- lectioleHabitué du forum
Jusqu'au 14 octobre.
- lectioleHabitué du forum
PS : J'espère que ses chaussettes roses ne vous laissent pas sans voix. C'était né d'une blague à propos de la couleur des chaussettes de Voldemort.
Il me semble que dans Harry Potter, on ne voit jamais ses pieds. :blague:
Malgré une importance des chaussettes dans le tome 2 !
Il me semble que dans Harry Potter, on ne voit jamais ses pieds. :blague:
Malgré une importance des chaussettes dans le tome 2 !
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Vivre dans l'instant me semble une mort constante.
- AemiliaExpert
lectiole a écrit:PS : J'espère que ses chaussettes roses ne vous laissent pas sans voix. C'était né d'une blague à propos de la couleur des chaussettes de Voldemort.
Il me semble que dans Harry Potter, on ne voit jamais ses pieds. :blague:
Malgré une importance des chaussettes dans le tome 2 !
On voit au moins un de ses pieds dans le film n°4, quand il "marche" sur le visage de feu Cedric Diggory.
(Et je crois qu'effectivement, il ferait mieux de mettre des chaussettes.)
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Professeur de lettres classiques déclassée
Mon blog "culture et humeurs, humour et coups de coeur" : https://fortyfiveweeks.wordpress.com/
- lectioleHabitué du forum
Tu es la première à me donner cette référence. On cherchait justement, dans un groupe FB.
Ma fille, du coup, vient de sursauter : "Oui, c'est vrai, on le voit un bon moment à la fin du film 4 !"
Il faudra que je le revoie.
Ma fille, du coup, vient de sursauter : "Oui, c'est vrai, on le voit un bon moment à la fin du film 4 !"
Il faudra que je le revoie.
- Lord StevenExpert
J'avoue avoir la flemme de relire tout le fil et peut être y a-t-il déjà la réponse à ma question, mais aviez vous une raison précisé pour privilégier l'édition numérique à l édition classique Lectiole ?
_________________
If you play with a cat, you should mind his scratch
- lectioleHabitué du forum
Les circonstances.
J'ai écrit mon roman les deux mois précédant la naissance de ma fille, puis les mois qui ont suivi.
Or elle a une maladie orpheline, le syndrome de West (1 naissance sur 34000, sans qu'on puisse prévoir à l'avance l'évolution, avec des crises d'épilepsie).
Persuadée que mon roman valait quelque chose, je voulais qu'il soit publié. Son écriture m'a coûté, mais me projeter dans le Chicago du début des années 20 était un peu mon refuge. Après, l'histoire est très sombre, mais nullement autobiographique. C'est plus mon humeur que j'y ai projetée. Il y a un peu de moi dans le personnage de William (son attachement à ses deux fils, sa nervosité, son côté enfantin...), c'est tout.
À ce moment-là, je ne savais pas de quoi serait fait l'avenir. Je ne savais même pas si j'allais rester enseignante (d'abord parce que la titularisation suite à mon agrégation était sur la sellette, ensuite parce que l'état de santé de ma fille allait peut-être nécessiter que je reste à la maison, et arrêter l'écriture dans ces circonstances aurait été idiot, puisque je ne savais pas quelle serait ma source de revenu si je restais chez moi).
Je n'ai donc fait que deux envois de mon manuscrit par la Poste, les éditions Héloise d'Ormesson, dont la réponse était un refus, mais très encourageant, et la Grande Ourse, qui ne m'a pas répondu.
J'ai posté mon refus des éditions Héloise d'Ormesson sur Facebook. Les éditions Dreamcatcher m'ont alors contactée. C'était une maison d'édition numérique, mais j'ai trouvé l'éditrice sympathique. Sa ligne éditoriale fondée sur la littérature de l'imaginaire me plaisait : mon roman devait inaugurer sa collection Plume Noire "thriller, roman noir" à côté des collections Plume Bleue (Fantastique), Plume Rouge (Aventure)... C'est maintenant plutôt une maison d'édition fondée sur la romance francophone.
J'ai eu d'autres propositions, des maisons contactées par mail, Joseph Salomon (qui n'a finalement pas vu le jour), ROD... deux autres intéressées, mais il me manquait la réponse définitive de l'éditeur après le "oui" du comité de lecture.
