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- VerduretteModérateur
A la sortie d'un collège de Saint-Germain en Laye, un élève a été agressé par un groupe de deux ou trois autres qui l'ont roué de coups, et lui ont littéralement sauté à pieds joints sur la tête. Aux dernières nouvelles, cet élève était dans le coma. Assez curieusement, rien n'a transpiré dans la presse, je l'ai su par des collègues dont les enfants sont dans ce collège.
Les auteurs sont des gamins sans cadre que j'ai connus quand ils étaient en primaire, ils posaient déjà de gros problèmes.
On avait fait une sorte de "conseil de discipline" informel, car cela n'existe pas dans le premier degré ... qui nous avait valu d'aigres reproches de l'inspection. Faut être bienveillant, avec ces élèves et aussi avec les familles qui nous agressent.
Ce matin, ma collègue de CM2 a été insultée par un de ses élèves. Comme elle voulait lui faire quitter la classe manu militari car il dérangeait ses camarades depuis un bon moment, il lui a dit "Ta g..., me touche pas, conn....se, tu me fais ch..." Evidemment elle ne s'est pas laissé faire, il est devenu violent, elles ont dû se mettre à trois pour le calmer. Et il a menacé une autre collègue de représailles de la part des "grands frères".
La direction a appelé la mère qui ne s'est pas manifestée de la journée. Et ici, pas de vie scolaire, le gamin, il faut le garder coûte que coûte.
Ce charmant bambin de 11 ans avait déjà caillassé un bus en venant à l'école, la semaine précédente, il a cassé une vitre alors qu'il y avait des passagers, par chance pas de blessé, mais par manque de chance, en revanche, la compagnie de transport n'a pas porté plainte, et le gamin continue à faire l'idiot en toute impunité.
Les auteurs sont des gamins sans cadre que j'ai connus quand ils étaient en primaire, ils posaient déjà de gros problèmes.
On avait fait une sorte de "conseil de discipline" informel, car cela n'existe pas dans le premier degré ... qui nous avait valu d'aigres reproches de l'inspection. Faut être bienveillant, avec ces élèves et aussi avec les familles qui nous agressent.
Ce matin, ma collègue de CM2 a été insultée par un de ses élèves. Comme elle voulait lui faire quitter la classe manu militari car il dérangeait ses camarades depuis un bon moment, il lui a dit "Ta g..., me touche pas, conn....se, tu me fais ch..." Evidemment elle ne s'est pas laissé faire, il est devenu violent, elles ont dû se mettre à trois pour le calmer. Et il a menacé une autre collègue de représailles de la part des "grands frères".
La direction a appelé la mère qui ne s'est pas manifestée de la journée. Et ici, pas de vie scolaire, le gamin, il faut le garder coûte que coûte.
Ce charmant bambin de 11 ans avait déjà caillassé un bus en venant à l'école, la semaine précédente, il a cassé une vitre alors qu'il y avait des passagers, par chance pas de blessé, mais par manque de chance, en revanche, la compagnie de transport n'a pas porté plainte, et le gamin continue à faire l'idiot en toute impunité.
- gauvain31Empereur
Si vous ne pouvez pas le garder et que la mère fait l'autruche, il va falloir faire une signalisation pour négligence aux autorités concernées. Et frapper très fort. Car il va vite rentrer dans la petite délinquance dans 3-4 ans si rien n'est fait.
Bon courage à vous
Bon courage à vous
- VicomteDeValmontGrand sage
Une bonne claque et au lit, marmot.
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Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- ycombeMonarque
La collègue agressée se sent menacée de manière immédiate dès l'arrivée du gamin en classe. Droit de retrait. Les collègues se sentent menacés parce qu'ils faut qu'ils gardent à leur tour le bambin. droit de retrait aussi. Si tout le monde s'y met, le directeur sera bien obligé de fermer l'école et l'IA de réagir.Verdurette a écrit:A la sortie d'un collège de Saint-Germain en Laye, un élève a été agressé par un groupe de deux ou trois autres qui l'ont roué de coups, et lui ont littéralement sauté à pieds joints sur la tête. Aux dernières nouvelles, cet élève était dans le coma. Assez curieusement, rien n'a transpiré dans la presse, je l'ai su par des collègues dont les enfants sont dans ce collège.
