Le Neo-défi lecture 2017 - Ici, on papote !

Dimka, cela t'arrive de dormir? Ton rythme de lecture me paraît surhumain!

Je suis surprise de voir Riad Sattouf comme auteur syrien dans vos listes , ce serait un peu comme Guillaume Apollinaire poète polonais ou Napoléon personnage historique italien ...

Pour l'instant, je n'ai lu que pour le boulot depuis le début de l'année, vivement les vacances!

Je participe pour la première fois à ce défi et j'apprécie de lire vos commentaires qui donnent des idées!
J'ai adoré Ne tirez pas sur l'oiseau moqueur, que j'ai offert copieusement autour de moi.
J'ai mis Orages ordinaires de William Boyd dans la catégorie disparition. C'est un livre qui se lit tout seul, j'ai trouvé l'intrigue très prenante : un homme par un concours de circonstances assiste à la mort d'un aurte homme, assassiné. Par peur de la police et du tueur, il va devoir disparaître aux yeux de tout le monde.
Je viens de finir Petit pays, que j'ai finalement mis dans la catégorie chanteur. Il faut donc que je trouve un autre auteur primé en 2016, j'aime beaucoup devoir fouiner pour relever les défis.
J'ai aimé Petit Pays, l'écriture est simple mais touchante, et il y a pas mal de tension dans la deuxième moitié.

Pour l'auteur primé en 2016, je trouve Le garçon de Marcus Malte magnifique (prix Médicis) : http://www.zulma.fr/livre-le-garcon-572140.html (Ca marche aussi pour un livre sur la guerre).

Tem-to a écrit:

Amaliah a écrit:Les 20 dans l'année, Tem-to, je ne sais pas comment tu as fait! Mon objectif est de les terminer avant mes 40 ans!

En lecture je n'ai fait que ça. Je me l'étais toujours promis. Je ne regrette vraiment pas même si, des fois, c'est dur !
"Son excellence ER" est un de mes préférés. J'ai diablement envie de spoiler...

Et ben on est deux ! Moi aussi, celui-là je l'ai adoré, mes autres chouchoux étant L'Assommoir (classique !), Une page d'amour et surtout La Curée (ah ! la serre exotique ...). Celui que j'ai le moins aimé : La faute de l'abbé Mouret.

Kak a écrit:Dimka, cela t'arrive de dormir? Ton rythme de lecture me paraît surhumain!

Je suis surprise de voir Riad Sattouf comme auteur syrien dans vos listes , ce serait un peu comme  Guillaume Apollinaire poète polonais ou Napoléon personnage historique italien ...

Pour l'instant, je n'ai lu que pour le boulot depuis le début de l'année, vivement les vacances!

C'est bien connu : Dimka ne dort pas. Jamais. Même pas sous la douche froide megabrr. Mais il mange. Beaucoup. Enormément. En lisant, peut-être ?? :blague:

Agrippina furiosa a écrit:

Tem-to a écrit:

Amaliah a écrit:Les 20 dans l'année, Tem-to, je ne sais pas comment tu as fait! Mon objectif est de les terminer avant mes 40 ans!

En lecture je n'ai fait que ça. Je me l'étais toujours promis. Je ne regrette vraiment pas même si, des fois, c'est dur !
"Son excellence ER" est un de mes préférés. J'ai diablement envie de spoiler...

Et ben on est deux ! Moi aussi, celui-là je l'ai adoré, mes autres chouchoux étant L'Assommoir (classique !), Une page d'amour et surtout La Curée (ah ! la serre exotique ...). Celui que j'ai le moins aimé : La faute de l'abbé Mouret.

Dans chacun des vingt romans, si on n'accroche pas à l'histoire, il y a plusieurs passages qui sont des merveilles à sortir des diégèses proprement dites.

