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- MissWest-IndiesNiveau 5
Marie-Henriette a écrit:
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
- DaphnéDemi-dieu
Mais on part quand on veut de l'EN.
Sans rien, sans argent, c'est tout. Personne ne nous retient.
Sans rien, sans argent, c'est tout. Personne ne nous retient.
- trompettemarineMonarque
Mais, je croyais qu'une démission pouvait être refusée dans l'intérêt du service ? (question sérieuse)
- DaphnéDemi-dieu
Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Mais il ne faut pas attendre des indemnités
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Mais il ne faut pas attendre des indemnités
- PseudoDemi-dieu
Marie-Henriette a écrit:Je fais remonter:
Depuis deux ans, je suis une formation pour me convertir. Cette année, ma formation a été en partie prise en charge par l'intermédiaire du DIF.
Par ailleurs, j'enseigne à mi-temps.
Pour la rentrée prochaine, j'avais demandé une dispo pour pouvoir achever ma formation tranquillement (car même à mi-temps, j'ai du mal à tout faire, surtout depuis cette fichue réforme) et envisager l'avenir.
Ma demande de dispo a été rejetée, mais pour moi c'est impensable de revenir en septembre. Je le sens: une année de plus sera une année de trop. Ma tête est déjà ailleurs.
Je suis donc obligée de déclencher le plan B: la démission avec demande d'IDV.
Le temps manque cruellement, et j'ai lu attentivement les galères de Pseudo.
La question est: est-ce que ça arrive que ça se passe vite et bien? Ou suis-je définitivement hors délai pour espérer partir en touchant qqch?
Je trouve paradoxal que d'un côté l'administration me finance mon projet, et que de l'autre elle m'empêche de l'achever.
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je n'avais pas vu.
Pour l'IDV il y a des délais. En avril, il est peut-être encore possible de faire quelque chose, faut voir. De toute façon, cela ne peut concerner qu'une démission pour création d'entreprise. Est-ce ton souhait ?
L'administration se passerait bien de financer le DIF, mais il y a un moment où elle est un peu obligée d'appliquer la loi, même peu, même mal.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
MissWest-Indies a écrit:Marie-Henriette a écrit:
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
Mais bien sûr...
Rien ne les empêchent de se barrer. Sans un rond. Mais les excuses pleuvent, et les plus mal séantes, pour justifier son immobilisme.
Ce qui est vrai, en revanche, c'est que la sensation de sécurité donné par un poste de titulaire et le salaire afférent (plus enviable que celui de contractuel) ne donnent pas des ailes pour partir. Mais rien ne retient quelqu'un qui déciderait de partir sans un sous. Comme un contractuel qui déciderait de ne plus postuler.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- zouzFidèle du forum
Pseudo a écrit:MissWest-Indies a écrit:Marie-Henriette a écrit:
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
Mais bien sûr...
Rien ne les empêchent de se barrer. Sans un rond. Mais les excuses pleuvent, et les plus mal séantes, pour justifier son immobilisme.
Ce qui est vrai, en revanche, c'est que la sensation de sécurité donné par un poste de titulaire et le salaire afférent (plus enviable que celui de contractuel) ne donnent pas des ailes pour partir. Mais rien ne retient quelqu'un qui déciderait de partir sans un sous. Comme un contractuel qui déciderait de ne plus postuler.
Je l'entends de plus en plus, et pour les raisons que tu évoques, couplées au fait que retrouver un emploi n'est pas aisé, perdre son ancienneté etc.
Quant au contractuel qui décide de ne plus postuler et qui aurait tout de même droit aux indemnités qui lui reviennent, ça reste à vérifier.
- slynopHabitué du forum
La meilleure ? Être ministre de l'EN et se faire recaser ailleurs avec primes et tout ce qui va avec.
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"C'est pas moi qu'explique mal, c'est les autres qui sont cons !", Perceval dans Kaamelot.
