- JennyMédiateur
Et ça concerne aussi des élèves sérieux, qui ne savent pas quelle est la tenue appropriée pour se présenter à un entretien. Je trouve qu'il est au moins important de leur expliquer, c'est pareil pour certains tics de langage. Beaucoup d'élèves de quartiers difficiles ne sortent jamais de leur cité. Je ne vois pas en quoi c'est raciste, je préfère que mes élèves aient un maximum de chances de leur côté.
Dans mon collège, en cas de tenue incorrecte, les élèves sont renvoyés chez eux pour se changer aussi.
Dans mon collège, en cas de tenue incorrecte, les élèves sont renvoyés chez eux pour se changer aussi.
- JEMSGrand Maître
Chez nous c'est fini depuis cette année, plus de jogging en dehors des plages sports.
Ce n'est pas une tenue professionnelle. Et en plus c'est dégueulasse, on dirait que certains travaillent à la DDE...
Ce n'est pas une tenue professionnelle. Et en plus c'est dégueulasse, on dirait que certains travaillent à la DDE...
- DhaiphiGrand sage
:lol: Tu as remarqué ! Un philosophe, ça va, deux philosophes, bonjour les dégâts. :lol:Moonchild a écrit:... enfin, jusqu'au moment où un autre philosophe vient contredire le premier...
_________________
De toutes les écoles que j’ai fréquentées, c’est l’école buissonnière qui m’a paru la meilleure.
[Anatole France]
J'aime les regretteurs d'hier qui voudraient changer le sens des rivières et retrouver dans la lumière la beauté d'Ava Gardner.
[Alain Souchon]
- JennyMédiateur
Dhaiphi a écrit::lol: Tu as remarqué ! Un philosophe, ça va, deux philosophes, bonjour les dégâts. :lol:Moonchild a écrit:... enfin, jusqu'au moment où un autre philosophe vient contredire le premier...
:lol:
- User17706Bon génie
Ne soyez pas impatients comme ça, en quelques messages nous aurons réussi à déterminer s'il y a un désaccord et peut-être même en quoi il consiste
- InvitéSnNiveau 6
Des philosophes ? Ici... ... je n'en connais pas. Qu'ils se dénoncent ! (Et c'est là que Michel Onfray fait son coming out sur Neo...)Dhaiphi a écrit::lol: Tu as remarqué ! Un philosophe, ça va, deux philosophes, bonjour les dégâts. :lol:Moonchild a écrit:... enfin, jusqu'au moment où un autre philosophe vient contredire le premier...
PauvreYorick a écrit:Il me semble que non, au sens où les conventions dont nous parlons (par exemple vestimentaires) sont des limitations à l'exercice de l'arbitraire individuel et en ce sens elles limitent notre liberté de faire n'importe quoi quand ça nous chante. (Ça n'équivaut pas du tout à dire qu'une telle liberté serait désirable, bien sûr.)snitch a écrit:Essayons de mettre au clair le différend : Peut-on admettre qu'il y a des conventions ? Je veux dire : Peut-on admettre que des règlements reposent sur une absence de raisons nécessaires et seulement sur l'arbitraire de la convention sans que la liberté soit mise à mal ? Ma question est vraiment naïve, mais me semble indispensable pour discuter plus avant.
Donc, il me semble qu'on peut admettre qu'il y a des conventions au sens où tu les décris (au fond arbitraires), mais on n'est pas du tout entraîné par là à admettre qu'elles ne « mettent pas à mal » la liberté si ça veut dire qu'elles ne la limitent pas : elles la limitent par définition (et c'est évidemment bien loin d'être toujours un mal). J'imagine qu'il n'y a aucun différend sur ce point.
Il y a bien désaccord fondamental, qui en tant que tel ne peut être l'objet d'une discussion sérieuse ici. Disons qu'il semble porter sur les conventions... dialogiques. Désolé d'avoir énoncé un propos problématique. D'autres, eux, savent. Ecoutez-les.PauvreYorick a écrit:Ne soyez pas impatients comme ça, en quelques messages nous aurons réussi à déterminer s'il y a un désaccord et peut-être même en quoi il consiste
- DalvaVénérable
Ah ben non alors ! Une conversation autour du jogging, qui s'annonçait barbante au possible, truffée de poncifs, prend enfin un tour intéressant et, paf, un philosophe sur deux voudrait baisser sa lame ?
