- NejNiveau 5
agathe a écrit:Oudemia a écrit:Pas de chance, le musée Carnavalet est fermé pour travaux...Nej a écrit: J'irai donc, si la répartition des épreuves le permet, contempler la Nuit étoilée et les Raboteurs au musée d'Orsay. Cela fait quelques années que je voudrais profiter d'un voyage parisien pour faire le musée du Carnavalet aussi..
Je ne voudrais pas faire d'erreur, mais il me semble que les candidats ne peuvent assister aux prestations de leurs concurrents.
Si quelqu'un veut vraiment voir à quoi ressemble l'oral (mais quand on est déjà passé par le Capes on en a quand même une petite idée), il y a du 2 au 7 l'interne de LC à Jules Ferry.
Ah flute, je comptais bien profiter des deux jours avant ma convocation pour assister à quelques oraux : quelqu'un confirme cette information ? et sinon, où se trouve Jules Ferry ?
Sinon, rassurez-vous moi aussi je découvre avec les oeuvres de l'oral- avec un certain intérêt mais non sans panique dans la perspective de devoir produire un commentaire-, je n'ai pas vraiment lu Montaigne ( stratégie peu payante à court ET à long terme !), ni la totalité des Contemplations d'ailleurs... On fait ce qu'on peut avec le peu de temps qui nous est imparti...
Bon courage à tous
Finalement, y a-t-il des admissibles sur le forum à avoir vraiment tout travaillé (bon, j'imagine qu'il y en a peut-être..) ?? Tu vois Natalino, ça devrait te faire relativiser la représentation véhiculée par les rapports de jury
- ZybulkaHabitué du forum
Moi j'avais passé les oraux de l'externe il y a 3 ans je crois et j'avais pu sans problème assister à d'autres oraux. Je ne sais pas si c'est toujours vrai ni si c'est valable aussi à l'interne, mais je ne vois pas pourquoi ça ne serait pas le cas. Le seul truc c'est qu'ils m'ont mise avec un jury qui ne serait pas le mien.agathe a écrit:Ah flute, je comptais bien profiter des deux jours avant ma convocation pour assister à quelques oraux : quelqu'un confirme cette information ?
agathe a écrit:Sinon, rassurez-vous moi aussi je découvre avec les oeuvres de l'oral- avec un certain intérêt mais non sans panique dans la perspective de devoir produire un commentaire-, je n'ai pas vraiment lu Montaigne ( stratégie peu payante à court ET à long terme !), ni la totalité des Contemplations d'ailleurs... On fait ce qu'on peut avec le peu de temps qui nous est imparti...
Bon en cherchant un smiley qui approuve, je suis tombée sur ceux-là et je ne peux m'empêcher d'y voir une préfiguration de notre destin :
:aao:
(désolée...)
C'est vrai que ces rapports de jury ont parfois un côté un peu déprimant...Nej a écrit: Tu vois Natalino, ça devrait te faire relativiser la représentation véhiculée par les rapports de jury
- SélénéNiveau 5
On peut assister sans problème aux oraux : je l'avais fait en 2014 tout en passant mes propres épreuves. Effectivement, il faut présenter la convocation (+ pièce d'identité) et vous assistez aux épreuves orales avec un autre jury (pas avec le vôtre évidemment!).
- NatalinoNiveau 10
Nej a écrit:Natalino a écrit:En tout cas, une après-midi à lire des poèmes hermétiques dans l'unique perspective d'un concours, c'est vraiment un truc à vous dégouter définitivement de la littérature. :lol:
Tu as raison, Nej, j'ai une chance sur trois d'avoir Garcia-Lorca, je vais mettre un cierge, tiens ...
Darwich est aussi plus accessible que Char non?
