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- TivinouDoyen
Ramanujan974 a écrit:Pour chaque journaliste qui écrit une bouse sur le temps de travail des enseignants, il faudrait prendre tous les journaux de la semaine d'où provient l'article (je sais, ça ne fait pas envie de regarder 5 Figaro...), compter le nombre d'articles écrit par le scribouillard en question et extrapoler son temps de travail hebdomadaire.
Par exemple : il a écrit un article par jour, disons 2 ou 3h par article et hop : au maximum 15 h de travail hebdomadaire. On est loin de 35 h ! Quelle feignasse ! C'est une honte ! Pas étonnant que la presse a du mal à survivre, vu que ses employés ne foutent rien de la semaine !
Et s'il n'écrit qu'un jour sur deux...!
15 heures de travail hebdomadaire et 50% d'absentéisme... ils ont aussi des agrégés au Figaro!!!
- TangledingGrand Maître
Je rappelle que généralement les élèves ne décident pas eux-mêmes de venir à l'école et d'ailleurs en général si ça ne tenait qu'à eux ils ne se précipiteraient pas au collège quand ils ont la crève (certains seraient même prêts à rester chez eux même sans la crève, à ce qu'il se dit, certains le croient du moins...)Whypee a écrit:
En effet, aucun ! Comme d'habitude
J'en ai ras le bol de ces articles dénigrant ma fonction Et surtout la généralisation qui en est faite !
En 28 ans passés de carrière, j'ai eu 13 jours d'absences pour cause de grippes (x3) gentiment refilées par mes élèves. Et aucun article pour incriminer ces sauvageons qui nous contaminent...
Le problème c'est que les parents emmènent leurs enfants au collège même quand ils sont malades parce que "il ne faut pas perdre une journée de cours".
Résultat les élèves viennent même quand visiblement ils sont malades et pas en état de suivre un cours, et contagieux. Ils contaminent leurs camarades et in fine des enseignants qui se retrouvent arrêtés par leur médecin surtout quand il sait qu'on est en contact avec des enfants.
Et au lieu qu'un élève perde une journée de cours c'est plusieurs classes qui perdent plusieurs heures de cours.
J'ai expliqué ça à une de mes classes, la différence entre santé individuelle et santé publique, etc. Ca a été répété à au moins un collègue qui n'a rien trouvé de mieux à leur dire que "M. Tangleding vous incite à ne pas aller en cours."
On vit dans une société débile à peu près livrée aux passions les plus primaires par des financiers à courte vue. Bienvenue.
_________________
"Never complain, just fight."
- Plutôt que de se battre pour des miettes et des contraintes:
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- BalthamosDoyen
Tangleding a écrit:Je rappelle que généralement les élèves ne décident pas eux-mêmes de venir à l'école et d'ailleurs en général si ça ne tenait qu'à eux ils ne se précipiteraient pas au collège quand ils ont la crève.Whypee a écrit:
En effet, aucun ! Comme d'habitude
J'en ai ras le bol de ces articles dénigrant ma fonction Et surtout la généralisation qui en est faite !
En 28 ans passés de carrière, j'ai eu 13 jours d'absences pour cause de grippes (x3) gentiment refilées par mes élèves. Et aucun article pour incriminer ces sauvageons qui nous contaminent...
Le problème c'est que les parents emmènent leurs enfants au collège même quand ils sont malades parce que "il ne faut pas perdre une journée de cours".
Résultat les élèves viennent même quand visiblement ils sont malades et pas en état de faire cours, et contagieux. Ils contaminent leurs camarades et in fine des enseignants qui se retrouvent arrêtés par leur médecin surtout quand il sait qu'on est en contact avec des enfants.
Et au lieu qu'un élève perde une journée de cours c'est plusieurs classes qui perdent plusieurs heures de cours.
J'ai expliqué ça à une de mes classes, la différence entre santé individuelle et santé publique, etc. Ca a été répété à au moins un collègue qui n'a rien trouvé de mieux à leur dire que "M. Tangleding vous incite à ne pas aller en cours."
On vit dans une société débile à peu près livrée aux passions les plus primaires par des financiers à courte vue. Bienvenue.
Non, ce n'est pas parce que ' "il ne faut pas perdre une journée de cours" mais surtout parce que "mince mais qu'est ce que je vais faire de mon fiston s'il ne va pas à la
- Monsieur, je me sens mal j'ai vomi ce matin mais ma maman m'a dit de venir quand même au collège
- mais quelle bonne idée...comme ça je serai malade ce week end...
- XIIINeoprof expérimenté
Dans une société procédurière cette vilaine famille devra payer les jours de carences du professeur victime de malveillance...
- BalthamosDoyen
Est ce qu'une gastro est un accident du travail?
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- Spoiler:
- ChamilNiveau 9
Schéhérazade a écrit:http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/01/02/31001-20170102ARTFIG00167-pourquoi-l-absenteisme-des-enseignants-n-est-pas-une-fable.php
Personne ne semble avoir pris en considération le fait que l'éducation nationale se distingue des autres administrations par la faiblesse des obligations de présence de ses agents: 15 heures par semaine pour les agrégés, 18 pour les certifiés et 27 pour les professeurs des écoles. Ces obligations sont remplies en un minimum de jours, la côte de popularité d'un chef d'établissement dépendant largement de sa capacité de mettre en place les «meilleurs emplois du temps», c'est-à-dire de concentrer les heures de chacun sur quelques jours. Il n'est donc pas absurde de conjecturer que ces différents quotas sont respectivement réalisés en moyenne en 3, 4 et 4.5 jours sur 36 semaines (en négligeant le bonus des examens) et non sur 47 semaines de 5 jours comme les autres fonctionnaires. En exprimant l'absentéisme non plus en nombre de jours mais en nombre de jours par jour de présence, les enseignants ont un taux de sinistralité de 4.4% contre 3.3% pour le reste de la fonction publique d'Etat, soit un surplus de 33%.
Plus c'est grotesque, plus ça passe; âmes sensibles s'abstenir.
Un passage est particulièrement vomitif:
"Appartenant à une profession intellectuelle supérieure, ils jouissent aussi d'une espérance de vie exceptionnellement longue"
Après les privilégiés des vacances, les planqués de l'emploi à vie, les salauds des parents profs qui ont des enfants qui réussissent mieux à l'école (accusation Dubet/Diallo), les enseignants qui s'accrochent à la vie comme un ténia au système digestif.
Puisqu'on en est à ce niveau, ce "fonctionnaire" ignore-t-il le scandale (pour de vrai celui-ci) de larges pans de la santé des travailleurs de l'Education nationale, sous-traités à la MGEN?
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=77757
- ChamilNiveau 9
Balthamos a écrit:Est ce qu'une gastro est un accident du travail?
Surtout quand elle est refilée par un élève? :-)
- Madame MadoNiveau 8
Leodagan a écrit:Comme la température, il doit s'agir d'un absentéisme "ressenti"...
Absolument ! Quand j'entends parler de l'absentéisme des profs autour de moi c'est toujours par quelqu'un qui a/a eu/a dans son entourage un môme dont un prof est absent.
C'est marrant mais dans d'autres secteurs (les impôts, la poste, les ministères,
- Madame MadoNiveau 8
Chamil a écrit:Schéhérazade a écrit:http://www.lefigaro.fr/vox/politique/2017/01/02/31001-20170102ARTFIG00167-pourquoi-l-absenteisme-des-enseignants-n-est-pas-une-fable.php
Personne ne semble avoir pris en considération le fait que l'éducation nationale se distingue des autres administrations par la faiblesse des obligations de présence de ses agents: 15 heures par semaine pour les agrégés, 18 pour les certifiés et 27 pour les professeurs des écoles. Ces obligations sont remplies en un minimum de jours, la côte de popularité d'un chef d'établissement dépendant largement de sa capacité de mettre en place les «meilleurs emplois du temps», c'est-à-dire de concentrer les heures de chacun sur quelques jours. Il n'est donc pas absurde de conjecturer que ces différents quotas sont respectivement réalisés en moyenne en 3, 4 et 4.5 jours sur 36 semaines (en négligeant le bonus des examens) et non sur 47 semaines de 5 jours comme les autres fonctionnaires. En exprimant l'absentéisme non plus en nombre de jours mais en nombre de jours par jour de présence, les enseignants ont un taux de sinistralité de 4.4% contre 3.3% pour le reste de la fonction publique d'Etat, soit un surplus de 33%.
Plus c'est grotesque, plus ça passe; âmes sensibles s'abstenir.
Un passage est particulièrement vomitif:
"Appartenant à une profession intellectuelle supérieure, ils jouissent aussi d'une espérance de vie exceptionnellement longue"
Après les privilégiés des vacances, les planqués de l'emploi à vie, les salauds des parents profs qui ont des enfants qui réussissent mieux à l'école (accusation Dubet/Diallo), les enseignants qui s'accrochent à la vie comme un ténia au système digestif.
Puisqu'on en est à ce niveau, ce "fonctionnaire" ignore-t-il le scandale (pour de vrai celui-ci) de larges pans de la santé des travailleurs de l'Education nationale, sous-traités à la MGEN?
http://www.education.gouv.fr/pid25535/bulletin_officiel.html?cid_bo=77757
Vomitif en effet.
- User17706Bon génie
Il est pourtant simple d'y remédier au moins en partie, par une utilisation habile des cantines scolaires.
- maikreeeesseGrand sage
Merci PauvreYorick
- trompettemarineMonarque
Que ce monsieur aille jusqu'au bout de son raisonnement...
Autant supprimer l'éducation nationale, il n'y aura plus de professeurs absents.
Quitte à écrire autant de c****, il faut aller jusqu'au bout.
Il manque quand même un paragraphe sur les femmes, parce que quand même, si la profession n'était pas féminisée à ce point, il y aurait moins de congés maternité, et l'Etat ne serait pas obligé de faire autant appel à de couteux remplaçants.
Cherchons encore d'autres arguments pour aider ce monsieur.
Ah oui ! sans compter qu'ils sont toujours en grève...
Oh ! Et toutes ces femmes d'entrepreneurs riches qui prennent un temps partiel pour s'occuper alors qu'elles pourraient tenir leur foyer et libérer des emplois.
J'arrête de chercher, cela fait tellement d'années qu'on nous ressort ces sempiternelles âneries !
Autant supprimer l'éducation nationale, il n'y aura plus de professeurs absents.
Quitte à écrire autant de c****, il faut aller jusqu'au bout.
Il manque quand même un paragraphe sur les femmes, parce que quand même, si la profession n'était pas féminisée à ce point, il y aurait moins de congés maternité, et l'Etat ne serait pas obligé de faire autant appel à de couteux remplaçants.
Cherchons encore d'autres arguments pour aider ce monsieur.
Ah oui ! sans compter qu'ils sont toujours en grève...
Oh ! Et toutes ces femmes d'entrepreneurs riches qui prennent un temps partiel pour s'occuper alors qu'elles pourraient tenir leur foyer et libérer des emplois.
J'arrête de chercher, cela fait tellement d'années qu'on nous ressort ces sempiternelles âneries !
- User17706Bon génie
Et puis ils loupent les rentrées pour cause de stage de poterie. (Allègre l'avait faite, celle-là.)
- HocamSage
Non mais, les enfants, préservons notre santé pour éviter d'être en arrêt la semaine prochaine, oublions ce monsieur.
- trompettemarineMonarque
PauvreYorick a écrit:Et puis ils loupent les rentrées pour cause de stage de poterie. (Allègre l'avait faite, celle-là.)
- ZagaraGuide spirituel
Ce n'est pas de l'absentéisme, c'est l'application de la loi. -_-
Comme dire "les salariés ne sont pas 7j/7 24h/24 au boulot, mais seulement 38h par semaine, donc ils ont 130h d'absentéisme par semaine". Ce n'est même plus idiot, c'est débile.
Comme dire "les salariés ne sont pas 7j/7 24h/24 au boulot, mais seulement 38h par semaine, donc ils ont 130h d'absentéisme par semaine". Ce n'est même plus idiot, c'est débile.
- User17706Bon génie
J'ai vu les deux profs visés le jour de la rentrée en question, je peux garantir qu'ils étaient là, d'une part, et d'autre part que leurs mains n'étaient nullement argileuses.trompettemarine a écrit:PauvreYorick a écrit:Et puis ils loupent les rentrées pour cause de stage de poterie. (Allègre l'avait faite, celle-là.)
- archebocEsprit éclairé
Bon, je vais ramer à contre-courant : la légitimité du calcul imaginé ici ne me semble pas aberrante. C'est le calcul lui-même qui me semble foireux. Il me semblait avoir lu ailleurs que si on prenait en compte la spécificité du service des enseignants, on obtenait des chiffres de congés maladie semblables à celui des autres fonctionnaires.
- User17706Bon génie
Ben on a le droit de calculer tout ce qu'on veut pourvu qu'on le fasse correctement. Le type peut même calculer le nombre de poils du derrière moyen d'un professeur, ça ne me gêne nullement, mais qu'il s'y mette avec sérieux, c'est tout ce qu'on lui demande
- Dame JouanneÉrudit
J'aimerai bien que quelqu'un m'explique comment il obtient "un taux de sinistralité de 4.4% " avec ce qu'il énonce au départ (ou alors c'est moi qui avec l'heure tardive ne sait plus calculer)archeboc a écrit:Bon, je vais ramer à contre-courant : la légitimité du calcul imaginé ici ne me semble pas aberrante. C'est le calcul lui-même qui me semble foireux. Il me semblait avoir lu ailleurs que si on prenait en compte la spécificité du service des enseignants, on obtenait des chiffres de congés maladie semblables à celui des autres fonctionnaires.
- EnaecoVénérable
Madame Mado a écrit:Leodagan a écrit:Comme la température, il doit s'agir d'un absentéisme "ressenti"...
Absolument ! Quand j'entends parler de l'absentéisme des profs autour de moi c'est toujours par quelqu'un qui a/a eu/a dans son entourage un môme dont un prof est absent.
C'est marrant mais dans d'autres secteurs (les impôts, la poste, les ministères,le sénat,les députésles secrétaires de mairies, les conseillers d'orientation, les CPE, les cuisiniers.... ben personne ne sait.
Les parents ont aussi beaucoup tendance à raisonner en terme de cours manqués par leurs gamins et donc regrouper sous "absentéisme" tous les motifs. Et c'est vrai que de ce point de vue, les absences chiffrent vite sur une année !
Personnellement, sur les dernières années, je n'ai jamais pris d'arrêt maladie mais j'ai loupé en moyenne 6 ou 7 journée de cours (journées de formation, concours, préparation et jury des ECE, jury des TPE).
Quand je regarde ma petite dizaine de classes, une seule n'a pas eu sur le premier trimestre de "problème de prof". J'entends par là absence de prof nommé, arrêts maladie fréquents sans remplacement, congés maternité.
- CathEnchanteur
Un emploi du temps sur 4 jours ? Le mien est sûr 4.5... Est ce que ça me donne droit à du rab d "absentéisme "?
- jésusFidèle du forum
Bon, C'est hallucinant.
Tout est lié. Si des élèves sont sans prof, c'est aussi parce qu'il y a de plus en plus de démissions, aussi parce que des postes sont non-pourvus aux concours. Quantité de stagiaires craquent et font des burn-out.
Aussi parce que les services de remplacements du rectorat font leur travail de manière étrange. ( cf le topic des remplaçants qui sont rayés des listes parce qu'ils refusent un poste qui ne correspond pas à leurs voeux. Des CDE ou des directeurs qui ne s'accordent pas pour rendre compatibles des heures de cours entre plusieurs établissements.) Des TZR qui restent sans affectation. Des remplaçants qui n'ont même pas les moyens de se rendre sur leur poste. Des enseignants sans permis envoyés à Perpète les Oies sans transport en commun. Et j'en passe.
Déjà ramener toutes les absences de prof à de véritables absences ne tient pas.
Tout est lié. Si des élèves sont sans prof, c'est aussi parce qu'il y a de plus en plus de démissions, aussi parce que des postes sont non-pourvus aux concours. Quantité de stagiaires craquent et font des burn-out.
Aussi parce que les services de remplacements du rectorat font leur travail de manière étrange. ( cf le topic des remplaçants qui sont rayés des listes parce qu'ils refusent un poste qui ne correspond pas à leurs voeux. Des CDE ou des directeurs qui ne s'accordent pas pour rendre compatibles des heures de cours entre plusieurs établissements.) Des TZR qui restent sans affectation. Des remplaçants qui n'ont même pas les moyens de se rendre sur leur poste. Des enseignants sans permis envoyés à Perpète les Oies sans transport en commun. Et j'en passe.
Déjà ramener toutes les absences de prof à de véritables absences ne tient pas.
- stenchMonarque
mistinguette a écrit:Et là toujours rien? On laisse dire en commentant entre nous le manque de professionnalisme de laricla avec une visibilite Nulle? Un humoriste fait un sketch pas drôle sur les handicapé à, hop tribunal, et là? parceque ça commence à bien faire le prof Bashing.
Tiens, je vais rester couché. Je suis contrarié. Paraît que c'est pas un problème!
Entièrement de ton avis.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- DanskaProphète
Enaeco a écrit:Madame Mado a écrit:Leodagan a écrit:Comme la température, il doit s'agir d'un absentéisme "ressenti"...
Absolument ! Quand j'entends parler de l'absentéisme des profs autour de moi c'est toujours par quelqu'un qui a/a eu/a dans son entourage un môme dont un prof est absent.
C'est marrant mais dans d'autres secteurs (les impôts, la poste, les ministères,le sénat,les députésles secrétaires de mairies, les conseillers d'orientation, les CPE, les cuisiniers.... ben personne ne sait.
Les parents ont aussi beaucoup tendance à raisonner en terme de cours manqués par leurs gamins et donc regrouper sous "absentéisme" tous les motifs. Et c'est vrai que de ce point de vue, les absences chiffrent vite sur une année !
Personnellement, sur les dernières années, je n'ai jamais pris d'arrêt maladie mais j'ai loupé en moyenne 6 ou 7 journée de cours (journées de formation, concours, préparation et jury des ECE, jury des TPE).
Quand je regarde ma petite dizaine de classes, une seule n'a pas eu sur le premier trimestre de "problème de prof". J'entends par là absence de prof nommé, arrêts maladie fréquents sans remplacement, congés maternité.
A ce propos, est-ce que les absences pour formation, jury, etc., sont comptées comme de "vraies" absences ? Ou plus précisément, sous quel motif, ou de quelle façon, sont-elles enregistrées, d'un point de vue administratif et statistique ?
- TivinouDoyen
1) Ceux qui ont fait ces calculs ont bien du tenir compte des vacaaaances dans leurs statistiques (ou alors ce sont des incompétents!). Donc l'article n'a en soi pas de sens.
2) Les absences pour formation ... sont comptabilisées autrement: toutes vos absences sont comptabilisées dans Iprof -je ne sais plus quel onglet-! Allez voir, vous retrouverez votre maladie de janvier 2001, celle de novembre 2005...
Et accessoirement ça vous permettra peut-être (je vous le souhaite!) de remarquer que vous êtes vraiment en retard questions jours d'arrêts: il est grand temps de prendre quelques semaines de maladie pour coller aux chiffres!!!
Et comme nous sommes en janvier: bonne année, bonne santé.
2) Les absences pour formation ... sont comptabilisées autrement: toutes vos absences sont comptabilisées dans Iprof -je ne sais plus quel onglet-! Allez voir, vous retrouverez votre maladie de janvier 2001, celle de novembre 2005...
Et accessoirement ça vous permettra peut-être (je vous le souhaite!) de remarquer que vous êtes vraiment en retard questions jours d'arrêts: il est grand temps de prendre quelques semaines de maladie pour coller aux chiffres!!!
Et comme nous sommes en janvier: bonne année, bonne santé.
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