- Marie-HenrietteNiveau 8
Depuis mon message, mon CDE, à qui j'avais donné mon courrier faisant part de mon souhait de demander une IDV et de démissionner est intervenu auprès du rectorat pour plaider ma cause et j'ai eu «le droit» de faire une autre demande de dispo, en expliquant le pourquoi du comment, etc.
Je suis donc dans l'attente de ce recours.
A terme, oui, je souhaite démissionner, avec une IDV pour création d'entreprise. Mais je ne souhaite le faire que l'an prochain, lorsque ma formation et mon projet auront abouti.
Quand on entre dans l'EN, on ne se pose pas toutes ces questions: on est jeune, on est frais, on est content d'être titularisé, l'entourage respire.
Quand on veut faire autre chose, on se rend compte que cette fameuse «sécurité de l'emploi», on la paye cher.
Pas de chômage, pas de rupture conventionnelle, des indemnités parcimonieuses, voire pas d'indemnités du tout. Il faut avoir les reins solides. Pour qqn qui est seul, qui est soutien de famille, c'est la quadrature du cercle.
Je suis donc dans l'attente de ce recours.
A terme, oui, je souhaite démissionner, avec une IDV pour création d'entreprise. Mais je ne souhaite le faire que l'an prochain, lorsque ma formation et mon projet auront abouti.
Quand on entre dans l'EN, on ne se pose pas toutes ces questions: on est jeune, on est frais, on est content d'être titularisé, l'entourage respire.
Quand on veut faire autre chose, on se rend compte que cette fameuse «sécurité de l'emploi», on la paye cher.
Pas de chômage, pas de rupture conventionnelle, des indemnités parcimonieuses, voire pas d'indemnités du tout. Il faut avoir les reins solides. Pour qqn qui est seul, qui est soutien de famille, c'est la quadrature du cercle.
- JaneBNeoprof expérimenté
Bon courage, Marie Henriette.
Moi aussi, je voudrais partir en tentant d'autres concours de la fonction publique l'an prochain.
Moi aussi, je voudrais partir en tentant d'autres concours de la fonction publique l'an prochain.
- PseudoDemi-dieu
zouz a écrit:Pseudo a écrit:MissWest-Indies a écrit:Marie-Henriette a écrit:
Je mesure ma chance d'avoir de l'argent de côté et le soutien de mon mari, sans ça je serais coincée et à la merci du bon vouloir de l'EN, et je trouve terrible ce sentiment d'être la propriété de son administration.
Sortir de l'EN me semble de plus en plus difficile. On n'y pense pas lorsque l'on est titularisé.
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
Mais bien sûr...
Rien ne les empêchent de se barrer. Sans un rond. Mais les excuses pleuvent, et les plus mal séantes, pour justifier son immobilisme.
Ce qui est vrai, en revanche, c'est que la sensation de sécurité donné par un poste de titulaire et le salaire afférent (plus enviable que celui de contractuel) ne donnent pas des ailes pour partir. Mais rien ne retient quelqu'un qui déciderait de partir sans un sous. Comme un contractuel qui déciderait de ne plus postuler.
Je l'entends de plus en plus, et pour les raisons que tu évoques, couplées au fait que retrouver un emploi n'est pas aisé, perdre son ancienneté etc.
Quant au contractuel qui décide de ne plus postuler et qui aurait tout de même droit aux indemnités qui lui reviennent, ça reste à vérifier.
Ce que je dis c'est que titulaire ou contractuel c'est pareil : on pars sans indemnités dans les deux cas.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- PseudoDemi-dieu
Marie-Henriette a écrit:Depuis mon message, mon CDE, à qui j'avais donné mon courrier faisant part de mon souhait de demander une IDV et de démissionner est intervenu auprès du rectorat pour plaider ma cause et j'ai eu «le droit» de faire une autre demande de dispo, en expliquant le pourquoi du comment, etc.
Je suis donc dans l'attente de ce recours.
A terme, oui, je souhaite démissionner, avec une IDV pour création d'entreprise. Mais je ne souhaite le faire que l'an prochain, lorsque ma formation et mon projet auront abouti.