J'ai donc signé avec Dreamcatcher, pensant que l'édition numérique me convenait mieux, car je ne me voyais pas quitter ma fille le week-end pour me rendre à des salons, sauf si son état de santé s'améliorait.
ll s'est amélioré dans l'intervalle, donc dès février, j'ai contacté quelques librairies et bibliothèques. Ayant déjà écrit des albums jeunesse, j'aime bien les dédicaces.
Le tirage papier m'a permis d'en assurer quelques-unes, et j'en ai une prévue le 14 octobre dans l'Oise.
Pour la suite, je ne sais pas. En fait, je n'ai rien contre la publication papier, mais j'avais peur de devoir m'investir davantage. S'y est aussi ajoutée ma peur que mon roman soit trop décalé pour trouver son public. En outre, pendant l'hospitalisation de ma fille, j'ai appris que deux de mes albums jeunesse, diffusés en librairie pendant 2 ans (1300 et 1100 exemplaires vendus) allaient être soldés et ne plus exister. C'est quelque chose que je craignais pour mon roman : qu'il soit distribué, diffusé, vendu à 500 ou 1000 exemplaires papier à la rentrée littéraire, puis qu'on n'en parle plus et qu'il finisse au pilon.
Mais ça n'a pas été une décision facile à prendre.
Pour les prochains, ça ne sera pas plus évident.
J'ai écrit mon roman les deux mois précédant la naissance de ma fille, puis les mois qui ont suivi.
Or elle a une maladie orpheline, le syndrome de West (1 naissance sur 34000, sans qu'on puisse prévoir à l'avance l'évolution, avec des crises d'épilepsie).
Persuadée que mon roman valait quelque chose, je voulais qu'il soit publié. Son écriture m'a coûté, mais me projeter dans le Chicago du début des années 20 était un peu mon refuge. Après, l'histoire est très sombre, mais nullement autobiographique. C'est plus mon humeur que j'y ai projetée. Il y a un peu de moi dans le personnage de William (son attachement à ses deux fils, sa nervosité, son côté enfantin...), c'est tout.
À ce moment-là, je ne savais pas de quoi serait fait l'avenir. Je ne savais même pas si j'allais rester enseignante (d'abord parce que la titularisation suite à mon agrégation était sur la sellette, ensuite parce que l'état de santé de ma fille allait peut-être nécessiter que je reste à la maison, et arrêter l'écriture dans ces circonstances aurait été idiot, puisque je ne savais pas quelle serait ma source de revenu si je restais chez moi).
Je n'ai donc fait que deux envois de mon manuscrit par la Poste, les éditions Héloise d'Ormesson, dont la réponse était un refus, mais très encourageant, et la Grande Ourse, qui ne m'a pas répondu.
J'ai posté mon refus des éditions Héloise d'Ormesson sur Facebook. Les éditions Dreamcatcher m'ont alors contactée. C'était une maison d'édition numérique, mais j'ai trouvé l'éditrice sympathique. Sa ligne éditoriale fondée sur la littérature de l'imaginaire me plaisait : mon roman devait inaugurer sa collection Plume Noire "thriller, roman noir" à côté des collections Plume Bleue (Fantastique), Plume Rouge (Aventure)... C'est maintenant plutôt une maison d'édition fondée sur la romance francophone.
J'ai eu d'autres propositions, des maisons contactées par mail, Joseph Salomon (qui n'a finalement pas vu le jour), ROD... deux autres intéressées, mais il me manquait la réponse définitive de l'éditeur après le "oui" du comité de lecture.
J'ai donc signé avec Dreamcatcher, pensant que l'édition numérique me convenait mieux, car je ne me voyais pas quitter ma fille le week-end pour me rendre à des salons, sauf si son état de santé s'améliorait.
ll s'est amélioré dans l'intervalle, donc dès février, j'ai contacté quelques librairies et bibliothèques. Ayant déjà écrit des albums jeunesse, j'aime bien les dédicaces.
Le tirage papier m'a permis d'en assurer quelques-unes, et j'en ai une prévue le 14 octobre dans l'Oise.
