- ditaNeoprof expérimenté
Bonjour,
je suis ennuyé d'une chose qui s'est passée dans mon cours en seconde.
Une élève a un look très original. Elle singularise par son style qui est ultra féminin. Par aileurs, elle vit une situation de handicap. Cette élève montre des dispositions exceptionnelles pour ma matière. Elle n'a pas un excellent niveau, mais elle est passionnée par son travail et est avide de connaissances et fait tout pour réussir. Donc, je l'apprécie énormément et je l'aide à progresser de mon mieux, mais l'interroger en classe a posé problème ce matin.
Elle a une toute petite voix, très aiguë, et, alors qu'elle hésitait dans sa réponse, un garçon de la classe s'est mis à imiter sa voix. Avec ironie, j'ai dit que s'il y avait des malins dans la classe, il fallait lever le doigt au lieu de se livrer à de se livrer à de piètres imitations.
Soupçonnant un garçon, je lui ai dit de venir me voir à la fin de l'heure, ce qu'il a fait, avec deux camarades. Ils m'a affirmé que ce n'était pas lui, mais ne voulait pas me dire qui c'était. J'ai promis que s'ils me disaient qui avait imité cette jeune fille, je ne dirais pas que je tenais cette information de leur bouche. J'ai donc le nom du "coupable", mais je ne veux pas qu'il se doute que ce sont ses camarades qui l'ont dénoncé. Les élèves disent que cette élève ne se vexe pas, qu'elle ne se formalise pas des petites vannes que l'on peut lui faire. Je sais qu'elle a de l'humour et du détachement, mais elle a été très vexée de cette moquerie. Moi, je suis très mal car j'ai été défaillant. Cette classe ne me pose pas de problème de discipline, mais je me dois d'assurer un respect mutuel entre les élèves.
Je les revois lundi. Que feriez-vous à ma place ?
je suis ennuyé d'une chose qui s'est passée dans mon cours en seconde.
Une élève a un look très original. Elle singularise par son style qui est ultra féminin. Par aileurs, elle vit une situation de handicap. Cette élève montre des dispositions exceptionnelles pour ma matière. Elle n'a pas un excellent niveau, mais elle est passionnée par son travail et est avide de connaissances et fait tout pour réussir. Donc, je l'apprécie énormément et je l'aide à progresser de mon mieux, mais l'interroger en classe a posé problème ce matin.
Elle a une toute petite voix, très aiguë, et, alors qu'elle hésitait dans sa réponse, un garçon de la classe s'est mis à imiter sa voix. Avec ironie, j'ai dit que s'il y avait des malins dans la classe, il fallait lever le doigt au lieu de se livrer à de se livrer à de piètres imitations.
Soupçonnant un garçon, je lui ai dit de venir me voir à la fin de l'heure, ce qu'il a fait, avec deux camarades. Ils m'a affirmé que ce n'était pas lui, mais ne voulait pas me dire qui c'était. J'ai promis que s'ils me disaient qui avait imité cette jeune fille, je ne dirais pas que je tenais cette information de leur bouche. J'ai donc le nom du "coupable", mais je ne veux pas qu'il se doute que ce sont ses camarades qui l'ont dénoncé. Les élèves disent que cette élève ne se vexe pas, qu'elle ne se formalise pas des petites vannes que l'on peut lui faire. Je sais qu'elle a de l'humour et du détachement, mais elle a été très vexée de cette moquerie. Moi, je suis très mal car j'ai été défaillant. Cette classe ne me pose pas de problème de discipline, mais je me dois d'assurer un respect mutuel entre les élèves.
Je les revois lundi. Que feriez-vous à ma place ?
- cléoNiveau 9
Avoir le nom du petit malin va te permettre d'être très vigilante à l'avenir. La prochaine fois qu'il moufte (si prochaine fois il y a), tu sévis.
- micaschisteMonarque
Elle ne montre peut-être rien et sous la façade de l'humour, elle souffre.Les élèves disent que cette élève ne se vexe pas, qu'elle ne se formalise pas des petites vannes que l'on peut lui faire.
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"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- ditaNeoprof expérimenté
Oui, je suis très content d'avoir son nom. Je vais l'avoir à l'oeil.
Je sais qu'elle souffre beaucoup, mais elle ne le montre pas. Ce qui me touche, c'est qu'elle a une entière confiance en moi et qu'elle est ravie que je reconnaisse ses aptitudes littéraires à leur juste mérite, ma matière est celle qu'elle préfère et elle compte vraiment sur moi pour l'aider à exploiter ses capacités.
Je sais qu'elle souffre beaucoup, mais elle ne le montre pas. Ce qui me touche, c'est qu'elle a une entière confiance en moi et qu'elle est ravie que je reconnaisse ses aptitudes littéraires à leur juste mérite, ma matière est celle qu'elle préfère et elle compte vraiment sur moi pour l'aider à exploiter ses capacités.
