Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- cliohistHabitué du forum
Quel impact du nouveau découpage régional sur l'éducation nationale ?
Pour Alain Boissinot, ancien recteur, il va falloir adapter le découpage académique aux 13 nouvelles régions.
Il faudra aussi tenir compte des nouvelles compétences régionales pour leur transférer le scolaire du primaire au lycée. C'est le passage à une véritable décentralisation de l'éducation, le ministère ne devant plus être qu'un régulateur. Un choix politique qu'appelle de ses voeux Alain Boissinot, y compris pour le recrutement des enseignants.
Cette position est partagée par de nombreux cadres du système éducatif mais elle devrait faire débat au sein de l'éducation nationale...
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/08122014Article635536232970746988.aspx
.
- User5899Demi-dieu
Qu'est-ce qu'ils aiment donner leur avis, tous ces grands pontes qui ont choisi de partir...
- CathEnchanteur
Ah, ça, c'est couru d'avance...
- Oliv396Niveau 8
Si on économisait quelques recteurs, en en mettant un seul par grande région, on économiserait leur salaire (vu qu'il a été augmenté).
- keroGrand sage
Oliv396 a écrit:Si on économisait quelques recteurs, en en mettant un seul par grande région, on économiserait leur salaire (vu qu'il a été augmenté).
Tout en multipliant leurs pouvoirs. Là est l'enjeu.
Je l'avais pas vue venir celle-là. Ça sent le programme déjà tout prêt, pas juste quelques propositions et réflexions balancées comme ça.
Évidemment, la réforme territoriale est l'occasion de rebattre beaucoup d'autres cartes. Ce que me disait un ami, attaché sénatorial. Les débats sur le découpage n'étaient que l'entrée. Le débat sur les compétences aux différents échelons, ça va être le plat de résistance. Il y aura beaucoup d'indigestions.
- dandelionVénérable
Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
- keroGrand sage
dandelion a écrit:Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
L'enjeu n'est pas binaire. Ce n'est pas tout ou rien. L'enjeu est dans le degré de délégation des compétences aux différents échelons. Manifestement, ce qui est dans les rails, c'est de déléguer bien plus que ça n'a été le cas jusqu'à présent. Et l'éducation nationale n'est pas seule concernée, au passage, il se produit des choses très similaires à l'Intérieur. À la limite, si ces remarques venaient d'un acteur isolé, on pourrait passer outre et oublier, mais ce qui est présenté ici est suffisamment articulé pour qu'on puisse considérer que c'est ce que certains préparent.
Ces affirmations, par exemple, sont limpides:
Alain Boissinot a écrit:Certains distinguent entre la formation professionnelle stricto sensu (compétence régionale) et la formation générale qui resterait prérogative d’Etat. Mais cette distinction est difficile à tenir : quid du technologique ? Des BTS ? Tout fait système et vases communiquants en matière de définition de l’offre de formation, et il serait dangereux d’isoler le professionnel alors qu’il faut au contraire développer la fluidité des parcours et les passerelles. La césure est même impossible dans des régions comme l’Ile-de-France où la majorité des lycées sont intégralement polyvalents, et même, dans l’académie de Versailles, reçoivent des dotations horaires uniques. C’est donc sans doute l’ensemble de l’offre de formation des lycées qui doit devenir compétence régionale, en coresponsabilité avec le recteur.
Alain Boissinot a écrit:Le deuxième sujet délicat est celui des collèges. Il est question de les confier aux régions (qui sont au mieux consentantes). Mais il faut prendre garde à ce que cela ne soit pas perçu comme la (re)constitution d’un bloc secondaire, fortement distinct du primaire, qui serait aux antipodes des logiques qui se dessinent autour du socle commun et des réseaux écoles-collèges. La meilleure manière d’éviter ce risque est que les régions aient une compétence stratégique sur l’ensemble du scolaire, mais avec des logiques de subdélégation vers les échelons territoriaux plus fins, de façon à préserver des cohérences et des proximités au demeurant indispensables.
Ou, encore plus fort:
Alain Boissinot a écrit:Il faudra aller jusqu’au bout des évolutions rappelées ci-dessus et clairement positionner le ministre et la centrale comme régulateurs, et non prescripteurs, d’une politique éducative co-produite par les académies. Il faudra envisager aussi de nouvelles déconcentrations, notamment en matière de recrutement et de gestion des personnels.
