- Camille BNiveau 9
Je rajoute une ligne en bas de la liste de Nautie :
Résumons:
HG - Buenos Aires - résident - dans le réseau
PE - Philadelphie - local - hors réseau
HG+PE - Emirats - local+résident - dans le réseau
Espagnol - Liban - résident - hors réseau
EPS - Sydney - résident - hors réseau
HG - Manille - résident - hors réseau
:vvv: :devil:
SVT - Mexique - résident - dans le réseau
LM - Accra ou Quito - résident - hors réseau
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:vvv: :devil:
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- Camille BNiveau 9
Et un grand merci à Chenmawon : j'ai suivi ses conseils d'aide à la prise de décision à la lettre !!!
- InvitéSVNiveau 8
Bravo Camille (quelle surprise lol)... Nous sommes tous très heureux pour toi... Bienvenue dans l'"AEFE family"Camille B a écrit:Je rajoute une ligne en bas de la liste de Nautie :
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- cox6nelleNiveau 5
Camille B a écrit:
HG - Manille - résident - hors réseau
:vvv: :devil:
Ah ben c est le seul bahut dont je n ai eu aucune nouvelle (le poste etait SV)... Meme quand on n est pas classé, c est bien de le savoir je trouve !
- chenmawonNiveau 7
Félicitations Camille, tu vas t'éclater (enfin je ne connais pas mais j'en ai entendu du bien et ça sonne ... tellement exotique)!!
Bravo!
Bravo!
_________________
Jan'l pase'l pase'l
- InvitéSVNiveau 8
Ah au fait, pour info, le Maroc a envoyé les propositions officielles de postes aujourd'hui..
- BolivarNiveau 1
Coup de gueule, énorme coup de gueule !
Alors comme ça maintenant - et parce que c'est la modernité - pour enseigner dans sa discipline et espérer le faire hors des frontières de son pays d'adoption il faudrait nécessairement et impérativement avoir quelque chose de beaucoup plus important que le Capes ou l'agrégation ? Avoir un B2 ou un C3 en langue ? En Anglais, en espagnol, en chinois, en portugais ... et pourquoi pas en Volapuk aussi, tant qu'a faire ... !
Et pourquoi pas aussi un D18 ou un F quatorzième en Mapuche (langue et peuple que je respecte au demeurant).
Il y a quelques années, c'était la maitrise de l'informatique qui était indispensable, puis le TBI. Et maintenant ? Et demain, que faudra-t-il ? Quelle marotte sera à la mode ?
Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain.
Cela me fatigue de voir que l'on veut recruter des professionnels de bon niveau au rabais.
Je comprends parfaitement les jeunes dans la carrière qui désirent vivre la belle expérience de l'expatriation. Mais je n'accepte plus que l'on brade toute cette intelligence pour des raisons budgétaires et que l'on cherche désormais à recruter au prix le plus bas qu'il est possible actuellement.
L'AEFE vit ses dernières heures mais elle entend encore laisser l'illusion de ce qu'elle était autrefois.
Que l'on annule ce message, que l'on me bannisse de ce site (oh combien utile pourtant), mais j'aurai dit ce que je pense.
Ce coup de gueule n'est pas destiné à tous ceux qui postent ici, vous l'aurez bien compris.
Mais je voulais exprimer mon amertume pour la façon dont on traite ce qui faisait le rayonnement de la France autrefois et qui n'a plus de sens pour beaucoup d'étrangers qui mettaient leurs enfants dans des établissements français.
Je pourrais aussi parler d'un temps, il y a longtemps certes, où on demandait simplement à un prof d'être compétent et d'aimer faire partager sa discipline pour pouvoir partir hors des frontières et faire son beau métier.
Mais je suis un vieux con maintenant, dépassé totalement sans doute. Pas capable de s'adapter aux exigences des temps modernes (et pourtant, je suis passé, au début de ma carrière, de la machine à alcool à l'informatique. Quel saut de civilisation ! Qui peut dire que je ne me suis pas adapté, comme tous mes condisciples ?).