- BalthamosDoyen
dita a écrit:
Par aileurs, elle vit une situation de handicap. Cette élève montre des dispositions exceptionnelles pour ma matière.
Ces deux phrases n'ont aucun lien j'espère
- BalthamosDoyen
je ne connais pas ta discipline mais tu peux faire des activités de sensibilisation sur le harcèlement par exemple. Avec les lycéens, vous pouvez aller plus loin dans la réflexion (on peut souffrir en silence, agir de différentes façons face à ces situations) et dans la sensibilisation (les différentes conséquences sur l'élève, notamment psychologiques). Cela sans viser l'élève ou sans prendre exemple dans la classe bien entendu. Cela peut se faire en EMC je pense.
Sinon il y a différentes videos qui peuvent aider à en parler (notamment celles de la campagne de 2012 ou meme la chanson petite émilie de Keen'V), prétextes à la discussion ou à l'activité.
Sinon il y a différentes videos qui peuvent aider à en parler (notamment celles de la campagne de 2012 ou meme la chanson petite émilie de Keen'V), prétextes à la discussion ou à l'activité.
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- Spoiler:
- BalthamosDoyen
Dans mes classes avec l'APS on a beaucoup insisté sur le rôle des témoins, histoire de sortir du "je ne suis pas une balance" pour entrer dans l'air du "je témoigne pour aider mon camarade dans la détresse" (on est encore loin, mais j'espère encore )
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- Spoiler:
- ditaNeoprof expérimenté
Balthamos a écrit:dita a écrit:
Par aileurs, elle vit une situation de handicap. Cette élève montre des dispositions exceptionnelles pour ma matière.
Ces deux phrases n'ont aucun lien j'espère
C'était juste pour vous faire un portrait rapide de l'élève.
Je pense que cette moquerie était un acte isolé. Elle se disait asociale en troisième - j'ai vu son dossier. Elle refuse de travailler en groupe. Certains la regardent de travers, sans doute à cause de son look. A partir de quand peut-on dire que quelqu'un est harcelé ? Son cas est quand même assez particulier, elle est isolée / s'isole par rapport au reste de la classe.
- Fesseur ProGuide spirituel
Pas de réunion prévue prochainement avec les parents histoire de poser la question de comment se sent l'élève dans la classe ?
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Pourvu que ça dure...
- ditaNeoprof expérimenté
Les parents ne viennent pas à la réunion parents profs, apparemment. Pas de rdv demandé.
J'ai eu l'occasion de croiser son père qui travaille comme agent au lycée. Je lui ai dit que j'étais content de la voir s'appliquer, mais c'est tout, on n'avait pas le temps - il devait prendre son service. Il a l'air assez anxieux.
Je ne suis pas le prof principal, mais ça n'est pas une raison pour ne pas me bouger.
Je pense que je devrais demander à ses parents de venir me voir.
J'ai eu l'occasion de croiser son père qui travaille comme agent au lycée. Je lui ai dit que j'étais content de la voir s'appliquer, mais c'est tout, on n'avait pas le temps - il devait prendre son service. Il a l'air assez anxieux.
Je ne suis pas le prof principal, mais ça n'est pas une raison pour ne pas me bouger.
Je pense que je devrais demander à ses parents de venir me voir.
- shantia38Niveau 5
dita a écrit:Les parents ne viennent pas à la réunion parents profs, apparemment. Pas de rdv demandé.
J'ai eu l'occasion de croiser son père qui travaille comme agent au lycée. Je lui ai dit que j'étais content de la voir s'appliquer, mais c'est tout, on n'avait pas le temps - il devait prendre son service. Il a l'air assez anxieux.
Je ne suis pas le prof principal, mais ça n'est pas une raison pour ne pas me bouger.
Je pense que je devrais demander à ses parents de venir me voir.
Pourquoi convoquer ses parents à elle? tu la stigmatiserai un peu non?
Je dis qu'il faut juste surveiller un peu plus ces garçons et sévir dès qu'ils essayent encore de la taquiner méchamment.
- JaneMonarque
dita a écrit:Bonjour,
je suis ennuyé d'une chose qui s'est passée dans mon cours en seconde.
Une élève a un look très original. Elle singularise par son style qui est ultra féminin. Par aileurs, elle vit une situation de handicap. Cette élève montre des dispositions exceptionnelles pour ma matière. Elle n'a pas un excellent niveau, mais elle est passionnée par son travail et est avide de connaissances et fait tout pour réussir. Donc, je l'apprécie énormément et je l'aide à progresser de mon mieux, mais l'interroger en classe a posé problème ce matin.
Elle a une toute petite voix, très aiguë, et, alors qu'elle hésitait dans sa réponse, un garçon de la classe s'est mis à imiter sa voix. Avec ironie, j'ai dit que s'il y avait des malins dans la classe, il fallait lever le doigt au lieu de se livrer à de se livrer à de piètres imitations.
Soupçonnant un garçon, je lui ai dit de venir me voir à la fin de l'heure, ce qu'il a fait, avec deux camarades. Ils m'a affirmé que ce n'était pas lui, mais ne voulait pas me dire qui c'était. J'ai promis que s'ils me disaient qui avait imité cette jeune fille, je ne dirais pas que je tenais cette information de leur bouche. J'ai donc le nom du "coupable", mais je ne veux pas qu'il se doute que ce sont ses camarades qui l'ont dénoncé. Les élèves disent que cette élève ne se vexe pas, qu'elle ne se formalise pas des petites vannes que l'on peut lui faire. Je sais qu'elle a de l'humour et du détachement, mais elle a été très vexée de cette moquerie. Moi, je suis très mal car j'ai été défaillant. Cette classe ne me pose pas de problème de discipline, mais je me dois d'assurer un respect mutuel entre les élèves.
Je les revois lundi. Que feriez-vous à ma place ?
Si tu n'habitais pas à Paris, j'aurais pensé que tu parlais de ma fille .
Je te dirais de réagir; cette jeune fille fait peut-être mine de ne pas se vexer, mais elle est sans doute profondément blessée par ce qui se dit au quotidien.
Je reviendrais donc sur l'incident en classe lundi, tout en étant ferme. Il faut que cette jeune fille puisse évoluer sereinement.
Bon courage.
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"Il n'est pas une vérité qui ne porte avec elle son amertume." (A. Camus)
- ditaNeoprof expérimenté
Shantia : merci pour ta réponse. En fait, pas de souci avec les parents, j'ai bien l'habitude d'en recevoir, ça n'aura pas l'air d'une stigmatisation. De toutes façons, je voudrais les voir pour parler du travail de leur fille, qui témoigne d'aptitudes exceptionnelles, mais qu'il convient de parfaire. En revanche, je ferai bien de tenir le garçon à l'oeil et d'appeler ses parents s'il bouge une oreille !
Jane, je suis désolée pour ta fille, j'espère qu'elle peut quand même trouver l'occasion de s'épanouir dans sa classe. C'est tellement important de pouvoir se construire une confiance en soi. Les relations entre pairs sont importantes, mais quelle méchanceté et quelle bêtise, parfois ...
En fait, si je suis si sensible à ces problèmes, c'est parce que je les ai connus moi-même. Je sais bien qu'elle a eu de la peine et cela me touche énormément. Je ferai tout ce qu'il faut pour qu'elle puisse évoluer sereinement. J'hésite à revenir en classe lundi sur cela pour ne pas porter l'attention sur cette jeune fille et ce qui s'est passé. S'il y a le moindre manque de respect, je sors l'artillerie lourde : appel des parents du garçons, entretien avec la CPE et la prof principale, colle ...
Et dire que cette jeune fille, ce matin, m'a envoyé un mail pour un devoir supplémentaire qu'elle m'avait demandé de faire pour s'entraîner. Elle me fait confiance, je ne veux surtout pas être défaillant à son égard.
Lorsque j'étais jeune et que j'étais en butte à des moqueries, car j'étais "différent", les profs avaient l'air de ne pas s'en soucier. J'ai développé un fort instinct protecteur, je ne veux pas que des jeunes vivent cela, car je suis bien placé pour savoir à quel point ça fait mal. Cependant, trouver la juste distance est difficile. Je ne veux par faire en classe le chevalier blanc devant les autres élèves, car ça pourrait mettre cette jeune fille mal à l'aise. Qu'en penses-tu ?
Jane, je suis désolée pour ta fille, j'espère qu'elle peut quand même trouver l'occasion de s'épanouir dans sa classe. C'est tellement important de pouvoir se construire une confiance en soi. Les relations entre pairs sont importantes, mais quelle méchanceté et quelle bêtise, parfois ...
En fait, si je suis si sensible à ces problèmes, c'est parce que je les ai connus moi-même. Je sais bien qu'elle a eu de la peine et cela me touche énormément. Je ferai tout ce qu'il faut pour qu'elle puisse évoluer sereinement. J'hésite à revenir en classe lundi sur cela pour ne pas porter l'attention sur cette jeune fille et ce qui s'est passé. S'il y a le moindre manque de respect, je sors l'artillerie lourde : appel des parents du garçons, entretien avec la CPE et la prof principale, colle ...
Et dire que cette jeune fille, ce matin, m'a envoyé un mail pour un devoir supplémentaire qu'elle m'avait demandé de faire pour s'entraîner. Elle me fait confiance, je ne veux surtout pas être défaillant à son égard.
