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- Barnafée la PatouilleNeoprof expérimenté
Ce n'est pas si rare...
On donne une 2e chance, des conseils, et parfois le stagiaire n'en tient pas compte, ou n'a pas conscience de ses insuffisances...
On donne une 2e chance, des conseils, et parfois le stagiaire n'en tient pas compte, ou n'a pas conscience de ses insuffisances...
- BabaretteDoyen
Ce n'est pas vraiment une question de "n'a pas conscience": parmi tous les stagiaires de lettres modernes que je connais et qui ont été licenciés (il y en a un certain nombre...), il se trouve que nous étions TOUS parfaitement conscients que nous n'étions pas capables de faire ce métier. Mais on n'allait pas nous dire "ah, bien, vous avez conscience que ce métier n'est pas fait pour vous, on va vous titulariser". Nous n'en avions pas envie d'ailleurs, et avons fêté la fin de notre calvaire.
Dire que "le stagiaire ne tient pas compte des conseils", c'est assez culpabilisant, franchement. J'ai consciencieusement appliqué les conseils donnés, ça ne marchait pas. Fin janvier, la deuxième année, j'ai décidé d'arrêter de m'enquiquiner. Je n'allais pas, par exemple, me battre pour faire enlever sa veste à Duchesse de l'insolence, j'avais d'autres chats à fouetter, vraiment.
Puis, des conseils... Mon tuteur, la première année, m'avait conseillé de me punir moi-même: je finissais à 15h30 le lundi, ma classe de 4e aussi, il aurait suffit que je colle les pénibles avec moi de 15h30 à 17h30 et vaque à mes occupations. Oui, bien sûr, rester deux heures de plus au collège au lieu de rentrer me reposer, qui plus est avec des mômes qui me pourrissaient la vie... Des conseils comme celui-là, il pouvait se les garder.
Skindiver; je doute TRES fortement que Ripoux1er ait dit à ses professeurs d'ESPE ce qu'il pensait de la formation.
Dire que "le stagiaire ne tient pas compte des conseils", c'est assez culpabilisant, franchement. J'ai consciencieusement appliqué les conseils donnés, ça ne marchait pas. Fin janvier, la deuxième année, j'ai décidé d'arrêter de m'enquiquiner. Je n'allais pas, par exemple, me battre pour faire enlever sa veste à Duchesse de l'insolence, j'avais d'autres chats à fouetter, vraiment.
Puis, des conseils... Mon tuteur, la première année, m'avait conseillé de me punir moi-même: je finissais à 15h30 le lundi, ma classe de 4e aussi, il aurait suffit que je colle les pénibles avec moi de 15h30 à 17h30 et vaque à mes occupations. Oui, bien sûr, rester deux heures de plus au collège au lieu de rentrer me reposer, qui plus est avec des mômes qui me pourrissaient la vie... Des conseils comme celui-là, il pouvait se les garder.
Skindiver; je doute TRES fortement que Ripoux1er ait dit à ses professeurs d'ESPE ce qu'il pensait de la formation.
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“Google peut vous donner 100 000 réponses, un bibliothécaire vous donne la bonne.” Neil Gaiman.
:lecteur:
- Dadoo33Grand sage
Babarette a écrit:Ce n'est pas vraiment une question de "n'a pas conscience": parmi tous les stagiaires de lettres modernes que je connais et qui ont été licenciés (il y en a un certain nombre...), il se trouve que nous étions TOUS parfaitement conscients que nous n'étions pas capables de faire ce métier. Mais on n'allait pas nous dire "ah, bien, vous avez conscience que ce métier n'est pas fait pour vous, on va vous titulariser". Nous n'en avions pas envie d'ailleurs, et avons fêté la fin de notre calvaire.
Dire que "le stagiaire ne tient pas compte des conseils", c'est assez culpabilisant, franchement. J'ai consciencieusement appliqué les conseils donnés, ça ne marchait pas. Fin janvier, la deuxième année, j'ai décidé d'arrêter de m'enquiquiner. Je n'allais pas, par exemple, me battre pour faire enlever sa veste à Duchesse de l'insolence, j'avais d'autres chats à fouetter, vraiment.
Puis, des conseils... Mon tuteur, la première année, m'avait conseillé de me punir moi-même: je finissais à 15h30 le lundi, ma classe de 4e aussi, il aurait suffit que je colle les pénibles avec moi de 15h30 à 17h30 et vaque à mes occupations. Oui, bien sûr, rester deux heures de plus au collège au lieu de rentrer me reposer, qui plus est avec des mômes qui me pourrissaient la vie... Des conseils comme celui-là, il pouvait se les garder.
Skindiver; je doute TRES fortement que Ripoux1er ait dit à ses professeurs d'ESPE ce qu'il pensait de la formation.
Barnafé a utilisé "parfois"... Je suis d'accord avec elle. Pour l'avoir vu, certains stagiaires n'écoutent pas les conseils. Comme les tuteurs, tous les stagiaires ne sont pas exemplaires
- BabaretteDoyen
Ai-je dis que les stagiaires étaient tous exemplaires et devaient tous être titularisés ? (Avec un pote de l'ESPE l'an dernier, on se disait que la pire chose que l'EN pourrait nous faire serait de nous titulariser).