Pour la suite, je ne sais pas. En fait, je n'ai rien contre la publication papier, mais j'avais peur de devoir m'investir davantage. S'y est aussi ajoutée ma peur que mon roman soit trop décalé pour trouver son public. En outre, pendant l'hospitalisation de ma fille, j'ai appris que deux de mes albums jeunesse, diffusés en librairie pendant 2 ans (1300 et 1100 exemplaires vendus) allaient être soldés et ne plus exister. C'est quelque chose que je craignais pour mon roman : qu'il soit distribué, diffusé, vendu à 500 ou 1000 exemplaires papier à la rentrée littéraire, puis qu'on n'en parle plus et qu'il finisse au pilon.
Mais ça n'a pas été une décision facile à prendre.
Pour les prochains, ça ne sera pas plus évident.
- Lord StevenExpert
merci pour votre long message Lectiole maintenant je cerne bien votre situation.
Oui le pilon a quelque chose de violent mais cela fait partie de la règle du jeu.
Je me rappelle d'avoir lu un témoignage d'un auteur à succès qui disait: vendre 500 exemplaires vous pensez que c'est peu? eh bien essayez et vous en reparlerez - et c'est vrai que cela paraît peu, mais se dire que 500 inconnus se sont intéressés à votre ouvrage, dans toute la masse des ouvrages publiés, eh bien c'est déjà énorme. J'avais lu aussi un truc chez Gallimard disant en substance que leurs blockbusters leur permettaient d'éditer des ouvrages confidentiels dont ils savaient à l'avance qu'ils ne dépasseraient pas les 100 ventes mais parce que leur contenu les avait intéressés.
Après, les salons... il y a à prendre et à laisser. Ce qui est bien ce sont les salons thématiques, vous pouvez y faire de belles rencontres - et même dans un grand salon, si vous vous trouvez à coté d'un auteur sympathique (j'ai pu nouer des liens agréables, bien qu'artificiels avec des personnes très médiatisées) - mais parfois c'est aussi la mort et vous n'avez qu'une envie: rentrer chez vous!!! donc je comprends bien votre proposition
En tout cas tous mes vœux pour la carrière qui s'ouvre à vous!!!
Oui le pilon a quelque chose de violent mais cela fait partie de la règle du jeu.
Je me rappelle d'avoir lu un témoignage d'un auteur à succès qui disait: vendre 500 exemplaires vous pensez que c'est peu? eh bien essayez et vous en reparlerez - et c'est vrai que cela paraît peu, mais se dire que 500 inconnus se sont intéressés à votre ouvrage, dans toute la masse des ouvrages publiés, eh bien c'est déjà énorme. J'avais lu aussi un truc chez Gallimard disant en substance que leurs blockbusters leur permettaient d'éditer des ouvrages confidentiels dont ils savaient à l'avance qu'ils ne dépasseraient pas les 100 ventes mais parce que leur contenu les avait intéressés.
Après, les salons... il y a à prendre et à laisser. Ce qui est bien ce sont les salons thématiques, vous pouvez y faire de belles rencontres - et même dans un grand salon, si vous vous trouvez à coté d'un auteur sympathique (j'ai pu nouer des liens agréables, bien qu'artificiels avec des personnes très médiatisées) - mais parfois c'est aussi la mort et vous n'avez qu'une envie: rentrer chez vous!!! donc je comprends bien votre proposition
En tout cas tous mes vœux pour la carrière qui s'ouvre à vous!!!
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- lectioleHabitué du forum
Mon roman ne sera plus édité à partir du 31 décembre 2017 dans cette maison d'édition et avec cette couverture. J'en ai racheté un tout petit nombre d'exemplaires à prix auteur que je ne pourrai plus vendre, légalement, à partir du 31 décembre. Par conséquent, si vous en voulez un exemplaire papier dédicacé, vous pouvez me contacter par mp.
Ensuite, s'il est réédité, ce sera avec une autre couverture.
Ensuite, s'il est réédité, ce sera avec une autre couverture.
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- lectioleHabitué du forum
Avant d'aller dormir, j'ajoute qu'il semblerait que la version papier soit enfin disponible sur Amazon.
https://www.amazon.fr/Chicago-Requiem-Carine-Foulon/dp/B073LBRNXZ/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1511395045&sr=8-1
Dans un peu plus d'un mois, il n'existera plus, en tout cas dans sa version actuelle.
