprit éclairé
Lubie d'IPR n'est pas programme officiel... ta liberté pédagogique te permet de faire les œuvres que tu souhaites dans le cadre des objets d'étude fixés par le programme.
N'oublions pas que le rêve des IPR (et du MEN dans son ensemble) est de transformer les enseignants en simples exécutants. J'imagine que ton IPR fait également partie de ceux qui réclament une "mutualisation" des cours, ou la constitution d'une banque de données...
N'oublions pas que le rêve des IPR (et du MEN dans son ensemble) est de transformer les enseignants en simples exécutants. J'imagine que ton IPR fait également partie de ceux qui réclament une "mutualisation" des cours, ou la constitution d'une banque de données...
- IphigénieProphète
Urgence de reformer cette EAF avant que chacun y aille de sa toccade.....
Bon sinon, il y a des programmmes, je ne vois pas qui te reprocherait de les suivre....meme pas une terreur locale, qui pourrait craindre la terreur du dessus
Bon sinon, il y a des programmmes, je ne vois pas qui te reprocherait de les suivre....meme pas une terreur locale, qui pourrait craindre la terreur du dessus
- AphrodissiaMonarque
Mais oui, comment as-tu deviné?Une passante a écrit:Lubie d'IPR n'est pas programme officiel... ta liberté pédagogique te permet de faire les œuvres que tu souhaites dans le cadre des objets d'étude fixés par le programme.
N'oublions pas que le rêve des IPR (et du MEN dans son ensemble) est de transformer les enseignants en simples exécutants. J'imagine que ton IPR fait également partie de ceux qui réclament une "mutualisation" des cours, ou la constitution d'une banque de données...
Ce n'est pas le cas de mon IPR, dont j'apprécie par ailleurs le travail. Mais c'est dans la lignée de la mutualisation, de l'harmonisation, etc. Et comme c'est la coordo qui nous annonçait ces lignes directrices, l'avis général était qu'en novembre on n'allait pas tout changer et qu'on avait bien notre liberté pédagogique.Iphigénie a écrit:Urgence de reformer cette EAF avant que chacun y aille de sa tocade.....
Bon sinon, il y a des programmes, je ne vois pas qui te reprocherait de les suivre....même pas une terreur locale, qui pourrait craindre la terreur du dessus
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Hominis mens discendo alitur et cogitando. (Cicéron)
Et puis les steaks ? Ça se rate toujours comme la tragédie. Mais à des degrés différents. (M. Duras)
- ysabelDevin
Aphrodissia a écrit:Notre IPR s'est mis en tête de nous faire harmoniser nos pratiques:
- d'un point de vue formel, un seul modèle de liste pour l'académie: les LA d'un côté et les L complémentaires de l'autre; sans mention des activités personnelles: les élèves d'une classe doivent avoir la même liste exactement. Un collègue qui arrive tout juste d'une autre académie nous disait que l'an dernier, l'IPR voulait des descriptifs personnalisés pour chaque élève.
- pour les OI: les oeuvres classiques en 2de, le plus possible de contemporains en 1e (XXe et XXIe siècle - avec la précision "pas de Molière par exemple en OI"), pas de textes traduits même dans l'OE Humanisme et Renaissance en Europe.
Ces consignes nous sont parvenues la semaine dernière ; alors, j'ai bien relu les Instructions Officielles et je vais continuer à m'y conformer. Et quand bien même, si je n'ai pas prévu de faire une pièce du XXe siècle en OI, qu'est-ce que ça fait? J'ai été un peu agacée par cette ingérence dans ma liberté pédagogique (je plaisante — à moitié).
Tu envoies promener ! Seules les IO font foi.
Les desideratas des IPR, tu t'en balances !
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- Une passanteEsprit éclairé
Le rêve de beaucoup d'IPR est de constituer des banques de cours (cela existe déjà dans certaines académies, même si je ne suis pas certaine que ce soit très suivi) afin que puissent s'y référer les contractuels et les professeurs débutants (les autres sont perdus pour la "bonne parole" ) et qu'ils cessent de concevoir eux-mêmes leurs cours, ce qui entraînera progressivement l'augmentation horaire des services des enseignants.
Quant aux œuvres contemporaines, c'est une manière de désacraliser la littérature, puisque ce sont souvent des œuvres sur lesquelles il manque le recul nécessaire pour qu'elles entrent dans notre patrimoine culturel.