Darwich, je m'y mets aujourd'hui seulement. Garcia Lorca, j'aime vraiment et puis j'ai des racines espagnoles assez fortes (mais pas andalouses : le duende, je ne connais pas !) et, par curiosité, ça m'a mis sur la piste de Gongora (je viens de commander un recueil). Donc, je n'ai pas l'impression, de la même manière, de buter contre un mur qui, en plus, n'aurait que peu d'intérêt pour moi (oui, j'avoue humblement mon indifférence à la poésie de Char, indifférence, néanmoins, qui remplace ma détestation d'hier, après une bonne nuit de sommeil).
Cela dit, ce matin, je me suis entrainé à pasticher Char.
"Ton sourire, crocodile gouleyant, surplombe le ciel crayeux que ton bras assourdit."
A vous !
- agatheNiveau 5
Séléné a écrit:On peut assister sans problème aux oraux : je l'avais fait en 2014 tout en passant mes propres épreuves. Effectivement, il faut présenter la convocation (+ pièce d'identité) et vous assistez aux épreuves orales avec un autre jury (pas avec le vôtre évidemment!).
cool, je viendrai vous voir pour les convoqués de la première vague
Sinon je trouve aussi que Garcia Lorca est un peu + accessible que les deux autres... et surtout, c'est plus court, ce qui ne gache rien !
- NatalinoNiveau 10
Le fil 2018 étant dérouillé, je poste ici ma réponse à Isidoria :
Si on résume les choses
Le MA c'est Chrétien de Troyes et Villon (mais, de fait, ils varient un peu plus, j'ai l'impression)
Le XVIème : Montaigne et Rabelais / Marot et la Pleïade
Le XVIIème : Racine/Corneille/Molière (les trois viennent de repasser en quelques années)/La Fontaine et les moralistes
Le XVIIIème : Beaumarchais/Marivaux/Les Philosophes (et Chénier quand ils sont obligés de mettre de la poésie)
Peu ou pas de femmes (j'ai même contacté l'assoc' osez le féminisme à ce propos hier), ni d'écrivains francophones.
Il me semble que le XIXème (encore que pour le théâtre, ce soit soit Hugo soit Musset uniquement) et le XXème les choix sont plus larges.
Je pense que l'idée est que ces programmes doivent servir notre enseignement et que notre enseignement doit reposer uniquement sur des auteurs canoniques, figés depuis le XIXème pour les écrivains des époques antérieures. Quelle perspective déprimante. Ainsi nous formons de futurs étudiants en lettres qui sont censés n'avoir entendu parler que de ces mêmes auteurs et qui prépareront l'agreg' sur eux ... l'enseignement aura donc joué un rôle magnifique de fixation définitive de l'histoire de la littérature.
Isidoria a écrit:J'ai des collègues qui vont en France pour passer le capès interne, ils me récupèreront ce qui est déjà arrivé. Le reste, par la force des choses, attendra juillet!
Je m'interroge sur les programmes: pourquoi y-a-t-il si régulièrement des retours d'oeuvres? N'y-a-t-il pas assez de littérature française que l'on soit condamné à étudier à répétition Montaigne, certaines pièces de Racine,...?
J'avais préparé l'externe en 2004, j'ai donc travaillé sur Esther et Athalie, il faut que je vérifie mais je pense bien avoir jeté les cours...
Si on résume les choses
Le MA c'est Chrétien de Troyes et Villon (mais, de fait, ils varient un peu plus, j'ai l'impression)
Le XVIème : Montaigne et Rabelais / Marot et la Pleïade
Le XVIIème : Racine/Corneille/Molière (les trois viennent de repasser en quelques années)/La Fontaine et les moralistes
Le XVIIIème : Beaumarchais/Marivaux/Les Philosophes (et Chénier quand ils sont obligés de mettre de la poésie)
Peu ou pas de femmes (j'ai même contacté l'assoc' osez le féminisme à ce propos hier), ni d'écrivains francophones.
Il me semble que le XIXème (encore que pour le théâtre, ce soit soit Hugo soit Musset uniquement) et le XXème les choix sont plus larges.
