Correction dnb

bon, finalement, suite à l'intervention de syndicats(s), l'ouverture du serveur a eu lieu à 13H30. J'ai donc eu le temps d'aller boire le café chez un collègue pour ne pas avoir à trop attendre. 30 copies X2 + 4 copies. Je trouve décidément cet "exercice" lassant... 18 années de répétition, sans doute...

45+ 30 .
( dont 15 d'absents)
Il y avait un paquet d'une gréviste et j'ai bien précisé que je n'y toucherai absolument pas !

J'ai fini à 14h30 avec une pause d'une heure obligatoire.

Et un paquet de copie est arrivée en fin de matinée, bravo TNT, ce qui a posé des problèmes d'organisation et des tergiversations . On a commencé à corriger vers 9h30.

Par contre, je n'ai absolument pas apprécié de mettre mes noms/prénoms et adresse mail pour valider ma saisie ...
Big brother is watching you.

Mais comment faites-vous?
Impossible de terminer mes 46* 2 copies , pourtant on a commencé vers 10 h et j'ai quitté les lieux ( avec un gros mal de crâne... Les écritures deviennent affreuses à déchiffrer) vers 17h.
Il me reste 13 rédactions..notes de 5 à 13 en rédactions et de 4 à 23 aux questions.
Suis trop lente.

Rabelais a écrit:Mais comment faites-vous?
Impossible de terminer mes 46* 2 copies , pourtant on a commencé vers 10 h et j'ai quitté les lieux ( avec un gros mal de crâne... Les écritures deviennent affreuses à déchiffrer) vers 17h.
Il me reste 13 rédactions..notes de 5 à 13 en rédactions et de 4 à 23 aux questions.
Suis trop lente.

Je commence par les rédacs : en 2 heures, les 33 rédacs sont corrigées.
Après, ça roule.

46 copies: c'est énorme! Je corrige assez vite (j'ai terminé mes 37 copies vers 15h) en prenant une pause repas de 12h30 à 13h30, je n'ai aucun scrupule à corriger vite, je ne me prends pas la tête pour un quart ou même un point.
J'ai vu une collègue cet après midi et je suis très en colère contre le centre, elle corrige lentement, avait prévu de revenir corriger le lendemain mais on lui a mis la pression en lui indiquant qu'à 18h, il ne restait plus qu'elle, que si elle revenait le lendemain, elle mobilisait tout le secrétariat du coup elle a fini ses copies et est partie à 21h!!! C'est hallucinant, je regrette de ne pas l'avoir aidé (elle était dans une autre salle et j'ai aidé une autre collègue à terminer son paquet).

Sphinx a écrit:J'ai eu un élève absolument persuadé que les "gouttes d'eau" étaient en réalité des soldats morts qui tombaient. Beaucoup de rédactions qui confinaient au n'importe quoi absolu parce que l'élève savait vaguement ce qu'était une tranchée mais visiblement pas à quoi ça servait (on y mettait des soldats mais pour quoi faire ? Y habiter sans doute), et s'imaginait que quand on est soldat on peut se barrer comme on veut quand on veut, par exemple pour aller se promener à plusieurs kilomètres.

Dans un riant paysage rempli de civils accueillants chez qui on peut s'installer en attendant de rentrer chez soi :shock:
Comme si rien n'avait été vu en histoire...

babette a écrit:46 copies:  c'est énorme! Je corrige assez vite (j'ai terminé mes 37 copies vers 15h) en prenant une pause repas de 12h30 à 13h30, je n'ai aucun scrupule à corriger vite, je ne me prends pas la tête pour un quart ou même un point.
J'ai vu une collègue cet après midi et je suis très en colère contre le centre, elle corrige lentement, avait prévu de revenir corriger le lendemain mais on lui a mis la pression en lui indiquant qu'à 18h, il ne restait plus qu'elle, que si elle revenait le lendemain, elle mobilisait tout le secrétariat du coup elle a fini ses copies et est partie à 21h!!! C'est hallucinant, je regrette de ne pas l'avoir aidé (elle était dans une autre salle et j'ai aidé une autre collègue à terminer son paquet).

