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- profallemandJe viens de m'inscrire !
Bonjour à tous,
J'avais besoin de venir ici afin de raconter ce qui m'arrive en ce moment et pour le moment ressemble à un sacré merdier (pardonnez l'expression).
J'enseigne en REP+, une mutation et un collège que j'avais demandés. Après plusieurs années de problèmes de santé sérieux, j'ai enfin pu reprendre à temps plein. Ma motivation et ma bonne humeur sont mises à rudes épreuves depuis une semaine et demi, depuis le jour où un élève a décris, avec les gestes et les bruitages qui vont avec, que je couchais avec mes élèves dans une cave (merci pour la précision). Il a décrit un cunnilingus, un orgasme, bref, l'horreur. Ce gosse m'a donc accusée de pédophilie, rien que ça. Pourquoi je ne l'ai pas sorti de cours immédiatement? Parce que j'étais pétrifiée d'une part et d'autre part parce que nous avons une CPE qui nous remène les élèves, et lorsque ça m'était arrivée, elle n'a pas attendu mon "Entrez!" pour faire irruption dans la classe et autoriser le gamin à faire exactement ce que je venais de lui interdire. J'avais donc peur que ça se reproduise. Et je vous garantie que quand ce genre de choses arrive, vous ne savez pas trop quoi faire. J'ai donc continué le cours du mieux que j'ai pu, heureusement la plupart des élèves n'a rien entendu, ils étaient en pleine activité, laquelle activité se passait dans le bruit relatif avec une classe compliquée.
Je suis allée en parler à la direction immédiatement, qui n'a pas pu me recevoir à cause d'une réunion. J'ai donc continué ma journée et je suis allée la voir dès que j'ai pu en lui montrant le rapport d'incident que j'avais eu le temps d'écrire. Considérant que la situation était grave, elle a décidé que ce gamin ne se trouverait plus dans mon cours à l'année et qu'il aurait trois jours d'exclusion. Je lui ai demandé quel était son avis si j'allais porter plainte, elle m'a dit que c'était mon bon droit. J'ai attendu quelques jours et la réunion d'équipe pédagogique sur cette classe pour savoir quoi faire. Mes collègues me poussaient à aller porter plainte, j'étais très mal, très apeurée aussi de ce gamin et des conséquences éventuelles de telles accusations. A la réunion d'équipe j'ai appris qu'il y aurait deux jours d'exclusion (on ne sait toujours pas où est passé le troisième!), pas de conseil de discipline et j'ai assisté à la déclaration enflammée d'une collègue qui insistait que, je cite, "ce gamin respecte et est poli avec tous les adultes de l'établissement". Ah bon... J'ai été outrée, scandalisée et dégoûtée. L'Adjoint a néanmoins confirmé que le gosse serait retiré de mes cours à l'année (ce qui avait déjà été le cas l'an dernier en anglais, où il avait jeté des boulettes de papier sur sa prof). Après cette parodie de réunion, j'ai donc décidé d'aller porter plainte, au moins dans l'espoir que la direction réagirait davantage et de faire comprendre au gosse (qui avait été reçu par la Principale et qui ne voyait pas le problème) que l'on ne peut pas raconter des choses pareilles sur les gens. L'agent de police qui m'a reçue a confirmé que non, ce n'était pas normal que ce gosse me dise ça et que oui, j'avais bien raison de porter plainte. C'est donc une plainte pour diffamation.
Depuis son exclusion de mon cours, le gosse a passé son temps à venir m'attendre devant ma salle avec ses copains à rigoler bêtement. Je l'ai ignoré, la peur au ventre. Maintenant il se balade dans les couloirs et avec un de ses copains, se permet de venir faire l'idiot devant ma salle (nos portes ont des lucarnes) alors que je suis avec une classe qui ne le concerne pas du tout.
La Principale quant à elle, m'envoie chez le médecin conseil, inquiète, dit-elle, de mon état psychologique. Pour précision, depuis le dépôt de plainte je revivais, je n'avais plus peur et je revenais bosser avec plaisir. Elle a aussi été horrifiée lorsque je lui ai annoncé que j'avais porté plainte, insistant que mon état psychologique posait problème et que c'étaient sans doute des problèmes personnels qui m'avaient fait porter plainte. Elle a notamment insisté que j'avais fait une fausse déposition auprès de la police et qu'elle allait réintégrer l'élève en question dans mon cours. Je lui disais depuis l'incident à quel point j'avais peur de ce gosse et comme je vis au même endroit que mes élèves, forcément je ne suis pas tranquille. Donc l'an dernier il a lancé des boulettes de papier sur une prof (ce qui est grave, évidemment), il a été sorti du cours pour l'année, quant à moi je vais devoir le réaccepter alors qu'il devient de plus en plus menaçant depuis qu'il a été entendu par la police.
