Dernières nouvelles de la réforme des rythmes scolaires

Musa, mon beau-frère me disait un peu la même chose sur son enfance dans un village en Corse : beaucoup d'aide et de solidarités pour aider les mères à gérer leurs enfants

Pour ma part même si je suis très contente d'être là où je suis et là où nous avons fait notre vie, je me dis parfois que ça serait plus simple si, comme pas mal de connaissances, nous avions nos parents à proximité pour garder les enfants, prendre le relais, vnir aider en cas de nounou absente-école fermée-maladie etc
Mais bon il se trouve que mes parents sont à 800 km et que mon mari est orphelin depuis longtemps donc voilà c'est comme ça, mais parfois ça me pèse cette solitude dans la gestion de la famille : hier encore mon mari me disait "tiens, Machine [une collègue] elle me dit qu'on devrait faire plus souvent des week-ends en amoureux, des sorties etc", oui mais Machine, elle a ses parents ET ses beaux-parents à côté, qui leur prennent les enfants deux fois par semaine et un we par mois, donc oui il est probable que Machine ait la vie plus simple pour ça, nous soit on prévoit longtemps à l'avance pour que mes parents viennent, soit on ne peut pas, c'est tout bête

Et encore, maintenant, j'ai moins de mal avec les vacances seule à la maison, mais lors de mon premier congé maternité, je ne connaissais pas encore grand monde dans notre coin, j'ai été seule à gérer pendant trois mois et demie : ça va que je m'entends très bien avec moi-même mais c'est pas terrible ! Heureusement, maintenant, notamment grâce à Néo, je connais plus de monde, j'ai des copines avec enfants à aller voir, ça permet d'alléger la charge



Maintenant pour en revenir au fil, chez nous c'est acté, retour aux 4 jours avec fin de l'école à 16h30, et la plupart de mes connaissances voisines commencent à faire des demandes de 4/5e à leur patron (et moi je croise les doigts pour ne pas bosser le mercredi matin et ne les mettre à la garderie que le mercredi aprem)

Elaïna a écrit:J'ai bien compris Gelsomina et Verdurette, simplement je crois qu'il est très difficile de juger sans avoir tous les paramètres (nous ne les avons pas tous à moins d'être extrêmement proches de ces familles)

Comme nous sommes souvent jugés, sur nos présumées vacances perpétuelles notamment, nous sommes bien placés pour savoir que porter un jugement sur les familles a vite fait d'être injuste

Par défaut quand les gens font quelque chose, je me dis qu'ils ont de bonnes raisons de le faire. Autour de moi, je vois surtout des parents qui essaient de faire au mieux. Ils peuvent faire des erreurs (ou ce que je juge être tel), mais ils sont de bonne volonté.

Le coup de dire que les parents qu'on connaît sont des gens bien et que ce sont les autres qui sont horribles, je m'en méfie aussi. En tant que prof, je ne connais que trop bien ce discours des copains qui me disent que les profs sont des fainéants, des bons à rien, etc. : "Nan mais toi t'es pas comme ça, évidemment, mais reconnais quand même que, dans leur grande majorité, les profs..." Bah nan, j'ai beau faire le tour de la salle des profs, je trouve qu'au contraire, dans leur grande majorité, les profs sont très (trop) dévoués. Chacun s'y prend à sa manière, il y a des collègues dont je ne partage pas du tout la manière de faire et que je critique à ce titre, mais le plus souvent, ils font ce qu'ils pensent être le mieux.

Je suis d'accord avec musa sur le fait qu'on critique beaucoup les mères. Il paraît qu'il y a un dicton africain qui dit qu'il faut tout un village pour élever un enfant.

Une anecdote à ce sujet. Ma mère critiquait des connaissances à elle qui avaient 3 garçons "très mal élevés", qui se roulaient par terre dans les supermarchés, etc., quand ils étaient petits. Pas étonnant, d'après elle, avec le discours soixante-huitard démago des parents totalement démissionnaires. Les gamins n'étaient tout simplement pas élevés, ils les laissaient faire n'importe quoi. Et puis elle les a perdus de vue, et le hasard a fait que, bien des années plus tard, j'ai eu l'un des garçons comme élève. À cette occasion, nous avons appris qu'il avait été diagnostiqué autiste Asperger à 15 ans après des années d'errance de diagnostic. Et en tant que PP, j'ai reçu le père qui m'a un peu expliqué l'enfance de son fils, les problèmes de comportement, les rv à n'en plus finir et le travail colossal qu'ils avaient fait avec lui. Je suis bien placée pour savoir non seulement toute l'énergie que ça implique mais aussi les conséquences que ça peut avoir sur le comportement de la fratrie. Les gamins étaient perturbés, et ils avaient de bonnes raisons de l'être, raisons qui n'avaient rien à voir avec la soi-disant démission des parents. Simplement, les parents ne racontaient pas leur vie à tout le voisinage et le handicap de leur fils ne se voyait pas : ils passaient donc pour de mauvais parents aux yeux de leur entourage.

