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- archebocEsprit éclairé
"Informer alors les collègues que cette formation n'est pas
obligatoire, et les inviter à porter plainte avec l'aide du SNALC."
Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme. L'Etat a le droit de vous mobiliser pour les nécessités du service. En tant que fonctionnaire, nous sommes à ses ordres même pendant nos temps de vacances. L'Etat doit cependant décompter ce temps de travail supplémentaire, et évidemment nous le payer en plus.
Mais est-ce une meilleure tactique d'aller au TA pour demander le versement d'heures supplémentaires pour une formation bidon, plutôt que l'annulation d'un retrait de salaire pour absence à cette formation bidon ? Je ne sais pas.
L'administration en défense au TA expliquera que le "temps de service" évoqué par le décret du 15 octobre 2007 est synonyme de "temps de travail", à 1607 heures, dues par tous les fonctionnaires, et non pas de "service devant élèves" du statut particulier des enseignants. Il faudra plaider évidemment la clarté du texte, mais aussi l'équilibre de la profession (mal payé, pas de choix des vacances, mais horaires prévisibles).
Option que l'administration utilisera au TA pour démontrer l'absurdité d'assimiler "temps de service" et "service devant élèves".
obligatoire, et les inviter à porter plainte avec l'aide du SNALC."
Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme. L'Etat a le droit de vous mobiliser pour les nécessités du service. En tant que fonctionnaire, nous sommes à ses ordres même pendant nos temps de vacances. L'Etat doit cependant décompter ce temps de travail supplémentaire, et évidemment nous le payer en plus.
Mais est-ce une meilleure tactique d'aller au TA pour demander le versement d'heures supplémentaires pour une formation bidon, plutôt que l'annulation d'un retrait de salaire pour absence à cette formation bidon ? Je ne sais pas.
L'administration en défense au TA expliquera que le "temps de service" évoqué par le décret du 15 octobre 2007 est synonyme de "temps de travail", à 1607 heures, dues par tous les fonctionnaires, et non pas de "service devant élèves" du statut particulier des enseignants. Il faudra plaider évidemment la clarté du texte, mais aussi l'équilibre de la profession (mal payé, pas de choix des vacances, mais horaires prévisibles).
Si on applique le texte à la lettre, ça ne devrait pas être obligatoire. De même, si tu as cours de 9 à 10 et de 11 à 12, mais pas de 10 à 11, tu serais techniquement autorisée à sortir 1h au milieu de ta formation.
Option que l'administration utilisera au TA pour démontrer l'absurdité d'assimiler "temps de service" et "service devant élèves".
- LefterisEsprit sacré
Globalement d'accord, le TA jugera peut-être que le texte est flou, mais peut statuer qu'en raison de ce flou justement , la décision n'est pas entachée d'illégalité manifeste. Le TA, c'est souvent une histoire de pur juridisme, de virgules, de cohérence, pas de "justice" absolue.archeboc a écrit:"Informer alors les collègues que cette formation n'est pas
obligatoire, et les inviter à porter plainte avec l'aide du SNALC."
Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme. L'Etat a le droit de vous mobiliser pour les nécessités du service. En tant que fonctionnaire, nous sommes à ses ordres même pendant nos temps de vacances. L'Etat doit cependant décompter ce temps de travail supplémentaire, et évidemment nous le payer en plus.
Mais est-ce une meilleure tactique d'aller au TA pour demander le versement d'heures supplémentaires pour une formation bidon, plutôt que l'annulation d'un retrait de salaire pour absence à cette formation bidon ? Je ne sais pas.
L'administration en défense au TA expliquera que le "temps de service" évoqué par le décret du 15 octobre 2007 est synonyme de "temps de travail", à 1607 heures, dues par tous les fonctionnaires, et non pas de "service devant élèves" du statut particulier des enseignants. Il faudra plaider évidemment la clarté du texte, mais aussi l'équilibre de la profession (mal payé, pas de choix des vacances, mais horaires prévisibles).
Si on applique le texte à la lettre, ça ne devrait pas être obligatoire. De même, si tu as cours de 9 à 10 et de 11 à 12, mais pas de 10 à 11, tu serais techniquement autorisée à sortir 1h au milieu de ta formation.