J'admets que j'ai du mal à prendre de la distance avec ça, d'autant que la Principale insiste beaucoup sur mes problèmes de santé (l'an dernier, au retour d'un mois d'hôpital, elle m'a dit que je donnais une mauvaise image de l'allemand et du collège parce que j'étais malade...) et insiste beaucoup sur le fait que je suis cinglée.
Je précise quand même que c'est un gamin qui pose problème à tous mes collègues, pas uniquement à moi. Il m'avait insultée dès le premier cours (je lui avait demandé de lire le petit a des consignes - 5 mots) et la Principale m'a dit que je ne devais pas rédiger de rapport d'incident et que j'aurais du savoir que certains élèves n'aiment pas lire.
Long story short, dites-moi donc ce que vous en pensez! =)
J'avais besoin de venir ici afin de raconter ce qui m'arrive en ce moment et pour le moment ressemble à un sacré merdier (pardonnez l'expression).
J'enseigne en REP+, une mutation et un collège que j'avais demandés. Après plusieurs années de problèmes de santé sérieux, j'ai enfin pu reprendre à temps plein. Ma motivation et ma bonne humeur sont mises à rudes épreuves depuis une semaine et demi, depuis le jour où un élève a décris, avec les gestes et les bruitages qui vont avec, que je couchais avec mes élèves dans une cave (merci pour la précision). Il a décrit un cunnilingus, un orgasme, bref, l'horreur. Ce gosse m'a donc accusée de pédophilie, rien que ça. Pourquoi je ne l'ai pas sorti de cours immédiatement? Parce que j'étais pétrifiée d'une part et d'autre part parce que nous avons une CPE qui nous remène les élèves, et lorsque ça m'était arrivée, elle n'a pas attendu mon "Entrez!" pour faire irruption dans la classe et autoriser le gamin à faire exactement ce que je venais de lui interdire. J'avais donc peur que ça se reproduise. Et je vous garantie que quand ce genre de choses arrive, vous ne savez pas trop quoi faire. J'ai donc continué le cours du mieux que j'ai pu, heureusement la plupart des élèves n'a rien entendu, ils étaient en pleine activité, laquelle activité se passait dans le bruit relatif avec une classe compliquée.
Je suis allée en parler à la direction immédiatement, qui n'a pas pu me recevoir à cause d'une réunion. J'ai donc continué ma journée et je suis allée la voir dès que j'ai pu en lui montrant le rapport d'incident que j'avais eu le temps d'écrire. Considérant que la situation était grave, elle a décidé que ce gamin ne se trouverait plus dans mon cours à l'année et qu'il aurait trois jours d'exclusion. Je lui ai demandé quel était son avis si j'allais porter plainte, elle m'a dit que c'était mon bon droit. J'ai attendu quelques jours et la réunion d'équipe pédagogique sur cette classe pour savoir quoi faire. Mes collègues me poussaient à aller porter plainte, j'étais très mal, très apeurée aussi de ce gamin et des conséquences éventuelles de telles accusations. A la réunion d'équipe j'ai appris qu'il y aurait deux jours d'exclusion (on ne sait toujours pas où est passé le troisième!), pas de conseil de discipline et j'ai assisté à la déclaration enflammée d'une collègue qui insistait que, je cite, "ce gamin respecte et est poli avec tous les adultes de l'établissement". Ah bon... J'ai été outrée, scandalisée et dégoûtée. L'Adjoint a néanmoins confirmé que le gosse serait retiré de mes cours à l'année (ce qui avait déjà été le cas l'an dernier en anglais, où il avait jeté des boulettes de papier sur sa prof). Après cette parodie de réunion, j'ai donc décidé d'aller porter plainte, au moins dans l'espoir que la direction réagirait davantage et de faire comprendre au gosse (qui avait été reçu par la Principale et qui ne voyait pas le problème) que l'on ne peut pas raconter des choses pareilles sur les gens. L'agent de police qui m'a reçue a confirmé que non, ce n'était pas normal que ce gosse me dise ça et que oui, j'avais bien raison de porter plainte. C'est donc une plainte pour diffamation.
Depuis son exclusion de mon cours, le gosse a passé son temps à venir m'attendre devant ma salle avec ses copains à rigoler bêtement. Je l'ai ignoré, la peur au ventre. Maintenant il se balade dans les couloirs et avec un de ses copains, se permet de venir faire l'idiot devant ma salle (nos portes ont des lucarnes) alors que je suis avec une classe qui ne le concerne pas du tout.
