- AmaliahEmpereur
Moi non plus, Modiano, ce n'est pas ma tasse de thé. Tout m'ennuie profondément.
- Tem-toGrand sage
Porfondément c'est un peu fort, mais dans les grandes lignes, je vous rejoins même s'il y a de très beaux passages.Amaliah a écrit:Moi non plus, Modiano, ce n'est pas ma tasse de thé. Tout m'ennuie profondément.
- AmaliahEmpereur
Ce n'est que mon avis personnel qui n'engage donc que moi et qui a priori est loin d'être partagé, mais je maintiens mon "profondément".
- JennyMédiateur
LadyC a écrit:Enfin, last but not least, pour le défi 15 (le premier livre d'une série de romans (même personnage principal)), j'ai découvert avec délice, d'Elena FERRANTE, L'amie prodigieuse. Coup de coeur. Les premières pages ne m'ont rien dit (espèce d'introduction hors de l'histoire principale), mais dès que commence le récit de l'enfance, on "tombe" dans le monde évoqué par la narratrice, celui des quartiers pauvres du Naples de la fin des années 50. La chronologie n'est pas toujours respectée, les flash-back contribuant à la construction de l'histoire et des personnages (celui de l' "amie", Lila, et celui de la narratrice, qui se découvre et s'analyse en parallèle de son amie), mais la narration est très maîtrisée. J'ai craint au départ, un peu méfiante, une narratrice pâlotte, effacée devant l'amie qui la subjugue, et toujours en situation d'infériorité, mais l'équilibre entre elles est bien plus subtil. L'analyse des jeunes filles, de l'enfance à la vingtaine, est fascinante. Pour ne rien gâcher, la fin est magistrale - et laisse le lecteur à la fois frustré et ravi à l'idée de poursuivre avec les tomes suivants (Le nouveau nom et Celle qui fuit et celle qui reste). Miam !
Même choix pour le défi 15 (le premier livre d'une série de romans (même personnage principal)) : Elena Ferrante, L'amie prodigieuse et mêmes impressions. J'ai hâte de lire la suite des aventures de Lila et Lenu. (Et il y'a aussi un tome 4, qui n'est pas encore traduit en français).
Pour le défi 28, Un livre qui évoque (ou dont le titre évoque) un bijou ou une pierre précieuse - Truman Capote, La guitare de diamants. Il s'agit d'un petit recueil de trois nouvelles. Dans la première, un patron de magasin tente de lutter contre la concurrence en lançant un jeu concours : une bonbonne de bonbons est remplie de pièces, celui qui trouvera la somme totale aura gagné l'argent. Un jeune garçon, surnommé Pépin-de-Pomme vient fixer tous les jours la bonbonne pour compter les pièces. Dans la seconde, la vie d'une prison est bouleversée par l'arrivée d'un prisonnier qui possède une guitare recouverte de diamants de verre. Il fascine Mr Schaeffer, considéré comme l'homme le plus important de la prison : il est un des rares à savoir lire et est donc chargé par les autres prisonniers de lire le courrier, lettres qu'il enjolive pour améliorer leur quotidien. Dans la dernière nouvelle, que j'ai moins aimée, une prostituée tombe amoureuse et quitte la maison close...
- AmaliahEmpereur
J'ai lu l'an dernier L'Amie prodigieuse, pensant qu'il y avait là tous les ingrédients pour que j'adore et j'ai été très déçue en fin de compte. Je ne me suis pas régalée, je ne suis pas rentrée dedans. La seule chose que j'ai trouvée géniale, c'était, comme tu le dis, LadyC, la scène finale que j'ai imaginée en film immédiatement! Une fin magistrale, en plein suspence!
- SoirHabitué du forum
Pour l'item 1 (un livre avec plusieurs narrateurs) : Dans les bois éternels de Fred Vargas. J'admets que le point de vue de Adamsberg est majoritaire. Poursuite d'une Ombre, évasion de prison d'une vieille infirmière meurtrière, tombes profanées, sacrifices d'animaux, cadavres égorgés... pas de quoi s'ennuyer !