Hallucinant en effet. J'aurais été le secrétariat, j'aurais préféré partir à 18h et revenir le lendemain plutôt que de rester jusqu'à 21h.

Oudemia a écrit:

Sphinx a écrit:J'ai eu un élève absolument persuadé que les "gouttes d'eau" étaient en réalité des soldats morts qui tombaient. Beaucoup de rédactions qui confinaient au n'importe quoi absolu parce que l'élève savait vaguement ce qu'était une tranchée mais visiblement pas à quoi ça servait (on y mettait des soldats mais pour quoi faire ? Y habiter sans doute), et s'imaginait que quand on est soldat on peut se barrer comme on veut quand on veut, par exemple pour aller se promener à plusieurs kilomètres.

Dans un riant paysage rempli de civils accueillants chez qui on peut s'installer en attendant de rentrer chez soi :shock:
Comme si rien n'avait été vu en histoire...

Les gouttes d'eau étaient des obus dans une copie.:shock:
Le nombre de soldats qui se barrent est hallucinant dans mon paquet.
J'ai eu un soldat qui était en fait une fille déguisée en homme.

34 copies (x2) finalement, préparées avant notre arrivée : je les ai traitées en un peu plus de 5h, soit bien plus vite qu'à la maison, car là, pas de scrupules et, pour la rédaction, c'est vraiment à la louche, honnêtement fait, mais sans réfléchir longtemps.
Mais j'étais la dernière dans ma salle :shock:
Dans la salle voisine il y avait encore quelques personnes, dont le responsable (qui ressemblait beaucoup à Cripure !).

Derborence a écrit:

Oudemia a écrit:

Sphinx a écrit:J'ai eu un élève absolument persuadé que les "gouttes d'eau" étaient en réalité des soldats morts qui tombaient. Beaucoup de rédactions qui confinaient au n'importe quoi absolu parce que l'élève savait vaguement ce qu'était une tranchée mais visiblement pas à quoi ça servait (on y mettait des soldats mais pour quoi faire ? Y habiter sans doute), et s'imaginait que quand on est soldat on peut se barrer comme on veut quand on veut, par exemple pour aller se promener à plusieurs kilomètres.

Dans un riant paysage rempli de civils accueillants chez qui on peut s'installer en attendant de rentrer chez soi :shock:
Comme si rien n'avait été vu en histoire...

Les gouttes d'eau étaient des obus dans une copie.:shock:
Le nombre de soldats qui se barrent est hallucinant dans mon paquet.
J'ai eu un soldat qui était en fait une fille déguisée en homme.

Ah, ça me rassure, les poilus qui s'en vont tranquille Emile, ce n'était pas que chez moi ! Ces copies-là n'ont pas eu la moyenne, faut pas pousser. J'ai eu, comme choses édifiantes :
-la visite à un psy
-le double : le narrateur parle à quelqu'un qui est en fait lui-même, mais dans un autre espace-temps, celui du reflet de la mare faite par les gouttes. Je n'ai rien compris à la fin...mais c'est de la bonne qu'il prend, cet élève.
-le mec en prison, au parloir, qui s'ennuie et qui reçoit une lettre "Je suis ton père. Signé : Dark Vador Christophe".
-la collégienne qui me raconte sa journée par le menu, et même que Mélissa, ben, elle ne lui parle plus !
-le soldat allemand qui vient dans la tranchée pour sauver le français....et qui finissent chez une jeune bergère dont l'allemand tombe amoureux
-le narrateur qui meurt à la fin (mais qui parvient tout de même à raconter sa mort !)

J'ai eu tout de même de bonnes, très bonnes copies, qui ont pensé à réutiliser le nom de l'auteur pour le personnage (et pas "Steven ou Ryan"), une qui a pensé à réutiliser une sorte de refrain pour les gouttes, qui revient de temps à autre, jusqu'à ce que la présence de l'autre le fasse disparaître, et 3 qui ont pensé à reprendre le thème de l'obsession du narrateur, parfois de façon très poétique.