"N'écoute pas les conseils": moui. Mon tuteur m'a accusée de cela, la première année. Il ne savait pas faire la différence entre ne pas arriver à faire ce qu'il disait et refuser sciemment de le faire. Etrange, pour un mec qui prône la bienveillance. Un élève qui ne sait toujours pas faire une dissertation à deux mois du bac, ça peut être une feignasse OU un élève en grande difficulté. Il le savait. Mais tiens, bizarrement, ça ne s'applique pas au stagiaire, s'il échoue, c'est forcément parce qu'il le fait EXPRES.
"N'écoute pas les conseils": moui. Mon tuteur m'a accusée de cela, la première année. Il ne savait pas faire la différence entre ne pas arriver à faire ce qu'il disait et refuser sciemment de le faire. Etrange, pour un mec qui prône la bienveillance. Un élève qui ne sait toujours pas faire une dissertation à deux mois du bac, ça peut être une feignasse OU un élève en grande difficulté. Il le savait. Mais tiens, bizarrement, ça ne s'applique pas au stagiaire, s'il échoue, c'est forcément parce qu'il le fait EXPRES.
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- Dadoo33Grand sage
Babarette a écrit:Ai-je dis que les stagiaires étaient tous exemplaires et devaient tous être titularisés ? (Avec un pote de l'ESPE l'an dernier, on se disait que la pire chose que l'EN pourrait nous faire serait de nous titulariser).
"N'écoute pas les conseils": moui. Mon tuteur m'a accusée de cela, la première année. Il ne savait pas faire la différence entre ne pas arriver à faire ce qu'il disait et refuser sciemment de le faire. Etrange, pour un mec qui prône la bienveillance. Un élève qui ne sait toujours pas faire une dissertation à deux mois du bac, ça peut être une feignasse OU un élève en grande difficulté. Il le savait. Mais tiens, bizarrement, ça ne s'applique pas au stagiaire, s'il échoue, c'est forcément parce qu'il le fait EXPRES.
Par conséquent, pourquoi dire cela:
"Dire que le stagiaire ne tient pas compte des conseils est assez culpabilisant".
Bref...
- Ripoux1erNiveau 2
Babarette a écrit:
Skindiver; je doute TRES fortement que Ripoux1er ait dit à ses professeurs d'ESPE ce qu'il pensait de la formation.
Exact. Je regrette de ne pas avoir pu régler mes comptes verbalement avec certains d'ailleurs. Pour moi la formation ESPE est tout sauf bienveillante : Elle vise à repérer les stagiaires en difficulté / à renouveler / à licencier. Rien de plus. Je ne pense avoir connu que 2-3 formateurs vraiment bienveillants avec moi, et me parlant d'égal à égal.
Pourtant je n'ai pas ouvert ma bouche durant l'année, et les retours étaient positifs me concernant (Ripoux participe, est sérieux, etc.). Mais cette formation est très chronophage et inutile, pour rester poli. Sans oublier le mémoire et le stress généré par tout ça.
Je suis dans le cas inverse de Babarette en fait : Le métier me plaît malgré que ce soit une profession difficile. Certes il y a eu des moments difficiles avec certains élèves, mais j'ai fini le programme, les élèves m'ont adressé des mots de soutien en fin d'année.Je n'ai cessé de montrer ma motivation et mon investissement lorsqu'on m'a attaqué, lorsqu'on m'a dit que j'étais dans le déni.
J'ai écouté les conseils prodigués et j'ai su les appliquer malgré mes difficultés. Or, j'ai l'impression que les gens en face de moi n'ont pas pu saisir mon potentiel et mon investissement. Pour moi le métier se construisait sur plusieurs années, et ça me paraît normal que tout ne soit pas parfait lors de la deuxième année.
Visiblement l'inspecteur n'a pas la même vision, allant jusqu'à me reprocher mon salaire...
Maintenant je retourne à ma précarité, et il faut rebondir. Moi qui pensait m'être extirpé de la pauvreté du monde ouvrier en devenant professeur, ça n'a pas duré longtemps. C'est extrêmement frustrant quand tu vois tes jeunes collègues et amis avancer et s'épanouir (enfants, maison, mutations...), alors que toi tu as tout perdu. Et je n'ai pas vraiment d'idées de reconversion, peut-être le concours de bibliothécaire mais sans grande conviction.
Je suis vraiment déprimé et fatigué en ce moment, et puis surtout être licencié de l'EN, la honte quoi ! Je n'ai pas fait de faute grave pourtant, et pour moi c'est la déchéance. Et devant le conseiller Pôle Emploi je n'ose imaginer la conversation.
- VatrouchkaNiveau 9
Pour ceux et celles qui connaissent le processus de titularisation actuel, ne pas valider son stage est loin d'être infamant. Cela dépend tellement du tuteur terrain, du CDE, des formateurs ESPE qui vont de l'enseignant qui a véritablement envie de partager son expérience à la personne qui court après les titres et de choses qu'on peut encore moins contrôler (parfois on a l'impression qu'il doit y avoir tant de renouvelés / licenciés et ça tombe sur certains et pas sur d'autres). Plein de professeurs disent ici qu'avec le système actuel, ils n'auraient jamais validé le stage. Il n'y a pas de quoi avoir honte, vraiment.