- miss sophieExpert spécialisé
40e défi relevé ! https://www.neoprofs.org/t107801p25-le-neo-defi-lecture-2017-les-listes-des-participants#3932251
Pour l'item 23 (un auteur d'Océanie) et aussi les 14 (guerre), 18 (histoire de l'Europe), 46 (relation parent-enfant), 47 (mot "livre" dans le titre) : La voleuse de livres de Markus Zusak (2005), qui raconte l'histoire d'une enfant en Allemagne pendant la Seconde guerre mondiale. Malgré ses thèmes, une lecture agréable ; les personnages sont attachants, la narration originale (la narratrice n'est autre que la Mort), légèreté et gravité s'emmêlent.
Pour l'item 23 (un auteur d'Océanie) et aussi les 14 (guerre), 18 (histoire de l'Europe), 46 (relation parent-enfant), 47 (mot "livre" dans le titre) : La voleuse de livres de Markus Zusak (2005), qui raconte l'histoire d'une enfant en Allemagne pendant la Seconde guerre mondiale. Malgré ses thèmes, une lecture agréable ; les personnages sont attachants, la narration originale (la narratrice n'est autre que la Mort), légèreté et gravité s'emmêlent.
- PointàlaligneExpert
C'est vraiment bien, Une Odeur de gingembre d'O. Wynd. La biographie de l'auteur, que je vous laisse découvrir, n'est pas banale.
Je l'ai lu pour le dévi "un livre qui parle d'odeur", mais il y est plus question de la puanteur des ruelles chinoises au début du siècle dernier que de celle du titre...
Je l'ai lu pour le dévi "un livre qui parle d'odeur", mais il y est plus question de la puanteur des ruelles chinoises au début du siècle dernier que de celle du titre...
- PointàlaligneExpert
Bon, j'en suis à la fin avec 49 livres lus - j'ai un peu triché pour le 50ème défi en glissant les 4 prénoms dans les 49 choix précédents... Trop de mal à choisir et aussi tristesse de voir que les prénoms féminins étaient si rares, en tout cas dans les catégories sociales dont je suis issue, parmi les prénoms d'auteurs.
J'ai beaucoup aimé faire ce défi et je rejoue l'an prochain :chat:
J'ai beaucoup aimé faire ce défi et je rejoue l'an prochain :chat:
- NasopiBon génie
J'ai fini moi aussi avec, pour mon 50e défi (le premier livre d'une série de romans : même personnage principal) le premier San-Antonio : Réglez-lui son compte !
_________________
"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- PointàlaligneExpert
Merci Tem-to et Soir :flower:
Bravo Nasopi !
Bravo Nasopi !
- Tem-toGrand sage
Tu lui as réglé son compte à ce défi, bravo Nasopi !
- NasopiBon génie
Merci !
Et bravo à toi aussi, Pointàlaligne.
Et bravo à toi aussi, Pointàlaligne.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Tem-toGrand sage
Nasopi, Béru était déjà dans le premier San-Antonio ?
- NasopiBon génie
Non, je ne l'ai pas croisé.
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"Donne-moi la sérénité nécessaire pour accepter telles qu’elles sont les choses qu’on ne peut pas changer, donne-moi le courage de changer celles qui doivent l’être ; donne-moi la sagesse qui permet de discerner les unes et les autres." (Marc-Aurèle)
- Tem-toGrand sage
Dommage ou sans doute tant mieux pour toi
Merci du renseignement.
Merci du renseignement.
- PointàlaligneExpert
Merci Nasopi, et merci Miss Sophie - ainsi que pour toutes les bonnes idées distillées sur ce fil...
Tem-to, poussée par la curiosité, je viens d'aller lire la fiche wikipédia de Bérurier. Il apparaît dans Des Clientes pour la morgue... Et la fiche donne la liste de ses surnoms
Tem-to, poussée par la curiosité, je viens d'aller lire la fiche wikipédia de Bérurier. Il apparaît dans Des Clientes pour la morgue... Et la fiche donne la liste de ses surnoms
- Tem-toGrand sage
Merci Pointàlaligne, je viens d'aller voir !
Wouah, Béru a les honneurs de Wiki ! Le kif d'enfer et d'entelles !!! Saint Frédéric, revient Dard-dard !
Merci d'avoir défouraillé ça Pointàlaligne, c'est du genre à ouvrir un nouveau paragraphe dans ma vie...
...avec alinéa !
(quel bonheur, plus un seul de mes 5e ne l'oublie !)
Wouah, Béru a les honneurs de Wiki ! Le kif d'enfer et d'entelles !!! Saint Frédéric, revient Dard-dard !