Option que l'administration utilisera au TA pour démontrer l'absurdité d'assimiler "temps de service" et "service devant élèves".
Dans le même ordre d'idées, je ne crois pas que "l'équilibre de la profession" soit un moyen de droit facilement opposable. C'est plutôt du ressort de la négociation interne entre syndicats et administration , à titre d'argument du genre : "les enseignants gagnent 30 à 35% de moins que les cadres A, et en plus vous leur enlevez ce qui pourrait compenser. Ne vous étonnez pas de voir les concours désertés et l'ensemble des troupes démotivées."
En attendant des certitudes qui ne viendront peut-être jamais , la solution sera sans doute la grève ces jours-là, pour être couverts.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- OudemiaBon génie
Je rajoute une question : après un mail du PA pour une réunion liaison école-collège (envoyé tous les professeurs de lettres et de maths en 6e) avec précision "présence indispensable", peut-on attendre aussi un ordre de mission pour se résoudre à obtempérer ?henriette a écrit:Merci, Celeborn.
Question : si les ordres de missions sont collectifs (genre reçus par mail du rectorat, pour tous les personnels de l'établissement/de l'académie), est-ce la même chose que s'ils sont nominatifs ? Ou peut-on/doit-on exiger un ordre de mission nominatif ?
- CelebornEsprit sacré
archeboc a écrit:"Informer alors les collègues que cette formation n'est pas
obligatoire, et les inviter à porter plainte avec l'aide du SNALC."
Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme. L'Etat a le droit de vous mobiliser pour les nécessités du service. En tant que fonctionnaire, nous sommes à ses ordres même pendant nos temps de vacances. L'Etat doit cependant décompter ce temps de travail supplémentaire, et évidemment nous le payer en plus.
Mais est-ce une meilleure tactique d'aller au TA pour demander le versement d'heures supplémentaires pour une formation bidon, plutôt que l'annulation d'un retrait de salaire pour absence à cette formation bidon ? Je ne sais pas.
L'administration en défense au TA expliquera que le "temps de service" évoqué par le décret du 15 octobre 2007 est synonyme de "temps de travail", à 1607 heures, dues par tous les fonctionnaires, et non pas de "service devant élèves" du statut particulier des enseignants. Il faudra plaider évidemment la clarté du texte, mais aussi l'équilibre de la profession (mal payé, pas de choix des vacances, mais horaires prévisibles).
Si on applique le texte à la lettre, ça ne devrait pas être obligatoire. De même, si tu as cours de 9 à 10 et de 11 à 12, mais pas de 10 à 11, tu serais techniquement autorisée à sortir 1h au milieu de ta formation.
Option que l'administration utilisera au TA pour démontrer l'absurdité d'assimiler "temps de service" et "service devant élèves".
Sauf que cette interprétation entraîne le fait que l'administration peut imposer une formation aux profs tous les jours non fériés, à n'importe quelle heure. Je doute qu'un TA aille par-là… On est dans un régime d'obligation de service (article 7 du décret n°2000-815) ; ça a des conséquences.
Du fait des préavis de grève, chacun peut faire ce qu'il souhaite dans ces situations, s'y rendre ou non, effectivement. Le conseil valait dans un cas plus général, où il n'y a pas forcément un préavis de grève le jour de la formation.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
Mon Blog
- Apices JurisNiveau 6
S'il n'y avait que ça... Ce texte est vraiment écrit avec les pieds. Ce syndicat prétend donner du conseil juridique et n'est même pas fichu d'écrire un texte juridiquement rigoureux. C'est consternant.archeboc a écrit:Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme.
Ainsi, dire en ce qui concerne les formations que « Ne pas s'y rendre = 1 journée de grève », c'est n'importe quoi. La grève, c'est strictement encadré ; hors de ce cadre, on n'est pas gréviste. Donc refuser de s'y rendre, c'est effectivement un 30e indivisible de retrait sur traitement pour service non fait, mais ce n'est pas un jour de grève. Et c'est donc passible de poursuite disciplinaire, si l'on voulait être jusqu'au-boutiste. Je ne dis pas que l'administration oserait aller jusque là, je dis simplement qu'il vaut mieux savoir où on met juridiquement les pieds quand on agit contre sa hiérarchie.