Pour le prix des auteurs inconnus, la première chronique est parue. Il s'en sort très bien, et j'espère qu'il ira jusqu'au bout. Je suis vraiment contente qu'il ait été sélectionné.
https://www.amazon.fr/Chicago-Requiem-Carine-Foulon/dp/B073LBRNXZ/ref=tmm_pap_swatch_0?_encoding=UTF8&qid=1511395045&sr=8-1
Dans un peu plus d'un mois, il n'existera plus, en tout cas dans sa version actuelle.
Pour le prix des auteurs inconnus, la première chronique est parue. Il s'en sort très bien, et j'espère qu'il ira jusqu'au bout. Je suis vraiment contente qu'il ait été sélectionné.
- CondorcetOracle
Tous mes encouragements pour ce prix et la suite !
- lectioleHabitué du forum
Merci Condorcet ! Je croise les doigts pour qu'il soit réédité, ou alors je l'auto-éditerai. Les dernières chroniques parues m'ont donné la confiance qui me manquait, et celle parue il y a deux jours dans le cadre du prix est justement vraiment encourageante :
https://uncomptantpourriendeplusblog.wordpress.com/2017/11/19/prix-des-auteurs-inconnus-chicago-requiem-carine-foulon/
Une autre chronique parue le même jour : https://elcantoudeslectures.blogspot.fr/2017/11/chicago-requiem-de-carine-foulon.html
Et les deux précédentes :
https://lesrebelles.net/fr/livre/2011/Chicago_Requiem.html
http://lecalepindunelectrice.fr/chicago-requiem-de-carine-foulon/
https://uncomptantpourriendeplusblog.wordpress.com/2017/11/19/prix-des-auteurs-inconnus-chicago-requiem-carine-foulon/
Une autre chronique parue le même jour : https://elcantoudeslectures.blogspot.fr/2017/11/chicago-requiem-de-carine-foulon.html
Et les deux précédentes :
https://lesrebelles.net/fr/livre/2011/Chicago_Requiem.html
http://lecalepindunelectrice.fr/chicago-requiem-de-carine-foulon/
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- Lord StevenExpert
De jolies critiques, bravo à vous
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- lectioleHabitué du forum
Merci LordSteven !
La dernière chronique de mon roman, que j'ai adorée et qui vaut son pesant de cacahuètes : https://leschroniquesdelalose.jimdo.com/2017/11/24/chronique-chicago-requiem-de-carine-foulon/
À mon avis, si vous l'avez lu (ou même si vous n'avez pas lu mon roman), cette chronique va vous plaire. Incisive, ciblant les défauts mais aussi les points forts de mon livre, le tout avec humour. :diable: Je me suis bien amusée. Et puis c'est pile ça, tout simplement.
La dernière chronique de mon roman, que j'ai adorée et qui vaut son pesant de cacahuètes : https://leschroniquesdelalose.jimdo.com/2017/11/24/chronique-chicago-requiem-de-carine-foulon/
À mon avis, si vous l'avez lu (ou même si vous n'avez pas lu mon roman), cette chronique va vous plaire. Incisive, ciblant les défauts mais aussi les points forts de mon livre, le tout avec humour. :diable: Je me suis bien amusée. Et puis c'est pile ça, tout simplement.
- lectioleHabitué du forum
Si des professeurs d'anglais passent par ici...
J'ai remarqué que mon roman a été lu par au moins un lecteur (une lectrice ?) américain(e) qui l'a évalué en août sur Amazon (version US) :
Citation :
J'ai donc mis le texte sur Google Traduction :
Citation :
Mais je ne sais pas si c'est une traduction correcte (Google Traduction oblige ! )
Et je suppose que l'auteur de ce commentaire est bilingue, vu que mon roman n'existe qu'en VF, mais je ne le/la connais pas, donc je ne peux pas lui demander de me le traduire :
https://www.amazon.com/Chicago-Requiem-Plume-Violette-French-ebook/dp/B071FZ3PCQ/ref=cm_cr_srp_d_product_top?ie=UTF8
J'ai remarqué que mon roman a été lu par au moins un lecteur (une lectrice ?) américain(e) qui l'a évalué en août sur Amazon (version US) :
Citation :
A searing novel about crime and coming-of-age. ...Chicago is seeing a spike in crime...May we have Requiem Mass celebrated???
