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- artemis71Niveau 6
Quelle est à votre avis la meilleure porte de sortie de l'EN en termes d'indemnités de départ : la démission ou éventuellement un licenciement (pour un motif d'insuffisance par exemple) ? En cas de démission, il me semble qu'on peut bénéficier de l’indemnité volontaire de départ uniquement en cas de création d'entreprise? Avec un licenciement (même si c'est rare), il y a une indemnité + les allocations de chômage?
- PlutarqueNiveau 10
Clairement, comme tu l'as dit, un licenciement amène des indemnités ; une démission non. Après, d'autres sauront sans doute t'amener tes précisions.
- VicomteDeValmontGrand sage
Devenir attaché parlementaire!
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- PonocratesExpert spécialisé
Attention cela dépend du motif de licenciement.
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F514
Et l'abandon de poste est considéré comme une démission volontaire: pas d'indemnités de licenciement ni d'allocation chômage.https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F12386
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F514
Et l'abandon de poste est considéré comme une démission volontaire: pas d'indemnités de licenciement ni d'allocation chômage.https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F12386
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"If you think education is too expensive, try ignorance ! "
"As-tu donc oublié que ton libérateur,
C'est le livre ? "
- LefterisEsprit sacré
La meilleure porte de sortie est la démission négociée pour avoir l'indemnité. Le licenciement pour insuffisance est un boulet à traîner pour retrouver du travail, l'abandon de poste aussi.artemis71 a écrit:Quelle est à votre avis la meilleure porte de sortie de l'EN en termes d'indemnités de départ : la démission ou éventuellement un licenciement (pour un motif d'insuffisance par exemple) ? En cas de démission, il me semble qu'on peut bénéficier de l’indemnité volontaire de départ uniquement en cas de création d'entreprise? Avec un licenciement (même si c'est rare), il y a une indemnité + les allocations de chômage?
Une autre porte est l'obtention d'un concours de la fonction publique, le détachement est d'office à la date de prise de fonction comme stagiaire dans le nouveau corps, rien ne peut l'empêcher.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- PseudoDemi-dieu
La meilleure porte de sortie, c'est celle qui te permet d'aller faire ce qui te plait. Quand on sait ce qu'on veut faire, on trouve comment. Mais tabler sur une indemnité, que ce soit pour créer sa boite ou pour cause de licenciement, c'est juste très hasardeux.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- artemis71Niveau 6
Je suis d'accord qu'un licenciement, même avec son indemnité, pourrait être désavantageux pour rechercher un autre emploi. Pour l'indemnité en cas de départ négocié, c'est uniquement en cas de création d'entreprise, je crois? Moi, j'ai déjà créé ma petite boîte il y a quelques années (avec l'accord du rectorat). Donc, si je quitte l'EN un jour, je ne pourrais pas bénéficier de cette indemnité pour ce motif. Mon activité entrepreneuriale s'est pas mal développée cette année et du coup j'ai vraiment du mal à gérer mes 18 heures de cours/semaine. J'ai demandé un temps partiel à raison de 12 heures/semaine pour l'année prochaine, mais je me demande vraiment comment je vais tenir le coup jusqu'à la fin de l'année.
- PseudoDemi-dieu
Oui, l'indemnité, c'est seulement en cas de création d'entreprise.
C'est une bonne nouvelle que ta boite se développe ! Et c'est finalement une excellente nouvelle que tu aies du mal à gérer les deux, en quelque sorte.
Pour te faire virer avec indemnité, de toute façon, ça n'arrivera surement pas, les cas sont rares à ma connaissance et ça doit demander une procédure longue.
Je crains que pour cette année, tu ne doives composer avec tes deux jobs, quitte à en faire très mal l'un. Et évidemment, ce que je ferais à ta place (et franchement, j'ai hâte d'y être, hâte que mon temps partiel à l'EN soit trop en concurrence avec ma boite), c'est que je ferais passer mon activité indépendante en priorité. Je ne développe pas, mais l'idée générale est celle-là.
Pour l'année prochaine, 12h00 ce sera assez comme temps partiel ? Si ta boite se développe encore (et je te le souhaite), ça ne risque pas d'être toujours trop ?
C'est une bonne nouvelle que ta boite se développe ! Et c'est finalement une excellente nouvelle que tu aies du mal à gérer les deux, en quelque sorte.
Pour te faire virer avec indemnité, de toute façon, ça n'arrivera surement pas, les cas sont rares à ma connaissance et ça doit demander une procédure longue.