Je pense que l'idée est que ces programmes doivent servir notre enseignement et que notre enseignement doit reposer uniquement sur des auteurs canoniques, figés depuis le XIXème pour les écrivains des époques antérieures. Quelle perspective déprimante. Ainsi nous formons de futurs étudiants en lettres qui sont censés n'avoir entendu parler que de ces mêmes auteurs et qui prépareront l'agreg' sur eux ... l'enseignement aura donc joué un rôle magnifique de fixation définitive de l'histoire de la littérature.
- NejNiveau 5
Natalino a écrit:Le fil 2018 étant dérouillé, je poste ici ma réponse à Isidoria :Isidoria a écrit:J'ai des collègues qui vont en France pour passer le capès interne, ils me récupèreront ce qui est déjà arrivé. Le reste, par la force des choses, attendra juillet!
Je m'interroge sur les programmes: pourquoi y-a-t-il si régulièrement des retours d'oeuvres? N'y-a-t-il pas assez de littérature française que l'on soit condamné à étudier à répétition Montaigne, certaines pièces de Racine,...?
J'avais préparé l'externe en 2004, j'ai donc travaillé sur Esther et Athalie, il faut que je vérifie mais je pense bien avoir jeté les cours...
Si on résume les choses
Le MA c'est Chrétien de Troyes et Villon (mais, de fait, ils varient un peu plus, j'ai l'impression)
Le XVIème : Montaigne et Rabelais / Marot et la Pleïade
Le XVIIème : Racine/Corneille/Molière (les trois viennent de repasser en quelques années)/La Fontaine et les moralistes
Le XVIIIème : Beaumarchais/Marivaux/Les Philosophes (et Chénier quand ils sont obligés de mettre de la poésie)
Peu ou pas de femmes (j'ai même contacté l'assoc' osez le féminisme à ce propos hier), ni d'écrivains francophones.
Il me semble que le XIXème (encore que pour le théâtre, ce soit soit Hugo soit Musset uniquement) et le XXème les choix sont plus larges.
Je pense que l'idée est que ces programmes doivent servir notre enseignement et que notre enseignement doit reposer uniquement sur des auteurs canoniques, figés depuis le XIXème pour les écrivains des époques antérieures. Quelle perspective déprimante. Ainsi nous formons de futurs étudiants en lettres qui sont censés n'avoir entendu parler que de ces mêmes auteurs et qui prépareront l'agreg' sur eux ... l'enseignement aura donc joué un rôle magnifique de fixation définitive de l'histoire de la littérature.
Je n'aurais pas dit mieux et je le déplore aussi profondément..
_________________
"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- NatalinoNiveau 10
Ce qui est intéressant (et tragique), c'est que ça me semble absolument spécifique au jury de littérature des concours, constitués de plus en plus d'enseignants de prépa.
Les universitaires chercheurs depuis longtemps ont pris d'autres voies et disent par exemple, que oui Mlle de Scudery est des très grands écrivains baroques français ou que George Sand est une romancière considérable du XIXème.
Et les inspecteurs (qui constituent un autre jury à l'agrégation), je trouve, cherchent souvent à élucider la tension entre textes à absolument connaître et plaisir et curiosité pour certains ailleurs littéraires et culturels.
Les universitaires chercheurs depuis longtemps ont pris d'autres voies et disent par exemple, que oui Mlle de Scudery est des très grands écrivains baroques français ou que George Sand est une romancière considérable du XIXème.
Et les inspecteurs (qui constituent un autre jury à l'agrégation), je trouve, cherchent souvent à élucider la tension entre textes à absolument connaître et plaisir et curiosité pour certains ailleurs littéraires et culturels.
- NejNiveau 5
Oui je pense que tu soulignes bien un fonctionnement institutionnel dans lequel des conceptions s'affrontent. Je nuancerais simplement en disant que même au sein des universitaires chercheurs ces tensions se retrouvent.
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- NejNiveau 5
Zybulka a écrit:C'est vrai que ces rapports de jury ont parfois un côté un peu déprimant...Nej a écrit: Tu vois Natalino, ça devrait te faire relativiser la représentation véhiculée par les rapports de jury
Finalement, j'ai bien envie de considérer ces rapports de jury comme une littérature comme une autre, qui entretient ses propres mythes..