Je te souhaite de réussir à retomber sur tes pattes et de trouver une voie qui te convienne. Tu peux toujours essayer de passer le concours ailleurs et de faire ton stage dans une autre académie si le métier te motive vraiment.
Je te souhaite de réussir à retomber sur tes pattes et de trouver une voie qui te convienne. Tu peux toujours essayer de passer le concours ailleurs et de faire ton stage dans une autre académie si le métier te motive vraiment.
- OonnayHabitué du forum
Je suis un vieux qui n'a connu que les IUFM et quand je vous lis je suis atterré.
Comment peut-on supporter de se faire rabaisser ainsi sans réagir !? En tant que stagiaire nous sommes là pour recevoir des conseils judicieux plutôt que des remarques désobligeantes (encore moins dès la première semaine !).
Déjà à l'IUFM quand j'ai dû suivre la formation Cycle Préparatoire (deux ans) j'ai côtoyé des formateurs sadiques ravis d'être en face d'élèves professeurs passifs et soumis. J'ai été le seul à leurs tenir tête et ne plus suivre les "cours" de ceux-ci. J'en ai eu des menaces de retraits de trentièmes et de licenciement. J'attends toujours.
Puis le jour du concours je suis tombé à l'oral sur un de ces "formateurs" en tant qu'examinateur. Je vous passe son sourire satanique quand il m'a vu rentrer. Je ne me suis pas démonté, bien au contraire. J'ai commencé par pointer l'erreur dans le sujet à soutenir. Il a eu un fou rire forcé appuyé par un "Il y en a qui ne doute vraiment de rien !" bien fort. OK ! J'ai donc soutenu par l'absurde avec l'erreur du sujet, puis j'ai pu voir son sourire disparaître au fur et à mesure de mon stupide exposé qui pointait méthodiquement sur l'absurdité de celui-ci. Il est sorti, un autre examinateur l'a remplacé. J'ai eu 20/20 alors que je n'ai jamais tenu compte de l'erreur dans ma soutenance. Par contre la moitié de mes partenaires de formation a été descendue pour ne pas avoir parlé ou vu l'erreur du sujet !!!!!
Donc quand on est sûr de soi et que la stupidité est bien de l'autre coté ne pas hésiter à s'affirmer.
A la hussard comme au bon vieux temps !!!!
Bon courage pour la suite Ripoux1er.
Comment peut-on supporter de se faire rabaisser ainsi sans réagir !? En tant que stagiaire nous sommes là pour recevoir des conseils judicieux plutôt que des remarques désobligeantes (encore moins dès la première semaine !).
Déjà à l'IUFM quand j'ai dû suivre la formation Cycle Préparatoire (deux ans) j'ai côtoyé des formateurs sadiques ravis d'être en face d'élèves professeurs passifs et soumis. J'ai été le seul à leurs tenir tête et ne plus suivre les "cours" de ceux-ci. J'en ai eu des menaces de retraits de trentièmes et de licenciement. J'attends toujours.
Puis le jour du concours je suis tombé à l'oral sur un de ces "formateurs" en tant qu'examinateur. Je vous passe son sourire satanique quand il m'a vu rentrer. Je ne me suis pas démonté, bien au contraire. J'ai commencé par pointer l'erreur dans le sujet à soutenir. Il a eu un fou rire forcé appuyé par un "Il y en a qui ne doute vraiment de rien !" bien fort. OK ! J'ai donc soutenu par l'absurde avec l'erreur du sujet, puis j'ai pu voir son sourire disparaître au fur et à mesure de mon stupide exposé qui pointait méthodiquement sur l'absurdité de celui-ci. Il est sorti, un autre examinateur l'a remplacé. J'ai eu 20/20 alors que je n'ai jamais tenu compte de l'erreur dans ma soutenance. Par contre la moitié de mes partenaires de formation a été descendue pour ne pas avoir parlé ou vu l'erreur du sujet !!!!!
Donc quand on est sûr de soi et que la stupidité est bien de l'autre coté ne pas hésiter à s'affirmer.
A la hussard comme au bon vieux temps !!!!
Bon courage pour la suite Ripoux1er.
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- Si tout va bien... :
- Je vous quitte dans :
- skindiverÉrudit
Ripoux1er a écrit:Babarette a écrit:
Skindiver; je doute TRES fortement que Ripoux1er ait dit à ses professeurs d'ESPE ce qu'il pensait de la formation.
Exact. Je regrette de ne pas avoir pu régler mes comptes verbalement avec certains d'ailleurs. Pour moi la formation ESPE est tout sauf bienveillante : Elle vise à repérer les stagiaires en difficulté / à renouveler / à licencier. Rien de plus. Je ne pense avoir connu que 2-3 formateurs vraiment bienveillants avec moi, et me parlant d'égal à égal.