Mes notes en rédacs vont de 1 à 15, et en questions de 1.5 à 24. J'ai eu de bonnes choses pour la question 8, avec même mention de plans et de prises de vues.

Hermiony a écrit:

Derborence a écrit:

Oudemia a écrit:

Sphinx a écrit:J'ai eu un élève absolument persuadé que les "gouttes d'eau" étaient en réalité des soldats morts qui tombaient. Beaucoup de rédactions qui confinaient au n'importe quoi absolu parce que l'élève savait vaguement ce qu'était une tranchée mais visiblement pas à quoi ça servait (on y mettait des soldats mais pour quoi faire ? Y habiter sans doute), et s'imaginait que quand on est soldat on peut se barrer comme on veut quand on veut, par exemple pour aller se promener à plusieurs kilomètres.

Dans un riant paysage rempli de civils accueillants chez qui on peut s'installer en attendant de rentrer chez soi :shock:
Comme si rien n'avait été vu en histoire...

Les gouttes d'eau étaient des obus dans une copie.:shock:
Le nombre de soldats qui se barrent est hallucinant dans mon paquet.
J'ai eu un soldat qui était en fait une fille déguisée en homme.

Ah, ça me rassure, les poilus qui s'en vont tranquille Emile, ce n'était pas que chez moi ! Ces copies-là n'ont pas eu la moyenne, faut pas pousser. J'ai eu, comme choses édifiantes :
-la visite à un psy
-le double : le narrateur parle à quelqu'un qui est en fait lui-même, mais dans un autre espace-temps, celui du reflet de la mare faite par les gouttes. Je n'ai rien compris à la fin...mais c'est de la bonne qu'il prend, cet élève.
-le mec en prison, au parloir, qui s'ennuie et qui reçoit une lettre "Je suis ton père. Signé : Dark Vador Christophe".
-la collégienne qui me raconte sa journée par le menu, et même que Mélissa, ben, elle ne lui parle plus !
-le soldat allemand qui vient dans la tranchée pour sauver le français....et qui finissent chez une jeune bergère dont l'allemand tombe amoureux
-le narrateur qui meurt à la fin (mais qui parvient tout de même à raconter sa mort !)

J'ai eu tout de même de bonnes, très bonnes copies, qui ont pensé à réutiliser le nom de l'auteur pour le personnage (et pas "Steven ou Ryan"), une qui a pensé à réutiliser une sorte de refrain pour les gouttes, qui revient de temps à autre, jusqu'à ce que la présence de l'autre le fasse disparaître, et 3 qui ont pensé à reprendre le thème de l'obsession du narrateur, parfois de façon très poétique.

Mes notes en rédacs vont de 1 à 15, et en questions de 1.5 à 24. J'ai eu de bonnes choses pour la question 8, avec même mention de plans et de prises de vues.

J'ai eu ça aussi.
J'ai mis deux fois un bonus de 0.5 à la question 8.

Beaucoup de poilus qui se promènent tranquillement chez moi aussi, qui décident de rentrer chez eux...

En rédaction, j'ai eu de nombreux hors sujet.
Le dialogue était très rarement "salvateur" .
On parlait parfois de la guerre mais sans lien avec le texte de départ .
Les mômes, la femme . Ok mais non.

Moi aussi, j'ai eu les promenades en forêt, caporal schultz dans la tranchée qui bien sûr se fait tuer sous les yeux du narrateur ( il est couillon ce schultz aussi), qui décident de rentrer chez eux aussi.
Mais aussi la femme qui traîne dans la tranchée qu'on invite à la maison mais qui ne peut pas dormir à cause du bruit des obus, le narrateur transporté chez lui en avion qui devient finalement voiture au bout de 10lignes, le narrateur qui trouve un copain dans la tranchée et qui lui annonce être gravement blessé au ventre, les américains qui débarquent dans la tranchée, le narrateur cherche quelqu'un pour jouer au carte et se fait gronder parce qu'il faut repartir bosser, le narrateur est fou et est en fait en hôpital psychiatrique .

Sur le sujet deux, Victor Hugo fait des mots des nuages de sentiments .