Par exemple : les veillées dans les campagne sous les monarchies, la censure en littérature au cabinet du Premier ministre, la gabegie financière publique (le baptême du fils de Naopéon III, la vie de la cour à Compiègne, le bal à la préfecture), l'évolution économique de l'agriculture, du commerce grands (halles et grands magasins), ou petit, l'artisanat, la surveillance des opinions politiques, le monde minier, celui ferroviaire, l'esprit de préfecture et sous-préfecture, l'omnipotence du receveur des postes, la folie des pulsions sexuelles, l'irrépressible soif de pouvoir, l'inétanchable soif d'argent, l'hypocrisie des causes humanitaires, la fidèlité au deuil... je ne peux pas aller chercher mes volumes maintenant mais ça déborde d'analyses certainement pertinente à l'époque et tout cela écrit d'une façon... Je crois qu'il n'y a qu'un thème qu'il n'a pas affronté, c'est celui de la pêche en mer.
Connaissant le ton général de la saga, quelle n'a pas été ma surprise en lisant dans La Débâcle la compassion, presque la sympathie dont Zola semble faire preuve vis à vis de la Napoléon III quand il va se soumettre aux Prussiens.
Dans le très élégant Une page d'amour, chaque chapitre se ferme sur une description de Paris toujours différente avec des changements de lumière, de météo, de point de vue. Le Rêve, mon dieu (c'est le cas de le dire) quelle délicatesse, c'est Cendrillon revisité ! Cette petite fille dont on assiste dans La joie de vivre à l'évolution jusqu'à l'âge adulte dans le sacrifice de l'amour, quel don de soi envers tout son entourage jusqu'aux enfants miséreux qui lui sont étrangers !
Aristide Saccard, quel personnage de La Curée à L'Argent et sans doute pour moi le plus beau personnage de femme de de Zola, celle qui sait ce qu'il est mais qui ne peut s'empêcher d'en rester amourachée.

Bon j'arrête là, sur Zola, je suis inarrêtable, sans parler de sa vie, de ses rapports avec Flaubert, Maupassant, les frères Goncourt, les peintres, tous ses disciples naturalistes qui finiront par s'éloigner de lui. S'il devait n'y avoir qu'un écrivain dans la deuxième partie du XIXe, c'est lui. Et Flaubert, pour d'autres raisons. Et Barbey d'Aurevilly pour le côté réactionnaire. Et Hugo pour le prophètisme et la lutte sociale. Et Huysmans pour le glissement vers le décadentisme qu'il effleure avant de rétropédaler comme un fou. Je crois que c'est Barbey qui avait dit " pour lui, ce sera une balle dans la tête, ou la génuflexion au pied de la croix". Il a choisi.
Bon, finalement dans cet hallucinante production littéraire initiée par Balzac, parcimonieusement entretenue par Stendhal, l'est pas si seul que ça le Zola : y'a aussi les zautres "petits maîtres" !

Sei, moi aussi je suis fan de Laura Ingalls. Je me souviens encore de la première fois où j'ai lu La petite maison dans les grands bois: j'avais été déroutée parce que ça ne ressemblait pas à la série et j'avais finalement adoré.
Les Mémoires d'Outre Tombe que je lis en monument: pour le moment j'en suis à juillet 1789: c'est intéressant, pas ennuyeux comme je le pensais, seulement c'est vraiment long: j'en suis à la moitié du premier tome.
Je n'ai jamais lu Ulysse de Joyce, pourtant ça fait longtemps que je me dis qu'il faudrait que je le fasse: sans doute depuis ma première année d'étude; ce sera peut-être pour cette année avec la réécriture d'un mythe.

Ne tirez pas sur l’oiseau moqueur d’Harper Lee: je vais être obligée de le lire si tout le monde en dit du bien.

Pour le quatorzième défi, « un livre qui se déroule durant une guerre », je ne savais vraiment pas quoi prendre. Finalement, à la librairie, je suis tombé sur Le dernier assaut de Tardi. Et juste en sortant, j’ai lu une critique sur Alpini de Gérard Guerrier qui m’a également donné envie, donc je suis retourné à la librairie.

Tardi, autrefois, je connaissais de vue : je savais qu’il existait, sans l’avoir lu. Puis c’est lorsque j’ai été professeur stagiaire que je l’ai découvert : j’avais une première S, donc la première guerre mondiale à voir. Mon tuteur m’avait dit qu’il en utilisait des extraits, et je me suis dit qu’aimant la BD, ce serait une bonne occasion de découvrir cet auteur, d’introduire du fun dans un cours qui me bottait plus que moyennement, et le tout avec la bénédiction pédagogiste.

J’avais plutôt aimé. et je trouve que cette BD est dans la même veine. Ce qui signifie que je l’ai appréciée : bonne BD, ça se lit très bien, c’est intéressant, et j’aime bien le style de cet auteur. Mais ça signifie aussi que je trouve que Tardi recycle un peu trop son thème de la première guerre mondiale. J’ai du mal à voir ce que ça apporte réellement par rapport à *** de guerre ou C'était la guerre des tranchées.