Pourtant je n'ai pas ouvert ma bouche durant l'année, et les retours étaient positifs me concernant (Ripoux participe, est sérieux, etc.). Mais cette formation est très chronophage et inutile, pour rester poli. Sans oublier le mémoire et le stress généré par tout ça.
Je suis dans le cas inverse de Babarette en fait : Le métier me plaît malgré que ce soit une profession difficile. Certes il y a eu des moments difficiles avec certains élèves, mais j'ai fini le programme, les élèves m'ont adressé des mots de soutien en fin d'année.Je n'ai cessé de montrer ma motivation et mon investissement lorsqu'on m'a attaqué, lorsqu'on m'a dit que j'étais dans le déni.
J'ai écouté les conseils prodigués et j'ai su les appliquer malgré mes difficultés. Or, j'ai l'impression que les gens en face de moi n'ont pas pu saisir mon potentiel et mon investissement. Pour moi le métier se construisait sur plusieurs années, et ça me paraît normal que tout ne soit pas parfait lors de la deuxième année.
Visiblement l'inspecteur n'a pas la même vision, allant jusqu'à me reprocher mon salaire...
Maintenant je retourne à ma précarité, et il faut rebondir. Moi qui pensait m'être extirpé de la pauvreté du monde ouvrier en devenant professeur, ça n'a pas duré longtemps. C'est extrêmement frustrant quand tu vois tes jeunes collègues et amis avancer et s'épanouir (enfants, maison, mutations...), alors que toi tu as tout perdu. Et je n'ai pas vraiment d'idées de reconversion, peut-être le concours de bibliothécaire mais sans grande conviction.
Je suis vraiment déprimé et fatigué en ce moment, et puis surtout être licencié de l'EN, la honte quoi ! Je n'ai pas fait de faute grave pourtant, et pour moi c'est la déchéance. Et devant le conseiller Pôle Emploi je n'ose imaginer la conversation.
Ca dépend surement des académies, j'ai fait mon stage dans une académie ou l'équipe que ce soit d'inspection ou de formateurs était vraiment bien.
Peut être que ça vaudrait le coup pour toi de repasser les concours dans une autre académie?
Si c'est ce que tu veux faire et que tu t'épanouis dans ce métier ça se tente ailleurs, même si c'est difficile.
- BabaretteDoyen
Dadoo33; je ne vois pas bien en quoi j'ai contredit mes propos, mais bon, quand on ne veut pas comprendre...
Ripoux1er; je suis vraiment triste de te lire, je vois que ton licenciement t'a vraiment beaucoup affecté. Ce qui m'attriste surtout, c'est que tu dises que tu te retrouves dans la précarité, et ça, c'est honteux (que tu y sois hein, pas que tu le dises!).
Ce n'est pas "la honte" d'être licencié de l'éducation nationale, vu les conditions de titularisation. Vraiment pas.
Si tu ne sais pas quoi faire, tu peux repasser le CAPES ou devenir contractuel. Ou changer de voie et, comme tu es historien géographe, tu as quand même plusieurs possibilités. Les bibliothèques, bien sûr, mais si tu es "sans conviction", tu vas te faire piquer la place. Les concours administratifs aussi. Si tu es plus historien que géographe, il y a les concours du patrimoine. Si tu es plus géographe qu'historien, tu peux faire de l'urbanisme.
Si le conseiller pôle emploi te juge, c'est un ***. Ne t'inquiète pas, il voit toute la journée tous types de chômeurs, dont de sacrés bras cassés.
Ripoux1er; je suis vraiment triste de te lire, je vois que ton licenciement t'a vraiment beaucoup affecté. Ce qui m'attriste surtout, c'est que tu dises que tu te retrouves dans la précarité, et ça, c'est honteux (que tu y sois hein, pas que tu le dises!).
Ce n'est pas "la honte" d'être licencié de l'éducation nationale, vu les conditions de titularisation. Vraiment pas.
Si tu ne sais pas quoi faire, tu peux repasser le CAPES ou devenir contractuel. Ou changer de voie et, comme tu es historien géographe, tu as quand même plusieurs possibilités. Les bibliothèques, bien sûr, mais si tu es "sans conviction", tu vas te faire piquer la place. Les concours administratifs aussi. Si tu es plus historien que géographe, il y a les concours du patrimoine. Si tu es plus géographe qu'historien, tu peux faire de l'urbanisme.
Si le conseiller pôle emploi te juge, c'est un ***. Ne t'inquiète pas, il voit toute la journée tous types de chômeurs, dont de sacrés bras cassés.
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:lecteur:
- BabaretteDoyen
Pfff, allez, reste dans le jugement et la condamnation, ma foi, tu dois faire partie de ce type de tuteurs qui ne comprennent pas qu'un stagiaire puisse galérer, je laisse tomber.
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:lecteur:
- Dadoo33Grand sage
Mais qu'en sais-tu Barbarette ? Nous nous connaissons ? C'est sur que ce n'est pas toi qui me juges et me condamnes sans preuve. D'ailleurs, cela porte un nom!
Me suis-je permis d'attaquer ton boulot en tant qu'ex -stagiaire, ici ? Non.Alors merci de ne pas le faire me concernant.
