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- ClarianzEmpereur
Pour les timides, il faut justement engager ses enfants à prendre la défense des autres.
Je me rends tout à fait compte que proposer cette alternative est une défaite totale du principe éducatif, seulement on ne peut pas espérer tjs voir évoluer ses enfants dans un cadre lisse et policé.
Le manque d'adulte à l'école est l'un des pbs qui implique le recours à la violence entre enfants (et puis soyons francs, c'est en la testant entre pairs que l'humain renonce ou non, à la violence), mais si l'accident est en réalité une chute dans les escaliers provoquée par l'enfant victime, là ce n'est pas le principe de défense qui a été mis en pratique, ça, c'est lâche...
Je me rends tout à fait compte que proposer cette alternative est une défaite totale du principe éducatif, seulement on ne peut pas espérer tjs voir évoluer ses enfants dans un cadre lisse et policé.
Le manque d'adulte à l'école est l'un des pbs qui implique le recours à la violence entre enfants (et puis soyons francs, c'est en la testant entre pairs que l'humain renonce ou non, à la violence), mais si l'accident est en réalité une chute dans les escaliers provoquée par l'enfant victime, là ce n'est pas le principe de défense qui a été mis en pratique, ça, c'est lâche...
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Mama's Rock
- InvitéInvité
Camélionne a écrit:Camille a écrit:Bon, et puis, imaginez-vous 5mn dans la rue, à minuit, agressées par des loubards, avec un compagnon qui, au lieu de vous défendre, commence à palabrer en vain....
Je parle bien des jeunes, et de la violence comme principe d'éducation.
Ce qui me choque, c'est qu'on présente ça comme une solution possible à un jeune.
Et que jamais la mère n'ait dit à son fils d'alerter le CPE ou les profs ;
que jamais elle n'ait elle-même appelé le bahut.
J'entends bien. Mais dans nos sociétés barbares (n'allez pas me dire, surtout, qu'on est entre gens du monde, hein... ), il est parfois nécessaire de savoir se défendre ou défendre les autres, sa famille, quand on est adultes, aussi...Et c'est bien l'école, là encore, qui joue le rôle "d'éducatrice", même si ça ne vous/nous plaît pas toujours.....
Bon n'allez pas imaginez que je fais le coup de poing dans la rue, hein... :lol:
- arriaNiveau 10
Clarianz a écrit:Le manque d'adulte à l'école est l'un des pbs qui implique le recours à la violence entre enfants
et le manque d'adultes dignes de ce nom: nos surveillants passent leur temps pendus au téléphone dans les couloirs :colere:
- Reine MargotDemi-dieu
Je trouve étonnant qu'on arrive à dire à ses enfants de régler leurs problèmes par la violence. Il me semble que la plupart des gens essaient d'apprendre à leurs enfants à régler leurs problèmes autrement.
Et puis la violence est plus une preuve de faiblesse...J'essaierais avec l'administration avant d'organiser une rencontre entre les gamins avec médiateur, je contacterais les parents du gamin et je leur en parlerais, et j'essaierais d'organiser (comme ça se fait en zep) un face à face entre les gamins pour que chacun s'exprime et régler les choses ainsi. Camélionne dit que la mère n'a rien tenté auprès du collège, des profs, de l'administration. Il aurait peut-être fallu essayer, non?
Bref il y a toujours d'autres solutions.
Et puis la violence est plus une preuve de faiblesse...J'essaierais avec l'administration avant d'organiser une rencontre entre les gamins avec médiateur, je contacterais les parents du gamin et je leur en parlerais, et j'essaierais d'organiser (comme ça se fait en zep) un face à face entre les gamins pour que chacun s'exprime et régler les choses ainsi. Camélionne dit que la mère n'a rien tenté auprès du collège, des profs, de l'administration. Il aurait peut-être fallu essayer, non?
Bref il y a toujours d'autres solutions.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- MaissaHabitué du forum
marquisedemerteuil a écrit:Je trouve étonnant qu'on arrive à dire à ses enfants de régler leurs problèmes par la violence. Il me semble que la plupart des gens essaient d'apprendre à leurs enfants à régler leurs problèmes autrement.