Donc, non. S'agit vaiment pas de juste réduire le nombre de recteurs. Ça, c'est juste la partie visible. L'enjeu réel est de complètement revoir la ventilation des attributions État/régions.
- Ingeborg B.Esprit éclairé
En régionalisant le recrutement par exemple. Par ailleurs, Boissinot et d'autres réclament de plus grands pouvoirs pour les cde dans la gestion des enseignants. En regroupant les académies, ils pourraient "optimiser la gestion des ressources humaines". Traduction et exemple : élargissement des zones de remplacement.....dandelion a écrit:Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
- dandelionVénérable
Je voulais dire que redécouper les académies n'implique pas obligatoirement de régionaliser le recrutement.Ingeborg B. a écrit:En régionalisant le recrutement par exemple. Par ailleurs, Boissinot et d'autres réclament de plus grands pouvoirs pour les cde dans la gestion des enseignants. En regroupant les académies, ils pourraient "optimiser la gestion des ressources humaines". Traduction et exemple : élargissement des zones de remplacement.....dandelion a écrit:Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
Cela poserait par contre d'intenses problèmes en termes de mutations (et de remplacements): on arriverait au delà d'un périmètre permettant de faire les allers-retours dans la journée. D'ailleurs, très souvent, les transports sont organisés autour de la métropole régionale, je ne sais pas s'ils ont pensé (mais je me doute, c'est comme confier le recrutement aux CDE, quand on sait le boulot que ça représente, je ne suis pas sûre que les CDE voient ça d'un très bon oeil).
- keroGrand sage
dandelion a écrit:Je voulais dire que redécouper les académies n'implique pas obligatoirement de régionaliser le recrutement.Ingeborg B. a écrit:En régionalisant le recrutement par exemple. Par ailleurs, Boissinot et d'autres réclament de plus grands pouvoirs pour les cde dans la gestion des enseignants. En regroupant les académies, ils pourraient "optimiser la gestion des ressources humaines". Traduction et exemple : élargissement des zones de remplacement.....dandelion a écrit:Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
Cela poserait par contre d'intenses problèmes en termes de mutations (et de remplacements): on arriverait au delà d'un périmètre permettant de faire les allers-retours dans la journée. D'ailleurs, très souvent, les transports sont organisés autour de la métropole régionale, je ne sais pas s'ils ont pensé (mais je me doute, c'est comme confier le recrutement aux CDE, quand on sait le boulot que ça représente, je ne suis pas sûre que les CDE voient ça d'un très bon oeil).
T'as pas lu l'ensemble du papier, je pense. Il n'est pas question que de redécouper les académies. Cf. les quelques passages que j'ai cité supra.
- dandelionVénérable
M. Boissinot estime que redécouper les académies devrait aller de pair avec une libéralisation de l'enseignement. Je dis que je ne vois pas la relation de cause à effet.
En plus je n'avais pas besoin de lire, j'avais prévu le coup des vice-recteurs
En plus je n'avais pas besoin de lire, j'avais prévu le coup des vice-recteurs
- keroGrand sage
dandelion a écrit:M. Boissinot estime que redécouper les académies devrait aller de pair avec une libéralisation de l'enseignement. Je dis que je ne vois pas la relation de cause à effet.
La relation n'est pas mécanique, mais le fait est qu'il est, dans tous les cas, déjà prévu de débattre d'un approfondissement des compétences régionales, autrement dit d'approfondir la décentralisation. À partir de là...
- CondorcetOracle
La réforme à la française ou l'art de dépenser beaucoup pour des résultats aléatoires...
- InvitéInvité
Il me semble que ce que dit A Boissinot n'est pas très inquiétant sur la réorganisation des compétences actuelles décentralisées. Il serait assez logique que la région prenne les compétences éducation des départements et des communes. Nous connaissons tous les inégalités territoriales actuelles sur ce sujet. Plus inquiétant est l'effacement de l'Etat central, il me semble que nous somme au maximum de la déconcentration et de la décentralisation. Au-delà on passe dans autre chose...