Lorsque j'étais jeune et que j'étais en butte à des moqueries, car j'étais "différent", les profs avaient l'air de ne pas s'en soucier. J'ai développé un fort instinct protecteur, je ne veux pas que des jeunes vivent cela, car je suis bien placé pour savoir à quel point ça fait mal. Cependant, trouver la juste distance est difficile. Je ne veux par faire en classe le chevalier blanc devant les autres élèves, car ça pourrait mettre cette jeune fille mal à l'aise. Qu'en penses-tu ?
- DimkaVénérable
Je ne comprends pas trop la question. Dans le harcèlement, peu importe ce que ressent celui qui en est l’objet, ce qui est important, c’est ce que fait celui qui harcèle : si un élève se moque d’un autre, et que l’autre n’en a rien à faire, ça n’empêche pas que la moquerie est problématique.dita a écrit:A partir de quand peut-on dire que quelqu'un est harcelé ?
(je pense que la formulation de ma deuxième phrase pourrait être mal interprétée, donc pour dire autrement : donner un coup de couteau, c’est mal, on ne va pas dire que c’est moins grave si celui qui se prend le coup de couteau est un dur à qui ça ne fait pas grand chose)
Par ailleurs, je ne pige pas ton insistance quant à la confiance de l’élève à ton égard : et alors ? Si l’élève victime de moquerie était un ignoble petit con j’en-foutiste que tu détesterais, ou plus simplement un élève lambda, qu’est-ce que ça changerait ? Le rôle du prof est d’entretenir un climat serein dans sa classe, donc si un élève s’y fait insulter ou moquer, occasionnellement ou quotidiennement, c’est problématique.
Et dernier détail : si un élève est solitaire… c’est son droit. Le problème, c’est s’il est exclu par le groupe. Mais je sais qu’au collège, j’ai surtout souffert de l’attention de certains adultes quant à ma non-sociabilité : j’aimais être seul, j’ai réussi à imposer ça aux autres élèves (qu’ils me foutent la paix et respectent ma tranquillité), par contre, j’ai eu un mal fou à me débarrasser des adultes qui avaient décidé que ce n’était pas bon pour moi, et de s’en inquiéter. Et ça m’a gravement saoulé que ce genre de détails soient mentionnés dans les dossiers/bulletins, ou avec les parents.
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- Spoiler:
- ditaNeoprof expérimenté
Dimka a écrit:Je ne comprends pas trop la question. Dans le harcèlement, peu importe ce que ressent celui qui en est l’objet, ce qui est important, c’est ce que fait celui qui harcèle : si un élève se moque d’un autre, et que l’autre n’en a rien à faire, ça n’empêche pas que la moquerie est problématique.dita a écrit:A partir de quand peut-on dire que quelqu'un est harcelé ?
(je pense que la formulation de ma deuxième phrase pourrait être mal interprétée, donc pour dire autrement : donner un coup de couteau, c’est mal, on ne va pas dire que c’est moins grave si celui qui se prend le coup de couteau est un dur à qui ça ne fait pas grand chose)
Par ailleurs, je ne pige pas ton insistance quant à la confiance de l’élève à ton égard : et alors ? Si l’élève victime de moquerie était un ignoble petit con j’en-foutiste que tu détesterais, ou plus simplement un élève lambda, qu’est-ce que ça changerait ? Le rôle du prof est d’entretenir un climat serein dans sa classe, donc si un élève s’y fait insulter ou moquer, occasionnellement ou quotidiennement, c’est problématique.
Et dernier détail : si un élève est solitaire… c’est son droit. Le problème, c’est s’il est exclu par le groupe. Mais je sais qu’au collège, j’ai surtout souffert de l’attention de certains adultes quant à ma non-sociabilité : j’aimais être seul, j’ai réussi à imposer ça aux autres élèves (qu’ils me foutent la paix et respectent ma tranquillité), par contre, j’ai eu un mal fou à me débarrasser des adultes qui avaient décidé que ce n’était pas bon pour moi, et de s’en inquiéter. Et ça m’a gravement saoulé que ce genre de détails soient mentionnés dans les dossiers/bulletins, ou avec les parents.
Ce que je voulais dire, Dimka, c'est que je me demandais si c'était un acte isolé ou non. Dans le cas ou ce serait un acte isolé, ce serait quand même grave, mais si c'est récurrent .. à moi de savoir. C'est important.
Je suis d'accord, meê si l'élève était un ignoble petit con, je monterai au créneau de la même façon, crois-moi.
Bon, pour la confiance et tout le bla bla, c'est dû à un truc personnel dont je ne veux pas parler ici, parce que je connais trop le handicap.
Je n'ai jamais jugé quelqu'un sur sa sociablilité, alors sur les bulletins, tu imagines ... Il y a vraiment des profs pas malins. Je pense aussi qu'écrire élève sympathique" ou "élève sociable" et très con, aussi. On n'est pas là pour juger de ça.
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