Et puis la violence est plus une preuve de faiblesse...J'essaierais avec l'administration avant d'organiser une rencontre entre les gamins avec médiateur, je contacterais les parents du gamin et je leur en parlerais, et j'essaierais d'organiser (comme ça se fait en zep) un face à face entre les gamins pour que chacun s'exprime et régler les choses ainsi. Camélionne dit que la mère n'a rien tenté auprès du collège, des profs, de l'administration. Il aurait peut-être fallu essayer, non?
Bref il y a toujours d'autres solutions.
Je suis tout aussi hostile à ce genre d'encouragements. Si l'on encourage la violence, il ne faut pas s'étonner ensuite qu'elle se retourne contre nous.
Si l'administration ne bouge pas, il faut que les profs le fassent. Nous avons, plusieurs fois, envoyé une délégation pour faire pression sur la direction afin qu'elle sanctionne des élèves violents (et certains actes ont déclenché un conseil de discipline). Nous avons même écrit une lettre à l'IA pour décrire tous les faits de violence et préciser que la direction ne prenait pas les sanctions méritées.
Nous essayons, sans cesse, de dire aux élèves de se plaindre s'ils sont embêtés. Certains le font et cela fonctionne bien.
Les parents ne doivent pas non plus hésiter à porter plainte si la direction ne bouge pas ! C'est ce que cette mère aurait dû faire.
- CarabasVénérable
Il l'a quand même envoyé à l'hôpital!
Il y a une différence entre coller une baffe et envoyer le gosse à l'hôpital, et ça, c'est difficile à cautionner pour un adulte, qu'il soit prof ou parent. Que l'on comprenne les raisons ne doit pas faire excuser. Si des adultes commencent à cautionner ça, je me demande comment on peut légitimement dire après : "la violence, c'est paaaas bien."
Mais c'est clair que si le gamin en est arrivé là, cela signe l'échec de la prise en charge des adultes.
Cela me rappelle un passage du Temps des Secrets, de Pagnol. Vu que l'agressé avait poussé à bout les gamis boursiers et cogné Oliveira, le petit Marcel s'occupe de lui régler son compte. Ca se termine dans le bureau du proviseur, qui donne raison à Marcel. L'autre sale gosse se prend une beigne par son père.
Trop tard, Camille, on t'a reconnue.
Il y a une différence entre coller une baffe et envoyer le gosse à l'hôpital, et ça, c'est difficile à cautionner pour un adulte, qu'il soit prof ou parent. Que l'on comprenne les raisons ne doit pas faire excuser. Si des adultes commencent à cautionner ça, je me demande comment on peut légitimement dire après : "la violence, c'est paaaas bien."
Mais c'est clair que si le gamin en est arrivé là, cela signe l'échec de la prise en charge des adultes.
Cela me rappelle un passage du Temps des Secrets, de Pagnol. Vu que l'agressé avait poussé à bout les gamis boursiers et cogné Oliveira, le petit Marcel s'occupe de lui régler son compte. Ca se termine dans le bureau du proviseur, qui donne raison à Marcel. L'autre sale gosse se prend une beigne par son père.
Camille a écrit:Bon n'allez pas imaginez que je fais le coup de poing dans la rue, hein... :lol:
Trop tard, Camille, on t'a reconnue.
- doublecasquetteEnchanteur
Ça peut aller très vite. Mon fils a fini à l'hosto, à onze ans, avec dix points de suture sur l'arrière du crâne, pour une toute petite altercation de quelques minutes avec un gros costaud de treize ans qui était dans sa classe et qu'il traitait d'abruti et d'idiot à longueur de temps. L'autre l'a poussé violemment en arrière, à deux ou trois reprises, jusqu'à ce qu'il tombe. Il est malencontreusement tombé sur une bordure en béton qui a fendu l'arrière de son crâne qui a explosé comme une pastèque trop mûre.Sessi a écrit:(Réponse à Arria) Alors que ça ne devrait pas... Ce qui m'étonne dans ce que raconte Camélionne, c'est que le gamin a été envoyé à l'hosto, donc qu'il n'y a eu personne pour les séparer avant! Or dans le cours de récré, y a quand même des surveillants (plus autant qu'avant, certes...)
