- ElyasEsprit sacré
DerMax a écrit:En soit je pense que le par cœur est une nécessité dans notre discipline, il faut absolument fixer des repères et même s'il faut les pratiquer, il y a une nécessité d'apprendre par coeur.
Après en soit c'est toujours le niveau du curseur qui reste à définir, quand j'étais élève de 5ème on devait apprendre tous les départements (n°, nom, chef-lieu) maintenant en 1ère si les élèves retiennent le nom des différentes régions c'est bien.
Il y a donc une obligation de connaître des éléments (chrono-spatiaux) pour avancer, notamment dans le cadre du cours.
Cette année est arrivée en 2nde les premiers élèves de la réforme plus de repères au brevet. Ça a abouti à des lacunes importantes par rapport à ces repères. Après je ne dis pas que tout était merveilleux (quand je voyais mes néo-secondes connaître par cœur les dates de la première croisade ça me stupéfiait toujours) mais ça avait le mérite de fixer des éléments (plus ou moins) clefs.
Je fais toujours une éval' diagnostique en début d'année (avec les éléments clefs du collège utiles en 2nde) et je n'ai jamais eu autant d'erreurs qu'à cette rentrée (Tokyo en Europe, Karl Marx prédécesseur de Staline, la "Méditéranée" dans l'océan Indien, Sao Paulo en Asie...)
Je pense que tu as plus fait attention cette année en raison du changement de la nature du DNB et que tu remarques plus les erreurs alors que c'est la situation depuis vingt ans en gros si on lit les études CEDRE et les anciens rapports sur les évaluations diagnostiques de 2de.
- Isis39Enchanteur
D'autant que ces secondes ont eu des repères à apprendre en 6e, 5e et 4e.
- ZagaraGuide spirituel
Tu devrais remplacer mes anciens profs d'ESPE.Elyas a écrit:Zagara a écrit:Certains PE se l'interdisent eux-mêmes, ça fait partie du package pédagogique qui parie sur l'auto-construction de l'élève chez qui la raison et le sens critique seraient un don spontané et immanent.
Le genre de pédagogie où on demande les avis des élèves sur un sujet dont ils ne savent rien avant même de leur expliquer quoi que ce soit.
Hummmm... Pour la géographie, les gens qui racontent ça n'ont rien compris à la démarche qui est de partir des représentations/du savoir social des élèves afin de leur faire approprier le savoir scolaire une fois le chapitre terminé. Si on ne le fait pas, le savoir social gagne à tous les coups et le savoir scolaire est oblitéré. En tout cas, en géographie, ça fonctionne très bien.
A l'usage j'ai très vite constaté que cette "méthode" n'était intéressante qu'en fin de séquence, une fois que les élèves ont un avis sur la question, justement, et peuvent peut-être commencer à manier leurs connaissances pour produire quelque chose qui a de la valeur ajoutée. Mais démarrer en disant, en substance : "alors la Chine antique hein. Hein. C'est cool non ?" ça relève du naufrage intellectuel et pédagogique.
- ElyasEsprit sacré
Zagara a écrit:Tu devrais remplacer mes anciens profs d'ESPE.Elyas a écrit:Zagara a écrit:Certains PE se l'interdisent eux-mêmes, ça fait partie du package pédagogique qui parie sur l'auto-construction de l'élève chez qui la raison et le sens critique seraient un don spontané et immanent.
Le genre de pédagogie où on demande les avis des élèves sur un sujet dont ils ne savent rien avant même de leur expliquer quoi que ce soit.
Hummmm... Pour la géographie, les gens qui racontent ça n'ont rien compris à la démarche qui est de partir des représentations/du savoir social des élèves afin de leur faire approprier le savoir scolaire une fois le chapitre terminé. Si on ne le fait pas, le savoir social gagne à tous les coups et le savoir scolaire est oblitéré. En tout cas, en géographie, ça fonctionne très bien.
A l'usage j'ai très vite constaté que cette "méthode" n'était intéressante qu'en fin de séquence, une fois que les élèves ont un avis sur la question, justement, et peuvent peut-être commencer à manier leurs connaissances pour produire quelque chose qui a de la valeur ajoutée. Mais démarrer en disant, en substance : "alors la Chine antique hein. Hein. C'est cool non ?" ça relève du naufrage intellectuel et pédagogique.
En géographie, on peut facilement demander aux élèves de noter leurs représentations avant de faire cours puis, en fin de chapitre, leur demander s'ils ont toujours les mêmes représentations et pourquoi. Cela fonctionne très bien, les clichés et les savoirs sociaux sont souvent bousculés.