Je crains que pour cette année, tu ne doives composer avec tes deux jobs, quitte à en faire très mal l'un. Et évidemment, ce que je ferais à ta place (et franchement, j'ai hâte d'y être, hâte que mon temps partiel à l'EN soit trop en concurrence avec ma boite), c'est que je ferais passer mon activité indépendante en priorité. Je ne développe pas, mais l'idée générale est celle-là.
Pour l'année prochaine, 12h00 ce sera assez comme temps partiel ? Si ta boite se développe encore (et je te le souhaite), ça ne risque pas d'être toujours trop ?
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- dami1kdHabitué du forum
AU B.O. d'hier sur l'indemnité de départ volontaire : http://www.education.gouv.fr/pid285/bulletin_officiel.html?cid_bo=112280
- PlutarqueNiveau 10
Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
- PseudoDemi-dieu
Plutarque a écrit:Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
A ma connaissance aucun prof n'a jamais été concerné.
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- artemis71Niveau 6
Pseudo a écrit:Oui, l'indemnité, c'est seulement en cas de création d'entreprise.
C'est une bonne nouvelle que ta boite se développe ! Et c'est finalement une excellente nouvelle que tu aies du mal à gérer les deux, en quelque sorte.
Pour te faire virer avec indemnité, de toute façon, ça n'arrivera surement pas, les cas sont rares à ma connaissance et ça doit demander une procédure longue.
Je crains que pour cette année, tu ne doives composer avec tes deux jobs, quitte à en faire très mal l'un. Et évidemment, ce que je ferais à ta place (et franchement, j'ai hâte d'y être, hâte que mon temps partiel à l'EN soit trop en concurrence avec ma boite), c'est que je ferais passer mon activité indépendante en priorité. Je ne développe pas, mais l'idée générale est celle-là.
Pour l'année prochaine, 12h00 ce sera assez comme temps partiel ? Si ta boite se développe encore (et je te le souhaite), ça ne risque pas d'être toujours trop ?
J'ai failli demander 9 heures pour le temps partiel, puis finalement j'ai choisi 12 heures. J'espère que ça ira comme ça. De toute façon, ça va me changer la vie après avoir tapé 18 heures/semaine cette année. Avec les deux jobs cette année, je suis épuisée et je pense que la qualité de mon enseignement ne doit pas être top. J'essaie de faire de mon mieux, mais il y a trop de travail à faire. Déjà je mets un temps dingue pour corriger et rendre mes copies. Etrangement, mes élèves et leurs parents ont l'air d'être majoritairement satisfaits. Mais si par malheur je me faisais inspecter cette année, je pense que ça ferait mal :fouet2:
- PseudoDemi-dieu
En même temps, ton but c'est de te casser, alors une inspection, bonne ou mauvaise, tu t'en tapes un peu non ?
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- artemis71Niveau 6
C'est pas faux. C'est un peu pour ça que j'ai lancé ce sujet. Je me suis dit qu'en cas d'inspection, ça se peut qu'on m'ouvre la porte de sortie.
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Plutarque a écrit:Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
Que veut dire ce texte ? (J'aurais besoin d'une traduction !!)
Quel collègue enseignant ou non de l'EN pourrait être concerné ?
Je ne vois pas le rapport entre l'IDV et la restructuration du territoire.
- dirlolasNiveau 5
La meilleure porte de sortie de l'EN ? Faire de la politique. Pour ce qui concerne des indemnités de licenciement, ça m'étonnerait que ça existe vu que les fonctionnaires ne cotisent pas, à ma connaissance, à l'assurance chômage.
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Carpe diem
- CarmenLRNeoprof expérimenté
Le texte cité par Plutarque me fait penser aux annonces de plan social et aux accords de plans de retraite anticipée dans certaines entreprises... On est bien loin de la philanthropie.
Sauf que, comme le dit Pseudo, je ne vois pas comment un collègue de l'EN peut être concerné. Le poste n'est pas supprimé ; c'est une "mesure de carte scolaire"... Grosse nuance...
Sauf que, comme le dit Pseudo, je ne vois pas comment un collègue de l'EN peut être concerné. Le poste n'est pas supprimé ; c'est une "mesure de carte scolaire"... Grosse nuance...
- JaneBNeoprof expérimenté
Effectivement! Ils sont gonflés quand même...car ils savent qu'ils ne débourseront pas un centime! C'est théoriquement possible mais concrètement jamais ...Pseudo a écrit:Plutarque a écrit:Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
A ma connaissance aucun prof n'a jamais été concerné.
