Réaction du gouvernement après la grève du 26/01 ?

Réaction du gouvernement en exclusivité sur la grève des enseignants : " ......................................................................................  "




Voilà, ne me remerciez pas.

Profession très individualiste qui pense majoritairement à sa demi journée dans la semaine (suffit de voir le vide des parkings les vendredi après-midi)....la lecture des prochains emplois du temps en septembre va bien secouer quelques-uns...

Cath a écrit:Réaction du gouvernement en exclusivité sur la grève des enseignants : " ......................................................................................  "




Voilà, ne me remerciez pas.

Réaction du gouvernement à l'ensemble des épreuves que connaît le pays: "..........................."
Voilà, ne me remerciez pas non plus.

Pat B a écrit:Peut-être simplement que les profs, qui sont sensés

Ce qui devient de plus en plus rare.

stanleymilgram a écrit:Elle aurait dit:
"bon, les décrets pour le lycée sont-ils prêts?"

Elle aurait ajouté : "s'ils n'ont plus de bilangue, qu'ils fassent de l'AP !"

Pat B a écrit:

Ignatius Reilly a écrit:Au risque de me faire taper sur les doigts et / ou qualifier de machiste, misogyne, phallocrate, rustre, les quatre à la fois, ou bien rajoutez- en, la violence des manifs de taxis et d'agriculteurs provient essentiellement du fait qu'il s'agit de rassemblements quasi exclusivement masculins. Je vois mal mes collègues devenir violent(e)s. Certains risqueraient de salir leurs baskets onéreuses et stylées et d'autres pourraient se casser un ongle. Notre profession est bien trop pusillanime. Même bloquer un péage, qui oserait ? Or il y a un péage près de chaque collège, ou presque. Ceci dit, voir  s'énerver des profs qui disent à longueur de temps aux mômes que la violence c'est mal serait assez savoureux. Mais ne me déplairait point.

Là tu pousses un peu!
Peut-être simplement que les profs, qui sont sensés être exemplaires pour leurs élèves, ont inconsciemment complètement intégré l'idée qu'il ne faut jamais jamais jamais rien faire qui soit à tendance illégale ou trop frondeur. (je ne pense  pas que ça ne concerne que les femmes).
Ou la peur d'une condamnation qui pourrait se traduire par une perte de l'emploi ? Simples suppositions...
Sinon, bloquer un péage et y distribuer des tracts pourrait être sympa...

Bien avant le devoir d'exemplarité devant les classes, il y a un fort biais de sélection. Les profs sont avant tout d'anciens bons élèves, calmes et posés, devenus de bons étudiants qui ont pour la plupart toujours évolué dans des milieux intellectuels où les comportements sont très policés - ce qui ne veut pas dire qu'il n'y ait pas de violence, mais elle y est essentiellement psychologique. Ils n'ont généralement ni l'expérience ni la culture de l'affrontement physique qui existe encore dans certaines autres sphères sociales ; même les plus engagés politiquement ne sont souvent que des révolutionnaires de salon qui brassent avec lyrisme de belles idées mais n'en mèneraient pas large s'ils se retrouvaient au beau milieu d'une insurrection (je précise au passage que moi non plus, étant une chochotte de compétition).

La première chose à faire c'est organiser une formation batte de baseball.

Je préfère la fourche...