- User17706Bon génie
Du point de vue du candidat, la question est celle du risque: le pire lycée n'a guère de chances de lui apparaître pire que le pire collège...
- User14996Niveau 10
trompettemarine a écrit:Peut-être aussi que l'on ne veut pas voir réussir des lettres classiques au CAPES
Cela peut être aussi une politique pour nous supprimer.
Bon, cela fait un peu complotiste, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'y penser.
- Spoiler:
Connaissant certains jurys (mais pas beaucoup beaucoup non plus), je sais leur détestation des lettres classiques, mais je ne sais pas dans quelle commission ils se trouvaient, ni s'ils avaient à évaluer des LC. Bon, j'arrête mon délire. (quoique ? le doute ?)
89 admissibles. 68 admis. Soit plus de 76%. Les jurys pouvaient difficilement être plus généreux - sans compter la part de candidats éliminés. Certes, il y avait 233 inscrits, mais j'attends de connaître le nombre de présents.
- jésusFidèle du forum
PauvreYorick a écrit:Du point de vue du candidat, la question est celle du risque: le pire lycée n'a guère de chances de lui apparaître pire que le pire collège...
Oui, donc les "meilleurs" éléments à profil littéraire , on va dire, s'orientent vers l'agrégation de philo pour être sûr de s'éviter le collège...effectivement ça se tient...
- Paul DedalusNeoprof expérimenté
Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
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«Primus ego in patriam mecum, modo uita supersit. »
Virgile Georgiques.
« Ma science ne peut être qu’une science de pointillés. Je n’ai ni le temps ni les moyens de tracer une ligne continue. »
Marcel Jousse
- User17706Bon génie
Attention, ce n'est pas du tout ce que je dis.jésus a écrit:Oui, donc les "meilleurs" éléments à profil littéraire , on va dire, s'orientent vers l'agrégation de philo pour être sûr de s'éviter le collège...effectivement ça se tient...PauvreYorick a écrit:Du point de vue du candidat, la question est celle du risque: le pire lycée n'a guère de chances de lui apparaître pire que le pire collège...
Ce que je dis est très différent: parmi les très bons éléments engagés dans les lettres, il y en a probablement un plus grand nombre qui finissent par choisir d'éviter les concours. En philosophie, ce cas de figure demeure rare.
- User17706Bon génie
Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
- jésusFidèle du forum
PauvreYorick a écrit:Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
Oui, à Lyon, un collègue a fait une thèse avec un capes...mais vivait de son salaire de prof et non d'allocation de thèse...
- jésusFidèle du forum
PauvreYorick a écrit:Attention, ce n'est pas du tout ce que je dis.jésus a écrit:Oui, donc les "meilleurs" éléments à profil littéraire , on va dire, s'orientent vers l'agrégation de philo pour être sûr de s'éviter le collège...effectivement ça se tient...PauvreYorick a écrit:Du point de vue du candidat, la question est celle du risque: le pire lycée n'a guère de chances de lui apparaître pire que le pire collège...
Ce que je dis est très différent: parmi les très bons éléments engagés dans les lettres, il y en a probablement un plus grand nombre qui finissent par choisir d'éviter les concours. En philosophie, ce cas de figure demeure rare.
Oui, mais de plus en plus passent l'agrégation pour faire autre chose qu'enseigner par la suite ou n'enseignent que quelques années...
- RogerMartinBon génie
Disons qu'un étudiant brillant en lettres, avec une solide orthographe et des dons de rédaction, peut sans problème espérer trouver un débouché en dehors des concours de l'enseignement. Je vois ça aussi en anglais : les meilleurs étudiants soit attrapent le virus de la recherche (et leurs ennuis commencent ) soit préfèrent aller gagner plus sans se taper les humeurs d'adolescents boutonneux.
Je dirais qu'avant sur un groupe de L3, le groupe de tête souhaitait systématiquement passer les concours de l'enseignement, agreg si possible, et se rabattait sur le CAPES en cas d'échec. Aujourd'hui, il y a beaucoup de bons étudiants qui me disent "tout sauf le secondaire". La bascule s'est faite il y a cinq-six ans de manière très nette.