Les auteurs sont des gamins sans cadre que j'ai connus quand ils étaient en primaire, ils posaient déjà de gros problèmes.
On avait fait une sorte de "conseil de discipline" informel, car cela n'existe pas dans le premier degré ... qui nous avait valu d'aigres reproches de l'inspection. Faut être bienveillant, avec ces élèves et aussi avec les familles qui nous agressent.
Ce matin, ma collègue de CM2 a été insultée par un de ses élèves. Comme elle voulait lui faire quitter la classe manu militari car il dérangeait ses camarades depuis un bon moment, il lui a dit "Ta g..., me touche pas, conn....se, tu me fais ch..." Evidemment elle ne s'est pas laissé faire, il est devenu violent, elles ont dû se mettre à trois pour le calmer. Et il a menacé une autre collègue de représailles de la part des "grands frères".
La direction a appelé la mère qui ne s'est pas manifestée de la journée. Et ici, pas de vie scolaire, le gamin, il faut le garder coûte que coûte.
Ce charmant bambin de 11 ans avait déjà caillassé un bus en venant à l'école, la semaine précédente, il a cassé une vitre alors qu'il y avait des passagers, par chance pas de blessé, mais par manque de chance, en revanche, la compagnie de transport n'a pas porté plainte, et le gamin continue à faire l'idiot en toute impunité.
(Le droit de retrait sera refusé par l'administration, il ne faut pas se leurrer là-dessus. Prévoir des témoignages sur la violence du gamin, y compris sur les incidents extérieurs, pour contester).
_________________
Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- LizdarcyFidèle du forum
Verdurette a écrit:A la sortie d'un collège de Saint-Germain en Laye, un élève a été agressé par un groupe de deux ou trois autres qui l'ont roué de coups, et lui ont littéralement sauté à pieds joints sur la tête. Aux dernières nouvelles, cet élève était dans le coma. Assez curieusement, rien n'a transpiré dans la presse, je l'ai su par des collègues dont les enfants sont dans ce collège.
Les auteurs sont des gamins sans cadre que j'ai connus quand ils étaient en primaire, ils posaient déjà de gros problèmes.
On avait fait une sorte de "conseil de discipline" informel, car cela n'existe pas dans le premier degré ... qui nous avait valu d'aigres reproches de l'inspection. Faut être bienveillant, avec ces élèves et aussi avec les familles qui nous agressent.
Ce matin, ma collègue de CM2 a été insultée par un de ses élèves. Comme elle voulait lui faire quitter la classe manu militari car il dérangeait ses camarades depuis un bon moment, il lui a dit "Ta g..., me touche pas, conn....se, tu me fais ch..." Evidemment elle ne s'est pas laissé faire, il est devenu violent, elles ont dû se mettre à trois pour le calmer. Et il a menacé une autre collègue de représailles de la part des "grands frères".
La direction a appelé la mère qui ne s'est pas manifestée de la journée. Et ici, pas de vie scolaire, le gamin, il faut le garder coûte que coûte.
Ce charmant bambin de 11 ans avait déjà caillassé un bus en venant à l'école, la semaine précédente, il a cassé une vitre alors qu'il y avait des passagers, par chance pas de blessé, mais par manque de chance, en revanche, la compagnie de transport n'a pas porté plainte, et le gamin continue à faire l'idiot en toute impunité.
Et leur impunité à eux? Le jour où ils seront tenus pour responsables de leur idéologie malsaine, ils réfléchiront à deux fois avant de faire des reproches ou s'étonner que des malheurs arrivent. Bizarrement à un moment ça casse.
- clemsEsprit éclairé
Mon mari a passé pratiquement un an sous anti dépresseurs, à cause d'un élève de Cp ultra violent. Les parents l'ont agressé verbalement plusieurs fois...
Malgré les plaintes des enseignants et des autres parents ( certains enfants avaient été blessés), rien n'a bougé.
Par contre, le jour où la mère a insulté l'inspectrice, réaction immédiate...
Malgré les plaintes des enseignants et des autres parents ( certains enfants avaient été blessés), rien n'a bougé.
Par contre, le jour où la mère a insulté l'inspectrice, réaction immédiate...