J'ai donc mis le texte sur Google Traduction :
Citation :
Un roman brûlant sur le crime et le passage à l'âge adulte. ... Chicago voit une pointe de criminalité ... Pouvons-nous célébrer la messe de Requiem ???
Mais je ne sais pas si c'est une traduction correcte (Google Traduction oblige ! )
Et je suppose que l'auteur de ce commentaire est bilingue, vu que mon roman n'existe qu'en VF, mais je ne le/la connais pas, donc je ne peux pas lui demander de me le traduire :
https://www.amazon.com/Chicago-Requiem-Plume-Violette-French-ebook/dp/B071FZ3PCQ/ref=cm_cr_srp_d_product_top?ie=UTF8
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- Lord StevenExpert
"a spike in crime" serait plutôt une flambée de la criminalité, et la structure causative de la dernière phrase implique "faire célébrer la messe de Requiem"
cela dit je ne vois pas trop ce que votre lectrice a voulu dire par là
cela dit je ne vois pas trop ce que votre lectrice a voulu dire par là
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- OudemiaBon génie
L'enterrer ?LordSteven a écrit:"a spike in crime" serait plutôt une flambée de la criminalité, et la structure causative de la dernière phrase implique "faire célébrer la messe de Requiem"
cela dit je ne vois pas trop ce que votre lectrice a voulu dire par là
- Spoiler:
- :diable:
- Dr RaynalHabitué du forum
Je le traduirait plutôt ainsi :
"Un roman saisissant sur le crime et le passage à l'âge adulte. Chicago va connaître un pic de criminalité... Peut-on y faire célébrer une messe de Requiem??"
"Un roman saisissant sur le crime et le passage à l'âge adulte. Chicago va connaître un pic de criminalité... Peut-on y faire célébrer une messe de Requiem??"
- lectioleHabitué du forum
Bah, enterré, mon roman va l'être, mais elle/il aurait mis 1 étoile et pas 5, dans ce cas-là.
C'est amusant, cette histoire de passage à l'âge adulte. Je n'avais pas envisagé les choses sous cet angle.
"une flambée de la criminalité" sonne mieux qu'une pointe.
C'est amusant, cette histoire de passage à l'âge adulte. Je n'avais pas envisagé les choses sous cet angle.
"une flambée de la criminalité" sonne mieux qu'une pointe.
- Lord StevenExpert
lectiole a écrit:Bah, enterré, mon roman va l'être, mais elle/il aurait mis 1 étoile et pas 5, dans ce cas-là.
C'est amusant, cette histoire de passage à l'âge adulte. Je n'avais pas envisagé les choses sous cet angle.
"une flambée de la criminalité" sonne mieux qu'une pointe.
Je trouvais que ça sonnait bien avec le roman brûlant mais j'aime les métaphores filées
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- lectioleHabitué du forum
On dirait presque le message publicitaire qu'on imprime sur un bordereau vendu avec le roman, ou sur une bannière.
Sauf que c'est un commentaire anonyme.
Sauf que c'est un commentaire anonyme.
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- lectioleHabitué du forum
Mon second roman, dont les premiers chapitres ont été lus par trois Neoprofs (Celadon, Dr Raynal et Babarette), sera auto-édité.
En ce moment, il est en pause (fatigue de fin de trimestre, conseils de classe... et ma fille a été hospitalisée, donc en novembre, je n'ai rien écrit).
Je ne pense pas ouvrir de topic "mon second roman" (d'autant que pour le premier... j'ignore son devenir), mais j'aimerais bien ouvrir un topic sur l'auto-édition en général : comment s'auto-éditer, les étapes, les différents sites... C'est une aventure éditoriale un peu particulière.
Si d'autres Neoprofs se sont auto-édités ou veulent s'auto-éditer, ça pourrait être intéressant.
Il me semble avoir vu un topic de ce type un peu plus bas (au niveau du titre), mais quand je l'ai ouvert, ça parlait surtout de Wattpad.
En ce moment, il est en pause (fatigue de fin de trimestre, conseils de classe... et ma fille a été hospitalisée, donc en novembre, je n'ai rien écrit).
