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- RosanetteEsprit éclairé
Il faut aussi parfois discuter avec les collègues de matière éco/gestion/mana pour voir comment un cours s'y déroule ; d'expérience, c'est souvent très cadré et mécanique avec peu de place pour la créativité voire l'autonomie des élèves, peu de prises de note. Les contenus à acquérir sont dans l'ensemble assez explicites. Du coup, des cours de langue construits sur un système très différent, avec beaucoup d'implicite (le gros de la pédagogie actionnelle est très implicite), beaucoup de compétences et de savoirs mêlés peuvent être déroutants voire rédhibitoires pour les élèves.
A l'impossible nul n'est tenu effectivement mais ce sont des groupes avec lesquels on doit bien se poser la question de ce qu'on veut qu'ils sachent et de comment on s'assure qu'ils puissent le savoir. Le tout avec un volume horaire réduit qui oblige à une certaine transparence = ne progresseront que ceux qui consacrent une part de leur semaine à consolider leur maîtrise de la langue, à travers des pistes qu'on peut donner.
A l'impossible nul n'est tenu effectivement mais ce sont des groupes avec lesquels on doit bien se poser la question de ce qu'on veut qu'ils sachent et de comment on s'assure qu'ils puissent le savoir. Le tout avec un volume horaire réduit qui oblige à une certaine transparence = ne progresseront que ceux qui consacrent une part de leur semaine à consolider leur maîtrise de la langue, à travers des pistes qu'on peut donner.
- kensingtonEsprit éclairé
Rosanette a écrit:Il faut aussi parfois discuter avec les collègues de matière éco/gestion/mana pour voir comment un cours s'y déroule ; d'expérience, c'est souvent très cadré et mécanique avec peu de place pour la créativité voire l'autonomie des élèves, peu de prises de note. Les contenus à acquérir sont dans l'ensemble assez explicites. Du coup, des cours de langue construits sur un système très différent, avec beaucoup d'implicite (le gros de la pédagogie actionnelle est très implicite), beaucoup de compétences et de savoirs mêlés peuvent être déroutants voire rédhibitoires pour les élèves.
A l'impossible nul n'est tenu effectivement mais ce sont des groupes avec lesquels on doit bien se poser la question de ce qu'on veut qu'ils sachent et de comment on s'assure qu'ils puissent le savoir. Le tout avec un volume horaire réduit qui oblige à une certaine transparence = ne progresseront que ceux qui consacrent une part de leur semaine à consolider leur maîtrise de la langue, à travers des pistes qu'on peut donner.
Remarque très intéressante qui s'applique à beaucoup d'autres élèves que ceux concernés dans ce topic.
- RosanetteEsprit éclairé
Absolument, mais fatalement pour des élèves qui sont moins en réussite scolaire ET qui sont habitués à être très (trop ?) pris par la main, ça coince souvent.
L'étude d'une langue étrangère mêle lexique, prononciation, grammaire, orthographe, culture générale/savoirs sociaux (et il y a eu inflation de ce dernier point ces dernières années, pour le meilleur et pour le pire); sans parler de certaines manières d'évaluer qui demandent d'avoir une grosse dose de créativité (gros souci des tâches finales).
L'étude d'une langue étrangère mêle lexique, prononciation, grammaire, orthographe, culture générale/savoirs sociaux (et il y a eu inflation de ce dernier point ces dernières années, pour le meilleur et pour le pire); sans parler de certaines manières d'évaluer qui demandent d'avoir une grosse dose de créativité (gros souci des tâches finales).
- kensingtonEsprit éclairé
Le problème c'est que toutes ces composantes sont quasiment mises sur le même plan du primaire jusqu'au bac à travers les démarches pédagogiques "imposées" qui donnent pour beaucoup trop d'élèves ce que l'on décrit ici. Il devrait y avoir un "dosage" différent selon les niveaux et une progression explicite elle aussi.
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