La Principale quant à elle, m'envoie chez le médecin conseil, inquiète, dit-elle, de mon état psychologique. Pour précision, depuis le dépôt de plainte je revivais, je n'avais plus peur et je revenais bosser avec plaisir. Elle a aussi été horrifiée lorsque je lui ai annoncé que j'avais porté plainte, insistant que mon état psychologique posait problème et que c'étaient sans doute des problèmes personnels qui m'avaient fait porter plainte. Elle a notamment insisté que j'avais fait une fausse déposition auprès de la police et qu'elle allait réintégrer l'élève en question dans mon cours. Je lui disais depuis l'incident à quel point j'avais peur de ce gosse et comme je vis au même endroit que mes élèves, forcément je ne suis pas tranquille. Donc l'an dernier il a lancé des boulettes de papier sur une prof (ce qui est grave, évidemment), il a été sorti du cours pour l'année, quant à moi je vais devoir le réaccepter alors qu'il devient de plus en plus menaçant depuis qu'il a été entendu par la police.
J'admets que j'ai du mal à prendre de la distance avec ça, d'autant que la Principale insiste beaucoup sur mes problèmes de santé (l'an dernier, au retour d'un mois d'hôpital, elle m'a dit que je donnais une mauvaise image de l'allemand et du collège parce que j'étais malade...) et insiste beaucoup sur le fait que je suis cinglée.
Je précise quand même que c'est un gamin qui pose problème à tous mes collègues, pas uniquement à moi. Il m'avait insultée dès le premier cours (je lui avait demandé de lire le petit a des consignes - 5 mots) et la Principale m'a dit que je ne devais pas rédiger de rapport d'incident et que j'aurais du savoir que certains élèves n'aiment pas lire.
Long story short, dites-moi donc ce que vous en pensez! =)
- Ignatius ReillyFidèle du forum
Bonjour,
vous dites qu'il est menaçant ? Il dit quoi ? Si la direction se fout de ça je pense qu'il faudrait en parler à un syndicat et à l'autonome de solidarité.
vous dites qu'il est menaçant ? Il dit quoi ? Si la direction se fout de ça je pense qu'il faudrait en parler à un syndicat et à l'autonome de solidarité.
- ylmExpert spécialisé
Il faut alerter ton syndicat et voir avec lui ce qu'il faut faire, tu as de quoi porter plainte contre la principale il me semble, surtout si tes collègues témoignent de ce qui semble être factuel.
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The life of man, solitary, poor, nasty, brutish and short.
Thomas Hobbes
- profallemandJe viens de m'inscrire !
Difficile à expliquer... Il n'y a pas eu d'insultes supplémentaires, mais il se colle à moi dès que j'approche, il s'est planté devant moi alors que je parlais à un collègue, il s'est mis à 2cm de moi (il est plus grand que moi, d'où le côté menaçant). Quant au reste, ça reste du ressenti. Il est menaçant pour moi dans le sens où je sais qu'il peut facilement me faire du mal (vu où j'habite et vu qu'il me croise tout le temps). Dur à expliquer.
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Keep calm and be a fluffy unicorn (winter is coming, for god's sake!)
- ZenxyaGrand sage
Même si cela ne sert pas à grand chose : Tout mon soutien
Ainsi tu serais cinglée ? N'importe quoi !
Il y a des gens qui réagissent comme ça. Ils trouvent des problèmes chez les autres, analysent la moindre situation sous cet angle, amènent la personne à douter d'elle-même et à commettre des maladresses, et après racontent bien fort "je l'avais bien dit". La prophétie autoréalisatrice, le pire c'est que cela marche souvent.
Ne te laisse pas faire
Ainsi tu serais cinglée ? N'importe quoi !
Il y a des gens qui réagissent comme ça. Ils trouvent des problèmes chez les autres, analysent la moindre situation sous cet angle, amènent la personne à douter d'elle-même et à commettre des maladresses, et après racontent bien fort "je l'avais bien dit". La prophétie autoréalisatrice, le pire c'est que cela marche souvent.
Ne te laisse pas faire
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Soyez résolus à ne plus servir, et vous voilà libres - La Boétie
La folie c’est faire toujours la même chose et s’attendre à un résultat différent - Albert Einstein
L'École est le lieu où l'on va s'instruire de ce que l'on ignore ou de ce que l'on sait mal pour pouvoir, le moment venu, se passer de maître - Jacques Muglioni
- gauvain31Empereur
J'ai eu ce type d'élève en ITEP. D'abord tu vas lui dire que tu n'acceptes pas qu'il se mette à 2 cm de toi. C'est une provocation et une intimidation. Il y a un distance à respecter(à peu près la longueur du bras).