Je ne pense pas ouvrir de topic "mon second roman" (d'autant que pour le premier... j'ignore son devenir), mais j'aimerais bien ouvrir un topic sur l'auto-édition en général : comment s'auto-éditer, les étapes, les différents sites... C'est une aventure éditoriale un peu particulière.
Si d'autres Neoprofs se sont auto-édités ou veulent s'auto-éditer, ça pourrait être intéressant.
Il me semble avoir vu un topic de ce type un peu plus bas (au niveau du titre), mais quand je l'ai ouvert, ça parlait surtout de Wattpad.
- Lord StevenExpert
bonne chance pour vote deuxième opus. Il me semble vous avoir déjà posé la question, mais pourquoi ne pas tenter l'aventure de l'édition à compte d'éditeur?
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- lectioleHabitué du forum
Encore moins maintenant. Chicago Requiem était édité à compte d'éditeur.
Édit : il est encore édité à compte d'editeur.
Jusqu'au 31 décembre.
Édit : il est encore édité à compte d'editeur.
Jusqu'au 31 décembre.
- lectioleHabitué du forum
De plus, j'ai bien réfléchi. Musso, Lévy, Giebel, Bussi, Chattam... en dehors de toute considérations quant à la qualité, ou non, de leur œuvre, publie toujours le même genre de livre, répondant à une sorte de demande, ou à un besoin éditorial.
Ce n'est pas ce que je veux. Depuis 2013, j'ai écrit des poèmes, des albums jeunesse, des nouvelles, un roman. J'en écris un autre qui n'a rien à voir avec le premier. Du coup, je ne pourrai pas me plier aux exigences des éditeurs. Je ne peux pas produire des écrits calibrés, des romances ou des thrillers répondant aux codes ou aux effets de mode. Le mot "atypique" revient dans cesse dans les chroniques concernant mon roman.
Par conséquent, je continuerai à chercher des éditeurs pour mes albums jeunesse. Je laisse tomber pour mes récits pour adultes. Autant garder mes droits. Dans tous les cas, ça me fera une expérience de l'auto-edition, et si je parviens à fédérer un lectorat au fil du temps, ça sera très bien le jour où je serai retraitée un ou deux romans par an, de quoi gagner un peu d'argent en plus et faire quelques salons où retrouver d'autres auteurs.
Pour mes albums jeunesse, j'ai été publiée par les éditions La Palissade et les éditions du Dahu (mon dernier album vient de sortir), mais ce n'est pas la même chose. À chaque fois, le travail au niveau des illustrations, l'investissement des éditeurs font que je ne peux pas souhaiter l'auto-édition pour mes textes pour les enfants.
Ce n'est pas ce que je veux. Depuis 2013, j'ai écrit des poèmes, des albums jeunesse, des nouvelles, un roman. J'en écris un autre qui n'a rien à voir avec le premier. Du coup, je ne pourrai pas me plier aux exigences des éditeurs. Je ne peux pas produire des écrits calibrés, des romances ou des thrillers répondant aux codes ou aux effets de mode. Le mot "atypique" revient dans cesse dans les chroniques concernant mon roman.
Par conséquent, je continuerai à chercher des éditeurs pour mes albums jeunesse. Je laisse tomber pour mes récits pour adultes. Autant garder mes droits. Dans tous les cas, ça me fera une expérience de l'auto-edition, et si je parviens à fédérer un lectorat au fil du temps, ça sera très bien le jour où je serai retraitée un ou deux romans par an, de quoi gagner un peu d'argent en plus et faire quelques salons où retrouver d'autres auteurs.
Pour mes albums jeunesse, j'ai été publiée par les éditions La Palissade et les éditions du Dahu (mon dernier album vient de sortir), mais ce n'est pas la même chose. À chaque fois, le travail au niveau des illustrations, l'investissement des éditeurs font que je ne peux pas souhaiter l'auto-édition pour mes textes pour les enfants.
- lectioleHabitué du forum
Enfin, mon second roman est une romance steampunk.
Je ne peux donc pas le proposer à Gallimard, Actes Sud, Flammarion, etc., car ce sont des maisons d'édition qui ne publient pas de littérature de l'imaginaire.