Pour ma part j'ai compris qu'il valait mieux fermer sa g* le jour où j'ai compris que le gamin de la résidence en poussette à trois ans, s'il était encore en poussette, c'est qu'il avait une maladie pas très grave mais très épuisante pour lui, et pas parce que ses parents étaient des démissionnaires qui lui passaient tous ses caprices et ne le faisaient pas marcher (bon, je m'étais contentée d'en faire la remarque à mon mari, je ne m'étais pas permis de dire quoi que ce fût aux parents, mais c'était quand même une remarque déplacée)

Depuis, j'essaie autant que possible de modérer mes jugements

Si vous voulez rire ou vous faire du mal, c'est selon, lisez les commentaires de l'article du Monde, qui eux sont accessibles en intégralité, contrairement à l'article :
Rythmes scolaires : les enseignants dans un « entre-deux anxiogène »
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Rappelons encore une fois que Le Monde avait publié un édito au lance-flamme contre les PE lors de la mise en place du décret.
Rappelons également qu'à l'époque Madame Baumard travaillait au service éducation du journal et qu'elle a publié un livre peu de temps après sur l'action de Vincent Peillon au ministère.
Je dis ça, je dis rien :blague:

Les commentaires du Monde sont toujours les mêmes, quel que soit l'article.

Pour terminer à propos du hs de ce fil, je pense aussi que le sentiment de faire parfois, et pour certaines familles, de la garderie est plus important au 1er degré que dans le secondaire.

Dans le secondaire, ce n'est pas une question de garderie, les élèves pouvant se garder tout seuls, mais, en lycée en tout cas, on a beaucoup d'absentéisme. Des élèves qui ne viennent pas à certaines périodes, parfois pendant des mois, et qui réapparaissent, des élèves qui sont là une heure et s'évaporent à l'heure suivante et, en terminale, pour parler de ce que je connais, les effectifs qui fondent à partir des vacances de Pâques pour devenir quasi nuls en fin d'année dans certaines classes. Une collègue a fait cours à 3 élèves pendant 3 semaines dans l'une de ses classes, pour ne finalement plus avoir personne la dernière semaine. À une semaine de la fin des cours, les effectifs sont très clairsemés. Parfois on croise les élèves à la cantine. Inversement certaines familles sont connues pour ne revenir du bled que tardivement, parfois un mois après la rentrée.
On a moins l'impression de faire de la garderie que d'être un distributeur automatique de boissons : certains élèves poussent le bouchon jusqu'à sécher les cours et venir une fois comme ça demander les polys des cours qu'ils ont ratés, voire les demander par mail, et bien sûr, on a le grand classique de l'élève qui a séché la fin de l'année et vous écrit un mail le jour des résultats du bac pour demander comment se passe l'oral de rattrapage, élève qui est en concurrence pour la palme du sans-gêne avec celui qui vous demande au dernier cours de l'année comment on fait une dissert, ou mieux, comment on fait pour assurer une bonne note au bac sans apprendre son cours

luluvio a écrit:

Verdurette a écrit:J'ai trois enfants, grands maintenant mais ils ont été petits, donc ce n'était pas cela que je mettais en cause, mais des mères qui ne travaillent pas et qui nous colleraient leurs gosses H24 si elles pouvaient parce qu'ils sont insupportables.

Exactement. Et celles qui poussent des soupirs de désespoir quand les vacances arrivent, et de soulagement à la veille de la rentrée .... (je précise, j'ai 4 enfants)

Voilà. Les mamans indignes du forum n'ont donc aucun besoin de se mettre la rate au court-bouillon. Il n'a jamais été question de les juger et/ou de les condamner.

La semaine dernière nous avons rendu les cahiers d'évaluations et les livrets (numériques ... sur (le) papier arf), et j'ai prudemment ramassé les livres. Mais j'avais un travail de recherche et d'écriture prévu pour cette dernière semaine. Evidemment j'ai plusieurs élèves qui sont partis de manière anticipée mais les parents ont eu la courtoisie de me prévenir ... (une le matin pour le soir le 16 juin ... humph ... mais bon. )
Vendredi dernier, j'apprends par la rumeur de la cour de récréation  qu'un autre part aussi ... mais sans le dire (et la mère est au conseil d'école !!).
Groumph.
Mardi, la rumeur du jardin public m'apprend que ledit élève n'est pas parti (d'ailleurs sa soeur est dans sa classe de CP), mais "sa mère a dit qu'on ne travaillait plus, donc ce n'était plus la peine de venir".
Il avait pourtant laissé ses affaires ...
J'ai gardé sa trousse et son compas, et balancé le reste.
Ce matin, il y avait une petite fête avec jeux, gâteaux et bonbecs : il était de retour, dites donc ! Mais mon bonhomme, on ne travaille pas, ce matin, kestufélà ?
- Ben je suis venu chercher mes affaires ...
-Ouais ouais ouais mon œil (ça ne je ne l'ai pas dit mais je l'ai pensé très fort).