S'il ne comprend, pas tu lui dis : " tu te pousses, je parle à une collègue , tu attends que je termine avec elle "
Il sait très bien ce qu'il fait. Tu téléphones de suite aux parents concernant son attitude. Et s'il continue, tu lui dis qu'il sera sanctionné (et tu le précises au parent que tu auras eu au téléphone)
Ta CDE a aussi un comportement envers toi inacceptable: elle joue sur ta fragilité pour te culpabiliser et éviter de faire un conseil de discipline. Une insulte mérite au moins une exclusion temporaire. Elle est comme tant d'autres CDE "pas de vagues"pour ma carrière personnelle .
Il faut rappeler à la CDE que la protection du personnel fait partie de ses missions. Si elle ne veut pas l'entendre alors oui ce sera un dépôt de plainte car la loi sanctionne les insultes (depuis Chatel). Perso je n'accepterai pas qu'un élève revienne sans qu'il fasse des excuses publiques devant les élèves et la CDE
Bon courage à toi et tout mon soutien aussi
S'il ne comprend, pas tu lui dis : " tu te pousses, je parle à une collègue , tu attends que je termine avec elle "
Il sait très bien ce qu'il fait. Tu téléphones de suite aux parents concernant son attitude. Et s'il continue, tu lui dis qu'il sera sanctionné (et tu le précises au parent que tu auras eu au téléphone)
Ta CDE a aussi un comportement envers toi inacceptable: elle joue sur ta fragilité pour te culpabiliser et éviter de faire un conseil de discipline. Une insulte mérite au moins une exclusion temporaire. Elle est comme tant d'autres CDE "pas de vagues"
Il faut rappeler à la CDE que la protection du personnel fait partie de ses missions. Si elle ne veut pas l'entendre alors oui ce sera un dépôt de plainte car la loi sanctionne les insultes (depuis Chatel). Perso je n'accepterai pas qu'un élève revienne sans qu'il fasse des excuses publiques devant les élèves et la CDE
Bon courage à toi et tout mon soutien aussi
- MC311Niveau 10
Commission éducative à caractère disciplinaire, instance issue du CA où siège aussi des parents. A demander avec l'équipe péda pour le harcèlement qu'il te fait subir à présent ( pas pour ce qui a déjà été sanctionné ) et son attitude avec TOUTE l'équipe pédagogique.
Consigne tout, au jour le jour, avec des rapports d'incidents que tu photocopies ( certains, bizarrement, se perdent ), y compris les moments où tes élèves ( pas toi, puisque tu n'es pas le maillon fort ) sont dérangés car tu ne peux pas faire cours. Mets plein de détails ( attitude, propos précis, noms des suiveurs ... ).
Cinglée ou pas, la principale n'a pas le droit de te dire ça ! C'est le respect de la personne, mais d'après ce que j'ai compris certaines personnes de ton établissement n'ont pas la même notion du respect que moi ( et la plupart des gens ).
Alerte les profs, les syndicats ... Ne laisse pas passer un truc si inadmissible de la part de l'élève et de la principale.
Sinon pour les élèves qui n'aiment pas lire : que la principale transforme l'"énorme" budget livres qu'on nous a accordé pour la réforme en budget pour soins médicaux ( pour les élèves ) - les psys sont mal pris en charge - , ou en budget vidéos ( on apprend mais sans lire, il faudra un budget ophtalmo pour yeux abîmés par trop d'écran ), un petit dernir : la transformation en budget CHOCOLAT, rien de mieux contre les détraqueurs ( c'est Lupin qui l'a dit, confirmé par Pomfresh ).
Consigne tout, au jour le jour, avec des rapports d'incidents que tu photocopies ( certains, bizarrement, se perdent ), y compris les moments où tes élèves ( pas toi, puisque tu n'es pas le maillon fort ) sont dérangés car tu ne peux pas faire cours. Mets plein de détails ( attitude, propos précis, noms des suiveurs ... ).
Cinglée ou pas, la principale n'a pas le droit de te dire ça ! C'est le respect de la personne, mais d'après ce que j'ai compris certaines personnes de ton établissement n'ont pas la même notion du respect que moi ( et la plupart des gens ).
Alerte les profs, les syndicats ... Ne laisse pas passer un truc si inadmissible de la part de l'élève et de la principale.
Sinon pour les élèves qui n'aiment pas lire : que la principale transforme l'"énorme" budget livres qu'on nous a accordé pour la réforme en budget pour soins médicaux ( pour les élèves ) - les psys sont mal pris en charge - , ou en budget vidéos ( on apprend mais sans lire, il faudra un budget ophtalmo pour yeux abîmés par trop d'écran ), un petit dernir : la transformation en budget CHOCOLAT, rien de mieux contre les détraqueurs ( c'est Lupin qui l'a dit, confirmé par Pomfresh ).
- amalricuNeoprof expérimenté
Qu'est-ce qui t'empêche de porter plainte ? C'est un droit élémentaire de tout citoyen-ne. Tu te fais renverser sur le parking de ton bahut, tu portes plainte sans tenir compte de l'avis du cde, non ?