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- ZybulkaHabitué du forum
Et qui sera au programme de l'agreg dès qu'il y aura une nouvelle œuvre pour le 21e siècleNej a écrit:Finalement, j'ai bien envie de considérer ces rapports de jury comme une littérature comme une autre, qui entretient ses propres mythes..
- NatalinoNiveau 10
Bon, je suis officiellement en train de terminer ma lecture du programme, enfin complète.
Dieux de l'agreg, je pleure :
1. Pour le commentaire, tout sauf Montaigne.
Beaumarchais et surtout Hugo (en commentaire, ça va) plutôt que Giono, que je pense casse-gueule.
2. Pour la leçon, je pense que je pourrais m'en tirer avec Beaumarchais, le film, peut-être Hugo et Montaigne.
Je suis encore une fois méfiant vis à vis de Giono (et les vingtièmistes sont souvent tordus) et même si j'ai aimé Pizan, j'aurais peur qu'une leçon expose la maigreur de ma préparation.
3. La comparée. Pitié, pas Char.
Garcia Lorca, j'aimerais bien, a priori. Effectivement Darwich est beaucoup plus lisible que Char, et je pense que c'est le genre de texte qui peut se commenter sans une préparation monumentale (beaucoup à dire, sur les textes eux-mêmes, sans que ce soit hermétique), mais reste le problème de l'histoire du conflit israélo-palestinien, que je ne maîtrise pas du tout (et le dernier rapport sur la poésie, comparable car épique et XXème, comme d'hab', comme si la poésie se devait être action ou histoire, est très clair sur le fait qu'on doit inscrire les poèmes dans leur contexte de rédaction, pour ce type de poèmes, évidemment).
Une agrégée m'a dit qu'il y avait deux jurys :
le A étant le "classiques" (MA, XVIème et XVIIIème pour nous cette année)
le B le moderne (XIXème, XXème et film).
Donc, le jour de la convocation, on devrait être capable (ça n'est pas dans les textes, donc en fait ils font ce qu'ils veulent je suppose), de savoir quoi, du MA ou du film, on peut supprimer des révisions de dernières minutes.
Dieux de l'agreg, je pleure :
1. Pour le commentaire, tout sauf Montaigne.
Beaumarchais et surtout Hugo (en commentaire, ça va) plutôt que Giono, que je pense casse-gueule.
2. Pour la leçon, je pense que je pourrais m'en tirer avec Beaumarchais, le film, peut-être Hugo et Montaigne.
Je suis encore une fois méfiant vis à vis de Giono (et les vingtièmistes sont souvent tordus) et même si j'ai aimé Pizan, j'aurais peur qu'une leçon expose la maigreur de ma préparation.
3. La comparée. Pitié, pas Char.
Garcia Lorca, j'aimerais bien, a priori. Effectivement Darwich est beaucoup plus lisible que Char, et je pense que c'est le genre de texte qui peut se commenter sans une préparation monumentale (beaucoup à dire, sur les textes eux-mêmes, sans que ce soit hermétique), mais reste le problème de l'histoire du conflit israélo-palestinien, que je ne maîtrise pas du tout (et le dernier rapport sur la poésie, comparable car épique et XXème, comme d'hab', comme si la poésie se devait être action ou histoire, est très clair sur le fait qu'on doit inscrire les poèmes dans leur contexte de rédaction, pour ce type de poèmes, évidemment).
Une agrégée m'a dit qu'il y avait deux jurys :
le A étant le "classiques" (MA, XVIème et XVIIIème pour nous cette année)
le B le moderne (XIXème, XXème et film).
Donc, le jour de la convocation, on devrait être capable (ça n'est pas dans les textes, donc en fait ils font ce qu'ils veulent je suppose), de savoir quoi, du MA ou du film, on peut supprimer des révisions de dernières minutes.
- Kaliope45Je viens de m'inscrire !
... A la recherche de partants pour préparer l'agreg interne 2018 lettres modernes dans le département 45 pour travailler ensemble et se serrer les coudes !