- JEMSGrand Maître
Deux poids...deux mesures... nous avons la même chose chez nous. Si cela touche l'Administration c'est un conseil de discipline, pour nous, nous faire insulter c'est deux voire trois jours...
- Thalia de GMédiateur
Ce n'est qu'un cas parmi d'autres d'élève ingérable dès la primaire et nous avons eu sur Neo plusieurs témoignages de PE désemparés face à cette violence qui menace les camarades et les enseignants qui n'en peuvent mais. Au suivant.
Je ne suis pas cynique, je suis atterrée.
Quand donc l'EN prendra-t-elle en compte cette situation, ces cas certes minoritaires mais qui en disent long sur notre impuissance ?
Est-il trop tard pour témoigner dans le presse locale ? Cela alerterait peut-être nos autorités qui détestent qu'on fasse des vagues.
Je ne suis pas cynique, je suis atterrée.
Quand donc l'EN prendra-t-elle en compte cette situation, ces cas certes minoritaires mais qui en disent long sur notre impuissance ?
Est-il trop tard pour témoigner dans le presse locale ? Cela alerterait peut-être nos autorités qui détestent qu'on fasse des vagues.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- roxanneOracle
et pendant ce temps, les élèves que les parents suivent filent vers le privé.
- demain est un autre jourNiveau 7
Bonjour à tous
Il existe "déjà" un procédé qui est, à ce jour, employé en France, par des associations qui défendent des personnes devant les tribunaux.
Les personnes qui sont agressées, insultées, menacées sont assurées.
Pourquoi leur compagnie d'assurance, souvent une mutuelle du milieu professionnel ne prendrait pas l'initiative de faire un procès.
On entend et on lit souvent une mutuelle appartient à ses adhérents…..
Bon courage aux personnes concernées.
Il existe "déjà" un procédé qui est, à ce jour, employé en France, par des associations qui défendent des personnes devant les tribunaux.
Les personnes qui sont agressées, insultées, menacées sont assurées.
Pourquoi leur compagnie d'assurance, souvent une mutuelle du milieu professionnel ne prendrait pas l'initiative de faire un procès.
On entend et on lit souvent une mutuelle appartient à ses adhérents…..
Bon courage aux personnes concernées.
- archebocEsprit éclairé
Une plainte, avec demande de dommages et intérêt.
Demander une forte somme. Au moins, cela met du beurre dans les épinards.
Chercher la médiatisation.
Demander une forte somme. Au moins, cela met du beurre dans les épinards.
Chercher la médiatisation.
- JEMSGrand Maître
Forte somme... quand la famille est insolvable... fonds de garantie des victimes...mais là encore c'est le parcours du combattant...
- YazilikayaNeoprof expérimenté
gauvain31 a écrit:Si vous ne pouvez pas le garder et que la mère fait l'autruche, il va falloir faire une signalisation pour négligence aux autorités concernées. Et frapper très fort. Car il va vite rentrer dans la petite délinquance dans 3-4 ans si rien n'est fait.
Bon courage à vous
Comment dire... Les autorités concernées se déchargent très bien sur les PE.
- YazilikayaNeoprof expérimenté
archeboc a écrit:Une plainte, avec demande de dommages et intérêt.
Demander une forte somme. Au moins, cela met du beurre dans les épinards.
Chercher la médiatisation.
Je crois que maintenant, c'est la seule solution, la hiérarchie ne protégeant pas ses enseignants.
- VerduretteModérateur
C'est une option que les familles n'hésitent pas à utiliser...et pas les enseignants. Clairement, je ne peux pas le faire à la place de ma collègue, et même l'an dernier où c'est moi qui en ai vu de toutes les couleurs, je ne l'ai pas fait par "loyauté" envers notre direction qui, reconnaissons-le, fait tout ce qu'elle peut pour lutter contre cela. Mais précisément elle ne "peut" pas grand-chose, faute d'outils légaux.
L'IEN n'a jamais d'autre solution à la bouche que la bienveillance, l'adaptation au profil de l'élève et la citoyenneté pour bien vivre ensemble...
Oh que je voudrais que nos dirigeants passent une semaine dans nos classes; A mon avis ils ne tiendraient pas une journée.