Alors, je pense que, pour moi, l'AEFE ne correspond plus à ce en quoi j'ai cru.
Le rayonnement culturel de la France et son enseignement avaient autrefois un niveau d'excellence. C'est devenu quelque chose d'un peu démonétisé aujourd'hui.
On pourra me dire ce que l'on veut, m'objecter des arguments recevables.
Je connais assez bien le sujet pour avoir fait des recherches et publié il y a très longtemps sur la politique culturelle de la France en Amérique du Sud.
L'approche, aujourd'hui est devenue budgétaire. Sèche et sans âme, sans vision aussi.
Ce n'est pas à cela que j'adhère.
Alors ? Doit-on renoncer ? Doit-on accepter de poursuivre l'oeuvre d'enseignement à l'étranger entreprise il y a un siècle déjà ? Doit-on la poursuivre dans des conditions salariales et statutaires de plus en plus précaires ?
Tout cela ne me laisse pas insensible, au contraire.
Alors comme ça maintenant - et parce que c'est la modernité - pour enseigner dans sa discipline et espérer le faire hors des frontières de son pays d'adoption il faudrait nécessairement et impérativement avoir quelque chose de beaucoup plus important que le Capes ou l'agrégation ? Avoir un B2 ou un C3 en langue ? En Anglais, en espagnol, en chinois, en portugais ... et pourquoi pas en Volapuk aussi, tant qu'a faire ... !
Et pourquoi pas aussi un D18 ou un F quatorzième en Mapuche (langue et peuple que je respecte au demeurant).
Il y a quelques années, c'était la maitrise de l'informatique qui était indispensable, puis le TBI. Et maintenant ? Et demain, que faudra-t-il ? Quelle marotte sera à la mode ?
Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain.
Cela me fatigue de voir que l'on veut recruter des professionnels de bon niveau au rabais.
Je comprends parfaitement les jeunes dans la carrière qui désirent vivre la belle expérience de l'expatriation. Mais je n'accepte plus que l'on brade toute cette intelligence pour des raisons budgétaires et que l'on cherche désormais à recruter au prix le plus bas qu'il est possible actuellement.
L'AEFE vit ses dernières heures mais elle entend encore laisser l'illusion de ce qu'elle était autrefois.
Que l'on annule ce message, que l'on me bannisse de ce site (oh combien utile pourtant), mais j'aurai dit ce que je pense.
Ce coup de gueule n'est pas destiné à tous ceux qui postent ici, vous l'aurez bien compris.
Mais je voulais exprimer mon amertume pour la façon dont on traite ce qui faisait le rayonnement de la France autrefois et qui n'a plus de sens pour beaucoup d'étrangers qui mettaient leurs enfants dans des établissements français.
Je pourrais aussi parler d'un temps, il y a longtemps certes, où on demandait simplement à un prof d'être compétent et d'aimer faire partager sa discipline pour pouvoir partir hors des frontières et faire son beau métier.
Mais je suis un vieux con maintenant, dépassé totalement sans doute. Pas capable de s'adapter aux exigences des temps modernes (et pourtant, je suis passé, au début de ma carrière, de la machine à alcool à l'informatique. Quel saut de civilisation ! Qui peut dire que je ne me suis pas adapté, comme tous mes condisciples ?).
Alors, je pense que, pour moi, l'AEFE ne correspond plus à ce en quoi j'ai cru.
Le rayonnement culturel de la France et son enseignement avaient autrefois un niveau d'excellence. C'est devenu quelque chose d'un peu démonétisé aujourd'hui.
On pourra me dire ce que l'on veut, m'objecter des arguments recevables.
Je connais assez bien le sujet pour avoir fait des recherches et publié il y a très longtemps sur la politique culturelle de la France en Amérique du Sud.
L'approche, aujourd'hui est devenue budgétaire. Sèche et sans âme, sans vision aussi.
Ce n'est pas à cela que j'adhère.
Alors ? Doit-on renoncer ? Doit-on accepter de poursuivre l'oeuvre d'enseignement à l'étranger entreprise il y a un siècle déjà ? Doit-on la poursuivre dans des conditions salariales et statutaires de plus en plus précaires ?