- IlianaGrand sage
Oui, il y a une répartition des jurys, en effet.
Mais je ne sais pas si ça change, pour l'attribution des lettres, ou si c'est toujours cette répartition-là, pour l'ordre. Ca paraît logique, en tout cas.
Je partage tes inquiétudes, concernant les sujets...
Dans tous les cas,
Courage, force et vaillance !!!
Mais je ne sais pas si ça change, pour l'attribution des lettres, ou si c'est toujours cette répartition-là, pour l'ordre. Ca paraît logique, en tout cas.
Je partage tes inquiétudes, concernant les sujets...
Dans tous les cas,
Courage, force et vaillance !!!
_________________
Minuit passé déjà. Le feu s'est éteint et je sens le sommeil qui gagne du terrain.
Je vais m'endormir contre vous, respirer doucement, parce que je sais où nous allons désormais.
Fauve - Révérence
- CloulouteNiveau 1
Attention les admissibles aux hypothèses concernant les lettres de jury...il n'y a vraiment qu'après sa première épreuve passée (explic ou leçon) que l'on peut raisonnablement éliminer une partoe du programme (classique ou moderne).Après ma leçon sur Pascal le premier jour l'an dernier je savais par exemple que mon explic tomberait sur le bloc moderne (Zola en l'occurrence).Bon courage à vous tous ... lisez et relisez les oeuvres et essayez de passer des colles d'entrainement car il n'y a plus que ça à faire...et dites-vous que la plupart des admissibles ne se croient pas à la hauteur donc ...
- NatalinoNiveau 10
Il y a quelques années, il y avait je crois Césaire au programme en comparée. Les étudiants avaient un usuel supplémentaire pour les éclairer sur son lexique spécifique. Vous croyez que nous avons une chance d'avoir la même chose pour Darwich ... parce que franchement, je manque de références et à chaque nom propre (et commun) un peu rare, je dois consulter un dictionnaire ...
- ZybulkaHabitué du forum
Natalino, félicitations pour ta lecture du programme, tu voix (ah le terrible lapsus de béance hugolienne !!), tu es déjà plus avancé désormais que plusieurs d'entre nous !
Merci pour les infos pour les jurys. Moi aussi je croise les doigts pour éviter mes bêtes noires. Moi au contraire j'aimerais Giono en explic et Beaumarchais en leçon, c'est les deux seuls sur lesquels je me sens au point (mais finalement de moins en moins car pour rattraper mon retard sur le reste j'ai laissé ces deux-là de côté !).
Pour l'usuel de voc, honnêtement, en 2h, à mon avis, ça ferait perdre trop de temps de consulter ça. Je pense vraiment que sur cette épreuve la difficulté ce sera le temps de préparation (et ça m'embête, je n'ai fait aucun oral en comparée :/ ).
Clouloute merci pour tes encouragements !
Merci pour les infos pour les jurys. Moi aussi je croise les doigts pour éviter mes bêtes noires. Moi au contraire j'aimerais Giono en explic et Beaumarchais en leçon, c'est les deux seuls sur lesquels je me sens au point (mais finalement de moins en moins car pour rattraper mon retard sur le reste j'ai laissé ces deux-là de côté !).
Pour l'usuel de voc, honnêtement, en 2h, à mon avis, ça ferait perdre trop de temps de consulter ça. Je pense vraiment que sur cette épreuve la difficulté ce sera le temps de préparation (et ça m'embête, je n'ai fait aucun oral en comparée :/ ).
Clouloute merci pour tes encouragements !
- NejNiveau 5
Moi, je commence déjà à rentrer dans la phase de saturation, qui me fait dire : "Que n'importe quel sujet tombe, mais que ce soit fait!"
Quand j'avais consulté la liste des ouvrages disponibles en salle de préparation, cela m'avait paru très complet. Après un usuel spécial pour Darwich, aucune idée. Les candidats de la 1ère vague pourront peut-être nous éclairer là-dessus.