Je vous raconte cette vieille histoire avec sérénité à présent mais à l'époque, j'avais été horrifiée par la brutalité de l'élève et étais allée me plaindre auprès du principal. Mon fils aurait aussi bien pu mourir sur le coup ! Le responsable avait écoppé de trois jours d'exclusion car il n'en était pas à sa première violence physique et la bordure en béton clôturée pour éviter d'autres accidents de cours de récré.
Quand j'y repense maintenant, ça me fait plutôt rire.
Le responsable a 20 ans, mon fils en a 18. Chacun a suivi sa trajectoire et ils sont bien sérieux et policés à leur façon, tous deux. Maxime, qui a, entre autres méfaits, fracassé la tête de mon fils, est plus calme et moins violent. Il est apprenti maçon et très sérieux dans son travail. Quand il me présente son chien pour des soins, il est respectueux face à mon travail, poli, et sans rancune pour cette vieille histoire. Je suis en bons termes avec ses parents qui m'avaient à l'époque abreuvée d'injures, suite à l'exclusion de leur fils dont ils me rendaient responsable.
Voilà ! Querelles d'enfants, en fait ! Pas de quoi fouetter un chat, au bout du compte ...
- ysabelDevin
littlemary a écrit:J'ai pu entendre les mêmes commentaires de certains parents.
Mais que dire ? Lorsque son enfant est souvent la victime et que l'administration ne fait RIEN !
Plusieurs parents sont déjà venus se plaindre auprès du principal et de l'adjointe mais ils ne prennent pas de sanction exemplaire pour punir ceux qui cherchent la bagarre. Résultat, les parents disent à leurs gamins de se défendre...
Je ne cautionne pas la violence mais voir son enfant systématiquement pris comme bouc émissaire, ce n'est pas facile non plus !
je l'ai vécu en tant que grande soeur. Ma petite soeur était le souffre douleur de sa classe en 6ème (elle a failli être étranglée en cours d'EPS ; le prof n'a rien vu, rien fait et l'adminitration pas plus) et face à certaines personnes seule la violence est parlante.
L'an passé mon fils a frappé un autre garçon qui massacrait une gamine à la sortie du collègue sous l'oeil indifférent des surveillants...
Il a comme consigne de ne jamais attaquer mais il a toute latitude pour répondre mais en dehors du collège...
Par contre la lettre de la mère est quand même étonnante, elle aurait sû venir voir le principal plutôt mais ne l'avait-elle pas déjà fait ?
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- ysabelDevin
Effectivement ,elle aurait dû le faire...
Ma mère avait prévenue plusieurs fois l'administration du collège qui était restée sourde... Je dois avouer que j'avais une folle envie de massacrer ces sales gamines à l'époque - mais j'étais déjà majeure...
Mais comme le dit doublecasquette parfois les choses vont très vite et cela reste souvent des querelles d'enfant même si ça peut faire très mal.
Je ne vous dit pas le nombre de fois que je me suis battue de la primaire au lycée (une fois j'ai à moitié assommé un garçon en cours de SVT, sous l'oeil placide et reconnaissant de la prof ...) je suis une vraie teigne :boum:
Ma mère avait prévenue plusieurs fois l'administration du collège qui était restée sourde... Je dois avouer que j'avais une folle envie de massacrer ces sales gamines à l'époque - mais j'étais déjà majeure...
Mais comme le dit doublecasquette parfois les choses vont très vite et cela reste souvent des querelles d'enfant même si ça peut faire très mal.
Je ne vous dit pas le nombre de fois que je me suis battue de la primaire au lycée (une fois j'ai à moitié assommé un garçon en cours de SVT, sous l'oeil placide et reconnaissant de la prof ...) je suis une vraie teigne :boum:
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- InvitéInvité
Quand j'étais néo-tit, j'ai eu un élève hyper violent, et reconnu comme tel.
Un jour, un amas d'élèves s'est réuni autour de lui pour lui casser les deux poignets afin qu'il ne puisse plus les taper.
Il a passé une semaine à l'hôpital.
Un jour, un amas d'élèves s'est réuni autour de lui pour lui casser les deux poignets afin qu'il ne puisse plus les taper.
Il a passé une semaine à l'hôpital.