- OlympiasProphète
Je pense qu'il faut se préparer à ruer fermement au cas où la poursuite de la déconcentration emporterait ce qui reste de national dans l'éducation. Quand on passe un concours national, ce n'est pas pour devenir employé d'une collectivité territoriale qui nous dira ensuite comment enseigner et ce que nous devons enseigner.kero a écrit:dandelion a écrit:Oui, bon il y aura juste un peu plus de vice-recteurs...
Je m'attendais aussi à ce redécoupage des académies. Par contre, je ne vois pas en quoi cela supposerait que l'Etat renonce à ses fonctions régaliennes.
L'enjeu n'est pas binaire. Ce n'est pas tout ou rien. L'enjeu est dans le degré de délégation des compétences aux différents échelons. Manifestement, ce qui est dans les rails, c'est de déléguer bien plus que ça n'a été le cas jusqu'à présent. Et l'éducation nationale n'est pas seule concernée, au passage, il se produit des choses très similaires à l'Intérieur. À la limite, si ces remarques venaient d'un acteur isolé, on pourrait passer outre et oublier, mais ce qui est présenté ici est suffisamment articulé pour qu'on puisse considérer que c'est ce que certains préparent.
Ces affirmations, par exemple, sont limpides:Alain Boissinot a écrit:Certains distinguent entre la formation professionnelle stricto sensu (compétence régionale) et la formation générale qui resterait prérogative d’Etat. Mais cette distinction est difficile à tenir : quid du technologique ? Des BTS ? Tout fait système et vases communiquants en matière de définition de l’offre de formation, et il serait dangereux d’isoler le professionnel alors qu’il faut au contraire développer la fluidité des parcours et les passerelles. La césure est même impossible dans des régions comme l’Ile-de-France où la majorité des lycées sont intégralement polyvalents, et même, dans l’académie de Versailles, reçoivent des dotations horaires uniques. C’est donc sans doute l’ensemble de l’offre de formation des lycées qui doit devenir compétence régionale, en coresponsabilité avec le recteur.Alain Boissinot a écrit:Le deuxième sujet délicat est celui des collèges. Il est question de les confier aux régions (qui sont au mieux consentantes). Mais il faut prendre garde à ce que cela ne soit pas perçu comme la (re)constitution d’un bloc secondaire, fortement distinct du primaire, qui serait aux antipodes des logiques qui se dessinent autour du socle commun et des réseaux écoles-collèges. La meilleure manière d’éviter ce risque est que les régions aient une compétence stratégique sur l’ensemble du scolaire, mais avec des logiques de subdélégation vers les échelons territoriaux plus fins, de façon à préserver des cohérences et des proximités au demeurant indispensables.
Ou, encore plus fort:Alain Boissinot a écrit:Il faudra aller jusqu’au bout des évolutions rappelées ci-dessus et clairement positionner le ministre et la centrale comme régulateurs, et non prescripteurs, d’une politique éducative co-produite par les académies. Il faudra envisager aussi de nouvelles déconcentrations, notamment en matière de recrutement et de gestion des personnels.
Donc, non. S'agit vaiment pas de juste réduire le nombre de recteurs. Ça, c'est juste la partie visible. L'enjeu réel est de complètement revoir la ventilation des attributions État/régions.
- CondorcetOracle
Rappelons que la réussite à un concours de la fonction publique territoriale vous inscrit sur une liste d'aptitude pendant trois ans et dans laquelle puisent les collectivités territoriales selon leurs besoins. On peut donc être lauréat d'un concours de la FPT sans recevoir d'affection à un poste.
- ycombeMonarque
Exact. Avant de réussir le concours de SASU (actuellement SAENES), ma compagne a été reçue au concours d'adjoint territorial. Tous les postes publiés sur le secteur (il y en avait peu) étaient, en fait, réservés à des candidats locaux.Condorcet a écrit:Rappelons que la réussite à un concours de la fonction publique territoriale vous inscrit sur une liste d'aptitude pendant trois ans et dans laquelle puisent les collectivités territoriales selon leurs besoins. On peut donc être lauréat d'un concours de la FPT sans recevoir d'affection à un poste.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- ycombeMonarque
A. Boissinot fait le lien entre le socle et les nouveaux cycles, qui obligent au regroupement écoles-collèges, et la nouvelle structure administrative. On sent que tout ça est très étudié a été planifié depuis longtemps par nos amis du PS.