Merci d'avoir défouraillé ça Pointàlaligne, c'est du genre à ouvrir un nouveau paragraphe dans ma vie...
...avec alinéa !
(quel bonheur, plus un seul de mes 5e ne l'oublie !)
- liskayaNeoprof expérimenté
Bravo à ceux qui finissent le défi !
Pour ma part : 14/50
J'ajoute
Les Nuits de San Fransisco de Caryl Férey pour le récit de fuit. J'ai bien aimé, mais c'est vraiment un très court récit pour le coup !
Un livre déjà lu, et relu, et re-relu : les Fourberies de Scapin.
Un livre sans chapitre : Vernon Subutex 1, de Virginie Despentes. J'ai bien aimé. Je serai contente de lire la suite, mais pas tout de suite.
Pour ma part : 14/50
J'ajoute
Les Nuits de San Fransisco de Caryl Férey pour le récit de fuit. J'ai bien aimé, mais c'est vraiment un très court récit pour le coup !
Un livre déjà lu, et relu, et re-relu : les Fourberies de Scapin.
Un livre sans chapitre : Vernon Subutex 1, de Virginie Despentes. J'ai bien aimé. Je serai contente de lire la suite, mais pas tout de suite.
- PointàlaligneExpert
Tem-to a écrit: Le kif d'enfer et d'entelles !!! Saint Frédéric, revient Dard-dard !
- MalagaModérateur
14e défi relevé aussi pour moi.
Une saga familiale : j'ai lu Lontano de Jean-Christophe Grangé.
Nous suivons une famille, la famille Morvan. Le père est un barbouze de la République ; Erwan, le fils aîné, est flic au 36 quai des Orfèvres ; Loïc, le cadet, est un homme d'affaires accro à la coke ; Gaëlle, la benjamine, est une future actrice qui vend ses charmes en attendant le grand rôle. Cette famille qui a notamment vécu en Afrique va être mêlée à une histoire de meurtre où les victimes sont, entre autres, criblées de clous.
J'ai eu un peu de mal au départ car la multiplication des personnages, qui n'est pas habituelle chez Grangé, me perdait un peu. Les histoires d'actions, de vente, de business de Loïc, m'ont franchement ennuyée et n'apportent rien à l'histoire. Evidemment, on a encore un meurtrier très tordu, un flic solitaire et torturé, des descriptions de paysages très vivantes. Peut-être que Grangé aurait pu resserrer son histoire pour la rendre plus palpitante. La fin est bien fichue et les toutes dernières pages semblent appeler une suite.
Une saga familiale : j'ai lu Lontano de Jean-Christophe Grangé.
Nous suivons une famille, la famille Morvan. Le père est un barbouze de la République ; Erwan, le fils aîné, est flic au 36 quai des Orfèvres ; Loïc, le cadet, est un homme d'affaires accro à la coke ; Gaëlle, la benjamine, est une future actrice qui vend ses charmes en attendant le grand rôle. Cette famille qui a notamment vécu en Afrique va être mêlée à une histoire de meurtre où les victimes sont, entre autres, criblées de clous.
J'ai eu un peu de mal au départ car la multiplication des personnages, qui n'est pas habituelle chez Grangé, me perdait un peu. Les histoires d'actions, de vente, de business de Loïc, m'ont franchement ennuyée et n'apportent rien à l'histoire. Evidemment, on a encore un meurtrier très tordu, un flic solitaire et torturé, des descriptions de paysages très vivantes. Peut-être que Grangé aurait pu resserrer son histoire pour la rendre plus palpitante. La fin est bien fichue et les toutes dernières pages semblent appeler une suite.
_________________
J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- miss sophieExpert spécialisé
Quelques doublons :
Pour les défis 19 (auteur d'Amérique), 37 (policier) et 36 (héros frères ou sœurs) : Jusqu'à l'impensable de Michael Connelly (2015), où l'on retrouve l'inspecteur Harry Bosch maintenant à la retraite qui aide son demi-frère avocat, Mickey Haller, à innocenter son client. Un policier assez classique qui se lit avec plaisir.