- doublecasquetteEnchanteur
doublecasquette a écrit:
Voilà ! Querelles d'enfants, en fait ! Pas de quoi fouetter un chat, au bout du compte ...
Effectivement, môman, pas de quoi fouetter un chat !
Le jeune homme comptait juste au début me plaquer contre le mur d'en face. Seulement, un caillou imprévu se retrouva sous ma chaussure, me faisant ainsi glisser et atterrir sur la bordure en béton. J'ai fini à l'hosto avec dix points de suture. Mais le lendemain mon "agresseur" est venu me voir dans la cour, nous nous sommes excusés platement et ,autant que ma mémoire puisse remonter, nous n'avons plus eu d'altercations. Et un de mes amis s'est fait beaucoup plus d'amis après une bonne bagarre qu'autrement.
Comme quoi la cognothérapie peut se révéler salutaire.
(témoignage d'élève)
- CarabasVénérable
Il va falloir vous appeler "Triplecasquette", non?
- doublecasquetteEnchanteur
Coups et blessures ! Vert paradis de l'enfance ! Je suis bien vieille à présent !
J'avais sept ou huit ans et me baignais dans un petit trou d'eau de la rivière, avec mes copines. Les gars sont arrivés et se sont mis à faire des ricochets. L'un d'eux a malencontreusement ou par malice (?) atteint mon œil, sans le crever, mais en me laissant un bel "œil au beurre noir" !
D'un commun accord, nous avons préféré dire aux parents que l'accident avait été provoqué par mon grand-frère et non par un tiers, pour éviter les conflits entre familles.
Nous étions des sages !
J'avais sept ou huit ans et me baignais dans un petit trou d'eau de la rivière, avec mes copines. Les gars sont arrivés et se sont mis à faire des ricochets. L'un d'eux a malencontreusement ou par malice (?) atteint mon œil, sans le crever, mais en me laissant un bel "œil au beurre noir" !
D'un commun accord, nous avons préféré dire aux parents que l'accident avait été provoqué par mon grand-frère et non par un tiers, pour éviter les conflits entre familles.
Nous étions des sages !
- doublecasquetteEnchanteur
Mon fils voulait intervenir, sur ce coup-là !Carabas a écrit:Il va falloir vous appeler "Triplecasquette", non?
L'éclairage qu'il nous donne est d'ailleurs intéressant ! J'apprends aujourd'hui, avec vous, qu'ils avaient réglé ça "à la loyale", entre eux, dès le lendemain ! Ce qui signifie, au fond, que toute sanction émanant des adultes était superfétatoire, selon leur propre code d'honneur de garnements et qu'ils n'ont ni l'un ni l'autre tenu compte des démêlées parentales et administratives qui leur passaient largement au-dessus ou à côté des oreilles.
- Reine MargotDemi-dieu
Mais justement si triplecasquette Junior s'en est bien sorti au bout du compte ainsi que le camarade, c'est que maman Double casquette (n°1 ou 2? je ne sais pas si tout le monde suit ) a fait ce qu'il fallait et est intervenue pour signifier au camarade les limites à ne pas dépasser. Le camarade a compris qu'en société la violence était interdite et a pu s'insérer normalement.
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La famille Bélier
- AbraxasDoyen
Camélionne a écrit:Clarianz a écrit:Camélionne a écrit:
Quel que soit le motif, je ne supporterais pas que mes fils se battent.
Je crois qu'il y a de nombreuses causes au contraire qui méritent que l'on se battent pour elles...
Oui, certes, mais la question est de savoir quelles armes utiliser...
Se battre pour une cause avec les poings, c'est souvent la discréditer.
Camelionne, c'est de l'angélisme.
Ma référence, c'est : "battez-vous à tout propos ; battez-vous d’autant plus que les duels
sont défendus, et que, par conséquent, il y a deux fois du courage à se
battre."
Pas besoin de donner la référence, n'est-ce pas...
Simplement, on s'attend à la sortie. Il y a des lieux pour.
- InvitéInvité
Simplement, on s'attend à la sortie. Il y a des lieux pour.
Comme dans La Guerre des boutons, quoi....