Les ennemis des "ambitions" de l'EN, ce sont les professeurs qui continuent à enseigner la "grande littérature", ceux qui ne renoncent pas à une certaine forme d'exigence intellectuelle et qui défendent leur liberté pédagogique (certains jeunes collègues ignorent même qu'elle existe, c'est dire ce qu'on veut leur apprendre...).
Pour le premier point, j'en suis sûre à 99%, pour le second, ce n'est que mon opinion personnelle, mais elle me semble aller dans le même sens que la logique d'ensemble.
Quant aux œuvres contemporaines, c'est une manière de désacraliser la littérature, puisque ce sont souvent des œuvres sur lesquelles il manque le recul nécessaire pour qu'elles entrent dans notre patrimoine culturel.
Les ennemis des "ambitions" de l'EN, ce sont les professeurs qui continuent à enseigner la "grande littérature", ceux qui ne renoncent pas à une certaine forme d'exigence intellectuelle et qui défendent leur liberté pédagogique (certains jeunes collègues ignorent même qu'elle existe, c'est dire ce qu'on veut leur apprendre...).
Pour le premier point, j'en suis sûre à 99%, pour le second, ce n'est que mon opinion personnelle, mais elle me semble aller dans le même sens que la logique d'ensemble.
- OxfordNeoprof expérimenté
Une passante a écrit:Le rêve de beaucoup d'IPR est de constituer des banques de cours (cela existe déjà dans certaines académies, même si je ne suis pas certaine que ce soit très suivi) afin que puissent s'y référer les contractuels et les professeurs débutants (les autres sont perdus pour la "bonne parole" ) et qu'ils cessent de concevoir eux-mêmes leurs cours, ce qui entraînera progressivement l'augmentation horaire des services des enseignants.
Quant aux œuvres contemporaines, c'est une manière de désacraliser la littérature, puisque ce sont souvent des œuvres sur lesquelles il manque le recul nécessaire pour qu'elles entrent dans notre patrimoine culturel.
Les ennemis des "ambitions" de l'EN, ce sont les professeurs qui continuent à enseigner la "grande littérature", ceux qui ne renoncent pas à une certaine forme d'exigence intellectuelle et qui défendent leur liberté pédagogique (certains jeunes collègues ignorent même qu'elle existe, c'est dire ce qu'on veut leur apprendre...).
Pour le premier point, j'en suis sûre à 99%, pour le second, ce n'est que mon opinion personnelle, mais elle me semble aller dans le même sens que la logique d'ensemble.
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- IllianeExpert
Une passante a écrit:Le rêve de beaucoup d'IPR est de constituer des banques de cours (cela existe déjà dans certaines académies, même si je ne suis pas certaine que ce soit très suivi) afin que puissent s'y référer les contractuels et les professeurs débutants (les autres sont perdus pour la "bonne parole" ) et qu'ils cessent de concevoir eux-mêmes leurs cours, ce qui entraînera progressivement l'augmentation horaire des services des enseignants.
Quant aux œuvres contemporaines, c'est une manière de désacraliser la littérature, puisque ce sont souvent des œuvres sur lesquelles il manque le recul nécessaire pour qu'elles entrent dans notre patrimoine culturel.
Les ennemis des "ambitions" de l'EN, ce sont les professeurs qui continuent à enseigner la "grande littérature", ceux qui ne renoncent pas à une certaine forme d'exigence intellectuelle et qui défendent leur liberté pédagogique (certains jeunes collègues ignorent même qu'elle existe, c'est dire ce qu'on veut leur apprendre...).
Pour le premier point, j'en suis sûre à 99%, pour le second, ce n'est que mon opinion personnelle, mais elle me semble aller dans le même sens que la logique d'ensemble.
+1
- AscagneGrand sage
Bonsoir,
Je dois achever mes descriptifs définitifs des premières séquences (bac blanc dans deux semaines) et faire des photocopies des textes pour les oraux blancs, mais j'ai juste quelques petites questions pratiques (comme cela je serai assuré pour les EAF) :
- pour les photocopies des lectures analytiques, puis-je inclure des notes pour les textes pris hors œuvres intégrales ? Faut-il aussi photocopier les LA des œuvres intégrales ?
- les élèves ont-ils la possibilité d'apporter les photocopies des textes complémentaires (ou d'une sélection de ceux-ci) ? Dans ce cas, suffit-il d'un seul exemplaire (pour eux, pas pour l'examinateur) ?