Pour les défis 36 (saga familiale), 40 (le paysage compte) et 43 (Disparition) : Les disparus du Clairdelune, 2e tome de La passe-miroir de Christelle Dabos (2015). Un 2e pavé que j'ai dévoré pour avoir quelques réponses aux questions soulevées dans le 1er tome. Illusions créées par les Mirages, pièces qui se superposent, miroirs qui permettent de se déplacer, décidément, le paysage compte dans cet univers très particulier... L'intrigue s'oriente davantage vers les "esprits de famille" des clans, ces frères et sœurs immortels, et sur les pouvoirs de leur descendance. L'héroïne est toujours très attachante.
Pour les défis 19 (auteur d'Amérique), 37 (policier) et 36 (héros frères ou sœurs) : Jusqu'à l'impensable de Michael Connelly (2015), où l'on retrouve l'inspecteur Harry Bosch maintenant à la retraite qui aide son demi-frère avocat, Mickey Haller, à innocenter son client. Un policier assez classique qui se lit avec plaisir.
Pour les défis 36 (saga familiale), 40 (le paysage compte) et 43 (Disparition) : Les disparus du Clairdelune, 2e tome de La passe-miroir de Christelle Dabos (2015). Un 2e pavé que j'ai dévoré pour avoir quelques réponses aux questions soulevées dans le 1er tome. Illusions créées par les Mirages, pièces qui se superposent, miroirs qui permettent de se déplacer, décidément, le paysage compte dans cet univers très particulier... L'intrigue s'oriente davantage vers les "esprits de famille" des clans, ces frères et sœurs immortels, et sur les pouvoirs de leur descendance. L'héroïne est toujours très attachante.
- LédisséEsprit sacré
Pour le défi 34 (un livre original dans sa forme) : Julio CORTAZAR, Marelle.
Original parce qu'il peut se lire de deux manières :
- "normalement", du chapitre 1 au chapitre 56, en laissant tomber la suite
- en suivant le jeu de "marelle" qui fait commencer au chapitre 73 et enchaîner sur le chapitre dont le numéro est indiqué à la fin du susdit chapitre 73, etc.
Certains chapitres sont narratifs, d'autre théoriques (type essai). Certains chapitres théoriques sont des "morelliennes" (écrits par un certain Morelli, ou commentant des passages de Morelli), ce qui rejoint la fiction, puisque Morelli est un critique/philosophe apprécié des personnages. Ceux-ci sont des jeunes gens plus ou moins en quête d'un sens à la vie et à l'art.
Peu de plaisir de lecture du fait du style parfois abscons, des actions / réactions / événements improbables. Mais cela reste un ouvrage "intéressant", que je ne regrette pas d'avoir lu, ne serait-ce que pour sa réflexion sur la littérature. Son défaut, à mes yeux, est celui d'une lourdeur que je retrouve chez tous les auteurs ayant voulu se démarquer de l'esthétique "traditionnelle" du roman, révolutionner l'art littéraire. Appréciation qui m'est personnelle, bien sûr.
Original parce qu'il peut se lire de deux manières :
- "normalement", du chapitre 1 au chapitre 56, en laissant tomber la suite
- en suivant le jeu de "marelle" qui fait commencer au chapitre 73 et enchaîner sur le chapitre dont le numéro est indiqué à la fin du susdit chapitre 73, etc.
Certains chapitres sont narratifs, d'autre théoriques (type essai). Certains chapitres théoriques sont des "morelliennes" (écrits par un certain Morelli, ou commentant des passages de Morelli), ce qui rejoint la fiction, puisque Morelli est un critique/philosophe apprécié des personnages. Ceux-ci sont des jeunes gens plus ou moins en quête d'un sens à la vie et à l'art.
Peu de plaisir de lecture du fait du style parfois abscons, des actions / réactions / événements improbables. Mais cela reste un ouvrage "intéressant", que je ne regrette pas d'avoir lu, ne serait-ce que pour sa réflexion sur la littérature. Son défaut, à mes yeux, est celui d'une lourdeur que je retrouve chez tous les auteurs ayant voulu se démarquer de l'esthétique "traditionnelle" du roman, révolutionner l'art littéraire. Appréciation qui m'est personnelle, bien sûr.
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Life is what happens to you while you're making other plans. John Lennon
Life is not governed by will or intention. Life is a question of nerves, and fibres, and slowly built-up cells in which thought hides itself and passion has its dreams. Oscar Wilde
Bien que femme, je me suis permis_ / demandé_ / rendu_ compte / fait_ désirer... etc._
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