On va avoir un passage à marche forcée avant 2017. Élection perdues pour perdues, autant finir de casser avant de partir pour le plus grand plaisir des marchés.
On va avoir un passage à marche forcée avant 2017. Élection perdues pour perdues, autant finir de casser avant de partir pour le plus grand plaisir des marchés.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- keroGrand sage
ycombe a écrit:A. Boissinot fait le lien entre le socle et les nouveaux cycles, qui obligent au regroupement écoles-collèges, et la nouvelle structure administrative. On sent que tout ça est très étudié a été planifié depuis longtemps par nos amis du PS.
À l'évidence.
Même cette petite sortie "l'air de rien" de Boissinot a un petit quelque chose de piloté. Histoire de préparer le terrain...
- ycombeMonarque
Et on entendra encore les défenseurs du socle nous expliquer que c'est dans l'intérêt des enfants. Il n'est pire aveugle-et-sourd que celui qui ne veut rien savoir.kero a écrit:ycombe a écrit:A. Boissinot fait le lien entre le socle et les nouveaux cycles, qui obligent au regroupement écoles-collèges, et la nouvelle structure administrative. On sent que tout ça est très étudié a été planifié depuis longtemps par nos amis du PS.
À l'évidence.
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- BalthamosDoyen
Et pour les mutations?
J'ai hâte d'une académie francilienne, la fusion de Versailles, Créteil et Paris (cherchez l'intrus).
J'ai hâte d'une académie francilienne, la fusion de Versailles, Créteil et Paris (cherchez l'intrus).
_________________
- Spoiler:
- keroGrand sage
balthamos a écrit:Et pour les mutations?
J'ai hâte d'une académie francilienne, la fusion de Versailles, Créteil et Paris (cherchez l'intrus).
Oh, mais t'inquiète pas, tout est prévu:
Boissinot a écrit:La carte des académies doit donc être alignée sur celle des nouvelles régions, quitte à prévoir provisoirement un traitement spécifique de l’Ile-de-France : historiquement cela a toujours été le cas, et l’on manque de visibilité sur l’organisation de la Région et du Grand Paris.
En l'espèce, il est prévu de ne rien faire.
Bah non, on ne vas pas mélanger comme ça le XVIe arrondissement et Aubervilliers dans une gestion commune, faut pas déconner quand même. On ne mélange pas les torchons et les serviettes.
On remarquera l'argument en carton: on n'a pas de visibilité sur le Grand Paris, alors que ce serait là justement un bon argument pour supprimer les académies franciliennes.
- JohnMédiateur
Je pense qu'on peut résumer ainsi cette interview d'Alain Boissinot : "Le pied est dans la porte, profitons-en vite !"
Quoi qu'on pense de ces propositions, prises en bloc ou séparément, c'est l'impression que l'interview me donne : "On est en période de changements, qui sont en plus opérés par la gauche, donc c'est le moment d'en profiter pour faire plein d'autres bouleversements, et dépêchons-nous !"
Quoi qu'on pense de ces propositions, prises en bloc ou séparément, c'est l'impression que l'interview me donne : "On est en période de changements, qui sont en plus opérés par la gauche, donc c'est le moment d'en profiter pour faire plein d'autres bouleversements, et dépêchons-nous !"
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Reine MargotDemi-dieu
je ne sais pas si M Boissinot est au courant, mais il y a déjà des académies qui ne correspondent pas aux régions (Nice, Versailles, Créteil, etc)...
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- BalthamosDoyen
Après avoir lu l'article, le monsieur propose ni plus ni moins un nouvel échelon hiérarchique, sans le justifier véritablement.
_________________
- Spoiler:
Page 1 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- Alain Boissinot : Quels scénarios pour décentraliser l'éducation ?
- Alain Boissinot : "Si l'on croit à la validation par le master, il n'y a plus besoin de concours"; il faut "faire confiance à deux autres niveaux d'évolution : l'international et le local avec la déconcentration".
- article d'Alain Boissinot qui plaide pour un continuum lycée-supérieur
- Rue des écoles, mercredi 21 mai 15h - Le Nouveau socle avec Alain Boissinot et Jean-Michel Zakhartchouk
- Alain Boissinot, Conseils supérieur des Programmes : "Ca fait un vaste chantier... [...] On a déjà fort à faire...".
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum