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- JPhMMDemi-dieu
D'accord.Thalia de G a écrit:JP, et d'autres, @UNSA-Enseignement est autorisé à intervenir sur des problèmes spécifiques du privé.
Il est ici pertinent.
Merci.
- BalthamosDoyen
Verpa a écrit:Titulaire, contrat classique (sur deux établissements, disons 60% dans l'un et 40% dans l'autre).Balthamos a écrit:Tu as quel genre de contrat ? Et que dit il?
Pour combien de temps ?C'est ce point qui me pose problème en plus du bénévolat imposé. Si on était payé 15 minutes en HSE, pourquoi pas. Là, c'est zéro et inclus dans notre service avec un planning affiché.Balthamos a écrit:Il y a surtout une question de responsabilité derrière il me semble.
Je suis responsable de mes élèves pendant mon cours et dans ma classe.
Mais hors de mes heures de cours, s'il arrive qqch dans la cours... ?Des heures de retenues classiques ici.UNSA-Enseignement a écrit:Dans les obligations de services d'un enseignant il peut y avoir les heures de colle (celle des classes préparatoires), mais pas celles "de colle" (punitions aux élèves).
Comment ça fonctionne dans le privé?
Est ce qu'un titulaire en poste peut changer de poste en fonction du désir du chef d'établissement?
Quoi qu'il en soit, il faut faire respecter les règles et dans ce cas les syndicats peuvent t'aider.
Comment dans ton établissement est le rapport de force syndical? Les sections sont actives, passives, inexistantes?
Sinon tu peux contacter les syndicats qui peuvent t'aider dans ce combat pour faire respecter le droit tout simplement.
_________________
- Spoiler:
- MazuzuNiveau 7
UNSA-Enseignement a écrit:Mazuzu a écrit:
1) Les CDE du privé choisissent leurs enseignants dans la mesure où ils "classent" les candidats qui postulent au sein de leurs établissements sur les postes V et SV. Sauf cas exceptionnel (nécessité d'un poste ne se trouvant que là par ex...), le rectorat ne peut pas imposer un enseignant à un CDE du privé. Il confirme le choix de celui-ci lors des commissions.
2) heures de colle de prépa = Khôlles. Ces heures n'apparaissent pas dans les VS puisqu'elles sont ponctuelles et (bien) rémunérées à l'heure...
3) Les surveillants ne sont pas payés par des fonds publics ! Ils sont des employés de l'OGEC de l'établissement qui reçoit trois types de ressources : frais de scolarité des élèves, dons et...forfait d'externat.
Trois erreurs dans le même poste, bravo l'UNSA !
Mettez vos connaissances à jour :
Loi Censi de 2005 et son décret
Forfait d'externat.
Depuis 2005 les enseignants ne sont effectivement plus des employés des établissements mais ont pour employeur le rectorat. Mais il n'empêche que vous racontez n'importe quoi pour le reste !
Les établissements privés ne reçoivent pas uniquement leurs subsides de la puissance publique...
- UNSA-EnseignementNiveau 3
Balthamos a écrit:
Comment ça fonctionne dans le privé?
Est ce qu'un titulaire en poste peut changer de poste en fonction du désir du chef d'établissement?
Quoi qu'il en soit, il faut faire respecter les règles et dans ce cas les syndicats peuvent t'aider.
Comment dans ton établissement est le rapport de force syndical? Les sections sont actives, passives, inexistantes?
Sinon tu peux contacter les syndicats qui peuvent t'aider dans ce combat pour faire respecter le droit tout simplement.
Dans les établissements privés sous contrat, hormis quelques rares fonctionnaires donc titulaire, il n'y a que des Contractuels de Droit public.
Ceux ci sont titulaire d'un contrat définitif tant qu'ils ont un mi temps dans la matière.
Le décret de 2005 précise les rang de priorité en cas de demande de mutation.
Le Recteur doit classer les demandes
Le directeur peut refuser un candidat s'il a un motif légitime.
_________________
Plus de détails :
www.unsa-enseignement.fr
- MazuzuNiveau 7
Non du tout ! A partir du moment où tu as le concours tu es titulaire de ton poste et le CDE ne peut pas se séparer de toi. Tu quittes l'établissement si tu obtiens ta mut' ou...i ton poste est supprimé en raison de pertes horairesBalthamos a écrit:
Comment ça fonctionne dans le privé?
Est ce qu'un titulaire en poste peut changer de poste en fonction du désir du chef d'établissement ?
- BalthamosDoyen
UNSA-Enseignement a écrit:Balthamos a écrit:
Comment ça fonctionne dans le privé?
Est ce qu'un titulaire en poste peut changer de poste en fonction du désir du chef d'établissement?