Pour la tranquillité d'esprit de tous les porteurs de jogging et de tous ses détracteurs, pitié, continuez !
Pour la tranquillité d'esprit de tous les porteurs de jogging et de tous ses détracteurs, pitié, continuez !
- InvitéSnNiveau 6
Dalva a écrit:Ah ben non alors ! Une conversation autour du jogging, qui s'annonçait barbante au possible, truffée de poncifs, prend enfin un tour intéressant et, paf, un philosophe sur deux voudrait baisser sa lame ?
Pour la tranquillité d'esprit de tous les porteurs de jogging et de tous ses détracteurs, pitié, continuez !
Désolé (bis), je n'en vois toujours pas un seul pointer son nez à l'horizon. :|
- User17706Bon génie
Je comprends que le raccourci d'expression « philosophe » pour « professeur de philosophie » soit gênant. On s'y fait (tout comme pour « historien », « géographe », etc.), mais on a peut-être tort.snitch a écrit:Des philosophes ? Ici... ... je n'en connais pas. Qu'ils se dénoncent ! (Et c'est là que Michel Onfray fait son coming out sur Neo...)Dhaiphi a écrit::lol: Tu as remarqué ! Un philosophe, ça va, deux philosophes, bonjour les dégâts. :lol:Moonchild a écrit:... enfin, jusqu'au moment où un autre philosophe vient contredire le premier...PauvreYorick a écrit:Il me semble que non, au sens où les conventions dont nous parlons (par exemple vestimentaires) sont des limitations à l'exercice de l'arbitraire individuel et en ce sens elles limitent notre liberté de faire n'importe quoi quand ça nous chante. (Ça n'équivaut pas du tout à dire qu'une telle liberté serait désirable, bien sûr.)snitch a écrit:Essayons de mettre au clair le différend : Peut-on admettre qu'il y a des conventions ? Je veux dire : Peut-on admettre que des règlements reposent sur une absence de raisons nécessaires et seulement sur l'arbitraire de la convention sans que la liberté soit mise à mal ? Ma question est vraiment naïve, mais me semble indispensable pour discuter plus avant.
Donc, il me semble qu'on peut admettre qu'il y a des conventions au sens où tu les décris (au fond arbitraires), mais on n'est pas du tout entraîné par là à admettre qu'elles ne « mettent pas à mal » la liberté si ça veut dire qu'elles ne la limitent pas : elles la limitent par définition (et c'est évidemment bien loin d'être toujours un mal). J'imagine qu'il n'y a aucun différend sur ce point.Il y a bien désaccord fondamental, qui en tant que tel ne peut être l'objet d'une discussion sérieuse ici. Disons qu'il semble porter sur les conventions... dialogiques. Désolé d'avoir énoncé un propos problématique. D'autres, eux, savent. Ecoutez-les.PauvreYorick a écrit:Ne soyez pas impatients comme ça, en quelques messages nous aurons réussi à déterminer s'il y a un désaccord et peut-être même en quoi il consiste
En revanche je ne devine pas du tout de quel genre pourrait être le désaccord fondamental auquel tu fais allusion.
- InvitéSnNiveau 6
PauvreYorick a écrit:Je comprends que le raccourci d'expression « philosophe » pour « professeur de philosophie » soit gênant. On s'y fait (tout comme pour « historien », « géographe », etc.), mais on a peut-être tort.
En fait j'enseigne le français et les maths, comme tout le monde.
- DalvaVénérable
Rho, pardon.
Alors, Prof 1 et Prof 2, qui ne sont pas philosophes mais en fréquentent beaucoup, sont sur un désaccord. Prof 1 quitte le bateau. Qu'est-ce qui reste ?