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Apices juris non sunt jura.
- BalthamosDoyen
Apices Juris a écrit:S'il n'y avait que ça... Ce texte est vraiment écrit avec les pieds. Ce syndicat prétend donner du conseil juridique et n'est même pas fichu d'écrire un texte juridiquement rigoureux. C'est consternant.archeboc a écrit:Attention, je ne pense pas que "porter plainte" soit le bon terme.
Ainsi, dire en ce qui concerne les formations que « Ne pas s'y rendre = 1 journée de grève », c'est n'importe quoi. La grève, c'est strictement encadré ; hors de ce cadre, on n'est pas gréviste. Donc refuser de s'y rendre, c'est effectivement un 30e indivisible de retrait sur traitement pour service non fait
[...]
Tu as raison de rétablir les faits.
Moi aussi j'aime l'exactitude, surtout dans les documents syndicaux.
Refuser de s'y rendre signifie un 30e indivisible de retrait sur traitement pour service non fait.
Cependant plusieurs syndicats de l'intersyndicale vont poser des préavis de grève le jour des formations pour couvrir les collègues et éviter les chefs procéduriers.
De plus, Sud pose régulièrement un préavis généraliste, le dernier nous couvrant jusqu'à décembre.
Donc on peut justifier notre absence par grève.
- Fesseur ProGuide spirituel
Mouais.
Dans les 2 cas on se fera tout de même retirer une journée.
J'ai choisi ce métier entre autres parce que j'avais le mercredi AM ( et ensuite le samedi ) de dispo pour d'autres activités.
Ca devient pénible !
Dans les 2 cas on se fera tout de même retirer une journée.
J'ai choisi ce métier entre autres parce que j'avais le mercredi AM ( et ensuite le samedi ) de dispo pour d'autres activités.
Ca devient pénible !
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Pourvu que ça dure...
- BalthamosDoyen
Fesseur Pro a écrit:Mouais.
Dans les 2 cas on se fera tout de même retirer une journée.
J'ai choisi ce métier entre autres parce que j'avais le mercredi AM ( et ensuite le samedi ) de dispo pour d'autres activités.
Ca devient pénible !
Dans les deux cas, on perd une journée.
Mais dans un cas on risque une poursuite disciplinaire, alors que dans l'autre on est protégé.
Dans tout les cas, tu as raison il faut se défendre car on nous affirmait que nos avantages (à relativiser) comme les vacances, la gestion de notre temps ou notre mercredi après midi justifiaient notre traitement modique comparé aux autres cadres de la FP. On rogne sur nos avantages relatifs et aussi sur notre traitement....
bref, on y perd en y perdant.
- CelebornEsprit sacré
Apices Juris a écrit:
Ainsi, dire en ce qui concerne les formations que « Ne pas s'y rendre = 1 journée de grève », c'est n'importe quoi. La grève, c'est strictement encadré ; hors de ce cadre, on n'est pas gréviste. Donc refuser de s'y rendre, c'est effectivement un 30e indivisible de retrait sur traitement pour service non fait, mais ce n'est pas un jour de grève. Et c'est donc passible de poursuite disciplinaire, si l'on voulait être jusqu'au-boutiste. Je ne dis pas que l'administration oserait aller jusque là, je dis simplement qu'il vaut mieux savoir où on met juridiquement les pieds quand on agit contre sa hiérarchie.
L'intersyndicale pose des préavis de grève quotidiens.
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"On va bien lentement dans ton pays ! Ici, vois-tu, on est obligé de courir tant qu'on peut pour rester au même endroit. Si on veut aller ailleurs, il faut courir au moins deux fois plus vite que ça !" (Lewis Carroll)
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- CarnyxNeoprof expérimenté
Voici ce que mon syndicat diffuse :
Le service d'enseignement s'effectue sur le temps de présence des élèves.
En dehors de ce temps de présence, les enseignants ne sont pas tenus de participer à des actions (formations, réunions...), qu'il s'agisse du mercredi après-midi, des soirées ou des périodes de vacances scolaires.
