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Quel est l'impact de cette réforme sur votre moral et votre motivation ?
- OsmieSage
Humeur combative ; on ne permettra pas que les élèves soient dépouillés de ce qui leur est dû.
- prof d'anglais97118Niveau 5
Les résultats de ce sondage sont très explicites
- MélisandeNeoprof expérimenté
Maissa a écrit:Mélisande a écrit:Aucune réponse ne me convient.
Je suis contre cette réforme et surtout le programme de français.
Je reste combattive. J'ai clairement signifié à mon chef d'établissement et à mes collègues qu'il ne fallait pas compter sur moi pour faire des EPIs.
En ce qui concerne le programme de français, je le potasse et mes collègues de français et moi nous réunissons à la rentrée pour voir comment nous louvoierons pour faire quand même ce que nous jugeons indispensable à nos élèves. En gros, en grammaire, conjugaison, orthographe, on garde tout le programme actuel ; et en littérature, on se voit pour mettre au point ce qu'il nous semble primordial de conserver et de le maquiller sous les titres loufoques des nouveaux programmes.
J'ai répondu "Ras le bol !". Mes collègues sont plutôt favorables à la réforme.
Je regarde en ce moment les programmes pour reprendre ce que nous faisons actuellement, comme toi Mélisande.
Ce serait d'ailleurs intéressant de mettre en commun ces travaux.
Pas de problème, je pourrai faire un bilan ici, si tu veux.
- isabeNiveau 8
L'enthousiasme du 1% suffira-t-il à porter les 28% démotivés...?prof d'anglais97118 a écrit:Les résultats de ce sondage sont très explicites
- RabelaisVénérable
C'est tout à fait ce qui se passe en haut lieu: l'enthousiasme de quelques uns qui imposent leur façon de faire à tous les autres.
Je n'ai rien contre mes collègues à projet, mes collègues férus de l'interdisciplinaire et des compétences, ils étaient même " rafraîchissants".
Cela devient un problème lorsqu'une minorité impose ses méthodes et sa façon de concevoir l'enseignement à la majorité .
C'est inadmissible :
D'une part, ce n'est pas une attitude louable que de croire qu'on détient le seul " savoir enseigner" et d'autre part, c'est une attitude dictatoriale aussi condamnable pour moi que celle qui consiste à faire voter des lois la nuit.
Je n'ai rien contre mes collègues à projet, mes collègues férus de l'interdisciplinaire et des compétences, ils étaient même " rafraîchissants".
Cela devient un problème lorsqu'une minorité impose ses méthodes et sa façon de concevoir l'enseignement à la majorité .
C'est inadmissible :
D'une part, ce n'est pas une attitude louable que de croire qu'on détient le seul " savoir enseigner" et d'autre part, c'est une attitude dictatoriale aussi condamnable pour moi que celle qui consiste à faire voter des lois la nuit.
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Le temps ne fait rien à l'affaire, quand on est c., on est c.
- isabeNiveau 8
Complètement d'accord.Rabelais a écrit:C'est tout à fait ce qui se passe en haut lieu: l'enthousiasme de quelques uns qui imposent leur façon de faire à tous les autres.
Je n'ai rien contre mes collègues à projet, mes collègues férus de l'interdisciplinaire et des compétences, ils étaient même " rafraîchissants".
Cela devient un problème lorsqu'une minorité impose ses méthodes et sa façon de concevoir l'enseignement à la majorité .
C'est inadmissible :
D'une part, ce n'est pas une attitude louable que de croire qu'on détient le seul " savoir enseigner" et d'autre part, c'est une attitude dictatoriale aussi condamnable pour moi que celle qui consiste à faire voter des lois la nuit.
C'est aussi une attitude qui mène le système droit dans le mur. Ceux qui ne veulent jamais rien faire ne feront rien de plus, ceux qui sont démotivés et/ou cassés arrêteront de faire.
- prof d'anglais97118Niveau 5
Les 3 enthousiastes m'intriguent énormément.
- MaissaHabitué du forum
Mélisande a écrit:Maissa a écrit:Mélisande a écrit:Aucune réponse ne me convient.
Je suis contre cette réforme et surtout le programme de français.
Je reste combattive. J'ai clairement signifié à mon chef d'établissement et à mes collègues qu'il ne fallait pas compter sur moi pour faire des EPIs.
En ce qui concerne le programme de français, je le potasse et mes collègues de français et moi nous réunissons à la rentrée pour voir comment nous louvoierons pour faire quand même ce que nous jugeons indispensable à nos élèves. En gros, en grammaire, conjugaison, orthographe, on garde tout le programme actuel ; et en littérature, on se voit pour mettre au point ce qu'il nous semble primordial de conserver et de le maquiller sous les titres loufoques des nouveaux programmes.
J'ai répondu "Ras le bol !". Mes collègues sont plutôt favorables à la réforme.
Je regarde en ce moment les programmes pour reprendre ce que nous faisons actuellement, comme toi Mélisande.
Ce serait d'ailleurs intéressant de mettre en commun ces travaux.
Pas de problème, je pourrai faire un bilan ici, si tu veux.
Merci.
- titeprofExpert
J'ai reçu hier soir un mail de notre IPR qui chante nos louanges, nous qui savons "si bien nous adapter à tout" et en qui "elle a toute confiance pour mettre en oeuvre tout le truc". Ça se veut tellement rassurant et dégoulinant de faux compliments qu'on a des sueurs froides en lisant le machin, du style : qu'est ce qu'elle sait et nous non ? Qu'est ce qui va encore nous tomber dessus ?
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[center]Je suis comme le ciel, rien ne s'accroche à moi (mantra)
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