L' Autonome de solidarité pour du conseil au minimum voire un soutien juridique est à envisager rapidement.
L'attitude de ta cde s'explique à mon avis par sa volonté de ne pas faire de vagues auprès du Rectorat (plan de carrière tout ça, palmes académiques pour le départ à la retraite, merde quoi !). Connaît-elle la famille du lourdaud en question au point d'être en relation amicale ? J'ai connu le cas : le cde passait tout au gamin qui s'amusait à nos dépens. Bref, elle tente de noyer le poisson au détriment de ta pomme en te faisant culpabiliser de surcroit. On te sent sur la défensive, elle en profite.
Elle te traite de cinglée...sors du cadre alors de ce collège et pose le problème en justice. Elle perdra de sa superbe.
L' Autonome de solidarité pour du conseil au minimum voire un soutien juridique est à envisager rapidement.
L'attitude de ta cde s'explique à mon avis par sa volonté de ne pas faire de vagues auprès du Rectorat (plan de carrière tout ça, palmes académiques pour le départ à la retraite, merde quoi !). Connaît-elle la famille du lourdaud en question au point d'être en relation amicale ? J'ai connu le cas : le cde passait tout au gamin qui s'amusait à nos dépens. Bref, elle tente de noyer le poisson au détriment de ta pomme en te faisant culpabiliser de surcroit. On te sent sur la défensive, elle en profite.
Elle te traite de cinglée...sors du cadre alors de ce collège et pose le problème en justice. Elle perdra de sa superbe.
- HerrelisGrand sage
Rien que ça, c'est inadmissible. Il n'a pas à se coller à toi. A mon avis, il cherche le conflit, le dérapage de ta part. Les parents ont sans doute fait pression sur ton Chef en se plaignant que mon chéri avait juréééééé qu'il n'avait jamais fait, que tu lui en voulais personnellement, ou pire... je serais toi, je contacterais un syndicat.profallemand a écrit:Difficile à expliquer... Il n'y a pas eu d'insultes supplémentaires, mais il se colle à moi dès que j'approche, il s'est planté devant moi alors que je parlais à un collègue, il s'est mis à 2cm de moi (il est plus grand que moi, d'où le côté menaçant). Quant au reste, ça reste du ressenti. Il est menaçant pour moi dans le sens où je sais qu'il peut facilement me faire du mal (vu où j'habite et vu qu'il me croise tout le temps). Dur à expliquer.
Courage
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
- InvitéInvité
Courage, courage, courage, tenez bon, et comme le dit Amalricu, délocalisez l'affaire devant la justice. La CDE et l'élève ont clairement un comportement inacceptable que vous ne devez en aucun cas tolérer.
- OlympiasProphète
Voilà. Syndicat. Autonome. Et si nécessaire nouvelle plainte.
Ton administration est affligeante.
Il se conduit ainsi parce qu'il voit que tu as peur.
Ton administration est affligeante.
Il se conduit ainsi parce qu'il voit que tu as peur.
- skindiverÉrudit
Tout mon soutien, c'est impensable de pouvoir imaginer que tu vis ce genre de choses et que la principale adjointe cautionne et pire a un comportement à la limite du harcèlement moral!
Contacte ton syndicat au plus vite!!
Bon courage, ne lache pas, et ne craque pas! On est nombreux si tu as besoin de parler un peu.
Contacte ton syndicat au plus vite!!
Bon courage, ne lache pas, et ne craque pas! On est nombreux si tu as besoin de parler un peu.
- RendashBon génie
profallemand a écrit:j'ai assisté à la déclaration enflammée d'une collègue qui insistait que, je cite, "ce gamin respecte et est poli avec tous les adultes de l'établissement".
[...]
Je précise quand même que c'est un gamin qui pose problème à tous mes collègues, pas uniquement à moi. Il m'avait insultée dès le premier cours (je lui avait demandé de lire le petit a des consignes - 5 mots) et la Principale m'a dit que je ne devais pas rédiger de rapport d'incident et que j'aurais du savoir que certains élèves n'aiment pas lire.
Direction défaillante, collègues débiles... une seule chose à faire en l'état : te tourner vers un syndicat, qui te conseillera, t'indiquera la marche à suivre, te soutiendra, et remontera les bretelles à ta principale défaillante.
Registre Hygiène et sécurité également à remplir, rapidement : le chef d'établissement est tenu d'y apporter une réponse écrite.