Les concours en LV accueillent toujours des très bons, mais plus tous les très bons. Et la queue de peloton, on n'a pas besoin de les recruter pour les quarante prochaines années, comme l'a expliqué quelqu'un plus haut, donc pour certains concours tous les postes ne sont pas pourvus.
Je dirais qu'avant sur un groupe de L3, le groupe de tête souhaitait systématiquement passer les concours de l'enseignement, agreg si possible, et se rabattait sur le CAPES en cas d'échec. Aujourd'hui, il y a beaucoup de bons étudiants qui me disent "tout sauf le secondaire". La bascule s'est faite il y a cinq-six ans de manière très nette.
Les concours en LV accueillent toujours des très bons, mais plus tous les très bons. Et la queue de peloton, on n'a pas besoin de les recruter pour les quarante prochaines années, comme l'a expliqué quelqu'un plus haut, donc pour certains concours tous les postes ne sont pas pourvus.
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- jésusFidèle du forum
RogerMartin a écrit:Disons qu'un étudiant brillant en lettres, avec une solide orthographe et des dons de rédaction, peut sans problème espérer trouver un débouché en dehors des concours de l'enseignement. Je vois ça aussi en anglais : les meilleurs étudiants soit attrapent le virus de la recherche (et leurs ennuis commencent ) soit préfèrent aller gagner plus sans se taper les humeurs d'adolescents boutonneux.
Je dirais qu'avant sur un groupe de L3, le groupe de tête souhaitait systématiquement passer les concours de l'enseignement, agreg si possible, et se rabattait sur le CAPES en cas d'échec. Aujourd'hui, il y a beaucoup de bons étudiants qui me disent "tout sauf le secondaire". La bascule s'est faite il y a cinq-six ans de manière très nette.
Les concours en LV accueillent toujours des très bons, mais plus tous les très bons. Et la queue de peloton, on n'a pas besoin de les recruter pour les quarante prochaines années, comme l'a expliqué quelqu'un plus haut, donc pour certains concours tous les postes ne sont pas pourvus.
Une bascule qui s'explique par les dégradations des conditions de travail dans le secondaire? Les salaires qui stagnent?
- Paul DedalusNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
Même si on est dans un domaine un peu "à part"?
Je pense la faire à l'école doctorale 472 de l'EPHE (école pratique des hautes études) « Religions et systèmes de pensée » (RSP).
Ce qui est difficile avec les concours en terme d'investissement, c'est que c'est "tout ou rien". Il faut s'y mettre à fond, corps et âme, et soit ça passe ou pas. Et si ça ne passe pas, en dehors des connaissances acquises, l'année est perdue, ce n'est jamais le cas en recherche et activités périphériques.
Mon année réelle de préparation (2015), j'ai eu peu le temps de découvrir des choses autour du programme, c'était une année très "obsessionnelle" (avec des moments de craquage où le sens se perdait).
Et malgré tout, c'est effectivement bien là que j'ai eu les meilleures notes, tant à l'agrégation qu'au CAPES.
Alors que cette année, pendant ce second master en lettres (pour lequel je n'ai pourtant demandé aucune équivalence malgré mon master de philo déjà en poche, je voulais tout faire), j'ai vraiment eu le temps d'explorer différents domaines, j'ai pris le temps d'aller à des expos, d'écrire, de voir des vieux films à la bibliothèque du film (à la cinémathèque française) mais je n'étais plus du tout dans la logique de travail effréné et de bachotage des concours, qui supposent d'avoir toujours la tête dans le guidon.
Vous allez me dire : c'est comme ça, c'est la logique des concours qui veut ça, mais c'est un peu inhumain et s'opposant à la vie que de devoir s'imposer un tel rythme et une telle restriction quand on aime les études et la recherche (qui permettent une temporalité très différente de celle des concours).
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Marcel Jousse
- User17706Bon génie
Par la prise de conscience de plus en plus générale du déclassement de la fonction, dont tu mentionnes deux aspects.jésus a écrit:Une bascule qui s'explique par les dégradations des conditions de travail dans le secondaire? Les salaires qui stagnent?RogerMartin a écrit:Disons qu'un étudiant brillant en lettres, avec une solide orthographe et des dons de rédaction, peut sans problème espérer trouver un débouché en dehors des concours de l'enseignement. Je vois ça aussi en anglais : les meilleurs étudiants soit attrapent le virus de la recherche (et leurs ennuis commencent ) soit préfèrent aller gagner plus sans se taper les humeurs d'adolescents boutonneux.