Quand on entre dans l'EN, on ne se pose pas toutes ces questions: on est jeune, on est frais, on est content d'être titularisé, l'entourage respire.
Quand on veut faire autre chose, on se rend compte que cette fameuse «sécurité de l'emploi», on la paye cher.
Pas de chômage, pas de rupture conventionnelle, des indemnités parcimonieuses, voire pas d'indemnités du tout. Il faut avoir les reins solides. Pour qqn qui est seul, qui est soutien de famille, c'est la quadrature du cercle.
Je suis seule, on m'a refusé l'IDV au prétexte qu'on manque de docs mais j'ai un temps partiel pour création d'entreprise. Il y a des solutions, à condition d'accepter de se démerder. Plus que les reins solides, il faut une détermination chevillée au corps !
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- Marie-HenrietteNiveau 8
Ça force le respect.
J'ai lu attentivement la dernière circulaire concernant l'attribution de l'IDV, et ça me semble assez peu clair. Une amie, qui a aussi d'autres projets à moyen terme, me soutient que c'est un droit. Or ton exemple prouve le contraire, à moins qu'il ne s'agisse d'un droit bien difficile à faire respecter.
J'ai lu attentivement la dernière circulaire concernant l'attribution de l'IDV, et ça me semble assez peu clair. Une amie, qui a aussi d'autres projets à moyen terme, me soutient que c'est un droit. Or ton exemple prouve le contraire, à moins qu'il ne s'agisse d'un droit bien difficile à faire respecter.
- PlutarqueNiveau 10
Daphné a écrit:Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Certains ont toutefois des engagements décennaux, mais tu me diras que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre
- PseudoDemi-dieu
Marie-Henriette a écrit:Ça force le respect.
J'ai lu attentivement la dernière circulaire concernant l'attribution de l'IDV, et ça me semble assez peu clair. Une amie, qui a aussi d'autres projets à moyen terme, me soutient que c'est un droit. Or ton exemple prouve le contraire, à moins qu'il ne s'agisse d'un droit bien difficile à faire respecter.
Merci. J'en ai bavé des ronds de chapeau l'année dernière avec toutes ces démarches qui n'aboutissaient pas, les dossiers qui traînaient, se contredisaient, etc...
Non, ce n'est pas du tout automatique. On a le droit de la demander et on a le droit de nous la refuser, pour tout un tas de raisons. J'aurais pu tenter le TA parce que l'administration m'a répondu hors délais, mais vu les délais pour passer au TA et mon épuisement nerveux après une année de tractations j'ai préférée me rabattre sur un temps partiel, d'autant que le montant octroyé aurait pu être au ras des pâquerettes ensuite, dans le cas où j'aurais gagné au TA.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- HélipsProphète
Mais ces engagements décennaux, à ma connaissance, ne limitent pas l'EN, mais à la Fonction Publique et encore dans un sens très large.Plutarque a écrit:Daphné a écrit:Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Certains ont toutefois des engagements décennaux, mais tu me diras que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- rickyyNiveau 4
Et les engagements décennaux sont... comment dire... assez peu vérifiés par les institutions concernées (même si la tendance est au changement de ce coté-là).
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2017-2018: Titulaire Lycée Hotelier (3ème Prépa Pro, 2nde STHR, 2x1ère STHR, 2xTerm STHR)
2018-Aujourd'hui: CPGE PTSI.
- zouzFidèle du forum
Pseudo a écrit:zouz a écrit:Pseudo a écrit:MissWest-Indies a écrit:
Je ne suis pas titularisée et je rêve de quitter ce navire.
Il y a des titulaires qui me disent envier les contractuels dans le sens qu'ils peuvent partir plus facilement de l'Education Nationale.
Mais bien sûr...
Rien ne les empêchent de se barrer. Sans un rond. Mais les excuses pleuvent, et les plus mal séantes, pour justifier son immobilisme.
Ce qui est vrai, en revanche, c'est que la sensation de sécurité donné par un poste de titulaire et le salaire afférent (plus enviable que celui de contractuel) ne donnent pas des ailes pour partir. Mais rien ne retient quelqu'un qui déciderait de partir sans un sous. Comme un contractuel qui déciderait de ne plus postuler.