Alors, Prof 1 et Prof 2, qui ne sont pas philosophes mais en fréquentent beaucoup, sont sur un désaccord. Prof 1 quitte le bateau. Qu'est-ce qui reste ?
- InvitéSnNiveau 6
Prof 2. (ça c'est dans mes compétences disciplinaires)
- DalvaVénérable
Eh non, raté.
Il reste l'ennui, voire l'Ennui, et la déception.
Et, surtout, il reste le Jogging. Le JOGGING.
Pitié.
Il reste l'ennui, voire l'Ennui, et la déception.
Et, surtout, il reste le Jogging. Le JOGGING.
Pitié.
- InvitéSnNiveau 6
La déception. Ça c'est chouette !
- VicomteDeValmontGrand sage
C'est l'Ennui, l'œil chargé d'un pleur involontaire...
_________________
Cette insigne faveur que votre coeur réclame
Nuit à ma renommée et répugne à mon âme.
- DalvaVénérable
... en proie aux longs ennuis...
- DalvaVénérable
snitch a écrit:La déception. Ça c'est chouette !
- DalvaVénérable
Certes, j'avais fondé de grands espoirs sur ces débuts prometteurs.
- NitaEmpereur
snitch a écrit:PauvreYorick a écrit:Je comprends que le raccourci d'expression « philosophe » pour « professeur de philosophie » soit gênant. On s'y fait (tout comme pour « historien », « géographe », etc.), mais on a peut-être tort.
En fait j'enseigne le français et les maths, comme tout le monde.
Pas d'insulte, je vous prie.
Les gens normaux n'enseignent pas les maths.
_________________
A clean house is a sign of a broken computer.
- ben2510Expert spécialisé
KrilinXV3 a écrit:Théoriquement si, enfin, c'est ce qu'on m'a dit dans mon établissement. Je ne dis pas que je le respecte, par contre.Amaliah a écrit:
Madame_Prof, le RI ne s'applique quand même pas aux profs comme aux élèves! J'ai bien le droit de me servir de mon portable quand je n'ai pas cours alors que les élèves n'ont pas le droit.
C'est non discutable : les élèves n'ont pas les mêmes droits que les profs.
Bah, on est un _on...
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On fait la science avec des faits, comme on fait une maison avec des pierres : mais une accumulation de faits n'est pas plus une science qu'un tas de pierres n'est une maison. Henri Poincaré La notion d'équation différentielle est le pivot de la conception scientifique du monde. Vladimir Arnold
- NitaEmpereur
Dalva a écrit:snitch a écrit:La déception. Ça c'est chouette !
Tu vois Dalva, Snitch est prof de déception, c'est son profil qui le dit.
(Bon, il dit qu'il enseigne les maths, alors forcément...)
:sorciere:
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A clean house is a sign of a broken computer.
- InvitéSnNiveau 6
Nita a écrit:Dalva a écrit:snitch a écrit:La déception. Ça c'est chouette !
Tu vois Dalva, Snitch est prof de déception, c'est son profil qui le dit.
- DalvaVénérable
Ah d'accord. C'est tout un art, dis donc. Et rudement maîtrisé, en plus.
(En ce qui me concerne, je n'ai jamais été déçue par les maths en revanche. Je n'ai jamais, non plus, connu de collègue de maths qui interrompe un raisonnement sans le mener à son terme. A tel point d'ailleurs que ça en devenait dangereux ou fatiguant. Entre celui qui se relève la nuit parce qu'il a une ébauche de pas en avant vers une possible solution, et celui qui poursuit ses conversations et raisonnements internes tout en conduisant...)
(En ce qui me concerne, je n'ai jamais été déçue par les maths en revanche. Je n'ai jamais, non plus, connu de collègue de maths qui interrompe un raisonnement sans le mener à son terme. A tel point d'ailleurs que ça en devenait dangereux ou fatiguant. Entre celui qui se relève la nuit parce qu'il a une ébauche de pas en avant vers une possible solution, et celui qui poursuit ses conversations et raisonnements internes tout en conduisant...)
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