- RégineNiveau 3
On nous a beaucoup parlé en formation des échelles descriptives à mettre en place à la rentrée afin d'évaluer les élèves. Sans nous proposer d'exemples concrets.
Le livre scolaire en propose quelques unes mais l'ensemble ne me convient pas totalement.
En faisiez-vous auparavant ou bien comptez-vous vous y mettre?
Est-ce simple à mettre en place et efficace pour donner du sens aux évaluations / pour permettre aux élèves de progresser?
Avantages? Inconvénients?
N'est-ce qu'une simple lubie d'inspecteurs ou vraiment pertinent?
J'ai hâte d'avoir vos avis sur le sujet.
Le livre scolaire en propose quelques unes mais l'ensemble ne me convient pas totalement.
En faisiez-vous auparavant ou bien comptez-vous vous y mettre?
Est-ce simple à mettre en place et efficace pour donner du sens aux évaluations / pour permettre aux élèves de progresser?
Avantages? Inconvénients?
N'est-ce qu'une simple lubie d'inspecteurs ou vraiment pertinent?
J'ai hâte d'avoir vos avis sur le sujet.
- AuzNiveau 6
Moi non plus, ça marche avec les compétences?
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Boulet un jour, boulet toujours.
- RégineNiveau 3
Oui ça fonctionne avec les compétences du socle.
Voici un exemple en partie tiré du manuel:
Lire --> J'interprète un texte littéraire
Niveau 1: je n'ai pas compris tout le texte (entre 1 et 3 points)
Niveau 2: J'ai compris le sens global mais j'ai fait quelques contresens. Je peux donner un avis. (entre 4 et 6 points)
Niveau 3: J'ai compris le texte, je peux le situer dans son contexte et donner un avis. (entre 7 et 9 points)
Niveau 4: J'ai compris le texte, je peux le situer dans son contexte et je peux donner un avis en m'appuyant sur les effets esthétiques (10 points)
Ça fonctionne en tableau qui peut avoir plusieurs entrées.
Ainsi pour une rédaction on pourra avoir une entrée "écrire", puis une deuxième "langue"...
C'est un casse-tête à créer je trouve mais, d'après des collègues formateurs, c'est "formidable".
Voici un exemple en partie tiré du manuel:
Lire --> J'interprète un texte littéraire
Niveau 1: je n'ai pas compris tout le texte (entre 1 et 3 points)
Niveau 2: J'ai compris le sens global mais j'ai fait quelques contresens. Je peux donner un avis. (entre 4 et 6 points)
Niveau 3: J'ai compris le texte, je peux le situer dans son contexte et donner un avis. (entre 7 et 9 points)
Niveau 4: J'ai compris le texte, je peux le situer dans son contexte et je peux donner un avis en m'appuyant sur les effets esthétiques (10 points)
Ça fonctionne en tableau qui peut avoir plusieurs entrées.
Ainsi pour une rédaction on pourra avoir une entrée "écrire", puis une deuxième "langue"...
C'est un casse-tête à créer je trouve mais, d'après des collègues formateurs, c'est "formidable".
- ElyasEsprit sacré
C'est l'autre nom qu'on donne aux ceintures, un outil venu des pédagogies coopératives. Elle explicite pour les élèves les exigences, les codes et les attendus des exercices.
C'est assez vieux comme outil, ça date des années 60 ou 70. Cela ressort actuellement avec les courants de la pédagogie par compétences, des pédagogies coopératives et des pédagogies explicites (bref, la totale, tout le monde en parle et l'utilise).
C'est juste désespérant de voir qu'on présente ça comme une nouveauté.
Leur avantage est que les élèves savent ce qui est attendu et que les problèmes liés à l'implicite ont tendance à disparaître. Le mieux est de créer l'échelle descriptive avec eux. Dans la Pédagogie institutionnelle qui les as créées si je me rappelle bien, le but est que les élèves choisissent quand ils passent une ceinture pour aller vers de plus en plus de difficultés. Cette procédure n'est possible que dans une démarche coopérative, je la déconseille dans toute autre démarche.
Il n'y a pas d'inconvénient réel. Les élèves s'en saisissent ou non.