Je l'entends de plus en plus, et pour les raisons que tu évoques, couplées au fait que retrouver un emploi n'est pas aisé, perdre son ancienneté etc.
Quant au contractuel qui décide de ne plus postuler et qui aurait tout de même droit aux indemnités qui lui reviennent, ça reste à vérifier.
Ce que je dis c'est que titulaire ou contractuel c'est pareil : on pars sans indemnités dans les deux cas.
Ok, je réagissais à l'idée qu'il était plus simple pour un contractuel de quitter l'enseignement. Je pense donc comme toi que c'est faux, voir notamment les messages de contractuels sur ce forum qui souhaitent ne plus enseigner, quelle que soit la raison, mais se retrouvent piégés car ne pas accepter un poste reviendrait à démissionner et qu'accessoirement, ils ont besoin d'assurer leur quotidien. Attention donc avant de s'engager (pour ce point et tous les nombreux autres).
- Reine MargotDemi-dieu
Le plus simple quand on ne veut pas perdre de traitement ou de sécurité de l'emploi (et on a le droit de considérer que c'est important) c'est de passer un autre concours de la FP.
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Thalia de GMédiateur
Tu l'as passé quand tu étais encore prof ?
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Reine MargotDemi-dieu
Oui. C'est bien ce qui agaçait le jury, un prof qui veut partir, ça déplaît.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- DaphnéDemi-dieu
Les IPES son terminés depuis longtemps, ceux qui ont signés ces engagements décennaux sont en retraite depuis un moment.Plutarque a écrit:Daphné a écrit:Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Certains ont toutefois des engagements décennaux, mais tu me diras que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre
Alors oui il y a bien quelques engagements en fonction des congés formation par exemple, mais cela ne va pas chercher dans les dix ans.
Et pour les autres donc l'immense majorité il n'y a rien.
Après si on conditionne son départ à une quelconque IDV, là oui ça peut durer.
- Thalia de GMédiateur
Pas tout à fait. J'en suis un exemple, Iphigénie aussi.Daphné a écrit:Les IPES son terminés depuis longtemps, ceux qui ont signés ces engagements décennaux sont en retraite depuis un moment.Plutarque a écrit:Daphné a écrit:Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Certains ont toutefois des engagements décennaux, mais tu me diras que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre
Mais ce n'est qu'un détail dans ce topic.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- DaphnéDemi-dieu
Oui enfin tu n'es pas loin de la retraite
Je suppose que ton engagement décennal est terminé depuis quelque temps quand même
Et ce n'est plus à ton âge qu'on démissionne !
Je suppose que ton engagement décennal est terminé depuis quelque temps quand même
Et ce n'est plus à ton âge qu'on démissionne !
- HélipsProphète
Il reste quand même quelques normaliens, non ? J'imagine que, comme moi, c'est à eux que Plutarque pensait en rappelant que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre (d'autant que les années d’École comptent dans les 10 ans).Daphné a écrit:Les IPES son terminés depuis longtemps, ceux qui ont signés ces engagements décennaux sont en retraite depuis un moment.Plutarque a écrit:Daphné a écrit:Personne ne peut venir te chercher par la peau du dos pour aller travailler chaque matin. Donc tu démissionnes et tu te casses, point c'est tout.
L'EN n'est pas une prison ni un carcan, tu n'as signé aucun engagement.
Certains ont toutefois des engagements décennaux, mais tu me diras que ce ne sont certainement pas les plus à plaindre
Alors oui il y a bien quelques engagements en fonction des congés formation par exemple, mais cela ne va pas chercher dans les dix ans.
Et pour les autres donc l'immense majorité il n'y a rien.
Après si on conditionne son départ à une quelconque IDV, là oui ça peut durer.
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Un jour, je serai prof, comme ça je serai toujours en vacances.
- DaphnéDemi-dieu
Oui, donc on a terminé son engagement assez "jeune", dix ans ça ne dure pas une carrière.
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