Je dirais qu'avant sur un groupe de L3, le groupe de tête souhaitait systématiquement passer les concours de l'enseignement, agreg si possible, et se rabattait sur le CAPES en cas d'échec. Aujourd'hui, il y a beaucoup de bons étudiants qui me disent "tout sauf le secondaire". La bascule s'est faite il y a cinq-six ans de manière très nette.
Les concours en LV accueillent toujours des très bons, mais plus tous les très bons. Et la queue de peloton, on n'a pas besoin de les recruter pour les quarante prochaines années, comme l'a expliqué quelqu'un plus haut, donc pour certains concours tous les postes ne sont pas pourvus.
- lisette83Érudit
Et je pense aussi grâce à l'ouverture de nouvelles banques de concours grandes écoles aux littéraires (et c'est très bien !), avec d'autres perspectives sur tous les plans...
- User17706Bon génie
Pose-leur la question.Paul Dedalus a écrit:Même si on est dans un domaine un peu "à part"?PauvreYorick a écrit:Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
Je pense la faire à l'école doctorale 472 de l'EPHE (école pratique des hautes études) « Religions et systèmes de pensée » (RSP).
- jésusFidèle du forum
Paul Dedalus a écrit:PauvreYorick a écrit:Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
Même si on est dans un domaine un peu "à part"?
Je pense la faire à l'école doctorale 472 de l'EPHE (école pratique des hautes études) « Religions et systèmes de pensée » (RSP).
Ce qui est difficile avec les concours en terme d'investissement, c'est que c'est "tout ou rien". Il faut s'y mettre à fond, corps et âme, et soit ça passe ou pas. Et si ça ne passe pas, en dehors des connaissances acquises, l'année est perdue, ce n'est jamais le cas en recherche et activités périphériques.
Mon année réelle de préparation (2015), j'ai eu peu le temps de découvrir des choses autour du programme, c'était une année très "obsessionnelle" (avec des moments de craquage où le sens se perdait).
Et malgré tout, c'est effectivement bien là que j'ai eu les meilleures notes, tant à l'agrégation qu'au CAPES.
Alors que cette année, pendant ce second master en lettres (pour lequel je n'ai pourtant demandé aucune équivalence malgré mon master de philo déjà en poche, je voulais tout faire), j'ai vraiment eu le temps d'explorer différents domaines, j'ai pris le temps d'aller à des expos, d'écrire, de voir des vieux films à la bibliothèque du film (à la cinémathèque française) mais je n'étais plus du tout dans la logique de travail effréné et de bachotage des concours, qui supposent d'avoir toujours la tête dans le guidon.
Vous allez me dire : c'est comme ça, c'est la logique des concours qui veut ça, mais c'est un peu inhumain et s'opposant à la vie que de devoir s'imposer un tel rythme et une telle restriction quand on aime les études et la recherche (qui permettent une temporalité très différente de celle des concours).
Et les concours de lettres ?
- PlutarqueNiveau 10
Sullien a écrit:trompettemarine a écrit:Peut-être aussi que l'on ne veut pas voir réussir des lettres classiques au CAPES
Cela peut être aussi une politique pour nous supprimer.
Bon, cela fait un peu complotiste, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'y penser.
- Spoiler:
Connaissant certains jurys (mais pas beaucoup beaucoup non plus), je sais leur détestation des lettres classiques, mais je ne sais pas dans quelle commission ils se trouvaient, ni s'ils avaient à évaluer des LC. Bon, j'arrête mon délire. (quoique ? le doute ?)
89 admissibles. 68 admis. Soit plus de 76%. Les jurys pouvaient difficilement être plus généreux - sans compter la part de candidats éliminés. Certes, il y avait 233 inscrits, mais j'attends de connaître le nombre de présents.