C'est vraiment pertinent mais il vaut mieux y être formé (comme pour tout) sinon on part en vrille et l'outil n'est pas utilisé dans son usage le plus optimal.
Je n'ai que des exemples en HG (sur le récit et la cartographie), donc désolé pour le français https://www.dropbox.com/s/5wdvhoc8mo1urir/ECHELLE_DE_MAITRISE%20RECIT.rtf?dl=0 . L'exemple que j'ai mis, je l'utilise pour trois choses :
- expliciter exactement tout ce que l'exercice d'écriture en histoire attend pour que les élèves ne tombent pas dans le piège des codes implicites connus que des initiés.
- ils peuvent l'utiliser quand ils veulent, l'important étant qu'ils comprennent/utilisent les codes et réalisent ce qu'il faut en fonction de ma consigne et des connaissances en jeu.
- une explicitation du sens de ma notation (je note sur 5), je peux y adjoindre un petit tableau disant où ils en sont pour chaque élément de l'échelle et leur donner un défi pour progresser au prochain travail de ce genre.
C'est assez efficace avec les élèves de niveau correct ou faible qui veulent progresser. Rien que pour ça, je trouve l'outil pertinent d'autant plus qu'ils ne me coûtent quasiment rien en effort en classe (sinon faire les photocopies et faire un moment en classe sur le récit et ses codes aboutissant soit à la création de l'échelle avec les élèves soit avec la distribution d'une échelle toute faite).
C'est assez vieux comme outil, ça date des années 60 ou 70. Cela ressort actuellement avec les courants de la pédagogie par compétences, des pédagogies coopératives et des pédagogies explicites (bref, la totale, tout le monde en parle et l'utilise).
C'est juste désespérant de voir qu'on présente ça comme une nouveauté.
Leur avantage est que les élèves savent ce qui est attendu et que les problèmes liés à l'implicite ont tendance à disparaître. Le mieux est de créer l'échelle descriptive avec eux. Dans la Pédagogie institutionnelle qui les as créées si je me rappelle bien, le but est que les élèves choisissent quand ils passent une ceinture pour aller vers de plus en plus de difficultés. Cette procédure n'est possible que dans une démarche coopérative, je la déconseille dans toute autre démarche.
Il n'y a pas d'inconvénient réel. Les élèves s'en saisissent ou non.
C'est vraiment pertinent mais il vaut mieux y être formé (comme pour tout) sinon on part en vrille et l'outil n'est pas utilisé dans son usage le plus optimal.
Je n'ai que des exemples en HG (sur le récit et la cartographie), donc désolé pour le français https://www.dropbox.com/s/5wdvhoc8mo1urir/ECHELLE_DE_MAITRISE%20RECIT.rtf?dl=0 . L'exemple que j'ai mis, je l'utilise pour trois choses :
- expliciter exactement tout ce que l'exercice d'écriture en histoire attend pour que les élèves ne tombent pas dans le piège des codes implicites connus que des initiés.
- ils peuvent l'utiliser quand ils veulent, l'important étant qu'ils comprennent/utilisent les codes et réalisent ce qu'il faut en fonction de ma consigne et des connaissances en jeu.
- une explicitation du sens de ma notation (je note sur 5), je peux y adjoindre un petit tableau disant où ils en sont pour chaque élément de l'échelle et leur donner un défi pour progresser au prochain travail de ce genre.
C'est assez efficace avec les élèves de niveau correct ou faible qui veulent progresser. Rien que pour ça, je trouve l'outil pertinent d'autant plus qu'ils ne me coûtent quasiment rien en effort en classe (sinon faire les photocopies et faire un moment en classe sur le récit et ses codes aboutissant soit à la création de l'échelle avec les élèves soit avec la distribution d'une échelle toute faite).
- kensingtonEsprit éclairé
A élaborer à partir des repères de progressivité des nouveaux programmes?
- AuzNiveau 6
Merci! effectivement une formation serait la bienvenue pour utiliser au mieux cet outil. En fonctionnant par compétences cette année en 2nde j'ai pu réaliser à quel point l'explicitation des attentes était un bienfait et les échelles pourraient permettre d'aller plus loin.
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Boulet un jour, boulet toujours.