Oui, je vois ça aussi cette année (rappel : mi-temps CM2 et deux quart temps maternel). Les élèves qui viennent juste le jour du goûter dans la classe ou qui, partis en vacances la semiane dernière, reviennent hier matin et aujourd'hui, parce que les parents ont des "rdvs" ou des courses à faire.. non mais c'est vrai quoi, les cours c'est jusqu'à vendredi 15h45....

La liste s'allonge :

Rythmes scolaires. Vendée : 61 communes font marche arrière
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NEUVILLE-SUR-ESCAUT
Rythmes scolaires : les quatre jours et demi abandonnés
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Indre-et-Loire - Chinon - Éducation
Rythmes scolaires : retour à la semaine de quatre jours
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Montpellier teste :

Montpellier se donne un an de réflexion afin de préparer au mieux un retour à la semaine de 4 jours. Pour cela, deux groupes scolaires (Prokoviev et Bergman), soit 500 enfants, feront office de "laboratoire" de la ville et passeront aux 4 jours dès la rentrée 2017. Pendant ce temps, les 121 autres écoles de la ville resteront au rythme actuel avant de basculer en 2018.

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Rythmes scolaires : pourquoi certaines communes de Gironde reviennent à la semaine de quatre jours ?

"Je n’ai pas décidé seul ", précise Patrick Bobet le maire Les Républicains du Bouscat. "Les enseignants et les parents d’élèves ont été consultés. 72% des enseignants ont déclaré être pour le retour à la semaine de quatre jours. Un questionnaire a aussi été envoyé à toutes les familles et 82% des réponses étaient pour le retour à quatre jours d"école par semaine."

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Deux-Sèvres - Éducation
Rythmes scolaires : des emplois en danger ?

Les dix-huit éducateurs du groupement d'employeurs, âgés de 20 à 25 ans, proposent chaque jour des activités sportives, artistiques et scientifiques à la fin des cours. Treize employés ont des contrats à temps plein. Le travail périscolaire aménagé dans le cadre des rythmes scolaires représente actuellement 15 % de leurs activités.

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Voilà, animateur périscolaire c'est 15% d'un temps plein. Faut raison garder

Rythmes scolaires : élus et agents locaux "condamnent" la "démarche" du gouvernement sur le retour à la semaine de quatre jours

Pour le CSFPT, une "évaluation" de l'expérimentation de la semaine de quatre jours et demi à l'école, d'ailleurs "prévue par les textes", est une "nécessité".

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L'évaluation a eu lieu :

Les 80 pages du dossier de la DEPP, le service statistique du ministère de l’éducation nationale, ne permettent pas de clarifier le message scientifique ; ou, en tout cas, pas autant qu’attendu. Les six différentes organisations du temps scolaire identifiées sur le terrain – mercredi matin ou samedi matin travaillé, après-midi plus ou moins longs… – n’ont que « des effets d’une ampleur très limitée sur les apprentissages des élèves », peut-on y lire, en CP (5 200 élèves évalués) comme en CM2 (15 000 élèves). Très peu d’effets, aussi, sur les pratiques des enseignants, dont 1 240 ont été interrogés.
L’incidence sur les compétences scolaires est estimée comme « largement inférieure aux effets des variables sociales ou culturelles » – le milieu d’origine des élèves, en somme.

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Rythmes scolaires dans le 64 : la semaine de quatre jours acceptée pour 13 communes

L’Inspecteur d’académie, Pierre Barrière, a finalement eu à se prononcer sur 112 demandes d’organisation de la semaine de travail de quatre jours. Au final, seules 13 communes ou entités (syndicat intercommunal à vocation unique) ont obtenu satisfaction.

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Rythmes scolaires. À contrecœur, Groix revient à la semaine de 4 jours

« Nous avons pris la décision à l’unanimité au conseil d’école. La réforme avait pour objectif d’alléger la semaine scolaire des élèves et l’a, au contraire, alourdie », explique Dominique Thibault, directrice de l’école publique.

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Rythmes scolaires: Quelles villes veulent revenir à la semaine de 4 jours? Quelles villes ne changent rien?

Première commune à être passé à la réforme des rythmes scolaires en 2013, Paris n’a pas l’intention de revenir dessus.

A Toulouse, aucun enfant n’a jamais expérimenté la semaine de 4 jours ! Et cela ne devrait pas arriver de sitôt.