Juste une dernière question : cela se fait, donc, de laisser un petit espace pour que chaque élève indique sur son descriptif, par exemple, le choix de poèmes qu'il avait fait dans un devoir maison d'élaboration d'une anthologie commentée ?
Je dois achever mes descriptifs définitifs des premières séquences (bac blanc dans deux semaines) et faire des photocopies des textes pour les oraux blancs, mais j'ai juste quelques petites questions pratiques (comme cela je serai assuré pour les EAF) :
- pour les photocopies des lectures analytiques, puis-je inclure des notes pour les textes pris hors œuvres intégrales ? Faut-il aussi photocopier les LA des œuvres intégrales ?
- les élèves ont-ils la possibilité d'apporter les photocopies des textes complémentaires (ou d'une sélection de ceux-ci) ? Dans ce cas, suffit-il d'un seul exemplaire (pour eux, pas pour l'examinateur) ?
Juste une dernière question : cela se fait, donc, de laisser un petit espace pour que chaque élève indique sur son descriptif, par exemple, le choix de poèmes qu'il avait fait dans un devoir maison d'élaboration d'une anthologie commentée ?
- totoroMonarque
Même si normalement, ils n'en ont pas besoin pour des textes qu'ilsAscagne a écrit:Bonsoir,
Je dois achever mes descriptifs définitifs des premières séquences (bac blanc dans deux semaines) et faire des photocopies des textes pour les oraux blancs, mais j'ai juste quelques petites questions pratiques (comme cela je serai assuré pour les EAF) :
- pour les photocopies des lectures analytiques, puis-je inclure des notes pour les textes pris hors œuvres intégrales ?
Je trouve cela plus confortable en tant qu'examinateur. Mais d'autres te diront que c'est absurde, que chaque examinateur devrait avoir l’œuvre (dans la bonne édition) et faire avec le deuxième exemplaire que l'élève doit apporter.Ascagne a écrit:Faut-il aussi photocopier les LA des œuvres intégrales ?
Normalement, oui. Si les textes sont (trop) annotés, cela peut quand même poser problème.Ascagne a écrit:- les élèves ont-ils la possibilité d'apporter les photocopies des textes complémentaires (ou d'une sélection de ceux-ci) ? Dans ce cas, suffit-il d'un seul exemplaire (pour eux, pas pour l'examinateur) ?
Au bac, l'examinateur est censé avoir un exemplaire de tous les textes (sauf ceux des œuvres intégrales ou ceux extraits de manuels - voir ci dessus...)
Cela se fait, mais dans les faits, ce qu'y note le candidat n'est pas toujours intéressant...Ascagne a écrit:Juste une dernière question : cela se fait, donc, de laisser un petit espace pour que chaque élève indique sur son descriptif, par exemple, le choix de poèmes qu'il avait fait dans un devoir maison d'élaboration d'une anthologie commentée ?
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- AscagneGrand sage
Merci Totoro ! :-)
Pour le dernier point, oui, je demande parce que j'ai lu certains rapports préconisant ce genre de choses, mais pour cette fois-ci du moins, ce ne serait pas très productif (à part pour la poignée d'élèves qui avaient pris cet exercice au sérieux).
Pour le dernier point, oui, je demande parce que j'ai lu certains rapports préconisant ce genre de choses, mais pour cette fois-ci du moins, ce ne serait pas très productif (à part pour la poignée d'élèves qui avaient pris cet exercice au sérieux).
- AscagneGrand sage
Bonsoir,
Je m'apprête à donner pour signature la version définitive des descriptifs. Avec la classe de S, j'en suis resté à 15 textes en LA. Une parent d'élève vient de me contacter en disant qu'elle s'inquiétait du "volume de textes" et du nombre de lectures analytiques proposé ("trop de textes"). Je lui ai expliqué que j'étais à peu près au même niveau que les collègues (17 textes), ayant dans les 15 quelques textes plus longs et plus complexes, et que les inspecteurs de l'académie ne voulaient pas moins de ce nombre de LA pour les classes n'ayant pas eu de problème particulier (longue absence d'enseignant par exemple). Ils préconisent en effet une référence de 20 LA, je crois, à Créteil. Je trouverais gros que des parents me reprochent d'avoir fait 15 LA en considérant que c'est trop alors que cela me semble au contraire être la limite inférieure.
Qu'en pensez-vous ?