- ElyasEsprit sacré
kensington a écrit:
A élaborer à partir des repères de progressivité des nouveaux programmes?
C'est l'idée. Il paraît que les fiches eduscol sur les compétences donneront des échelles descriptives (enfin, il paraît... on verra).
Le mieux est de réaliser une échelle descriptive en équipe. Tout le monde s'accorde au bénéfice des élèves.
Maintenant, attention, ces "ceintures" participaient aux institutions de la PI comme le conseil coopératif et les plans de travail. Elles fonctionnaient dans une configuration pédagogique totalement "alien" pour un grand nombre de professeurs actuels (les élèves allaient voir leur professeur pour monter en ceinture dans leur échelle, certaines pratiques faisaient passer cette demande par le conseil coopératif avec des élèves qui pouvaient être proposés au passage de ceinture par le professeur ou des camarades, pratique qui peut choquer formulée ainsi mais pas du tout car fait dans des pratiques coopératives où les élèves s'entraident et créent une émulation interne positive entre eux mais j'ai des difficultés à exprimer ce qui peut se passer aux niveaux des relations dans une classe coopérative). Actuellement, on les diffuse dans les autres configurations pédagogiques mais sans rappeler leur contexte de création et d'utilisation initiale. Ensuite, on en fait un peu des grigris magiques en oubliant qu'elles s'insèrent dans des pratiques précises des pédagogies par compétences et des pédagogies explicites. Il faut y être formé sinon, comme le dit Bonnéry dans son livre Comprendre l'échec scolaire, on crée des pratiques pédagogiques qui ressemblent à du gloubi-boulga, mélangeant anciennes pratiques et nouvelles pratiques, le tout étant majoritairement inefficace au final car décontextualisé et mal inséré dans les pratiques (je me rends compte que je suis ultra-positif ce soir :lol: ). Son usage hors pédagogie coopérative est un usage d'explicitation pour éviter les délits d'initié et l'incompréhension chez les non-initiés comme le disent Bernard Lahire (La Raison scolaire) et Stéphane Bonnéry (Comprendre l'échec scolaire).
Sylvain Connac en parle dans Apprendre avec les pédagogies coopératives. Démarches et outils pour l’école, Paris, ESF éditeur, collection pédagogies (2009). et Annie di Martino et Anne-Marie Sanchez développe leurs usages dans Socle commun et compétences – Pratiques pour le collège, ESF, 2011 14 septembre 2011.
- kensingtonEsprit éclairé
Pour la plupart d'entre nous (je m'inclus dans le lot), je pense que ce sera utilisé en dehors des pratiques que tu évoques.
N'est-ce pas tout simplement une grille d'évaluation critériée? (ou bien la subtilité de la chose m'aurait échappé). Et ça me fait d'ailleurs penser aux grilles d'évaluation de l'oral du bac en LV (est-ce complètement différent?).
Il serait bien que de tels outils soient en effet élaborés au niveau de l'établissement mais pourquoi pas des échelles nationales? Ou est-ce une idée farfelue?
N'est-ce pas tout simplement une grille d'évaluation critériée? (ou bien la subtilité de la chose m'aurait échappé). Et ça me fait d'ailleurs penser aux grilles d'évaluation de l'oral du bac en LV (est-ce complètement différent?).
Il serait bien que de tels outils soient en effet élaborés au niveau de l'établissement mais pourquoi pas des échelles nationales? Ou est-ce une idée farfelue?
- ElyasEsprit sacré
Non, leur usage en tant que grille d'évaluation critériée est intéressante. Mais ces grilles doivent être en possession des élèves. Après, pour ce que tu dis sur le niveau établissement voire national, c'est loin d'être farfelu. C'est même une demande de certains acteurs institutionnels. Après, entre les demandes et la concrétisation, il y a souvent un fossé aussi large et profond que la distance entre la Voie lactée et Andromède.kensington a écrit:Pour la plupart d'entre nous (je m'inclus dans le lot), je pense que ce sera utilisé en dehors des pratiques que tu évoques.
N'est-ce pas tout simplement une grille d'évaluation critériée? (ou bien la subtilité de la chose m'aurait échappé). Et ça me fait d'ailleurs penser aux grilles d'évaluation de l'oral du bac en LV (est-ce complètement différent?).