Je m'arrête là.
Ripoux 1er, comme l'ont dit certains, rien ne t'empêche de passer le concours et de faire ton stage dans une autre académie.
Bon courage
Me suis-je permis d'attaquer ton boulot en tant qu'ex -stagiaire, ici ? Non.Alors merci de ne pas le faire me concernant.
Je m'arrête là.
Ripoux 1er, comme l'ont dit certains, rien ne t'empêche de passer le concours et de faire ton stage dans une autre académie.
Bon courage
- alanneFidèle du forum
Repasser le capes plusieurs l'ont fait sur ce forum et dans une autre academie , cela allait beaucoup mieux !C'est comme si tu te refaisais une "virginité".
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Wait and see
- skindiverÉrudit
alanne a écrit:Repasser le capes plusieurs l'ont fait sur ce forum et dans une autre academie , cela allait beaucoup mieux !C'est comme si tu te refaisait une "virginité".
- Spoiler:
- Désolé je n'ai pas pu m'en empêcher...
- DisMoiPasQueCestPasVraiNiveau 2
Ripoux,
Je suis tellement attristée de lire que l'issue ait été défavorable pour toi. J'ai connu des stagiaires qui se sont fait licencier comme des malpropres parce que les formateurs ne les aimaient pas (je vous jure véridique...). Pour ma part j'ai très mal vécu mon année de stage, c'était le bal des hypocrites, j'allais mal, très mal, une formatrice prônait la politique de la peur sans arrêt comme un oiseau de malheur afin de nous foutre la trouille . Faire planer le doute, à se foutre en l'air la santé physique et mentale!
Oui, je l'affirme, il ne suffit pas d'être "nul" pour se faire limoger. En effet, dans certaines académie il y a des formateurs et inspecteurs malveillants. Sans vous parler des CDE qui ne s'opposeront jamais à l'avis de l'IPR pour ne pas perdre sa crédibilité alors que tu as fait tout ce qu'il fallait...
J'ai eu la chance de passer du côté des titulaires, mais combien sont restés sur le bas coté, humiliés et cassés?
Je garde un souvenir amer de cette année de stage et beaucoup de rancoeurs au final contre le système de la roulette russe...Quand je vois parfois les gens qu'on a validé, je ris jaune mais bon eux sont bien vus hein...
Si vraiment tu aimes ce boulot, passe le concours dans une autre académie, parfois ça suffit pour que ça se passe totalement différemment. Il me semble que certains néo ont eu un parcours de ce genre...
Courage
Amicalement,
Rose
Je suis tellement attristée de lire que l'issue ait été défavorable pour toi. J'ai connu des stagiaires qui se sont fait licencier comme des malpropres parce que les formateurs ne les aimaient pas (je vous jure véridique...). Pour ma part j'ai très mal vécu mon année de stage, c'était le bal des hypocrites, j'allais mal, très mal, une formatrice prônait la politique de la peur sans arrêt comme un oiseau de malheur afin de nous foutre la trouille . Faire planer le doute, à se foutre en l'air la santé physique et mentale!
Oui, je l'affirme, il ne suffit pas d'être "nul" pour se faire limoger. En effet, dans certaines académie il y a des formateurs et inspecteurs malveillants. Sans vous parler des CDE qui ne s'opposeront jamais à l'avis de l'IPR pour ne pas perdre sa crédibilité alors que tu as fait tout ce qu'il fallait...
J'ai eu la chance de passer du côté des titulaires, mais combien sont restés sur le bas coté, humiliés et cassés?
Je garde un souvenir amer de cette année de stage et beaucoup de rancoeurs au final contre le système de la roulette russe...Quand je vois parfois les gens qu'on a validé, je ris jaune mais bon eux sont bien vus hein...
Si vraiment tu aimes ce boulot, passe le concours dans une autre académie, parfois ça suffit pour que ça se passe totalement différemment. Il me semble que certains néo ont eu un parcours de ce genre...
Courage
Amicalement,
Rose
- BabaretteDoyen
Et on peut être licencié avec pour seul avis défavorable celui de l'inspecteur, il me semble.
Une de mes copines de promo, en renouvellement, trouvait que son année de stage se passait plutôt bien, le CDE aussi. Puis arrive l'IPR, qui observe le cours, puis va faire un scandale dans le bureau du principal en disant qu'il aurait dû faire une procédure d'alerte.
Une de mes copines de promo, en renouvellement, trouvait que son année de stage se passait plutôt bien, le CDE aussi. Puis arrive l'IPR, qui observe le cours, puis va faire un scandale dans le bureau du principal en disant qu'il aurait dû faire une procédure d'alerte.
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- DisMoiPasQueCestPasVraiNiveau 2
Babarette a écrit:Et on peut être licencié avec pour seul avis défavorable celui de l'inspecteur, il me semble.
Une de mes copines de promo, en renouvellement, trouvait que son année de stage se passait plutôt bien, le CDE aussi. Puis arrive l'IPR, qui observe le cours, puis va faire un scandale dans le bureau du principal en disant qu'il aurait dû faire une procédure d'alerte.