A Nantes, pas question de revenir sur la réforme des rythmes scolaires.

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Ce qui permettrait de comparer les deux systèmes en 2019 et 2020 avec des évaluations nationales.

Rythmes scolaires : plus de la moitié des communes de Drôme-Ardèche repasseraient à la semaine de quatre jours

Les conseils de l'Education Nationale se sont réunis cette semaine en Drôme et en Ardèche pour étudier les demandes des écoles et communes, demandes massives. L'assouplissement de la réforme des rythmes scolaires a été rendu possible par un décret du nouveau gouvernement publié il y a 10 jours.

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Rodrigo Arenas de la FCPE :

Le rythme scolaire instauré sous François Hollande avait été très critiqué, le retour à la semaine de quatre jours ne vous paraît-il pas inévitable?

Oui c'est inévitable mais nous souhaitons des alternances de temps scolaires et de temps de vacances.

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Ce serait pourtant tellement simple de garder 4,5 jours en supprimant les TAP ...

Il y a déjà des enfants qui ne peuvent quitter l'école à la fin des cours, et ils auront toujours du périscolaire après, quoi qu'il advienne. Ca pourrait être un dispositif "devoirs faits", accompagné de "cercles de lecture", ça, ce n'est pas compliqué ni très cher à mettre en oeuvre, et ce serait apaisant et utile.

L'organisation n'est pas la même partout : chez nous il n'y a pas de TAP mais simplement un allongement de la pause méridienne et une sortie le soir à 16h plutôt que 16h30, soit 45 min de garderie supplémentaire chaque jour.
Dans d'autres communes c'est toute une demi-journée qui était libérée (souvent le vendredi aprèm), avec organisation d'activités sur ce temps.

Enfin je devrais parler au passé puisque le retour à la semaine de 4 jours a été accepté par l'inspection d'académie pour la rentrée.

Rythmes scolaires : le retour aux quatre jours plus facile dans les petites municipalités

Vingt pour cent des communes dès la rentrée 2017, ce n’est pas rien, alors que les observateurs de l’école disaient encore, il y a peu, qu’on ne pouvait chambouler l’organisation et les habitudes dans des délais aussi courts – trois mois à peine. Cela reste valable pour les grandes villes. Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Lille restent, pour l’heure, à la semaine de quatre jours et demi d’école telle qu’elle a été mise en place à partir de 2013. « Pour la rentrée 2017, c’est trop compliqué. Tout a été préparé : les contrats avec les associations, les plannings d’utilisation des équipements sportifs et culturels… rapporte David Constans-Martigny, conseiller à France urbaine, association d’élus de grandes villes. En revanche, presque tous les élus prévoient de lancer des concertations pour voir si tout le monde s’y retrouve ou pas. »

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Verdurette a écrit:Ce serait pourtant tellement simple de garder 4,5 jours en supprimant les TAP ...

Il y a déjà des enfants qui ne peuvent quitter l'école à la fin des cours, et ils auront toujours du périscolaire après, quoi qu'il advienne. Ca pourrait être un dispositif "devoirs faits", accompagné de "cercles de lecture", ça, ce n'est pas compliqué ni très cher à mettre en oeuvre, et ce serait apaisant et utile.

Dans beaucoup d'endroit cela s"appelait "l'étude" ou "étude dirigée". Ce n'est pas compliqué, mais le problème de la durée entraine une augmentation du cout plus un risque de lassitude pour les élèves : 45/60 minutes par jour 4 fois par semaine, ça reste supportable, 1h15-1h30 par jour 4 fois pas semaine ça risque de devenir à nouveau électrique au niveau de l'ambiance. Difficile de trouver autant d'intervenants capables de garder l'activité intéressante sur une telle durée.

Rythmes scolaires dans le 64 : les communes recalées exigent le retour à la semaine de 4 jours

"Il est hors de question de céder. Nous voulons revenir à 4 jours et l’inspecteur d’académie devra s’y plier", avertit Alain Lenglet. Et d’annoncer des actions plus "médiatiques", en cas de bras de fer.

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Montpellier : revivez la conférence de presse sur les rythmes scolaires

la Ville de Montpellier propose d'être pilote dans la mise en œuvre de la semaine de 4 jours à partir de septembre 2017. Pour une mise en place définitive en septembre 2018.
Trois établissements de la ville sont concernés pour la rentrée 2017. Il s'agit des groupes scolaires Jean Moulin/Ingrid Bergman, Jean Zay/Sergueï Prokofiev, Jean Mermoz/Vasco de Gama.
L'expérimentation permettra de réfléchir plusieurs organisations horaires sur la semaine de 4 jours.
L'année 2017-2018 sera donc consacrée à la préparation de cette réforme des rythmes scolaires.

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