Il serait bien que de tels outils soient en effet élaborés au niveau de l'établissement mais pourquoi pas des échelles nationales? Ou est-ce une idée farfelue?
- kensingtonEsprit éclairé
Tes réponses me rassurent, je ne suis pas complètement largué donc.
Après, de la compréhension des choses à leur mise en pratique, il peut là aussi y avoir un fossé...
- ProvenceEnchanteur
A mettre en place si on veut. Non?laura85lm a écrit:On nous a beaucoup parlé en formation des échelles descriptives à mettre en place à la rentrée afin d'évaluer les élèves.
Non.En faisiez-vous auparavant
Non plus.ou bien comptez-vous vous y mettre?
Est-ce simple à mettre en place et efficace pour donner du sens aux évaluations
Les évaluations ont déjà du sens.
C'est le travail qui permet de progresser./ pour permettre aux élèves de progresser?
- henrietteMédiateur
Merci pour le partage, Elyas.
Du coup, comme kensington, je réalise que les grilles des critères de réussite que je donne aux élèves avec les sujets des rédactions s'inscrivent dans cette démarche, ainsi que les grilles du genre échelle de maîtrise en rédaction (voir par exemple celle du TDL, ou des doc partagés par V.Marchais ou d'autres aussi).
Nil novi sub sole, en effet.
Par contre, je n'ai jamais essayé de les faire construire par les élèves eux-mêmes : pas trop chronophage ?
Du coup, comme kensington, je réalise que les grilles des critères de réussite que je donne aux élèves avec les sujets des rédactions s'inscrivent dans cette démarche, ainsi que les grilles du genre échelle de maîtrise en rédaction (voir par exemple celle du TDL, ou des doc partagés par V.Marchais ou d'autres aussi).
Nil novi sub sole, en effet.
Par contre, je n'ai jamais essayé de les faire construire par les élèves eux-mêmes : pas trop chronophage ?
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- doctor whoDoyen
Je ne suis pas d'accord avec Elyas pour dire que les échelles descriptives ne peuvent pas être utilisées efficacement en dehors d'une pédagogie coopérative.
J'avais fait les miennes pour la rédac en 6e : http://pedagoj.eklablog.com/mon-tableau-d-evaluation-de-redaction-en-6e-a114315496
Ça marchait bien.
Je n'ai pas lu Lahire et Bonnery, donc mon opinion est assez impressionniste. Mais j'ai tendance à penser que l'éclectisme des pratiques peut être au contraire un sacré atout. Mais il faut avoir une bonne culture historique et théorique de la pédagogie.
Voir la notion d'éclectisme dans l'enseignement des langues vivantes chez Christian Puren.
J'avais fait les miennes pour la rédac en 6e : http://pedagoj.eklablog.com/mon-tableau-d-evaluation-de-redaction-en-6e-a114315496
Ça marchait bien.
Je n'ai pas lu Lahire et Bonnery, donc mon opinion est assez impressionniste. Mais j'ai tendance à penser que l'éclectisme des pratiques peut être au contraire un sacré atout. Mais il faut avoir une bonne culture historique et théorique de la pédagogie.
Voir la notion d'éclectisme dans l'enseignement des langues vivantes chez Christian Puren.
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- ElyasEsprit sacré
Tu as tout à fait raison, Doctor Who.
En réalité, il faut distinguer les échelles descriptives (aussi nommées tableau de niveau de réussite ou échelle de maîtrise) qui permettent d'expliciter aux élèves les codes, exigences, attendus et tutti quanti d'un exercice complexe (comme la rédaction en français) des ceintures qui sont une procédure explicite d'évaluation dans les pédagogies coopératives.
Techniquement, les deux sont faits sur le même modèle. Dans la pratique, la ceinture donne les attendus de niveau à passer comme au judo ou à l'escrime (où là on parle de badge si je me souviens bien).
Ainsi, dans une classe coopérative, les professeurs peuvent décliner le domaine Méthodes et outils pour apprendre en quatre ceintures :
Blanche : savoir apprendre une leçon et répondre à des questions simples sur celle-ci.
