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- sifiÉrudit
Mon stagiaire était très stressé par le coup du "une séance, une heure" en début d'année, puisqu'on lui a dit que c'était l'idéal.
En même temps, je ne me vois pas couper la parole à un élève qui pose une question intéressante, ou qui demande une explication, sous prétexte qu'on n'a pas le temps. Pareil pour la séquence qui se termine avant les vacances, la vieille blague... :lol:
En même temps, je ne me vois pas couper la parole à un élève qui pose une question intéressante, ou qui demande une explication, sous prétexte qu'on n'a pas le temps. Pareil pour la séquence qui se termine avant les vacances, la vieille blague... :lol:
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