Il y a un CD avec des chansons. Hmmmm… Intéressant, mais pas tout à fait mon style, je ne suis pas très chansons à paroles, surtout que là, c’est parfois plus des paroles que de la chanson.

Pour Alpini de Gérard Guerrier… il me semble que j’ai bien aimé. Déjà, parce que ça traite de plein de choses que je ne connais pas : la première guerre mondiale vue d’Italie, la situation politique du pays, la guerre en montagne, etc. Par exemple, au début de la guerre, l’Italie est neutre, et finalement, ça aussi, c’est une question intéressante : qu’est-ce qu’on pense, comment vit-on, dans une Europe en guerre, quand on est dans un pays neutre ?

Ensuite, l’évolution du personnage est aussi sympathique : on passe d’un fils à sa maman surprotégé à un adulte qui s’émancipe… mais à côté de ça, il n’y a aucune idéalisation de la guerre. Du coup, j’aime bien, parce que ce n’est pas manichéen : la guerre n’est pas valorisée, héroïsée, mais d’un autre côté, ça ne tombe pas dans du bisounours dégoulinant.

Enfin, ça se passe en montagne, et ça, c’est grave cool. Genre ça me donnerait presqu’envie de relire les Frison-Roche.

…

Et maintenant, je vais aller me pieuter.

Pour le quinzième défi, le premier livre d'une série de romans (même personnage principal), j’ai lu Le puits des mémoires, 1. La traque de Gabriel Katz, qui est le premier tome d’une trilogie, centrée sur trois personnages principaux.

Bon, comment dire ? J’aime bien, c’est de la bonne fantasy, l’intrigue est bien menée, on accroche, et on lit ça d’un seul coup. Mais cela dit, ça ne retourne pas les tripes non plus, pas le genre de livre qui va boulverser ma vision du monde. Apparemment, l’auteur écrit pas mal de livres comme sous-traitant, et effectivement, on a l’impression de lire un bouquin bien foutu d’un point de vue formel (bonne écriture, bonne intrigue, bien dans les clous : tu ne t’ennuies pas et tu as envie de continuer ta lecture, encore un chapitre, et tu te retrouves à ne pas assez dormir et à arriver à la bourre en cours).

D’un côté, ce n’est pas très grave, parce que pour moi, un livre où on passe un bon moment fait le job. D’un autre côté, je suis surpris, parce qu’il a eu le prix imaginales en 2013. Je ne sais pas trop ce que vaut ce prix, apparemment il récompense (au moins dans cette catégorie) un roman francophone de fantasy par an. Ça fait plaisir que les francophones soient aussi capables de faire de la bonne SF, mais ça ne renverse pas les tables non plus, je trouve ça un peu décevant qu’on considère que la fantasy française ne puisse pas apporter plus, alors que souvent, la SF et la fantasy ont les moyens de poser des questions intéressantes ou pertinentes, à te présenter des points de vue originaux qui vont te faire réfléchir ont qui vont un peu bousculer tes certitudes. Là, ce n’est clairement pas le cas (pour moi, en tous cas…).

Bon. Du coup, je pense que je vais finir par rapidement lire les deux derniers tomes, mais je doute que ça soit le type de livre que je vais beaucoup citer.

Je viens de lire Le Grand Méchant Renard de B. Renner, BD prix jeunesse 2016. Un renard qui se retrouve maman poule de petits poussins qui pensent être de petits renards. Plutôt drôle, bien que je ne sois pas fan de BD.
Dommage qu'il y ait quelques gros mots, je n'en vois pas l'intérêt.

Et là, il me reste quelques pages de la pièce Harry Potter et l'enfant maudit. Une lecture très loin d'être inoubliable mais il était agréable de retrouver les personnages et maintenant j'ai envie de relire toute la série!

Je vais ensuite lire le tome 3 d'Autant en emporte le vent pour l'œuvre unique d'un auteur.

J'ai décidé de rentabiliser ici mes (re)lectures de boulot ; après L'avare et ses frères et sœurs pour le défi 36, c'est au tour du défi 44, "Noir et blanc", que j'interprète avec le drapeau pirate (crâne et os blancs sur fond noir) et deux romans d'aventure : Les flibustiers d'Iain Lawrence et L'île au trésor de Stevenson. J'aime beaucoup l'un et l'autre (le 2e est au-dessus, évidemment).