Oui, effectivement, même si tout est au vert, la simple opposition de l'ipr peut tout foutre en l'air.
- Tallulah23Niveau 7
J'ai vraiment du mal à y croire. Qu'il y ait des licenciements abusifs, des licenciements surprise pour le stagiaire qui pensait être renouvelé, des licenciements de stagiaires pas plus mauvais que d'autres stagiaires renouvelés, etc. oui. Mais un licenciement parce que les formateurs ne l'aiment pas? l'avis de l'ESPE n'est qu'un avis parmi trois autres, cela m'étonnerait qu'on puisse licencier un stagiaire parce qu'il a un avis négatif sur trois. Et l'avis de l'IPR pèse plus, il me semble, et l'IPR n'est pas un formateur, son rapport se fonde sur l'heure de cours observée. Il peut arriver qu'un IPR ait une dent contre quelqu'un pour une raison x ou y, mais ça ne rentre pas dans la catégorie "licencié parce que les formateurs ne les aimaient pas".DisMoiPasQueCestPasVrai a écrit:Ripoux,
Je suis tellement attristée de lire que l'issue ait été défavorable pour toi. J'ai connu des stagiaires qui se sont fait licencier comme des malpropres parce que les formateurs ne les aimaient pas (je vous jure véridique...). Pour ma part j'ai très mal vécu mon année de stage, c'était le bal des hypocrites, j'allais mal, très mal, une formatrice prônait la politique de la peur sans arrêt comme un oiseau de malheur afin de nous foutre la trouille . Faire planer le doute, à se foutre en l'air la santé physique et mentale!
Oui, je l'affirme, il ne suffit pas d'être "nul" pour se faire limoger. En effet, dans certaines académie il y a des formateurs et inspecteurs malveillants. Sans vous parler des CDE qui ne s'opposeront jamais à l'avis de l'IPR pour ne pas perdre sa crédibilité alors que tu as fait tout ce qu'il fallait...
J'ai eu la chance de passer du côté des titulaires, mais combien sont restés sur le bas coté, humiliés et cassés?
Je garde un souvenir amer de cette année de stage et beaucoup de rancoeurs au final contre le système de la roulette russe...Quand je vois parfois les gens qu'on a validé, je ris jaune mais bon eux sont bien vus hein...
Si vraiment tu aimes ce boulot, passe le concours dans une autre académie, parfois ça suffit pour que ça se passe totalement différemment. Il me semble que certains néo ont eu un parcours de ce genre...
Courage
Amicalement,
Rose
- InvitéInvité
Surtout les "ne les aimaient pas" et "malveillants" ne laissent guère de place à une tentative d'explication un peu rationnelle. On a l'impression que les choses reposent sur un rapport de sympathie ou sur une tendance préalable à la cruauté de la part des personnels ESPE/inspection. Certes cela peut exister mais reste quand même très minoritaire. Avant tout il y a des faits précis dans les rapports. Après, suivant le caractère des gens qui gèrent, il peut y avoir des différences de traitement, c'est humain et inévitable. Mais si on ne se concentre pas sur les premiers et on fait surtout le procès des seconds je ne vois pas trop comment on peut avancer si on retape l'année de stage ou on repasse le concours. Pour revenir sur la "malveillance" c'est quand même un mot qui propose problème. J'ai discuté avec pas mal de tuteurs dans un contexte de visites d'alerte et je n'ai pas souvenir de gens dont j'ai soupçonné une malveillance de principe vis à vis du stagiaire. Des relations humaines qui sont parties en vrille au fur et à mesure que les difficultés s’enkystaient, bien sûr. Des difficultés pour certains tuteurs un peu rigides à accepter que le stagiaire soit différent de l'image qu'ils avaient de ce statut ou qu'il ne prenne pas en compte ou ne puisse pas appliquer ses conseils, également. Cela peut aboutir au bout du compte à une impression de "malveillance" pour le stagiaire qui a été dans cette pénible situation. Mais c'est bien souvent beaucoup plus compliqué et mérite d'être explicité.
- DisMoiPasQueCestPasVraiNiveau 2
Tallulah23 a écrit:J'ai vraiment du mal à y croire. Qu'il y ait des licenciements abusifs, des licenciements surprise pour le stagiaire qui pensait être renouvelé, des licenciements de stagiaires pas plus mauvais que d'autres stagiaires renouvelés, etc. oui. Mais un licenciement parce que les formateurs ne l'aiment pas? l'avis de l'ESPE n'est qu'un avis parmi trois autres, cela m'étonnerait qu'on puisse licencier un stagiaire parce qu'il a un avis négatif sur trois. Et l'avis de l'IPR pèse plus, il me semble, et l'IPR n'est pas un formateur, son rapport se fonde sur l'heure de cours observée. Il peut arriver qu'un IPR ait une dent contre quelqu'un pour une raison x ou y, mais ça ne rentre pas dans la catégorie "licencié parce que les formateurs ne les aimaient pas".DisMoiPasQueCestPasVrai a écrit:Ripoux,
Je suis tellement attristée de lire que l'issue ait été défavorable pour toi. J'ai connu des stagiaires qui se sont fait licencier comme des malpropres parce que les formateurs ne les aimaient pas (je vous jure véridique...). Pour ma part j'ai très mal vécu mon année de stage, c'était le bal des hypocrites, j'allais mal, très mal, une formatrice prônait la politique de la peur sans arrêt comme un oiseau de malheur afin de nous foutre la trouille . Faire planer le doute, à se foutre en l'air la santé physique et mentale!