Question pour les collègues plus au fait que moi de ce genre de choses : en cas de plainte déposée contre un élève, est-on obligé de l'accepter en cours le temps de l'affaire ? La chose me paraît improbable, mais vu l'état de l'EN, on ne sait jamais, hein
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"Ce serait un bien bel homme s’il n’était pas laid ; il est grand, bâti en Hercule, mais a un teint africain ; des yeux vifs, pleins d’esprit à la vérité, mais qui annoncent toujours la susceptibilité, l’inquiétude ou la rancune, lui donnent un peu l’air féroce, plus facile à être mis en colère qu’en gaieté. Il rit peu, mais il fait rire. [...] Il est sensible et reconnaissant ; mais pour peu qu’on lui déplaise, il est méchant, hargneux et détestable."
- elisa18Neoprof expérimenté
J'ai déposé plainte contre une élève pour insulte (propos diffamatoire sur FB), avec des captures d'écran où mon nom est cité. J'ai eu le soutien de ma principale (c'est elle qui a fait les captures d'écran pendant que je faisais cours!), mais l'élève est venu à mon cours jusqu'à la fin de l'année (à part sa semaine d'exclusion). J'ai contacté l'autonome, qui a pris en charge le dossier et m'a dit de demander la protection juridique du Notre Recteur (qui en général délègue à l'autonome).
Pense aussi à demander immédiatement des témoignages aux collègues (il y a des papiers faits pour sur des sites juridiques, avec photocopie de leur carte d'identité) car d'après ce que tu décris il y a beaucoup d'éléments qui ne sont pas concretset qui après ne pourront pas être prouvés. Que tes collègues le fassent immédiatement (la collègue avec laquelle tu discutais) car après on oublie, on laisse passer le temps...
Bon courage!
Pense aussi à demander immédiatement des témoignages aux collègues (il y a des papiers faits pour sur des sites juridiques, avec photocopie de leur carte d'identité) car d'après ce que tu décris il y a beaucoup d'éléments qui ne sont pas concretset qui après ne pourront pas être prouvés. Que tes collègues le fassent immédiatement (la collègue avec laquelle tu discutais) car après on oublie, on laisse passer le temps...
Bon courage!
- archebocEsprit éclairé
Rendash a écrit:Registre Hygiène et sécurité également à remplir, rapidement : le chef d'établissement est tenu d'y apporter une réponse écrite.
C'est le plus important actuellement.
Si une majorité de collègues vous soutient, demander un inspecteur de vie scolaire ?
- XIIINeoprof expérimenté
Arrêtez avec votre "automne" qui n'est autre qu'une assurance privée et permet surtout à l'Etat de se décharger de ses responsabilités! Nous avons à notre disposition un outil efficace la "protection fonctionnelle" qui est un dispositif règlementaire. L'Etat est dans l'obligation de défendre un agent dans l'exercice de son métier (avocat, procédure...)!
Je te conseille de te rapprocher d'un syndicat, d'un vrai (exit Se unsa, fsu ou sgen!) qui connait le processus de mise en place de la protection fonctionnelle, qui elle s'occupera de saisir le procureur de la République! Tu peux porter plainte en ton nom propre comme le propose souvent les syndicats cités plus haut, mais avec le risque de te retrouver en porte à faux avec cet élève et sa famille...
Dans le même temps je te conseille de remplir une fiche "santé et sécurité" pour le CHSCT avec double envoyé au syndicat. Une enquête et une réponse (autre que pédagogique) devront être impérativement mises en place!
Si tu t'arrêtes n'oublie surtout pas de faire passer ces arrêts en "accident du travail"!
Je te conseille de te rapprocher d'un syndicat, d'un vrai (exit Se unsa, fsu ou sgen!) qui connait le processus de mise en place de la protection fonctionnelle, qui elle s'occupera de saisir le procureur de la République! Tu peux porter plainte en ton nom propre comme le propose souvent les syndicats cités plus haut, mais avec le risque de te retrouver en porte à faux avec cet élève et sa famille...
Dans le même temps je te conseille de remplir une fiche "santé et sécurité" pour le CHSCT avec double envoyé au syndicat. Une enquête et une réponse (autre que pédagogique) devront être impérativement mises en place!
Si tu t'arrêtes n'oublie surtout pas de faire passer ces arrêts en "accident du travail"!
- XIIINeoprof expérimenté
"autonome" bien sûr!
- MC311Niveau 10
Par rapport à l'autonome, je trouve ta réaction surprenante XIII. Il y a 2 ans j'ai été agressée verbalement avec menaces ... par une élève et l'autonome a été géniale. J'ai eu beaucoup d'écoute, de pistes et ils ont même appelé mon CDE pour une mise au point sur la manière dont il minimisait les faits et les conseils qu'on m'avait prodigués ( avocat ... ). Résultat : bien qu'il soit trop tard pour un CDD, que le CDE avait refusé oralement sans justification écrite alors que j'avais fait ma demande par écrit ( et que l'adjoint voulait le faire ), le CDE s'est débrouillait avec les parents pour que l'élève quitte l'établissement. Visiblement il a compris que je ne me laisserais pas faire car, quand il a refusé pour le 2e fois en 2 ans, de faire un CDD, l'an dernier ( et son adjoint était encore d'accord avec moi ! ), pour un élève qui cette fois, était entré en salle des profs pour me menacer, il a encore réussi à faire en sorte que l'élève quitte l'établissement. Dans ce 2e cas, seul l'intervention de mon délégué syndical a suffi.