Je m'abstiendrai de l'envoyer à des maisons d'édition spécialisées dans la romance, comme Milady, Hugo Romance, Harlequin, etc. parce que je n'ai jamais voulu être publiée par ces maisons d'édition (ça a été mon principal souci à la sortie de Chicago Requiem, quand je l'ai vu chroniqué dans cette catégorie... en effet, la romance n'est pas tout à fait absente de mon roman, mais ça n'a rien à voir, c'est une saga familiale, un thriller historique atypique, mais les maisons d'édition spécialisées dans la romance ne l'auraient jamais accepté). Bon, après, c'est vendeur : https://www.lexpress.fr/culture/livre/la-romance-nouvelle-vache-a-lait-des-editeurs_1808230.html Mais de mon côté, voilà, rien à faire : ça ne me fait pas rêver (sans doute parce que je suis professeur de lettres ?), non que je n'aime pas la romance (comme sur mon avatar... qui me rappelle les romans d'Edith Wharton), mais voilà... non, je n'aspire pas à être éditée par Harlequin (même s'"il faut dire que les choses ont changé"...).
Enfin, comme c'est un roman steampunk, il reste les maisons d'édition à compte d'éditeur spécialisées dans l'imaginaire, comme Bragelonne, Pygmalion, l'Atalante, le Chat Noir et quelques autres. Mais, à part Bragelonne et Pygmalion, les maisons d'édition publiant du fantastique, du steampunk, de la fantasy, sont pour la plupart de petites maisons d'édition non distribuées, non diffusées, publiant majoritairement sous format numérique.
J'en viens à me poser la question : au final, pourquoi ne pas s'auto-éditer ?
J'ai déjà tenté l'aventure de l'édition à compte d'éditeur. :| Tous mes écrits ont été publiés à compte d'éditeur : mes albums jeunesse, mon recueil de poèmes, mes nouvelles, mon roman.
Je préfère tenter une autre aventure.
Je ne peux donc pas le proposer à Gallimard, Actes Sud, Flammarion, etc., car ce sont des maisons d'édition qui ne publient pas de littérature de l'imaginaire.
Je m'abstiendrai de l'envoyer à des maisons d'édition spécialisées dans la romance, comme Milady, Hugo Romance, Harlequin, etc. parce que je n'ai jamais voulu être publiée par ces maisons d'édition (ça a été mon principal souci à la sortie de Chicago Requiem, quand je l'ai vu chroniqué dans cette catégorie... en effet, la romance n'est pas tout à fait absente de mon roman, mais ça n'a rien à voir, c'est une saga familiale, un thriller historique atypique, mais les maisons d'édition spécialisées dans la romance ne l'auraient jamais accepté). Bon, après, c'est vendeur : https://www.lexpress.fr/culture/livre/la-romance-nouvelle-vache-a-lait-des-editeurs_1808230.html Mais de mon côté, voilà, rien à faire : ça ne me fait pas rêver (sans doute parce que je suis professeur de lettres ?), non que je n'aime pas la romance (comme sur mon avatar... qui me rappelle les romans d'Edith Wharton), mais voilà... non, je n'aspire pas à être éditée par Harlequin (même s'"il faut dire que les choses ont changé"...).
Enfin, comme c'est un roman steampunk, il reste les maisons d'édition à compte d'éditeur spécialisées dans l'imaginaire, comme Bragelonne, Pygmalion, l'Atalante, le Chat Noir et quelques autres. Mais, à part Bragelonne et Pygmalion, les maisons d'édition publiant du fantastique, du steampunk, de la fantasy, sont pour la plupart de petites maisons d'édition non distribuées, non diffusées, publiant majoritairement sous format numérique.
J'en viens à me poser la question : au final, pourquoi ne pas s'auto-éditer ?
J'ai déjà tenté l'aventure de l'édition à compte d'éditeur. :| Tous mes écrits ont été publiés à compte d'éditeur : mes albums jeunesse, mon recueil de poèmes, mes nouvelles, mon roman.
Je préfère tenter une autre aventure.
- vigaNeoprof expérimenté
Lectiole,
Ton petit nuage est enfin édité ?
Edit: ah, non, c'était un petit flocon!
On peut se le procurer où?
Ton petit nuage est enfin édité ?
Edit: ah, non, c'était un petit flocon!
On peut se le procurer où?
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