En histoire, je le déconseille. Les élèves, sur 90% des programmes, ne connaissent pratiquement rien et en contemporaine, c'est ultra-dangereux ou dans l'émotion gnangnan. Là, il vaut mieux finir le chapitre par un récit de conceptualisation ou une séance de "lecture" à l'anglo-saxonne pour travailler sur l'appropriation du savoir scolaire (il y a un nom pour ça mais là, j'ai oublié).
- RendashBon génie
Elyas a écrit:Zagara a écrit:Tu devrais remplacer mes anciens profs d'ESPE.Elyas a écrit:Zagara a écrit:Certains PE se l'interdisent eux-mêmes, ça fait partie du package pédagogique qui parie sur l'auto-construction de l'élève chez qui la raison et le sens critique seraient un don spontané et immanent.
Le genre de pédagogie où on demande les avis des élèves sur un sujet dont ils ne savent rien avant même de leur expliquer quoi que ce soit.
Hummmm... Pour la géographie, les gens qui racontent ça n'ont rien compris à la démarche qui est de partir des représentations/du savoir social des élèves afin de leur faire approprier le savoir scolaire une fois le chapitre terminé. Si on ne le fait pas, le savoir social gagne à tous les coups et le savoir scolaire est oblitéré. En tout cas, en géographie, ça fonctionne très bien.
A l'usage j'ai très vite constaté que cette "méthode" n'était intéressante qu'en fin de séquence, une fois que les élèves ont un avis sur la question, justement, et peuvent peut-être commencer à manier leurs connaissances pour produire quelque chose qui a de la valeur ajoutée. Mais démarrer en disant, en substance : "alors la Chine antique hein. Hein. C'est cool non ?" ça relève du naufrage intellectuel et pédagogique.
En géographie, on peut facilement demander aux élèves de noter leurs représentations avant de faire cours puis, en fin de chapitre, leur demander s'ils ont toujours les mêmes représentations et pourquoi. Cela fonctionne très bien, les clichés et les savoirs sociaux sont souvent bousculés.
Et on se rend très vite compte à quel point l'horizon des élèves est parfois restreint, en particulier quand ils vivent dans le trou du lulu du monde et n'en sont quasiment jamais sortis. Certains ne savent pas ce qu'est un métro, par exemple.
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- ElyasEsprit sacré
Rendash a écrit:Elyas a écrit:Zagara a écrit:Tu devrais remplacer mes anciens profs d'ESPE.Elyas a écrit:
Hummmm... Pour la géographie, les gens qui racontent ça n'ont rien compris à la démarche qui est de partir des représentations/du savoir social des élèves afin de leur faire approprier le savoir scolaire une fois le chapitre terminé. Si on ne le fait pas, le savoir social gagne à tous les coups et le savoir scolaire est oblitéré. En tout cas, en géographie, ça fonctionne très bien.
A l'usage j'ai très vite constaté que cette "méthode" n'était intéressante qu'en fin de séquence, une fois que les élèves ont un avis sur la question, justement, et peuvent peut-être commencer à manier leurs connaissances pour produire quelque chose qui a de la valeur ajoutée. Mais démarrer en disant, en substance : "alors la Chine antique hein. Hein. C'est cool non ?" ça relève du naufrage intellectuel et pédagogique.
En géographie, on peut facilement demander aux élèves de noter leurs représentations avant de faire cours puis, en fin de chapitre, leur demander s'ils ont toujours les mêmes représentations et pourquoi. Cela fonctionne très bien, les clichés et les savoirs sociaux sont souvent bousculés.
Et on se rend très vite compte à quel point l'horizon des élèves est parfois restreint, en particulier quand ils vivent dans le trou du lulu du monde et n'en sont quasiment jamais sortis. Certains ne savent pas ce qu'est un métro, par exemple.
De même, les médias actuels créent des clichés et un bon cours de géographie change la vision du monde des élèves.
- NadejdaGrand sage
Je m'incruste...
Le Louvre propose une exposition "Théâtre du pouvoir" dans la Galerie des enfants. Plusieurs ressources ont été postées pour l'occasion sur la représentation du pouvoir (en France, au Proche-Orient ancien...) : http://eduscol.education.fr/lettres/actualites/actualites/article/theatre-du-pouvoir-une-exposition-et-des-ressources.html
Je n'ai pas regardé dans le détail mais ça peut vous intéresser...