Amaliah a écrit:
Je vais ensuite lire le tome 3 d'Autant en emporte le vent pour l'œuvre unique d'un auteur.

Je garde l'idée,pour ce défi... mais pour cet été !

J'ai lu "sur les chemins noirs" de Sylvain Tesson pour l'item "voyage initiatique.
J'ai beaucoup aimé : les descriptions de la France profonde, celle des chemins noirs et les réflexions de Sylvain Tesson sur la Vie.
une jolie introspection pleine de poésie.

Sherlock a écrit:

Pointàlaligne a écrit:
6. Un livre d'un auteur syrien. R. Sattouf, L'Arabe du futur, III.

Ce n'est pas pour pinailler mais Riad Sattouf est français ! .

Interrogation légitime
Je le pensais honnêtement franco-syrien. Je vérifierai.

EDIT :
Dans cet entretien :
http://www.lesinrocks.com/2014/05/12/livres/riad-sattouf-11503745/
R. Sattouf explique qu'il a eu la nationalité française à dix-huit ans, mais qu'en Syrie, il est toujours Syrien (d'où un service militaire de deux ans s'il y retournait).
Il se définit comme franco-syrien dans celui-ci :
http://www.jeuneafrique.com/50429/societe/riad-sattouf-tre-m-tis-rend-caduque-toute-id-e-de-patriotisme/
Je n'en sais pas plus...

Re-edit : il aurait peut-être fallu que l'on discute de cela dans l'autre fil ... ?

Pour le seizième défi, le livre emprunté (CDI, bibliothèque, ami…)…

D’abord, je suis allé à la bibliothèque, et j’ai emprunté Le déserteur de Boris Bergmann… et au bout d’un chapitre, je suis retourné à la bibliothèque pour reprendre un autre livre, tellement ce n’était pas possible. Sérieux, ce livre est une caricature de cette littérature snobinarde qui me saoule au plus haut point… Un auteur qui n’a rien à dire, et en ce qui concerne ce livre, qui ne sait pas de quoi il parle. D’ailleurs, pour vous dire à quel point c’était nul, je vous signale qu’un aller-retour à la bibliothèque, c’est 1h30 de marche, en plus c’était vendredi avec la tempête, sans compter que j’avais la dalle ( ).

Au début, comme ça parle de drônes militaires, je pensais que ça pourrait être un bon écho à Good Kill, d’Andrew Niccol. Mais en fait non. L’auteur a voulu faire un héros « hacker », et en balance des tartines de hacker… sauf que ça saute aux yeux qu’il n’a qu’une très vague idée de ce que sont l’informatique, un ordinateur, internet, les hackers et compagnie, qu’il s’est renseigné sans trop comprendre et que du coup, il balance plein de mots qui font cool sans piger ce qu’il raconte. Je suppose que je devais à peu près faire le même effet dans certaines de mes dissertations de géographie ou de linguistique, mais bon, j’vous signale que moi, je n’ai jamais eu la moindre intention de faire de la géo ou de la linguistique, on m’a forcé, je suis aussi innocent que l’agneau qui vient de naître. Ajoute à cela que son écriture m’a semblé un peu trop ronflante, et le contexte fictionnel pas transcendant.

Breeeeeeeeeeef. Du coup, j’ai emprunté The Prophet de Khalil Gibran (quand je suis en colère contre la littérature parisienne, je vais dans les rayons de littérature anglo-saxonne…).

Je ne sais pas trop quoi penser de ce livre. Tout est présenté comme les paroles d’un sage, avec un ton très ampoulé, et des phrases qui se veulent de grandes vérités, donc en fait des assertions balancées comme ça, sans trop d’arguments. Et surtout, c’est très général, très abstrait. Or, quand on me dit que les habits c’est bof, et qu’il vaut mieux aller tout nu parce que le soleil et le vent ne font pas de trou dans la peau, ça me fait immédiatement penser à un cancer de la peau.