Tout cela ne me laisse pas insensible, au contraire.
- delespaceNiveau 10
Je suis assez d'accord avec toi Bolivar...de toute façon, je pense que les établissements vont basculer dans les nouvelles conventions...comme celle du grand lycée pas très loin de chez moi...
- nautieHabitué du forum
Camille B a écrit:Je rajoute une ligne en bas de la liste de Nautie :
Résumons:
HG - Buenos Aires - résident - dans le réseau
PE - Philadelphie - local - hors réseau
HG+PE - Emirats - local+résident - dans le réseau
Espagnol - Liban - résident - hors réseau
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:vvv: :devil:
SVT - Mexique - résident - dans le réseau
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Félicitations!!!
(Zut, un poste que j'aurais pas... Pourtant ça m'aurait plu!)
- SalanderNiveau 2
Celadon a écrit:La montagne ça te gagne.
L'Afrique.
:mdr3: :mdr3: :mdr3:
- coindeparadisGuide spirituel
Merci pour ce message dans lequel je me retrouve ! Hier en entretien la directrice pédagogique me dit "Ici, ce sont des méthodes classiques, traditionnelles. Les marottes éducatives des IUFM et les projets poudre aux yeux, ce n'est pas notre truc" :etoilecoeur:Bolivar a écrit:Coup de gueule, énorme coup de gueule !
Alors comme ça maintenant - et parce que c'est la modernité - pour enseigner dans sa discipline et espérer le faire hors des frontières de son pays d'adoption il faudrait nécessairement et impérativement avoir quelque chose de beaucoup plus important que le Capes ou l'agrégation ? Avoir un B2 ou un C3 en langue ? En Anglais, en espagnol, en chinois, en portugais ... et pourquoi pas en Volapuk aussi, tant qu'a faire ... !
Et pourquoi pas aussi un D18 ou un F quatorzième en Mapuche (langue et peuple que je respecte au demeurant).
Il y a quelques années, c'était la maitrise de l'informatique qui était indispensable, puis le TBI. Et maintenant ? Et demain, que faudra-t-il ? Quelle marotte sera à la mode ?
Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain.
Cela me fatigue de voir que l'on veut recruter des professionnels de bon niveau au rabais.
Je comprends parfaitement les jeunes dans la carrière qui désirent vivre la belle expérience de l'expatriation. Mais je n'accepte plus que l'on brade toute cette intelligence pour des raisons budgétaires et que l'on cherche désormais à recruter au prix le plus bas qu'il est possible actuellement.
L'AEFE vit ses dernières heures mais elle entend encore laisser l'illusion de ce qu'elle était autrefois.
Que l'on annule ce message, que l'on me bannisse de ce site (oh combien utile pourtant), mais j'aurai dit ce que je pense.
Ce coup de gueule n'est pas destiné à tous ceux qui postent ici, vous l'aurez bien compris.
Mais je voulais exprimer mon amertume pour la façon dont on traite ce qui faisait le rayonnement de la France autrefois et qui n'a plus de sens pour beaucoup d'étrangers qui mettaient leurs enfants dans des établissements français.
Je pourrais aussi parler d'un temps, il y a longtemps certes, où on demandait simplement à un prof d'être compétent et d'aimer faire partager sa discipline pour pouvoir partir hors des frontières et faire son beau métier.
Mais je suis un vieux con maintenant, dépassé totalement sans doute. Pas capable de s'adapter aux exigences des temps modernes (et pourtant, je suis passé, au début de ma carrière, de la machine à alcool à l'informatique. Quel saut de civilisation ! Qui peut dire que je ne me suis pas adapté, comme tous mes condisciples ?).
Alors, je pense que, pour moi, l'AEFE ne correspond plus à ce en quoi j'ai cru.
Le rayonnement culturel de la France et son enseignement avaient autrefois un niveau d'excellence. C'est devenu quelque chose d'un peu démonétisé aujourd'hui.
On pourra me dire ce que l'on veut, m'objecter des arguments recevables.