Jaune : savoir faire une fiche de révision sur un chapitre et répondre à des questions simples sur celle-ci.
Rouge : Choisir le langage qui va me permettre d'apprendre un chapitre et savoir répondre à des questions simples et complexes sur celui-ci.
Noire : Idem sauf que c'est sur plusieurs chapitres de plusieurs disciplines.
(ces ceintures sont faites rapidement pour exemple, elles ne sont pas du tout réfléchies)
On crée une classe coopérative en 6e dans mon collège et on réfléchit à l'évaluation dans ce cadre. Cela fait peur mais quand il faut y aller, il faut y aller.
Quand un élève se sent prêt, il passe une ceinture. Quand il hésite, il peut demander au conseil coopératif son avis.
En réalité, il faut distinguer les échelles descriptives (aussi nommées tableau de niveau de réussite ou échelle de maîtrise) qui permettent d'expliciter aux élèves les codes, exigences, attendus et tutti quanti d'un exercice complexe (comme la rédaction en français) des ceintures qui sont une procédure explicite d'évaluation dans les pédagogies coopératives.
Techniquement, les deux sont faits sur le même modèle. Dans la pratique, la ceinture donne les attendus de niveau à passer comme au judo ou à l'escrime (où là on parle de badge si je me souviens bien).
Ainsi, dans une classe coopérative, les professeurs peuvent décliner le domaine Méthodes et outils pour apprendre en quatre ceintures :
Blanche : savoir apprendre une leçon et répondre à des questions simples sur celle-ci.
Jaune : savoir faire une fiche de révision sur un chapitre et répondre à des questions simples sur celle-ci.
Rouge : Choisir le langage qui va me permettre d'apprendre un chapitre et savoir répondre à des questions simples et complexes sur celui-ci.
Noire : Idem sauf que c'est sur plusieurs chapitres de plusieurs disciplines.
(ces ceintures sont faites rapidement pour exemple, elles ne sont pas du tout réfléchies)
On crée une classe coopérative en 6e dans mon collège et on réfléchit à l'évaluation dans ce cadre. Cela fait peur mais quand il faut y aller, il faut y aller.
Quand un élève se sent prêt, il passe une ceinture. Quand il hésite, il peut demander au conseil coopératif son avis.
- Sophie38Fidèle du forum
Merci pour ces partages. J'essaye de m'y atteler aussi ...
- bebeHabitué du forum
Je compte élaborer des échelles de maîtrise pour mes différents niveaux.
En revanche, question concernant leur utilisation : laissez-vous vos élèves les compléter librement, selon leur appréciation et vous en avez une de votre côté que vous remplissez ?
Je comptais en donner 3 à chaque élève : compréhension / rédaction / langue ? Pensez-vous que cela soit pertinent ?
En revanche, question concernant leur utilisation : laissez-vous vos élèves les compléter librement, selon leur appréciation et vous en avez une de votre côté que vous remplissez ?
Je comptais en donner 3 à chaque élève : compréhension / rédaction / langue ? Pensez-vous que cela soit pertinent ?
- bebeHabitué du forum
Je remonte le post car cette question des échelles descriptives m'intéresse particulièrement.
Je trouve celles proposées par Le Livre scolaire trop longues et complexes. Celles du TDL m'apparaît beaucoup plus simple et claire.
Mais comment les mettre en place ? On en donne combien ? Une par période ? Qui les remplit ?
Je trouve celles proposées par Le Livre scolaire trop longues et complexes. Celles du TDL m'apparaît beaucoup plus simple et claire.
Mais comment les mettre en place ? On en donne combien ? Une par période ? Qui les remplit ?
- Sophie38Fidèle du forum
C'est quoi le TDL ?
Et peux-tu mettre un lien ou des indications pour voir cette échelle ?
Merci d'avance bebe
Et peux-tu mettre un lien ou des indications pour voir cette échelle ?
Merci d'avance bebe
- bebeHabitué du forum
C'est le manuel Terre des Lettres.
Je ne sais pas mettre de liens mais fais une recherche Google ; tu en trouveras différents exemples !
Je ne sais pas mettre de liens mais fais une recherche Google ; tu en trouveras différents exemples !
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