J'ai eu pratiquement toutes mes copies où le narrateur se présentait comme "Maurice" ou "Maurice Genevoix" mais c'était n'importe quoi quand même ! Dans une copie, un soldat allemand s'approchait de son trou dans la terre (la tranchée, je suppose), il se cachait mais l'Allemand voulait juste lui débiter une grande tirade sur la fraternité entre les peuples et était venu se promener parce qu'il en avait marre tandis que le chef et les autres aient à l'assaut (:shock:), puis cet Allemand se faisait tirer dessus ; dans une autre le narrateur parti se promener dans la forêt rencontrait un vieux pote devenu chef qui venait les mains dans les poches, lui demandait s'il n'avait pas vu ses soldats (:shock:), le narrateur lui demandait ce qu'il faisait là, le vieux pote répondait qu'il avait capté un signal de détresse () et qu'il venait voir mais le narrateur lui disait que c'était lui qui avait envoyé ce signal mais que tout allait bien merci ; dans une troisième, il s'en allait une fois de plus, il rencontrait un Irlandais qui se faisait tirer dessus, lui remettait un pendentif en mourant, le narrateur prenait l'avion, retrouvait la mère de l'Irlandais pour lui donner le pendentif, et en fait c'était sa mère à lui ; dans une quatrième, ça commençait normalement, il rencontrait un soldat à qui il commençait à parler, mais le soldat, qui était blessé (au ventre, avait perdu un pied et deux doigts) lui proposait de déserter avec lui, et ils s'en allaient en courant sur le no man's land, avec l'autre gars qui "courait à cloche-pied" (sic)... et les deux tiers du paquet à l'avenant.

C'est vraiment de la bouillie dans leurs têtes.

Sphinx a écrit:J'ai eu pratiquement toutes mes copies où le narrateur se présentait comme "Maurice" ou "Maurice Genevoix" mais c'était n'importe quoi quand même ! Dans une copie, un soldat allemand s'approchait de son trou dans la terre (la tranchée, je suppose), il se cachait mais l'Allemand voulait juste lui débiter une grande tirade sur la fraternité entre les peuples et était venu se promener parce qu'il en avait marre tandis que le chef et les autres aient à l'assaut (:shock:), puis cet Allemand se faisait tirer dessus ; dans une autre le narrateur parti se promener dans la forêt rencontrait un vieux pote devenu chef qui venait les mains dans les poches, lui demandait s'il n'avait pas vu ses soldats (:shock:), le narrateur lui demandait ce qu'il faisait là, le vieux pote répondait qu'il avait capté un signal de détresse () et qu'il venait voir mais le narrateur lui disait que c'était lui qui avait envoyé ce signal mais que tout allait bien merci ; dans une troisième, il s'en allait une fois de plus, il rencontrait un Irlandais qui se faisait tirer dessus, lui remettait un pendentif en mourant, le narrateur prenait l'avion, retrouvait la mère de l'Irlandais pour lui donner le pendentif, et en fait c'était sa mère à lui ; dans une quatrième, ça commençait normalement, il rencontrait un soldat à qui il commençait à parler, mais le soldat, qui était blessé (au ventre, avait perdu un pied et deux doigts) lui proposait de déserter avec lui, et ils s'en allaient en courant sur le no man's land, avec l'autre gars qui "courait à cloche-pied" (sic)... et les deux tiers du paquet à l'avenant.

C'est vraiment de la bouillie dans leurs têtes.

Oh, je les ai eus, ces deux -là!
Plus un homme inconnu qui amenait Maurice dans son chateau près des tranchées , de multiples discussions sur la famille au pays avant un regain patriotique, un allemand qui vient faire une tirade sur les horreurs de la guerre et qui se tire une balle dans la tête , la psy, Julie, qui veut faire parler le poilu de son obsession....
Mais des bonnes copies, aussi, dont une si bien écrite, si poétique, que j'ai failli verser une larme .