D’un autre côté… Je ne sais pas. Il y a des aspects plaisants. Déjà, je trouve que ça sonne, j’accroche au côté poétique, en soi (et en dehors du sens du bouquin). Par ailleurs, je trouve que c’est un livre qui appelle à la réflexion, à la discussion, justement parce qu’il est constitué d’assertions : quand tu te dis « nan, mais c’est n’importe quoi ! » ou « ah ouais, tiens, carrément », tu es obligé de te demander pourquoi, d’argumenter, de réfléchir pour savoir en quoi tu n’es pas d’accord ou d’accord, ou même si tu es d’accord tout court. Donc c’est un livre qui te fait réfléchir, un peu.

Oulà... je dois finir un livre pour mon 3e défi... z'êtes largement avancés, dites !

Pour le livre paru en 17 ou bien écrit par un écrivain né ou mort en 17, comme je suis un vrai, un pur, un dur un sale petit frimeur, je ne vais pas filouter à dire que han, mais les années en 17, genre 1917, 1817, 1717, etc. ça compte aussi, et donc je vais lire Ab Urbe condita libri de Tite-Live, mort en 17. Ouais, carrément.

D’ailleurs, ils disent que le livre a aussi été publié en 17 : https://fr.wikipedia.org/wiki/17 mais c’est carrément douteux, il me semble avoir lu que ça l’avait été avant, et leur note de bas de page n’est pas très pertinente.

1. un livre avec plusieurs narrateurs : Invisible, de Paul Auster
  Ce sont des retrouvailles avec cet auteur dont j'ai dévoré plusieurs titres (ha... Léviathan, la Musique du hasard...) il y a quelques années. Je n'ai pas retrouvé ma passion d'antan... même si c'est un bon livre, je m'y suis un peu perdue...

3. un livre d'un chanteur ou d'un musicien : Littoral, de Bertrand Belin
  Tout petit livre (42 pages), intriguant, avec une réelle ambiance, un rythme particulier... Est-ce que j'ai aimé ? je ne sais pas...

36. un livre dont les héros sont frères : La Lune est blanche, Emmanuel et François Lepage.
  Une mission dans l’Antarctique vécue par deux frères un dessinateur de BD, un photographe... j'adore !

Avancée du défi:
Défi 12: un livre qui parle d'homosexualité
Whores of the Lost Atlantis de Charles Busch (style comique)
Cela raconte l'histoire d'un auteur et acteur de théâtre qui monte des pièces au nom aussi improbable que Whores of the lost Atlantis, Fighting Girls against the Blitzkrieg etc..
Avec un passage que j'adore: il se fait draguer par une des membres de sa troupe et envisage la liaison comme un couple lesbien.

Pour l'item 10, quelques idées sur le site de vendredilecture : http://www.vendredilecture.com/club-de-lecture-fevrier-2017/ (Eux, c'est "sans un mot", c'est un peu différent, mais ça peut aider).

Pour ce critère j'ai lu 73304-23-4153-6-96-8 de Thomas Ott emprunté à ma bibliothèque de quartier. Je ne l'aurais jamais emprunté sans le défi! C'est une BD assez sombre qui se lit très vite vu qu'à l'intérieur il n'y a pas beaucoup de mots non plus (une dizaine tout au plus)
Par contre je galère énormément pour: un livre qui parle d'odeur, et un peu pour:un livre qui évoque un bijou. Si vous avez des idées je prends! (Le parfum de Suskind merci mais non merci)

La parure de Maupassant ?

Les bijoux indiscrets, Diderot ?

Escargot Géant a écrit:Pour ce critère j'ai lu 73304-23-4153-6-96-8 de Thomas Ott emprunté à ma bibliothèque de quartier.  Je ne l'aurais jamais emprunté sans le défi! C'est une BD assez sombre qui se lit très vite vu qu'à l'intérieur il n'y a pas beaucoup de mots non plus (une dizaine tout au plus)
Par contre je galère énormément pour: un livre qui parle d'odeur, et un peu pour:un livre qui évoque un bijou. Si vous avez des idées je prends! (Le parfum de Suskind merci mais non merci)

Pour le livre qui parle d'odeur, je suis en train de finir Parfums d'en Philippe Claudel, et j'adore ! C'est un classement de tableaux olfactifs, qui sont autant de petites madeleines qui permettent à l'auteur de raviver ses souvenirs : le savon, le tilleul, la classe, le remugle, la piscine, les vieux... C'est magnifique ! Gros gros coup de cœur !

Pour les odeurs, j'ai pensé au miasme et la jonquille d'Alain Corbin.

Merci pour toutes vos idées je note je note!