Le Louvre propose une exposition "Théâtre du pouvoir" dans la Galerie des enfants. Plusieurs ressources ont été postées pour l'occasion sur la représentation du pouvoir (en France, au Proche-Orient ancien...) : http://eduscol.education.fr/lettres/actualites/actualites/article/theatre-du-pouvoir-une-exposition-et-des-ressources.html
Je n'ai pas regardé dans le détail mais ça peut vous intéresser...
- InstantKarmaNiveau 6
Ah ! « L’émergence des représentations », les « objectifs-obstacles » et les « situations-problèmes », tout un bazar constructiviste aussi efficace que la guérison par imposition des mains.Rendash a écrit:
Et on se rend très vite compte à quel point l'horizon des élèves est parfois restreint, en particulier quand ils vivent dans le trou du lulu du monde et n'en sont quasiment jamais sortis. Certains ne savent pas ce qu'est un métro, par exemple.
- ElyasEsprit sacré
InstantKarma a écrit:Ah ! « L’émergence des représentations », les « objectifs-obstacles » et les « situations-problèmes », tout un bazar constructiviste aussi efficace que la guérison par imposition des mains.Rendash a écrit:
Et on se rend très vite compte à quel point l'horizon des élèves est parfois restreint, en particulier quand ils vivent dans le trou du lulu du monde et n'en sont quasiment jamais sortis. Certains ne savent pas ce qu'est un métro, par exemple.
Les situations-problèmes ne sont pas mises en avant institutionnellement en HG, j'ai même entendu le contraire et voir un IEN se faire tancer par un IG, c'est toujours rigolo. La situation-problème est un truc du primaire, pas de l'HG du secondaire. Jamais entendu parler d'objectifs-obstacles. Pour les représentations, ce n'est pas du constructivisme, je m'étonne de lire cela. EN bref, je me demande où tu enseignes parce que c'est très bizarre ce que tu racontes et ne correspond en rien à ce qui se passe en HG sauf pour la question des représentations où ton argumentation est un peu légère.
- Isis39Enchanteur
Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
- ElyasEsprit sacré
Isis39 a écrit:Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
- Dadoo33Grand sage
Nadejda a écrit:Je m'incruste...
Le Louvre propose une exposition "Théâtre du pouvoir" dans la Galerie des enfants. Plusieurs ressources ont été postées pour l'occasion sur la représentation du pouvoir (en France, au Proche-Orient ancien...) : http://eduscol.education.fr/lettres/actualites/actualites/article/theatre-du-pouvoir-une-exposition-et-des-ressources.html
Je n'ai pas regardé dans le détail mais ça peut vous intéresser...
Merci
- Dadoo33Grand sage
Elyas a écrit:Isis39 a écrit:Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
- ElyasEsprit sacré
Dadoo33 a écrit:Elyas a écrit:Isis39 a écrit:Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
J'explicite ma phrase. En formation, on parle des représentations des élèves en géographie. En revanche, quand on interroge les collègues sur leurs pratiques, ça n'existe pas comme pratique. Quand on visite les cours ou qu'on lit les cahiers des élèves, la pratique est quasi-inexistante. Donc, dire que c'est répandu, c'est assez cavalier comme idée. Implicitement, sous-entendre que ça participerait à la baisse du niveau est aussi risible. Il faudrait que ça existe réellement dans les salles de classe pour que cela puisse avoir un impact (positif ou négatif).
- JPhMMDemi-dieu
Ils ne font pas de cartes ?
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InstantKarmaNiveau 6
La parole des victimes se libèrerait-elle enfin ?Dadoo33 a écrit:Elyas a écrit:Isis39 a écrit:Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
- Isis39Enchanteur
InstantKarma a écrit:La parole des victimes se libèrerait-elle enfin ?Dadoo33 a écrit:Elyas a écrit:Isis39 a écrit:Jamais entendu parler de situations-problèmes et d'objectifs-obstacles en HG.
Et pour les représentations, ce n'est pas hyper répandu.
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
J'avoue que je ne comprends pas.
- MalagaModérateur
Je viens de terminer le MOOC proposé par l'université de Lorraine via la plateforme FUN : Verdun 1917-1918, batailles oubliées ? . C'est la première fois que je prenais le temps de suivre un MOOC en entier et je dois dire que c'est assez satisfaisant. J'ai pris des notes des différentes interventions des professeurs, je vous les mets en pièce jointe (au cas où cela intéresserait quelqu'un) en espérant qu'il n'y a pas trop de coquilles.