L'IEN n'a jamais d'autre solution à la bouche que la bienveillance, l'adaptation au profil de l'élève et la citoyenneté pour bien vivre ensemble...
Oh que je voudrais que nos dirigeants passent une semaine dans nos classes; A mon avis ils ne tiendraient pas une journée.
- VolubilysGrand sage
gauvain31 a écrit:Si vous ne pouvez pas le garder et que la mère fait l'autruche, il va falloir faire une signalisation pour négligence aux autorités concernées. Et frapper très fort. Car il va vite rentrer dans la petite délinquance dans 3-4 ans si rien n'est fait.
Bon courage à vous
Pourquoi 3-4 ans? la délinquance il y est déjà, non?
Le directeur n'a aucun pouvoir! Il est là pour remplir de la paperasse et servir de punching-ball à l'administration et aux familles.ycombe a écrit:
La collègue agressée se sent menacée de manière immédiate dès l'arrivée du gamin en classe. Droit de retrait. Les collègues se sentent menacés parce qu'ils faut qu'ils gardent à leur tour le bambin. droit de retrait aussi. Si tout le monde s'y met, le directeur sera bien obligé de fermer l'école et l'IA de réagir.
(Le droit de retrait sera refusé par l'administration, il ne faut pas se leurrer là-dessus. Prévoir des témoignages sur la violence du gamin, y compris sur les incidents extérieurs, pour contester).
C'est l'IEN qui "dirige".
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Je vous prie de m'excuser si mes messages contiennent des coquilles, je remercie les personnes qui me les signaleront par mp pour que je puisse les corriger.
- archebocEsprit éclairé
Volubilys a écrit:gauvain31 a écrit:Si vous ne pouvez pas le garder et que la mère fait l'autruche, il va falloir faire une signalisation pour négligence aux autorités concernées. Et frapper très fort. Car il va vite rentrer dans la petite délinquance dans 3-4 ans si rien n'est fait.
Bon courage à vous
Pourquoi 3-4 ans? la délinquance il y est déjà, non?
C'était la direction de la réponse que j'étais en train de préparer. Il est symptomatique qu'un caillassage et des injures à l'enseignant ne soit plus considérés comme de la délinquance.
- LenagcnNiveau 10
L'enfant est Bon.
Celui qui caillasse.
Celui qui insulte.
Celui qui frappe.
Si faire les gros yeux ne suffit pas, c'est la faute du PE.
What else?
à cet enfant blessé, et à toutes les personnes qui ont à subir cet énergumène en particulier, et tous ses congénères de façon plus générale.
Celui qui caillasse.
Celui qui insulte.
Celui qui frappe.
Si faire les gros yeux ne suffit pas, c'est la faute du PE.
What else?
à cet enfant blessé, et à toutes les personnes qui ont à subir cet énergumène en particulier, et tous ses congénères de façon plus générale.
- eleonore69Érudit
JEMS a écrit:Deux poids...deux mesures... nous avons la même chose chez nous. Si cela touche l'Administration c'est un conseil de discipline, pour nous, nous faire insulter c'est deux voire trois jours...
J'ai également connu cela dans un bahut !
- ycombeMonarque
Tu as raison. Mais il me semble que la fermeture de l'école peut aussi être de la responsabilité du maire.Volubilys a écrit:gauvain31 a écrit:Si vous ne pouvez pas le garder et que la mère fait l'autruche, il va falloir faire une signalisation pour négligence aux autorités concernées. Et frapper très fort. Car il va vite rentrer dans la petite délinquance dans 3-4 ans si rien n'est fait.
Bon courage à vous
Pourquoi 3-4 ans? la délinquance il y est déjà, non?Le directeur n'a aucun pouvoir! Il est là pour remplir de la paperasse et servir de punching-ball à l'administration et aux familles.ycombe a écrit:
La collègue agressée se sent menacée de manière immédiate dès l'arrivée du gamin en classe. Droit de retrait. Les collègues se sentent menacés parce qu'ils faut qu'ils gardent à leur tour le bambin. droit de retrait aussi. Si tout le monde s'y met, le directeur sera bien obligé de fermer l'école et l'IA de réagir.