- ipomeeGuide spirituel
+ 1. Et aussi lettre au Recteur par la voie hiérarchique avec copie en transmission immédiate (fais-la relire par le syndicat).XIII a écrit:Arrêtez avec votre "automne" qui n'est autre qu'une assurance privée et permet surtout à l'Etat de se décharger de ses responsabilités! Nous avons à notre disposition un outil efficace la "protection fonctionnelle" qui est un dispositif règlementaire. L'Etat est dans l'obligation de défendre un agent dans l'exercice de son métier (avocat, procédure...)!
Je te conseille de te rapprocher d'un syndicat, d'un vrai (exit Se unsa, fsu ou sgen!) qui connait le processus de mise en place de la protection fonctionnelle, qui elle s'occupera de saisir le procureur de la République! Tu peux porter plainte en ton nom propre comme le propose souvent les syndicats cités plus haut, mais avec le risque de te retrouver en porte à faux avec cet élève et sa famille...
Dans le même temps je te conseille de remplir une fiche "santé et sécurité" pour le CHSCT avec double envoyé au syndicat. Une enquête et une réponse (autre que pédagogique) devront être impérativement mises en place!
Si tu t'arrêtes n'oublie surtout pas de faire passer ces arrêts en "accident du travail"!
Mettre en place une procédure contre la diffamation de la part de la principale (sois sûre aussi qu'elle t'a descendue auprès de la police, qui a sans aucun doute pris contact avec elle), et une procédure de harcèlement et d'intimidation contre l'élève. Par l'ENTEA, à tous les collègues, fais un courriel qui raconte l'attitude de l'élève (laisse tomber celle de la principale, que tu n'évoqueras qu'avec certains collègues de vive voix). Reste factuelle. Mais tu peux évoquer ta peur quant des représailles. Et garde les réponses que tu auras.
Bon courage, et ne reste pas sans réagir, faute de quoi tu deviendras le souffre-douleur de la principale et de certains élèves.
- Reine MargotDemi-dieu
XIII a écrit:Arrêtez avec votre "automne" qui n'est autre qu'une assurance privée et permet surtout à l'Etat de se décharger de ses responsabilités! Nous avons à notre disposition un outil efficace la "protection fonctionnelle" qui est un dispositif règlementaire. L'Etat est dans l'obligation de défendre un agent dans l'exercice de son métier (avocat, procédure...)!
Je te conseille de te rapprocher d'un syndicat, d'un vrai (exit Se unsa, fsu ou sgen!) qui connait le processus de mise en place de la protection fonctionnelle, qui elle s'occupera de saisir le procureur de la République! Tu peux porter plainte en ton nom propre comme le propose souvent les syndicats cités plus haut, mais avec le risque de te retrouver en porte à faux avec cet élève et sa famille...
Dans le même temps je te conseille de remplir une fiche "santé et sécurité" pour le CHSCT avec double envoyé au syndicat. Une enquête et une réponse (autre que pédagogique) devront être impérativement mises en place!
Si tu t'arrêtes n'oublie surtout pas de faire passer ces arrêts en "accident du travail"!
Alors la protection juridique des profs, comment dire...Mon immeuble a été taggué d'une insulte avec mon nom, la protection juridique m'a été refusée. On ne pouvait pas être sûr que c'était en rapport avec le boulot, ssspas. Alors si la CDE dit que la prof délire, le rectorat croira la CDE. Plainte, autonome, syndicat, leur faire peur.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- OsmieSage
Olympias a écrit:Voilà. Syndicat. Autonome. Et si nécessaire nouvelle plainte.
Ton administration est affligeante.
Il se conduit ainsi parce qu'il voit que tu as peur.
Je souscris à ce qu'écrit Olympias, même si cela n'aide pas. C'est une question de rapport de force ; ton statut de professeur devrait suffire idéalement à ce que tu sois respectée, mais il est loin ce temps où le statut suffisait. Ce qui signifie qu'en cas de problème grave avec un élève, c'est la personne, et non plus seulement le professeur, qui est remise en cause. Ton élève t'a insultée, c'est intolérable et il mériterait que tu le fesses devant la classe. Ton administration ne te soutient pas et reporte la faute sur toi, c'est insupportable. Dis-toi que tu as raison de te sentir mal, mais vu ton administration, je te conseillerais avant tout de modifier le rapport de force en ta faveur, en humiliant bien comme il le faut, et devant ses potes, l'élève en question ; il ne viendra plus t'emmerder, et cela vaccinera les autres par la même occasion. Si tu ne le fais pas, c'est toi qui va subir l'horreur, comme c'est déjà le cas.