- OrnellaDoyen
je n'ai pas tout lu mais c'est un pb qui s'est posé quand mon fils est entré à l'école, que lui dire en cas d'agression??? Il est revenu très souvent (au début, ça a duré env 1 mois) avec des griffures, racontait qu'Untel l'avait pincé la joue, etc.
Que rétorquez? Va voir la maîtresse? Pince aussi Untel?
Ca devait vraiment être l'effet rentrée parce que depuis octobre, plus rien.
Ce n'est pas évident, mais je crois aussi qu'il faut apprendre à ne pas tout accepter...et en arriver (malheureusement!) aux mains parfois.
J'ai aussi entendu parler de certains profs, en ZEP difficiles qui prenaient les gamins odieux au collet, une fois pour toutes, pour leur montrer qui était le plus fort
Que rétorquez? Va voir la maîtresse? Pince aussi Untel?
Ca devait vraiment être l'effet rentrée parce que depuis octobre, plus rien.
Ce n'est pas évident, mais je crois aussi qu'il faut apprendre à ne pas tout accepter...et en arriver (malheureusement!) aux mains parfois.
J'ai aussi entendu parler de certains profs, en ZEP difficiles qui prenaient les gamins odieux au collet, une fois pour toutes, pour leur montrer qui était le plus fort
- doublecasquetteEnchanteur
Absolument pas ! Mon intervention a été postérieure à la conclusion entre garçons que je viens d'apprendre aujourd'hui, plus de six ans après ce qui fut, pour la môman que j'étais, un véritable drame. Pensez-bien que fiston m'a joyeusement laissée mitonner et qu'il faut bien qu'il ait passé l'épreuve de philo du bac et la majorité pour me lâcher le morceau. L'homme qu'il est pour son pote Maxime n'a rien à voir avec le fifils à sa maman qu'il était pour moi à l'époque.marquisedemerteuil a écrit:Mais justement si triplecasquette Junior s'en est bien sorti au bout du compte ainsi que le camarade, c'est que maman Double casquette (n°1 ou 2? je ne sais pas si tout le monde suit ) a fait ce qu'il fallait et est intervenue pour signifier au camarade les limites à ne pas dépasser. Le camarade a compris qu'en société la violence était interdite et a pu s'insérer normalement.
Je peux vous assurer que si j'avais su que les deux garnements avaient réglé fraternellement leur affaire, je ne me serais mêlée de rien et aurait laissé le principal régler seul cette querelle de cours de récré.
Il faut que mon fils atteigne ses dix-huit ans pour que je tienne le fin mot de l'histoire.
Cette vieille histoire manque cruellement de pères ! Les deux courageux se sont débinés vite fait devant la colère et l'inquiétude des deux mères et ont laissé leurs ados aux prises avec les harpies !
- doublecasquetteEnchanteur
Abraxas a écrit:Camélionne a écrit:Clarianz a écrit:Camélionne a écrit:
Quel que soit le motif, je ne supporterais pas que mes fils se battent.
Je crois qu'il y a de nombreuses causes au contraire qui méritent que l'on se battent pour elles...
Oui, certes, mais la question est de savoir quelles armes utiliser...
Se battre pour une cause avec les poings, c'est souvent la discréditer.
Camelionne, c'est de l'angélisme.
Ma référence, c'est : "battez-vous à tout propos ; battez-vous d’autant plus que les duels
sont défendus, et que, par conséquent, il y a deux fois du courage à se
battre."
Pas besoin de donner la référence, n'est-ce pas...
Simplement, on s'attend à la sortie. Il y a des lieux pour.
Ma maman disait: "Battez-vous, tuez-vous, mais ne vous faites pas de mal !". Sage parole !
- ClarianzEmpereur
mais ce n'était pas d'elle!
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- ClarianzEmpereur
Ornella a écrit:
J'ai aussi entendu parler de certains profs, en ZEP difficiles qui prenaient les gamins odieux au collet, une fois pour toutes, pour leur montrer qui était le plus fort
j'ai fait ça... pas de gaité de coeur, mais parce qu'il devenait urgent de remettre certaines choses en places... Bon, ça m'a permis de découvrir les joies des menaces de viol en réunion!!
-et l'incompétence crasse du CDE
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- [3ème] Poésie lyrique "Jeune fille thrace portant la tête d'Orphée"
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