Et l'argument parfois entendu des 1607 heures annuelles dues n'est pas valable pour les enseignants : le décret les évoquant (n°2000-815 du 25 août 2000 relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail dans la fonction publique de l’État et dans la magistrature ) prévoit expressément une dérogation pour les personnels enseignants dont les ORS (Obligations Réglementaires de Service) sont définies dans les statuts relatifs à leur corps.
Le service d'enseignement s'effectue sur le temps de présence des élèves.
En dehors de ce temps de présence, les enseignants ne sont pas tenus de participer à des actions (formations, réunions...), qu'il s'agisse du mercredi après-midi, des soirées ou des périodes de vacances scolaires.
Et l'argument parfois entendu des 1607 heures annuelles dues n'est pas valable pour les enseignants : le décret les évoquant (n°2000-815 du 25 août 2000 relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail dans la fonction publique de l’État et dans la magistrature ) prévoit expressément une dérogation pour les personnels enseignants dont les ORS (Obligations Réglementaires de Service) sont définies dans les statuts relatifs à leur corps.
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Of all tyrannies, a tyranny sincerely exercised for the good of its victims may be the most oppressive. It would be better to live under robber barons than under omnipotent moral busybodies. The robber baron’s cruelty may sometimes sleep, his cupidity may at some point be satiated; but those who torment us for our own good will torment us without end for they do so with the approval of their own conscience.
- henrietteMédiateur
Merci Carnyx. Tu peux me donner un lien où trouver cela, pour diffusion aux collègues ?Carnyx a écrit:Voici ce que mon syndicat diffuse :
Le service d'enseignement s'effectue sur le temps de présence des élèves.
En dehors de ce temps de présence, les enseignants ne sont pas tenus de participer à des actions (formations, réunions...), qu'il s'agisse du mercredi après-midi, des soirées ou des périodes de vacances scolaires.
Et l'argument parfois entendu des 1607 heures annuelles dues n'est pas valable pour les enseignants : le décret les évoquant (n°2000-815 du 25 août 2000 relatif à l’aménagement et à la réduction du temps de travail dans la fonction publique de l’État et dans la magistrature ) prévoit expressément une dérogation pour les personnels enseignants dont les ORS (Obligations Réglementaires de Service) sont définies dans les statuts relatifs à leur corps.
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"Il n'y a que ceux qui veulent tromper les peuples et gouverner à leur profit qui peuvent vouloir retenir les hommes dans l'ignorance."
- AmaliahEmpereur
Me voilà également concernée... J'ai refusé catégoriquement et publiquement d'aller aux formations du mercredi et voilà que je reçois ce matin un ordre de mission pour le mercredi 16/12. Et si je n'y vais pas alors que je ne travaille pas le mercredi, on pourrait me retirer un trentième?!? Je suis encore plus folle de rage. Surtout que j'imagine que c'est ma chef qui m'a inscrite sans m'en avertir...
J'aurai donc un enfant malade ce jour-là.
J'aurai donc un enfant malade ce jour-là.
- HimpyExpert spécialisé
Bonjour,
Je fais remonter ce vieux topic mais... Il ne s'agit pas de formation à la réforme mais d'une formation disciplinaire le mercredi ap-midi. Normal, pas normal ? Legal, pas légal ?
Je présise qu'il s'agit d'une formation en visio de 14h à 17h.
Je fais remonter ce vieux topic mais... Il ne s'agit pas de formation à la réforme mais d'une formation disciplinaire le mercredi ap-midi. Normal, pas normal ? Legal, pas légal ?
Je présise qu'il s'agit d'une formation en visio de 14h à 17h.
- ElyasEsprit sacré
C'est légal et certains cherchent à rendre ça normal.
- HimpyExpert spécialisé
Merci pour ta réponse qui met les mots sur ce que je pense... Et ça fait bien râler...
- AhenobarbusNiveau 5
Himpy a écrit:Merci pour ta réponse qui met les mots sur ce que je pense... Et ça fait bien râler...
Même réponse : s'ils veulent faire une formation à distance, qu'ils fournissent le matériel (dont la connexion)!et/ou versent une vraie prime info.