- PseudoDemi-dieu
JaneB a écrit:Effectivement! Ils sont gonflés quand même...car ils savent qu'ils ne débourseront pas un centime! C'est théoriquement possible mais concrètement jamais ...Pseudo a écrit:Plutarque a écrit:Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
A ma connaissance aucun prof n'a jamais été concerné.
L'IDV concerne potentiellement toute la fonction publique, pas seulement les profs.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
artemis71 a écrit:C'est pas faux. C'est un peu pour ça que j'ai lancé ce sujet. Je me suis dit qu'en cas d'inspection, ça se peut qu'on m'ouvre la porte de sortie.
Ca m'étonnerait beaucoup. A moins que tu ne roules sous le bureau totalement bourrée le jour de l'inspection (et encore).
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- trompettemarineMonarque
Si tu es syndiqué au SNALC, tu peux bénéficier de la structure Mobi-Snalc qui donne tous les conseils et aide de façon personnalisée tous les collègues qui veulent "partir" temporairement ou définitivement.
https://snalc.fr/national/article/2642/
https://snalc.fr/national/article/2642/
- snoopÉrudit
Je pense que ça concerne surtout les personnes qui travaillaient dans un chef-lieu de région et qui ont été forcées de bouger du fait de la loi NOTRE.CarmenLR a écrit:Plutarque a écrit:Le passage suivant du lien ci-dessus me semble très intéressant :
Pour les agents dont le poste est supprimé ou fait l'objet d'une restructuration dans le cadre d'une opération de réorganisation du service engagée au titre de la réforme de l'organisation territoriale de l'État (et de ses établissements publics), le montant de l'indemnité de départ volontaire est égal à un douzième de la rémunération brute annuelle perçue par l'agent au cours de l'année civile précédant celle du dépôt de la demande de démission multiplié par le nombre d'années d'ancienneté dans l'administration, dans la limite de vingt-quatre fois un douzième de sa rémunération brute annuelle (article 7 du décret du 4 septembre 2015 précité).
Soit deux ans de salaire pour un collègue avec plus de 24 ans d'ancienneté dans l'EN, loin d'être négligeable cette affaire !
Que veut dire ce texte ? (J'aurais besoin d'une traduction !!)
Quel collègue enseignant ou non de l'EN pourrait être concerné ?
Je ne vois pas le rapport entre l'IDV et la restructuration du territoire.
- Marie-HenrietteNiveau 8
Je fais remonter:
Depuis deux ans, je suis une formation pour me convertir. Cette année, ma formation a été en partie prise en charge par l'intermédiaire du DIF.
Par ailleurs, j'enseigne à mi-temps.
Pour la rentrée prochaine, j'avais demandé une dispo pour pouvoir achever ma formation tranquillement (car même à mi-temps, j'ai du mal à tout faire, surtout depuis cette fichue réforme) et envisager l'avenir.
Ma demande de dispo a été rejetée, mais pour moi c'est impensable de revenir en septembre. Je le sens: une année de plus sera une année de trop. Ma tête est déjà ailleurs.
Je suis donc obligée de déclencher le plan B: la démission avec demande d'IDV.
Le temps manque cruellement, et j'ai lu attentivement les galères de Pseudo.
La question est: est-ce que ça arrive que ça se passe vite et bien? Ou suis-je définitivement hors délai pour espérer partir en touchant qqch?
Je trouve paradoxal que d'un côté l'administration me finance mon projet, et que de l'autre elle m'empêche de l'achever.
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Depuis deux ans, je suis une formation pour me convertir. Cette année, ma formation a été en partie prise en charge par l'intermédiaire du DIF.
Par ailleurs, j'enseigne à mi-temps.
Pour la rentrée prochaine, j'avais demandé une dispo pour pouvoir achever ma formation tranquillement (car même à mi-temps, j'ai du mal à tout faire, surtout depuis cette fichue réforme) et envisager l'avenir.
Ma demande de dispo a été rejetée, mais pour moi c'est impensable de revenir en septembre. Je le sens: une année de plus sera une année de trop. Ma tête est déjà ailleurs.
Je suis donc obligée de déclencher le plan B: la démission avec demande d'IDV.
Le temps manque cruellement, et j'ai lu attentivement les galères de Pseudo.
La question est: est-ce que ça arrive que ça se passe vite et bien? Ou suis-je définitivement hors délai pour espérer partir en touchant qqch?
Je trouve paradoxal que d'un côté l'administration me finance mon projet, et que de l'autre elle m'empêche de l'achever.
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
- MissWest-IndiesNiveau 5
Marie-Henriette a écrit:
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
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