99 admissibles et non 89. Ce qui relativise (un peu) ton ratio d'admis
- Paul DedalusNeoprof expérimenté
PauvreYorick a écrit:Pose-leur la question.Paul Dedalus a écrit:Même si on est dans un domaine un peu "à part"?PauvreYorick a écrit:Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.Paul Dedalus a écrit:Et savez vous s'il est courant d'être financé pour une thèse en étant simplement certifié - en philosophie? (Comme mon but m'apparaît de plus en plus clairement comme étant celui de faire une thèse après avoir eu mon concours, cette question m'obsède depuis quelques jours).
Je pense la faire à l'école doctorale 472 de l'EPHE (école pratique des hautes études) « Religions et systèmes de pensée » (RSP).
Oui, je l'ai fait!
Bon ok, j'attends la réponse.
@Jésus : je ne comprends pas ce qui motive ta question. Je parlais de l'état d'esprit nécessaire pour avoir un concours en général. La question n'est pas celle du choix d'une discipline ou d'une autre mais plutôt de la dimension sacrificielle inhérente à la préparation qui peut vite faire perdre le sens de l'amour de la philosophie ou de l'amour des lettres pour reprendre ces deux disciplines citées.
Mais puisque peut-être tu me poses la question, et bien que ce ne soit pas le sujet, je me sens plus attiré par la philosophie que par les lettres d'un point de vue "académique" et dans une perspective d'enseignement (parce que du point de vue de la recherche j'aime justement les croisements entre les deux, d'ailleurs le diplôme que j'ai passé cette année est intitulé "lettres, arts et pensées" donc ça encourageait les croisement avec la philosophie et les autres domaines).
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Virgile Georgiques.
« Ma science ne peut être qu’une science de pointillés. Je n’ai ni le temps ni les moyens de tracer une ligne continue. »
Marcel Jousse
- jésusFidèle du forum
Paul Dedalus a écrit:PauvreYorick a écrit:Pose-leur la question.Paul Dedalus a écrit:Même si on est dans un domaine un peu "à part"?PauvreYorick a écrit:
Ça arrive, mais c'est rare. Honnêtement, je pense qu'à Paris ça doit être quasi inexistant.
Je pense la faire à l'école doctorale 472 de l'EPHE (école pratique des hautes études) « Religions et systèmes de pensée » (RSP).
Oui, je l'ai fait!
Bon ok, j'attends la réponse.
@Jésus : je ne comprends pas ce qui motive ta question. Je parlais de l'état d'esprit nécessaire pour avoir un concours en général. La question n'est pas celle du choix d'une discipline ou d'une autre mais plutôt de la dimension sacrificielle inhérente à la préparation qui peut vite faire perdre le sens de l'amour de la philosophie ou de l'amour des lettres pour reprendre ces deux disciplines citées.
Mais puisque peut-être tu me poses la question, bien que ce ne soit pas le sujet, je me sens plus attiré par la philosophie que par les lettres d'un point de vue "académique" (parce que du point de vue de la recherche j'aime justement les croisements entre les deux, d'ailleurs le diplôme que j'ai passé cette année est intitulé "lettres, arts et pensées" donc ça encourageait les croisement avec la philosophie et les autres domaines).
oui, je pense qu'il ne faut pas prendre ça comme un sacrifice ou un sacerdoce ou quelque chose d'approchant...parce qu'un sacrifice en général on a quelque chose en échange d'une manière ou d'une autre. C'est un échange...Et il n'y a pas non plus une perte totalement vaine à la fin...bref. Il faut aussi désacraliser le concours et le travail qui s'y rapporte. A partir de là, il y aura, peut être un état d'esprit plus "posé" face aux concours...J'en reviens encore à dire que mes efforts ont commencé à payer quand je suis allé décontracté aux concours...Et je pense pouvoir dire que mon stress à l'oral de capes n'est pas étranger à un échec. Je donne encore trop d'importance à ce concours pour aller à l'oral sereinement...
- User17706Bon génie
Bon, ce n'est pas pour vous embêter, tous les deux, mais je crois que votre conversation noyaute un peu le fil
- User17706Bon génie
L'agrégation d'histoire fait le plein (96/96), mais pas celle de mathématiques (304/467, soit même pas les deux tiers...).
- User14996Niveau 10
Pardon, je me suis (un peu) emporté, effectivement.Plutarque a écrit:Sullien a écrit:trompettemarine a écrit:Peut-être aussi que l'on ne veut pas voir réussir des lettres classiques au CAPES
Cela peut être aussi une politique pour nous supprimer.