Oui, je l'affirme, il ne suffit pas d'être "nul" pour se faire limoger. En effet, dans certaines académie il y a des formateurs et inspecteurs malveillants. Sans vous parler des CDE qui ne s'opposeront jamais à l'avis de l'IPR pour ne pas perdre sa crédibilité alors que tu as fait tout ce qu'il fallait...
J'ai eu la chance de passer du côté des titulaires, mais combien sont restés sur le bas coté, humiliés et cassés?
Je garde un souvenir amer de cette année de stage et beaucoup de rancoeurs au final contre le système de la roulette russe...Quand je vois parfois les gens qu'on a validé, je ris jaune mais bon eux sont bien vus hein...
Si vraiment tu aimes ce boulot, passe le concours dans une autre académie, parfois ça suffit pour que ça se passe totalement différemment. Il me semble que certains néo ont eu un parcours de ce genre...
Courage
Amicalement,
Rose
Hi,
Aussi bizarre que cela puisse paraître, je l'ai vu, la formatrice était le bras droit de l'IPR et nous a dit elle même que l'inspectrice faisait entièrement confiance en son jugement. Ca reste à la marge heureusement mais ça existe même si c'est 1% des cas et bien ça existe et je l'ai vu car cette stagiaire était méprisée par cette formatrice, dès qu'elle avait le dos tourné. Elle avait aussi le droit à des piques, remarques etc.
Bonne soirée
- ElyasEsprit sacré
DisMoiPasQueCestPasVrai a écrit:Tallulah23 a écrit:J'ai vraiment du mal à y croire. Qu'il y ait des licenciements abusifs, des licenciements surprise pour le stagiaire qui pensait être renouvelé, des licenciements de stagiaires pas plus mauvais que d'autres stagiaires renouvelés, etc. oui. Mais un licenciement parce que les formateurs ne l'aiment pas? l'avis de l'ESPE n'est qu'un avis parmi trois autres, cela m'étonnerait qu'on puisse licencier un stagiaire parce qu'il a un avis négatif sur trois. Et l'avis de l'IPR pèse plus, il me semble, et l'IPR n'est pas un formateur, son rapport se fonde sur l'heure de cours observée. Il peut arriver qu'un IPR ait une dent contre quelqu'un pour une raison x ou y, mais ça ne rentre pas dans la catégorie "licencié parce que les formateurs ne les aimaient pas".DisMoiPasQueCestPasVrai a écrit:Ripoux,
Je suis tellement attristée de lire que l'issue ait été défavorable pour toi. J'ai connu des stagiaires qui se sont fait licencier comme des malpropres parce que les formateurs ne les aimaient pas (je vous jure véridique...). Pour ma part j'ai très mal vécu mon année de stage, c'était le bal des hypocrites, j'allais mal, très mal, une formatrice prônait la politique de la peur sans arrêt comme un oiseau de malheur afin de nous foutre la trouille . Faire planer le doute, à se foutre en l'air la santé physique et mentale!
Oui, je l'affirme, il ne suffit pas d'être "nul" pour se faire limoger. En effet, dans certaines académie il y a des formateurs et inspecteurs malveillants. Sans vous parler des CDE qui ne s'opposeront jamais à l'avis de l'IPR pour ne pas perdre sa crédibilité alors que tu as fait tout ce qu'il fallait...
J'ai eu la chance de passer du côté des titulaires, mais combien sont restés sur le bas coté, humiliés et cassés?
Je garde un souvenir amer de cette année de stage et beaucoup de rancoeurs au final contre le système de la roulette russe...Quand je vois parfois les gens qu'on a validé, je ris jaune mais bon eux sont bien vus hein...
Si vraiment tu aimes ce boulot, passe le concours dans une autre académie, parfois ça suffit pour que ça se passe totalement différemment. Il me semble que certains néo ont eu un parcours de ce genre...
Courage
Amicalement,
Rose
Hi,
Aussi bizarre que cela puisse paraître, je l'ai vu, la formatrice était le bras droit de l'IPR et nous a dit elle même que l'inspectrice faisait entièrement confiance en son jugement. Ca reste à la marge heureusement mais ça existe même si c'est 1% des cas et bien ça existe et je l'ai vu car cette stagiaire était méprisée par cette formatrice, dès qu'elle avait le dos tourné. Elle avait aussi le droit à des piques, remarques etc.
Bonne soirée
Franchement, j'ai un énorme doute sur le fait que ce que disait cette dame fût vrai. Les IA-IPR ont autre chose qu'avoir des bras droits et s'ils accordent leur confiance en quelqu'un, c'est souvent parce que ce type de discours ne sera jamais tenu. Il est fort probable que cette dame ait raconté n'importe quoi et que cela ait été cru. C'est dommage. Certaines personnes, dès qu'elles ont une responsabilité, pète les plombs. Cela semble le cas de cette dame. Cela me fait proprement halluciner.