Je connais assez bien le sujet pour avoir fait des recherches et publié il y a très longtemps sur la politique culturelle de la France en Amérique du Sud.
L'approche, aujourd'hui est devenue budgétaire. Sèche et sans âme, sans vision aussi.
Ce n'est pas à cela que j'adhère.
Alors ? Doit-on renoncer ? Doit-on accepter de poursuivre l'oeuvre d'enseignement à l'étranger entreprise il y a un siècle déjà ? Doit-on la poursuivre dans des conditions salariales et statutaires de plus en plus précaires ?
Tout cela ne me laisse pas insensible, au contraire.
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- MehitabelVénérable
coindeparadis a écrit:Merci pour ce message dans lequel je me retrouve ! Hier en entretien la directrice pédagogique me dit "Ici, ce sont des méthodes classiques, traditionnelles. Les marottes éducatives des IUFM et les projets poudre aux yeux, ce n'est pas notre truc" :etoilecoeur:Bolivar a écrit:Coup de gueule, énorme coup de gueule !
Alors comme ça maintenant - et parce que c'est la modernité - pour enseigner dans sa discipline et espérer le faire hors des frontières de son pays d'adoption il faudrait nécessairement et impérativement avoir quelque chose de beaucoup plus important que le Capes ou l'agrégation ? Avoir un B2 ou un C3 en langue ? En Anglais, en espagnol, en chinois, en portugais ... et pourquoi pas en Volapuk aussi, tant qu'a faire ... !
Et pourquoi pas aussi un D18 ou un F quatorzième en Mapuche (langue et peuple que je respecte au demeurant).
Il y a quelques années, c'était la maitrise de l'informatique qui était indispensable, puis le TBI. Et maintenant ? Et demain, que faudra-t-il ? Quelle marotte sera à la mode ?
Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain.
Cela me fatigue de voir que l'on veut recruter des professionnels de bon niveau au rabais.
Je comprends parfaitement les jeunes dans la carrière qui désirent vivre la belle expérience de l'expatriation. Mais je n'accepte plus que l'on brade toute cette intelligence pour des raisons budgétaires et que l'on cherche désormais à recruter au prix le plus bas qu'il est possible actuellement.
L'AEFE vit ses dernières heures mais elle entend encore laisser l'illusion de ce qu'elle était autrefois.
Que l'on annule ce message, que l'on me bannisse de ce site (oh combien utile pourtant), mais j'aurai dit ce que je pense.
Ce coup de gueule n'est pas destiné à tous ceux qui postent ici, vous l'aurez bien compris.
Mais je voulais exprimer mon amertume pour la façon dont on traite ce qui faisait le rayonnement de la France autrefois et qui n'a plus de sens pour beaucoup d'étrangers qui mettaient leurs enfants dans des établissements français.
Je pourrais aussi parler d'un temps, il y a longtemps certes, où on demandait simplement à un prof d'être compétent et d'aimer faire partager sa discipline pour pouvoir partir hors des frontières et faire son beau métier.
Mais je suis un vieux con maintenant, dépassé totalement sans doute. Pas capable de s'adapter aux exigences des temps modernes (et pourtant, je suis passé, au début de ma carrière, de la machine à alcool à l'informatique. Quel saut de civilisation ! Qui peut dire que je ne me suis pas adapté, comme tous mes condisciples ?).
Alors, je pense que, pour moi, l'AEFE ne correspond plus à ce en quoi j'ai cru.
Le rayonnement culturel de la France et son enseignement avaient autrefois un niveau d'excellence. C'est devenu quelque chose d'un peu démonétisé aujourd'hui.
On pourra me dire ce que l'on veut, m'objecter des arguments recevables.
Je connais assez bien le sujet pour avoir fait des recherches et publié il y a très longtemps sur la politique culturelle de la France en Amérique du Sud.
L'approche, aujourd'hui est devenue budgétaire. Sèche et sans âme, sans vision aussi.
Ce n'est pas à cela que j'adhère.
Alors ? Doit-on renoncer ? Doit-on accepter de poursuivre l'oeuvre d'enseignement à l'étranger entreprise il y a un siècle déjà ? Doit-on la poursuivre dans des conditions salariales et statutaires de plus en plus précaires ?