Beaucoup de "Maurice" aussi.
Une histoire d'amour (une fille rencontrée dans les bois: mon poilu était parti chasser pour se changer les idées: puis il va cueillir des fraises avec sa chérie...).
Un qui se lève pour se promner: en fait, il est chez lui et se rend dans son salon.
Et l'orhographe! La syntaxe! Seigneur! Je n'ai pas lu une phrase en français de la journée.

Ma collègue a eu une cantine dans la tranchée, un self avec des plateaux et tout...

:gouteur:

Sphinx a écrit:Ma collègue a eu une cantine dans la tranchée, un self avec des plateaux et tout...

Oh, j'allais oublier, j'ai des copies qui racontent le sauvetage de Maurice qui est bloqué par des planches, seul survivant de je-ne-sais-quel éboulement et qui est donc au milieu des morts et finit à l'hôpital puis chez lui.

Et je profite de ce fil pour dresser des lauriers à cette charmante collègue qui non seulement a fini ses copies dans un temps record et avec le sourire, mais qui a déchargé une remplaçante de dernière minute de quelques copies.
On l'aurait bien embrassée !
Si elle passe ici,

J'en ai eu un qui se tire une balle dans l'épaule afin d'être déclaré mort et pouvoir se barrer tranquillement, et ça marche! Trop fort Maurice!

Marie-Henriette a écrit:J'en ai eu un qui se tire une balle dans l'épaule afin d'être déclaré mort et pouvoir se barrer tranquillement, et ça marche! Trop fort Maurice!

Je n'ai pas été convoquée cette année, donc pas d'anecdotes. Mais ce qui m'épate à chaque devoir écrit, c'est que des élèves, qui me semblent à peu près normaux en classe, puissent devenir complètement barjos à l'écrit. Et quand je leur demande en cours la raison qui les fait devenir cinglés, ils sont incapables de m'expliquer ce qui leur passe par la tête à ce moment précis.

13 copies le matin et 11 l'aprem en théorie.
Pétition envoyée la veille par des collègues d'un collège voisin et montée en force : on a eu nos copies dans la foulée, sans avoir à attendre un horaire fixé arbitrairement.
Ceux qui voulaient une pause déj en ont pris une et ceux qui voulaient enchaîner ont pu le faire.
Faut dire qu'on n'a pas du tout le même nombre de copies d'une académie à l'autre ! 24, ça se fait quand même assez vite !

Stered a écrit:13 copies le matin et 11 l'aprem en théorie.
Pétition envoyée la veille par des collègues d'un collège voisin et montée en force : on a eu nos copies dans la foulée, sans avoir à attendre un horaire fixé arbitrairement.
Ceux qui voulaient une pause déj en ont pris une et ceux qui voulaient enchaîner ont pu le faire.
Faut dire qu'on n'a pas du tout le même nombre de copies d'une académie à l'autre ! 24, ça se fait quand même assez vite !

Oui, c'est certain!
Et tu me rassures, 46 questions dictée réécriture et 30 redactions annotées corrigées en un jour, restent 16 demain matin

Puck a écrit:Je n'ai pas été convoquée cette année,  donc pas d'anecdotes. Mais ce qui m'épate à  chaque devoir écrit, c'est que des élèves, qui me semblent à  peu près normaux en classe, puissent devenir complètement barjos à l'écrit. Et quand je leur demande en cours la raison qui les fait devenir cinglés, ils sont incapables de m'expliquer ce qui leur passe par la tête à ce moment précis.

C'est vrai que côté questions mon paquet était plutôt moins mauvais que ce qu'on me donne d'habitude. Le contraste avec les rédactions... Je passe mon temps à répéter aux miens de ne pas prendre l'écriture d'invention, que c'est beaucoup plus dur que ce dont ça a l'air, j'espère que la plupart auront pris le sujet 2.

Quelques perles en histoire/géo envoyées par un copain issues de la question sur la guerre froide.

chibidi chibidi bou signé la marraine la fée (véridique!!!)


- le mur séparait en deux la Belgique

- Le mur était défendu par un chien (un seul, il est trop fort ce clébard!)
- le mur était dangereux car sinon les allemands de l'Est menaçaient "je vais tuer ton fils, ta femme etc" on est en plein 24h chrono.