- DisMoiPasQueCestPasVraiNiveau 2
Tamerlan a écrit:Surtout les "ne les aimaient pas" et "malveillants" ne laissent guère de place à une tentative d'explication un peu rationnelle. On a l'impression que les choses reposent sur un rapport de sympathie ou sur une tendance préalable à la cruauté de la part des personnels ESPE/inspection. Certes cela peut exister mais reste quand même très minoritaire. Avant tout il y a des faits précis dans les rapports. Après, suivant le caractère des gens qui gèrent, il peut y avoir des différences de traitement, c'est humain et inévitable. Mais si on ne se concentre pas sur les premiers et on fait surtout le procès des seconds je ne vois pas trop comment on peut avancer si on retape l'année de stage ou on repasse le concours. Pour revenir sur la "malveillance" c'est quand même un mot qui propose problème. J'ai discuté avec pas mal de tuteurs dans un contexte de visites d'alerte et je n'ai pas souvenir de gens dont j'ai soupçonné une malveillance de principe vis à vis du stagiaire. Des relations humaines qui sont parties en vrille au fur et à mesure que les difficultés s’enkystaient, bien sûr. Des difficultés pour certains tuteurs un peu rigides à accepter que le stagiaire soit différent de l'image qu'ils avaient de ce statut ou qu'il ne prenne pas en compte ou ne puisse pas appliquer ses conseils, également. Cela peut aboutir au bout du compte à une impression de "malveillance" pour le stagiaire qui a été dans cette pénible situation. Mais c'est bien souvent beaucoup plus compliqué et mérite d'être explicité.
Tu as raison, ça reste minoritaire mais ça existe je l'ai vu de mes propres yeux. Après comme tu le dis ça reste à la marge mais ce genre d'injustice me dégoûte peut exister même si dans un contexte rationnel ça reste dingue.
Les relations humaines qui partent en vrille, ça c'est autre chose et tu as raison de l'évoquer. Mais, des gens mauvais y en a et ça, personne ne pourra me le retirer de la tête tant ça m'a dégoutée.
Bonne soirée
- JennyMédiateur
Ca doit être très minoritaire, mais je l'ai vécu... dès le premier jour, donc avant d'avoir pris en charge la moindre classe.
Ma tutrice m'a reproché d'avoir parlé à une autre tutrice que je connaissais, m'a dévisagée des pieds à la tête en me disant "toi, au moins, tu es habillée correctement, pas comme ma stagiaire de l'an dernier" et ensuite elle m'a expliqué que sa stagiaire de l'an dernier n'avait pas assuré et qu'elle n'hésiterait pas à me mettre sur liste d'alerte à la moindre erreur.
Je suis sortie de là avec un très mauvais pressentiment qui s'est rapidement confirmé.
Ma tutrice m'a reproché d'avoir parlé à une autre tutrice que je connaissais, m'a dévisagée des pieds à la tête en me disant "toi, au moins, tu es habillée correctement, pas comme ma stagiaire de l'an dernier" et ensuite elle m'a expliqué que sa stagiaire de l'an dernier n'avait pas assuré et qu'elle n'hésiterait pas à me mettre sur liste d'alerte à la moindre erreur.
Je suis sortie de là avec un très mauvais pressentiment qui s'est rapidement confirmé.
- DisMoiPasQueCestPasVraiNiveau 2
Jenny a écrit:Ca doit être très minoritaire, mais je l'ai vécu... dès le premier jour, donc avant d'avoir pris en charge la moindre classe.
Ma tutrice m'a reproché d'avoir parlé à une autre tutrice que je connaissais, m'a dévisagée des pieds à la tête en me disant "toi, au moins, tu es habillée correctement, pas comme ma stagiaire de l'an dernier" et ensuite elle m'a expliqué que sa stagiaire de l'an dernier n'avait pas assuré et qu'elle n'hésiterait pas à me mettre sur liste d'alerte à la moindre erreur.
Je suis sortie de là avec un très mauvais pressentiment qui s'est rapidement confirmé.
Affreux...
- InvitéInvité
Jenny a écrit:Ca doit être très minoritaire, mais je l'ai vécu... dès le premier jour, donc avant d'avoir pris en charge la moindre classe.
Ma tutrice m'a reproché d'avoir parlé à une autre tutrice que je connaissais, m'a dévisagée des pieds à la tête en me disant "toi, au moins, tu es habillée correctement, pas comme ma stagiaire de l'an dernier" et ensuite elle m'a expliqué que sa stagiaire de l'an dernier n'avait pas assuré et qu'elle n'hésiterait pas à me mettre sur liste d'alerte à la moindre erreur.
Je suis sortie de là avec un très mauvais pressentiment qui s'est rapidement confirmé.
Jenny, et après l'avoir supporté un an, en fond, comment analyses-tu son fonctionnement psychologique et professionnel ? Les ressorts de ce genre d'attitude et de déclaration?
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