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- IphigénieProphète
Perso ? quand j'étudie Flaubert , j'étudie Flaubert, j'analyse des textes, je fais cours, des exercices, des devoirs, des lectures etcJe ne vois pas en quoi parler de séances et de séquences serait prôner une mise en avant de la forme par rapport au fond... Rolling Eyes Quel vocabulaire utilisez-vous pour éviter cet écueil ? Cela m'intéresse.
Je chipote..
Mais parce que tout ce vocabulaire correspond au formatage organisé depuis les années 2000, on s'en passait très bien avant, et je gage qu'un jour, on s'en passera à nouveau.
En fait ce qui est rassurant dans l'EN, c'est qu'on est finalement tous en retard d'une réforme( selon les derniers arrivés), ou en avance de la prochaine (selon les vieux singes): nous avons une gouvernance spiralaire. C'est peut-être en s'en apercevant qu'on se libère, une bonne fois pour toute de la "peur de mal faire".
- hachlaiyNiveau 1
Ce sujet aura fait couler beaucoup d'encres
Pour répondre à tous : je pense que Serge et Adolphine ont très bien pesé le pour et le contre et vu le pourquoi de ma démarche et ont fait fi de tous les stéréotypes et préjugés. (même si je comprends parfaitement l'argument de la firme )
Quand bien même certains penseraient que je suis formatée et que cela reflète "la peur de mal faire", bien au contraire, je suis plus ancienne dans le métier que ce que vous pouvez penser, presque canonique ! Mes cours ne sont on ne peut plus classiques mais parfois il y a du bon d'aller "voir ailleurs" et la thématique "littérature et numérique" me plaît. D'ailleurs, si j'ai choisi ce projet, ce n'est que parce que le programme était fini et que je suis tombée sur ce projet en pdf. Et je ne le regrette en rien et le recommencerai avec plaisir l'année prochaine. Chacun sa méthode de prédilection ... Rien ne vous oblige d'être formaté (e), libre à vous d'enseigner avec votre méthode. Et tout dépend du public que vous avez en face : personnellement, j'enseigne dans une école française en Afrique mais les élèves sont tous arabophones et le français n'est que leur deuxième langue donc ce type de projet porte immédiatement ces fruits. Lorsque j'enseignais Madame Bovary ou les Misérables en France, jamais cette idée ne m'est venue à l'esprit Mon seul objectif est que les élèves maîtrisent l'oeuvre et les objets d'étude de la séquence, que ce soit chronophage ou ludique. Tous les moyens sont bons si le fil conducteur est maîtrisé.
Iphigénie : je suis intéressée par ta méthode. Avec quel support travailles-tu ? Un cahier, un classeur ? Ne distingues-tu pas tes lectures analytiques de l'étude de la langue ? Depuis que j'utilise le "formatage" séquence / séance, je trouve que mes élèves se repèrent mieux. Avec mon collègue, nous utilisons tous les deux ce type de vocabulaire (il est encore plus vieux que moi ), cela nous paraît plus efficace.
Pour répondre à tous : je pense que Serge et Adolphine ont très bien pesé le pour et le contre et vu le pourquoi de ma démarche et ont fait fi de tous les stéréotypes et préjugés. (même si je comprends parfaitement l'argument de la firme )
Quand bien même certains penseraient que je suis formatée et que cela reflète "la peur de mal faire", bien au contraire, je suis plus ancienne dans le métier que ce que vous pouvez penser, presque canonique ! Mes cours ne sont on ne peut plus classiques mais parfois il y a du bon d'aller "voir ailleurs" et la thématique "littérature et numérique" me plaît. D'ailleurs, si j'ai choisi ce projet, ce n'est que parce que le programme était fini et que je suis tombée sur ce projet en pdf. Et je ne le regrette en rien et le recommencerai avec plaisir l'année prochaine. Chacun sa méthode de prédilection ... Rien ne vous oblige d'être formaté (e), libre à vous d'enseigner avec votre méthode. Et tout dépend du public que vous avez en face : personnellement, j'enseigne dans une école française en Afrique mais les élèves sont tous arabophones et le français n'est que leur deuxième langue donc ce type de projet porte immédiatement ces fruits. Lorsque j'enseignais Madame Bovary ou les Misérables en France, jamais cette idée ne m'est venue à l'esprit Mon seul objectif est que les élèves maîtrisent l'oeuvre et les objets d'étude de la séquence, que ce soit chronophage ou ludique. Tous les moyens sont bons si le fil conducteur est maîtrisé.
Iphigénie : je suis intéressée par ta méthode. Avec quel support travailles-tu ? Un cahier, un classeur ? Ne distingues-tu pas tes lectures analytiques de l'étude de la langue ? Depuis que j'utilise le "formatage" séquence / séance, je trouve que mes élèves se repèrent mieux. Avec mon collègue, nous utilisons tous les deux ce type de vocabulaire (il est encore plus vieux que moi ), cela nous paraît plus efficace.
- IphigénieProphète
Bon ben, écoute, si ça te plaît, hein, moi ça ne me dérange pas plus que ça. Maintenant, si ça fait école, eh ben..... Bon au point où on en est, ce n'est pas moi qui vais sauver l'EN, de toute! :helips2:hachlaiy a écrit:Ce sujet aura fait couler beaucoup d'encres
Pour répondre à tous : je pense que Serge et Adolphine ont très bien pesé le pour et le contre et vu le pourquoi de ma démarche et ont fait fi de tous les stéréotypes et préjugés. (même si je comprends parfaitement l'argument de la firme )
Quand bien même certains penseraient que je suis formatée et que cela reflète "la peur de mal faire", bien au contraire, je suis plus ancienne dans le métier que ce que vous pouvez penser, presque canonique ! Mes cours ne sont on ne peut plus classiques mais parfois il y a du bon d'aller "voir ailleurs" et la thématique "littérature et numérique" me plaît. D'ailleurs, si j'ai choisi ce projet, ce n'est que parce que le programme était fini et que je suis tombée sur ce projet en pdf. Et je ne le regrette en rien et le recommencerai avec plaisir l'année prochaine. Chacun sa méthode de prédilection ... Rien ne vous oblige d'être formaté (e), libre à vous d'enseigner avec votre méthode. Et tout dépend du public que vous avez en face : personnellement, j'enseigne dans une école française en Afrique mais les élèves sont tous arabophones et le français n'est que leur deuxième langue donc ce type de projet porte immédiatement ces fruits. Lorsque j'enseignais Madame Bovary ou les Misérables en France, jamais cette idée ne m'est venue à l'esprit Mon seul objectif est que les élèves maîtrisent l'oeuvre et les objets d'étude de la séquence, que ce soit chronophage ou ludique. Tous les moyens sont bons si le fil conducteur est maîtrisé.
Iphigénie : je suis intéressée par ta méthode. Avec quel support travailles-tu ? Un cahier, un classeur ? Ne distingues-tu pas tes lectures analytiques de l'étude de la langue ? Depuis que j'utilise le "formatage" séquence / séance, je trouve que mes élèves se repèrent mieux. Avec mon collègue, nous utilisons tous les deux ce type de vocabulaire (il est encore plus vieux que moi ), cela nous paraît plus efficace.
Pour ta question, elle ne se pose pas pour moi parce que ça fait tres longtemps que j'ai quitté le collège.... mais la séparation lecture/ langue est pour moi évidente, ce sont justement les " séquences" qui ont introduit l'idee de les confondre en leur donnant une progression commune.
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