(Le droit de retrait sera refusé par l'administration, il ne faut pas se leurrer là-dessus. Prévoir des témoignages sur la violence du gamin, y compris sur les incidents extérieurs, pour contester).
C'est l'IEN qui "dirige".
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- LangelotNiveau 9
Si les parents des autres élèves protestent, ça peut faire bouger les inspecteurs...
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/mezangers-53600/mezangers-des-eleves-violents-l-ecole-primaire-4646944
http://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/mezangers-53600/mezangers-des-eleves-violents-l-ecole-primaire-4646944
En Mayenne, trois élèves perturbent le bon déroulement des cours, au regroupement pédagogique intercommunal Mézangers-Sainte-Gemmes-Le-Robert. Les parents d'élèves sont venus manifester leur exaspération, mercredi 30 novembre au matin, devant l'école. Ils demandent que les trois enfants soient encadrés. Après avoir longtemps hésité, l'inspection d'académie leur a donné raison, dans l'après-midi même du 30 novembre.
- ipomeeGuide spirituel
J'aime le "après avoir longtemps hésité". Ça veut tout dire. On a fini par entendre les parents, et seulement eux. C'est navrant.
- LangelotNiveau 9
Oui. Les parents et le Maire...
- VerduretteModérateur
J'ai raconté ici, l'an passé, les difficultés rencontrées dans ma classe avec trois enfants très perturbés/perturbateurs et violents. Les familles ont écrit moult courriers pour appuyer nos demandes d'intervention, d'autant qu'ils étaient parfois dangereux pour eux-mêmes et leur camarades, il y a eu des gamins blessés...
J'ai entendu dire que les IEN répondaient aux parents ... ce ne fut pas le cas.
J'ai entendu dire que les IEN réagissaient rapidement quand un enfant se mettait en danger. L'année précédente, j'avais en classe un enfant psychotique qui jouait dangereusement avec les escaliers et les fenêtres, jamais cela n'a bougé ... j'ai fini, en désespoir de cause , par contacter le médiateur académique, et une déscolarisation partielle a été prononcée.
C'était une solution pour la classe et moi, mais pas vraiment pour l'enfant, je trouve.
Mais l'an passé, le médecin scolaire n'a trouvé aussi que cette solution pour un des enfants qui se prenait pour un chien ou un guépard, marchait à quatre pattes, mordait les autres, faisait des crises de violence ... et d'un ton pincé, l'IEN a dit "que la déscolarisation n'était pas une solution, et qu'il me revenait de trouver ce qui permettrait de ramener cet enfant vers le apprentissages".
Je trouve cela décourageant ... vous croyez que l'IEN y croit vraiment ou ce sont des mots qui recouvrent une grande impuissance ? Une sorte de vide légal ?
Et je n'ai pas recontacté le médiateur académique par loyauté envers ma direction qui, l'an passé, faisait tout ce qui était en son pouvoir pour m'aider.
Mais il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent.
J'ai entendu dire que les IEN répondaient aux parents ... ce ne fut pas le cas.
J'ai entendu dire que les IEN réagissaient rapidement quand un enfant se mettait en danger. L'année précédente, j'avais en classe un enfant psychotique qui jouait dangereusement avec les escaliers et les fenêtres, jamais cela n'a bougé ... j'ai fini, en désespoir de cause , par contacter le médiateur académique, et une déscolarisation partielle a été prononcée.
C'était une solution pour la classe et moi, mais pas vraiment pour l'enfant, je trouve.
Mais l'an passé, le médecin scolaire n'a trouvé aussi que cette solution pour un des enfants qui se prenait pour un chien ou un guépard, marchait à quatre pattes, mordait les autres, faisait des crises de violence ... et d'un ton pincé, l'IEN a dit "que la déscolarisation n'était pas une solution, et qu'il me revenait de trouver ce qui permettrait de ramener cet enfant vers le apprentissages".
Je trouve cela décourageant ... vous croyez que l'IEN y croit vraiment ou ce sont des mots qui recouvrent une grande impuissance ? Une sorte de vide légal ?
Et je n'ai pas recontacté le médiateur académique par loyauté envers ma direction qui, l'an passé, faisait tout ce qui était en son pouvoir pour m'aider.
Mais il n'y a pas grand chose à se mettre sous la dent.
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