Je m'apprête à donner pour signature la version définitive des descriptifs. Avec la classe de S, j'en suis resté à 15 textes en LA. Une parent d'élève vient de me contacter en disant qu'elle s'inquiétait du "volume de textes" et du nombre de lectures analytiques proposé ("trop de textes"). Je lui ai expliqué que j'étais à peu près au même niveau que les collègues (17 textes), ayant dans les 15 quelques textes plus longs et plus complexes, et que les inspecteurs de l'académie ne voulaient pas moins de ce nombre de LA pour les classes n'ayant pas eu de problème particulier (longue absence d'enseignant par exemple). Ils préconisent en effet une référence de 20 LA, je crois, à Créteil. Je trouverais gros que des parents me reprochent d'avoir fait 15 LA en considérant que c'est trop alors que cela me semble au contraire être la limite inférieure.
Qu'en pensez-vous ?
- IzambardFidèle du forum
Tu t'en fous.
C'est toi qui as raison. 15 textes en S, c'est pas énorme.
Explique donc que tu te situes plutôt dans la fourchette basse.
C'est toi qui as raison. 15 textes en S, c'est pas énorme.
Explique donc que tu te situes plutôt dans la fourchette basse.
- KilmenyEmpereur
Ascagne a écrit:Bonsoir,
Je m'apprête à donner pour signature la version définitive des descriptifs. Avec la classe de S, j'en suis resté à 15 textes en LA. Une parent d'élève vient de me contacter en disant qu'elle s'inquiétait du "volume de textes" et du nombre de lectures analytiques proposé ("trop de textes"). Je lui ai expliqué que j'étais à peu près au même niveau que les collègues (17 textes), ayant dans les 15 quelques textes plus longs et plus complexes, et que les inspecteurs de l'académie ne voulaient pas moins de ce nombre de LA pour les classes n'ayant pas eu de problème particulier (longue absence d'enseignant par exemple). Ils préconisent en effet une référence de 20 LA, je crois, à Créteil. Je trouverais gros que des parents me reprochent d'avoir fait 15 LA en considérant que c'est trop alors que cela me semble au contraire être la limite inférieure.
Qu'en pensez-vous ?
15, ce n'est pas beaucoup. En lisant le début de ton message, je pensais que le parents d'élèves allait se plaindre qu'il n'y en avait pas assez.
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Un petit clic pour les animaux : http://www.clicanimaux.com/catalog/accueil.php?sites_id=1
- ditaNeoprof expérimenté
Une passante a écrit:Le rêve de beaucoup d'IPR est de constituer des banques de cours (cela existe déjà dans certaines académies, même si je ne suis pas certaine que ce soit très suivi) afin que puissent s'y référer les contractuels et les professeurs débutants (les autres sont perdus pour la "bonne parole" ) et qu'ils cessent de concevoir eux-mêmes leurs cours, ce qui entraînera progressivement l'augmentation horaire des services des enseignants.
Quant aux œuvres contemporaines, c'est une manière de désacraliser la littérature, puisque ce sont souvent des œuvres sur lesquelles il manque le recul nécessaire pour qu'elles entrent dans notre patrimoine culturel.
Les ennemis des "ambitions" de l'EN, ce sont les professeurs qui continuent à enseigner la "grande littérature", ceux qui ne renoncent pas à une certaine forme d'exigence intellectuelle et qui défendent leur liberté pédagogique (certains jeunes collègues ignorent même qu'elle existe, c'est dire ce qu'on veut leur apprendre...).
Pour le premier point, j'en suis sûre à 99%, pour le second, ce n'est que mon opinion personnelle, mais elle me semble aller dans le même sens que la logique d'ensemble.
On n'a qu'à également avoir à donner, pour les contrôles, des QCM type permis de conduire, corrigés automatiquement par une machine. On pourra ainsi faire 60 h de cours.
- AscagneGrand sage
@Kilmeny : Eh oui, ce serait ça, la réaction logique. Mais dans l'établissement, le nombre de textes habituel est inférieur à vingt (question de niveau global), et les parents d'élèves sont plutôt dans cette vision des choses (en latin, on m'a reproché de vouloir en faire trop alors que je suivais tout simplement le programme, bref). Je précise quand même que je parle de lectures analytiques très approfondies, j'ai donné aussi des GT et des lectures complémentaires qu'on a parfois fait comme des LA, mais j'ai vite vu que dans un contexte où le courant ne passait pas du tout avec certains parents d'élèves*, il valait mieux limiter le nombre de LA officielles.
* Qui ne manquent pas de contradictions, disons...
* Qui ne manquent pas de contradictions, disons...
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