Quand j'avais consulté la liste des ouvrages disponibles en salle de préparation, cela m'avait paru très complet. Après un usuel spécial pour Darwich, aucune idée. Les candidats de la 1ère vague pourront peut-être nous éclairer là-dessus.
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- sifiÉrudit
Personnellement, avec tout ce que je lis depuis quelques temps, je prends les paris sur Natalino admis!
Je rêverais d'avoir un jour George Sand, Senghor par exemple au programme... ou même des œuvres de Balzac moins "canoniques" comme Sarrasine, La fille aux yeux d'or, le Chef d’œuvre inconnu...
Je rêverais d'avoir un jour George Sand, Senghor par exemple au programme... ou même des œuvres de Balzac moins "canoniques" comme Sarrasine, La fille aux yeux d'or, le Chef d’œuvre inconnu...
- JulieLHNiveau 8
Je vote pour Nej'. Composition familiale similaire oblige.sifi a écrit:Personnellement, avec tout ce que je lis depuis quelques temps, je prends les paris sur Natalino admis!
Je rêverais d'avoir un jour George Sand, Senghor par exemple au programme... ou même des œuvres de Balzac moins "canoniques" comme Sarrasine, La fille aux yeux d'or, le Chef d’œuvre inconnu...
Je plaisante. Bonne chance à tous et revenez-nous tous victorieux.
- ZybulkaHabitué du forum
Snif, personne ne veut parier sur moi... Pourtant vu mes lacunes, j'ai une bonne cote, ça pourrait rapporter gros !
- sifiÉrudit
Je n'ai pas dit que je pensais que Natalino serait le seul admis, hein!! Il me fait juste marrer avec ses "non je ne suis pas prêt, j'ai tout raté, etc etc..." (mais ce n'est pas une critique, je ne me permettrais pas! L'an prochain c'est moi qui serai comme ça.
On vous souhaite bien sûr à tous de réussir!
On vous souhaite bien sûr à tous de réussir!
- JulieLHNiveau 8
Zybulka a écrit:Snif, personne ne veut parier sur moi... Pourtant vu mes lacunes, j'ai une bonne cote, ça pourrait rapporter gros !
- NejNiveau 5
Merci aux uns et aux autres pour vos bons vœux! (JulieH, ça me ferait particulièrement plaisir d'annoncer une admission avec 3 loustics, qui rassure également celles qui sont dans la même situation au sujet de la possibilité d'une issue très heureuse à cette aventure! ) On se prend de sympathie pour les membres du forum, alors cela me ferait réellement plaisir que nous réussissions tous :thebest: Bon travail à tous pour cette deuxième semaine!
Aujourd'hui, je travaille le cinéma et Montaigne. Est-ce qu'utiliser (à propos!) le lexique cinématographique (travelling, raccord etc..) suffit à donner l'illusion que nous sommes capables d'analyser des séquences filmiques? Je crois que ça a déjà été dit, mais il faut donc bien tabler sur 1 passage du film/partie de leçon?
Aujourd'hui, je travaille le cinéma et Montaigne. Est-ce qu'utiliser (à propos!) le lexique cinématographique (travelling, raccord etc..) suffit à donner l'illusion que nous sommes capables d'analyser des séquences filmiques? Je crois que ça a déjà été dit, mais il faut donc bien tabler sur 1 passage du film/partie de leçon?
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"Je continue à croire que ce monde n'a pas de sens supérieur. Mais je sais que quelque chose en lui a du sens et c'est l'homme, parce qu'il est le seul être à exiger d'en avoir."
Albert Camus
"Nous, sur le frais tapis d'une herbe épaisse, aux bords
D'un ruisseau, mollement nous étendons nos corps.
Qu'importe à nos loisirs la richesse des marbres,
Quand le printemps nous rit à travers les grands arbres
Et sur l'herbe répand la parure des fleurs !"
Lucrèce, De Natura Rerum, II
- beloteHabitué du forum
Effectivement, en cinéma, c'est soit une leçon, soit une explication de séquence.
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