- Fichiers joints
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- ElyasEsprit sacré
JPhMM a écrit:Ils ne font pas de cartes ?
Chez moi si mais apparemment, ça serait victimiser les professeurs que d'en faire faire aux élèves
- HonchampDoyen
Un article extrêmement intéressant sur la géographie de la France et l'enseignement qu'il nous est demandé de faire (Aires urbaines, attractivité des villes-centre, etc).
Article long !
http://www.laviedesidees.fr/La-revanche-des-villages.html
Article long !
http://www.laviedesidees.fr/La-revanche-des-villages.html
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"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- HonchampDoyen
Isis39 a écrit:InstantKarma a écrit:La parole des victimes se libèrerait-elle enfin ?Dadoo33 a écrit:Elyas a écrit:
Je ne l'ai vu qu'une fois hors de mon cours, c'était chez mon stagiaire qui a repris mon idée. En formation, personne ne dit le faire. C'est une pratique très peu connue et encore moins pratiquée.
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
J'avoue que je ne comprends pas.
Instant Karma fait de l'humour, mais peut-être pour comprendre faut-il quelques pré-requis.
1. IK considère que l'ESPE et ses lubies (Les 3 choses qu'il a citées au début) transforment les stagiaires en victimes. Opinion largement partagée.
2. Actuellement, "libération de la parole des victimes" suite à l'affaire Weinstein : les victimes d'atteintes sexuelles.
IK croise le vocable "libération de la parole des victimes" de l'affaire Weinstein avec l'idée que les stagiaires ESPE se libèrent quand ils remettent en cause, comme lui, la tyrannie pédagogique qu'ils subissent.
ATTENTION, ni Instant Karma, ni moi, ne disons qu'il y a des atteintes sexuelles à l'ESPE !
C'est bon, Isis, tu as compris ?
Tu ne te ferais pas un peu plus naïve que tu ne l'es dans la réalité, parfois ?
Dans un but que je ne m'explique pas, d'ailleurs ...
Donc là, c'est moi mes lacunes cognitives... :fievre:
_________________
"Tu verras bien qu'il n'y aura pas que moi, assise par terre comme ça.."
- Isis39Enchanteur
Merci pour l'explication mais pas pour le ton employé.
- JPhMMDemi-dieu
Faut distribuer desElyas a écrit:JPhMM a écrit:Ils ne font pas de cartes ?
Chez moi si mais apparemment, ça serait victimiser les professeurs que d'en faire faire aux élèves
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- InstantKarmaNiveau 6
Bravo pour l’explication de texte, je n’ai pas cette patience.Honchamp a écrit:Isis39 a écrit:InstantKarma a écrit:La parole des victimes se libèrerait-elle enfin ?Dadoo33 a écrit:
Comme quoi. Chez nous, « les représentations » c’est très à la mode aussi bien à l’espe qu’en formation.
J'avoue que je ne comprends pas.
Instant Karma fait de l'humour, mais peut-être pour comprendre faut-il quelques pré-requis.
1. IK considère que l'ESPE et ses lubies (Les 3 choses qu'il a citées au début) transforment les stagiaires en victimes. Opinion largement partagée.
2. Actuellement, "libération de la parole des victimes" suite à l'affaire Weinstein : les victimes d'atteintes sexuelles.
IK croise le vocable "libération de la parole des victimes" de l'affaire Weinstein avec l'idée que les stagiaires ESPE se libèrent quand ils remettent en cause, comme lui, la tyrannie pédagogique qu'ils subissent.
ATTENTION, ni Instant Karma, ni moi, ne disons qu'il y a des atteintes sexuelles à l'ESPE !
C'est bon, Isis, tu as compris ?
Tu ne te ferais pas un peu plus naïve que tu ne l'es dans la réalité, parfois ?
Dans un but que je ne m'explique pas, d'ailleurs ...
Donc là, c'est moi mes lacunes cognitives... :fievre:
Et puis il n’est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre.
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Le participe passer c’est tellement compliquer.
Supprimons le subjonctif pour que le français est plus simple à apprendre.
- ZagaraGuide spirituel
Connaîtriez-vous un moyen simple de faire des cartes sur fond de carte arbitraire (je ne veux pas les frontières actuelles) ?
Par exemple, un logiciel auquel on donnerait le nom et coordonnées des villes, et ça les placerait directement sur la carte.
Par exemple, un logiciel auquel on donnerait le nom et coordonnées des villes, et ça les placerait directement sur la carte.
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