Tout cela ne me laisse pas insensible, au contraire.
Cours!
- coindeparadisGuide spirituel
:lol: J-2
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- CeladonDemi-dieu
"Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain."
Bolivar. Encore un aliéné nostalgique du passé, un réfractaire à la modernité, un dangereux transmetteur de savoirs hors sol.
CDP, tu ne parles pas d'une DP de l'AEFE ???
Bolivar. Encore un aliéné nostalgique du passé, un réfractaire à la modernité, un dangereux transmetteur de savoirs hors sol.
CDP, tu ne parles pas d'une DP de l'AEFE ???
- coindeparadisGuide spirituel
C'est quoi une DP ?Celadon a écrit:"Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain."
Bolivar. Encore un aliéné nostalgique du passé, un réfractaire à la modernité, un dangereux transmetteur de savoirs hors sol.
CDP, tu ne parles pas d'une DP de l'AEFE ???
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- CabbNiveau 5
demi-pensionnaire :mdr3:coindeparadis a écrit:C'est quoi une DP ?Celadon a écrit:"Moi, ce que je veux c'est enseigner ma discipline, rien que ma discipline, avec toutes ses exigences de méthode et de rigueur, pour former les citoyens de demain."
Bolivar. Encore un aliéné nostalgique du passé, un réfractaire à la modernité, un dangereux transmetteur de savoirs hors sol.
CDP, tu ne parles pas d'une DP de l'AEFE ???
- CeladonDemi-dieu
@CDP : directrice pédagogique
- coindeparadisGuide spirituel
Désolée. Oui il y a deux directeurs , le CDE qui est plutôt DAF et la directrice qui gère tout ce qui est pédagogique. J'ai passé un entretien hier soir avec les deux.
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- TagadNiveau 1
[quote="Svarog"]
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- chenmawonNiveau 7
Et oui Bolivar, l'AEFE est devenue une machine à fric: qui ponctionne et ponctionnera les bahuts, qui n'est plus la pointe avancée de la culture française, mais une tentative pour placer les produits français et aider les entreprises à s'implanter en donnant une pseudo-culture française à une frange bourgeoise de chaque pays!!
Et ça ne va pas aller en s'améliorant!
Et ça ne va pas aller en s'améliorant!
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- chenmawonNiveau 7
Et oui Bolivar, l'AEFE est devenue une machine à fric: qui ponctionne et ponctionnera les bahuts, qui n'est plus la pointe avancée de la culture française, mais une tentative pour placer les produits français et aider les entreprises à s'implanter en donnant une pseudo-culture française à une frange bourgeoise de chaque pays!!
Et ça ne va pas aller en s'améliorant!
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Jan'l pase'l pase'l
- coindeparadisGuide spirituel
Idem pour la MLF...
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- delespaceNiveau 10
chenmawon a écrit:Et oui Bolivar, l'AEFE est devenue une machine à fric: qui ponctionne et ponctionnera les bahuts, qui n'est plus la pointe avancée de la culture française, mais une tentative pour placer les produits français et aider les entreprises à s'implanter en donnant une pseudo-culture française à une frange bourgeoise de chaque pays!!
Et ça ne va pas aller en s'améliorant!
Complètement d'accord et ce n'est pas sans conséquence sur les élèves que nous avons, pour être honnête,souvent je me dis que je préférais mes petits collégiens de la campagne française...mais j'ose espérer que ce n'est pas le cas partout...bref, je crois d'ailleurs que j'en avais déjà parlé il y a quelques temps dans un autre post.
- coindeparadisGuide spirituel
C'est l'avantage des petites écoles loco-locales par rapport aux gros lycées. Des gamins mignons, sages, genre gamins de campagne en 1950 ! :lol:
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- cox6nelleNiveau 5
Tagad a écrit:
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Félicitations
- mancaroNiveau 4
Camille B a écrit:Je rajoute une ligne en bas de la liste de Nautie :
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Toutes mes félicitations Camille !!!
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