- HerrelisGrand sage
Quand l'administration peut nous lâcher, elle le fait avec plaisir hélas...Reine Margot a écrit:XIII a écrit:Arrêtez avec votre "automne" qui n'est autre qu'une assurance privée et permet surtout à l'Etat de se décharger de ses responsabilités! Nous avons à notre disposition un outil efficace la "protection fonctionnelle" qui est un dispositif règlementaire. L'Etat est dans l'obligation de défendre un agent dans l'exercice de son métier (avocat, procédure...)!
Je te conseille de te rapprocher d'un syndicat, d'un vrai (exit Se unsa, fsu ou sgen!) qui connait le processus de mise en place de la protection fonctionnelle, qui elle s'occupera de saisir le procureur de la République! Tu peux porter plainte en ton nom propre comme le propose souvent les syndicats cités plus haut, mais avec le risque de te retrouver en porte à faux avec cet élève et sa famille...
Dans le même temps je te conseille de remplir une fiche "santé et sécurité" pour le CHSCT avec double envoyé au syndicat. Une enquête et une réponse (autre que pédagogique) devront être impérativement mises en place!
Si tu t'arrêtes n'oublie surtout pas de faire passer ces arrêts en "accident du travail"!
Alors la protection juridique des profs, comment dire...Mon immeuble a été taggué d'une insulte avec mon nom, la protection juridique m'a été refusée. On ne pouvait pas être sûr que c'était en rapport avec le boulot, ssspas. Alors si la CDE dit que la prof délire, le rectorat croira la CDE. Plainte, autonome, syndicat, leur faire peur.
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Han : "Comment on s'en sort?" Luke : "comme d'habitude." Han : "Si mal que ça?!!" Le Retour du Jedi
"Drowned in moonlight, strangled by her own bra." -Carrie Fisher- 1956-2016 - See you space momma.
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- ElaïnaDevin
profallemand a écrit:Difficile à expliquer... Il n'y a pas eu d'insultes supplémentaires, mais il se colle à moi dès que j'approche, il s'est planté devant moi alors que je parlais à un collègue, il s'est mis à 2cm de moi (il est plus grand que moi, d'où le côté menaçant). Quant au reste, ça reste du ressenti. Il est menaçant pour moi dans le sens où je sais qu'il peut facilement me faire du mal (vu où j'habite et vu qu'il me croise tout le temps). Dur à expliquer.
Re-plainte pour harcèlement.
La direction, tu t'en fous, l'important c'est que la police et la justice fassent leur travail. Si le gamin ne voit pas le problème, il va certainement le comprendre après une petite convocation au commissariat.
- CeladonDemi-dieu
Je crains que cela ne desserve gravement la collègue, qui se doit de rester digne si elle veut mettre la police et la justice de son côté.Osmie a écrit:Olympias a écrit:Voilà. Syndicat. Autonome. Et si nécessaire nouvelle plainte.
Ton administration est affligeante.
Il se conduit ainsi parce qu'il voit que tu as peur.
Je souscris à ce qu'écrit Olympias, même si cela n'aide pas. C'est une question de rapport de force ; ton statut de professeur devrait suffire idéalement à ce que tu sois respectée, mais il est loin ce temps où le statut suffisait. Ce qui signifie qu'en cas de problème grave avec un élève, c'est la personne, et non plus seulement le professeur, qui est remise en cause. Ton élève t'a insultée, c'est intolérable et il mériterait que tu le fesses devant la classe. Ton administration ne te soutient pas et reporte la faute sur toi, c'est insupportable. Dis-toi que tu as raison de te sentir mal, mais vu ton administration, je te conseillerais avant tout de modifier le rapport de force en ta faveur, en humiliant bien comme il le faut, et devant ses potes, l'élève en question ; il ne viendra plus t'emmerder, et cela vaccinera les autres par la même occasion. Si tu ne le fais pas, c'est toi qui va subir l'horreur, comme c'est déjà le cas.
- PaleoprofFidèle du forum
Je suis d'accord avec Elisa18, obtiens des témoignages écrits de tes collègues, cela alimentera ton dépôt de plainte.
Et avec Rendash et Archeboc, la CDE est tenue légalement d'apporter une réponse au Registre Hygiène et Sécurité.
Bon courage , ce que tu vis est extrêmement violent. :shock:
Et avec Rendash et Archeboc, la CDE est tenue légalement d'apporter une réponse au Registre Hygiène et Sécurité.
Bon courage , ce que tu vis est extrêmement violent. :shock:
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