Bon, cela fait un peu complotiste, mais je n'ai pas pu m'empêcher d'y penser.
- Spoiler:
Connaissant certains jurys (mais pas beaucoup beaucoup non plus), je sais leur détestation des lettres classiques, mais je ne sais pas dans quelle commission ils se trouvaient, ni s'ils avaient à évaluer des LC. Bon, j'arrête mon délire. (quoique ? le doute ?)8999 admissibles. 68 admis. Soitplus de 76%près de 70%. Les jurys pouvaient difficilement être plus généreux - sans compter la part de candidats éliminés. Certes, il y avait 233 inscrits, mais j'attends de connaître le nombre de présents.
99 admissibles et non 89. Ce qui relativise (un peu) ton ratio d'admis
- RogerMartinBon génie
PauvreYorick a écrit:L'agrégation d'histoire fait le plein (96/96), mais pas celle de mathématiques (304/467, soit même pas les deux tiers...).
Oui, et le niveau des contractuels en maths ne cesse de s'élever. Ma soeur qui est TZR a dû remplacer un contractuel écarté parce qu'il n'avait rien fait avec ses classes pendant trois semaines cette année. À ce rythme, les maths vont passer sous les 3h/semaine plancher à la prochaine
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- Niang973Habitué du forum
Est-ce à dire qu'il y a des ayatollahs dans les jurys de l'agreg de mathématique? Ou alors que le niveau global des candidats à l'agreg baisse? :mdr3:PauvreYorick a écrit:L'agrégation d'histoire fait le plein (96/96), mais pas celle de mathématiques (304/467, soit même pas les deux tiers...).
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- mon CV:
2008-2009: (28310) : Prof de techno : 6e , 5e , 4e , 3e
2009-2010: (97354) : Prof de techno : 6e , 3e -- Prof d'SVT: 4e -- Documentaliste
2010-2011: (97354) : Prof de techno : 6e , 5e , 4e , 3e -- Prof d'SVT: 5e , 4e -- Prof de Maths: 4e
2011-2012: (97351) : Prof de techno : 3e -- Prof d'SVT: 4e , 3e
2012-2013: (97351) : Prof de Maths : 6e , 5e , 4e , 3e
2013-2014: (43400) : Prof de Maths : 3e , 2nde , 1eSTMG , 1eES
2014-2015: (63600) : Prof de Maths : 6e , 5e , 4e , 3e
2015-2016: (78100) : Prof de Maths : 5e
2016-2017: (97660) : Prof de Maths : 6e, 5e, 4e
2017-2018: (97660) : Prof de Maths : 5e, 3e
2018-2019: (97630) : Prof de Maths : 2nde, 1eS , 1eES ,TleSTMG
2019-2020: (99237) : Prof de Maths : 5e, 2nde, TleES
2020-2021: (75017) : Prof de Maths : 6e, 3e
2021-2022: (75017) : Prof de Maths : 6e, 5e,2nde
2022-2023: (97317) : Prof de Maths : 6e, 5e
2023-2024: (97317) : Prof de Maths : 6e, 4e
2024-2046: (94800) : Prof de Maths : 6e,5e,4e
- RogerMartinBon génie
Le niveau des candidats baisse dans certaines matières, oui, parce que les bons étudiants ne choisissent plus de passer ces concours. Mais je gage que la réforme du collège va relancer encore plus fort plus loin les motivations youpi.
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- leokentNiveau 3
Il y avait 60% de postes couverts en 2015 à l'agreg de maths. Cette année, avec 65% environ, on peut clairement dire que "ça va mieux".Niang973 a écrit:Est-ce à dire qu'il y a des ayatollahs dans les jurys de l'agreg de mathématique? Ou alors que le niveau global des candidats à l'agreg baisse? :mdr3:PauvreYorick a écrit:L'agrégation d'histoire fait le plein (96/96), mais pas celle de mathématiques (304/467, soit même pas les deux tiers...).
- Niang973Habitué du forum
En effet les résultats de l'agreg de Maths sont tombés , reste plus qu'à avoir ceux du CAPES
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