- CatalunyaExpert spécialisé
Notre lycée travaille tous les mercredis AM depuis 6 ans. J'imagine que c'est légal.Himpy a écrit:Bonjour,
Je fais remonter ce vieux topic mais... Il ne s'agit pas de formation à la réforme mais d'une formation disciplinaire le mercredi ap-midi. Normal, pas normal ? Legal, pas légal ?
Je présise qu'il s'agit d'une formation en visio de 14h à 17h.
- JennyMédiateur
J’ai souvent formation les mercredis (et c’est effectivement une après-midi de cours en lycée).
- HimpyExpert spécialisé
Oui je sais qu'en lycée on travaille souvent les mercredis après midis.
Ce qui me fait râler c'est que j'ai un emploi du temps pourri et que le mercredi ap-midi c'est le seul moment où je ne bosse pas. Je travaille tous les jours sinon, mercredi matin compris. Mais bref.
Merci pour vos réponses.
Ce qui me fait râler c'est que j'ai un emploi du temps pourri et que le mercredi ap-midi c'est le seul moment où je ne bosse pas. Je travaille tous les jours sinon, mercredi matin compris. Mais bref.
Merci pour vos réponses.
- Hermione0908Modérateur
Mes formations agreg sont systématiquement le mercredi après-midi.
Je travaille tous les jours au collège aussi, mercredi matin compris (toujours 3 ou 4 heures), et c'est vrai que ça fait des semaines très très denses.
En revanche, je ne crois pas avoir jamais eu de formation disciplinaire pédagogique le mercredi après-midi, c'était toujours sur un autre jour (souvent le mardi ou le jeudi).
Je travaille tous les jours au collège aussi, mercredi matin compris (toujours 3 ou 4 heures), et c'est vrai que ça fait des semaines très très denses.
En revanche, je ne crois pas avoir jamais eu de formation disciplinaire pédagogique le mercredi après-midi, c'était toujours sur un autre jour (souvent le mardi ou le jeudi).
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Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- lene75Prophète
Notre inspection place très souvent ses formations le mercredi après-midi, ou en englobant un mercredi si formation sur plusieurs jours parce que peu de collègues ont cours. Cette année on a aussi eu les visio en soirée après les cours, ce qui n'était pas possible quand les formations étaient en présentiel.
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Une classe, c'est comme une boîte de chocolats, on sait jamais sur quoi on va tomber...
- BaldredSage
Bonsoir,
Les formations "qualifiantes" préparation de concours/ caffa sont assez souvent le mercredi après midi et même certains jours de vacances. A ma connaissance , c'est toujours annoncé, et accepté, au départ par les formateurs et les stagiaires.
En revanche c'est plus rare pour les formations assurées par des enseignants qui ne relèvent pas de l'Inspe. Formateur au PAF, je reste maître du calendrier (relativement : Le CdE a un droit de regard, il faut négocier les jours où on perd le moins d'heures de cours). Le mercredi serait contre productif pour les stagiaires comme pour moi. Je n'ai jamais eu aucune demande de l'inspection en ce sens. Je parle avant le Covid, bien entendu, et avant les annonces de Blanquer de.... mercredi prochain.... mauvais signe.
Les formations "qualifiantes" préparation de concours/ caffa sont assez souvent le mercredi après midi et même certains jours de vacances. A ma connaissance , c'est toujours annoncé, et accepté, au départ par les formateurs et les stagiaires.
En revanche c'est plus rare pour les formations assurées par des enseignants qui ne relèvent pas de l'Inspe. Formateur au PAF, je reste maître du calendrier (relativement : Le CdE a un droit de regard, il faut négocier les jours où on perd le moins d'heures de cours). Le mercredi serait contre productif pour les stagiaires comme pour moi. Je n'ai jamais eu aucune demande de l'inspection en ce sens. Je parle avant le Covid, bien entendu, et avant les annonces de Blanquer de.... mercredi prochain.... mauvais signe.
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- Calendriers scolaires 2014-2017 : il n'y aura plus de rattrapages de mercredis après-midi, et l'année scolaire n'est pas rallongée (toujours 36 semaines).
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