Quoi qu'il en soit, il faut faire respecter les règles et dans ce cas les syndicats peuvent t'aider.
Comment dans ton établissement est le rapport de force syndical? Les sections sont actives, passives, inexistantes?
Sinon tu peux contacter les syndicats qui peuvent t'aider dans ce combat pour faire respecter le droit tout simplement.
Dans les établissements privés sous contrat, hormis quelques rares fonctionnaires donc titulaire, il n'y a que des Contractuels de Droit public.
Ceux ci sont titulaire d'un contrat définitif tant qu'ils ont un mi temps dans la matière.
Le décret de 2005 précise les rang de priorité en cas de demande de mutation.
Le Recteur doit classer les demandes
Le directeur peut refuser un candidat s'il a un motif légitime.
Ok.
Merci.
Mais quoi qu'il en soit, les titulaires ou contractuels ont des missions précises et doivent être rémunérés pour les missions accomplis.
La surveillance n'en est pas.
De plus, le travailleur n'a pas de temps de pause si il enseigne puis surveille, puis enseigne.
Toi qui a ton poste, tu peux aussi jouer le rapport de force puisque la loi et le droit sont de ton coté.
- MazuzuNiveau 7
[quote="UNSA-Enseignement"]
Sauf si les personnes prioritaires (perte de poste, perte d'heures, motifs particuliers) n'ont pas été prises en compte sur ces voeux...
= Dans la pratique le Rectorat valide les propositions des commissions qui respectent les voeux des CDE.Balthamos a écrit:
Le Recteur doit classer les demandes
Le directeur peut refuser un candidat s'il a un motif légitime.
Sauf si les personnes prioritaires (perte de poste, perte d'heures, motifs particuliers) n'ont pas été prises en compte sur ces voeux...
- Thalia de GMédiateur
Je comprends que cela te gêne, nous avons eu un très long débat à la modération sur le droit de poster avec un tel pseudo.Balthamos a écrit:Thalia de G a écrit:JP, et d'autres, @UNSA-Enseignement est autorisé à intervenir sur des problèmes spécifiques du privé.
Il est ici pertinent.
Je ne remets pas en cause la pertinence de son propos.
J'exprime seulement ma gène de voir un membre parler au nom d'un syndicat sur ce forum.
Pour le moment, merci de poster uniquement sur ce problème de surveillance. Si les uns ou les autres éprouvent des réticences sur la présence de @UNSA-Enseignement , ils peuvent envoyer un message à la modération.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- VerpaNiveau 6
C'est simple. Ils sont tout simplement inexistant. Aucun collègue n'est syndiqué (ça existe !).Balthamos a écrit:Comment dans ton établissement est le rapport de force syndical? Les sections sont actives, passives, inexistantes?
Sinon tu peux contacter les syndicats qui peuvent t'aider dans ce combat pour faire respecter le droit tout simplement.
- Thalia de GMédiateur
C'est bien dommage. Mais dans ton collège les autres acceptent sans rechigner ou est-il possible d'envisager un refus collectif ?Verpa a écrit:C'est simple. Ils sont tout simplement inexistant. Aucun collègue n'est syndiqué (ça existe !).Balthamos a écrit:Comment dans ton établissement est le rapport de force syndical? Les sections sont actives, passives, inexistantes?
Sinon tu peux contacter les syndicats qui peuvent t'aider dans ce combat pour faire respecter le droit tout simplement.
- BalthamosDoyen
Un droit ne s'use qu'en ne l'utilisant pas.
Et d'un point de vu collectif, c'est même dangereux d'accepter cette situation.
- tu fais du bénévolat
- pour remplacer un véritable emploi
- et rien que d'accepter fait pression sur les autres pour qu'ils acceptent à leur tour.
Bref, ne pouvant pas plus t'aider dans ce cas je te souhaite bon courage dans ta lutte et espère que tu nous tiendras au courant des démarches et avancées.
Et d'un point de vu collectif, c'est même dangereux d'accepter cette situation.
- tu fais du bénévolat
- pour remplacer un véritable emploi
- et rien que d'accepter fait pression sur les autres pour qu'ils acceptent à leur tour.
Bref, ne pouvant pas plus t'aider dans ce cas je te souhaite bon courage dans ta lutte et espère que tu nous tiendras au courant des démarches et avancées.
- totoroMonarque
Je ne peux pas me prononcer sur la légalité du truc, mais en ce qui nous concerne, c'est au titre de la journée de solidarité...
J'ai connu les surveillances de cour dans les bahuts de campagne essentiellement.
J'ai connu les surveillances de cour dans les bahuts de campagne essentiellement.
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- UNSA-EnseignementNiveau 3
Mazuzu a écrit:UNSA-Enseignement a écrit:= Dans la pratique le Rectorat valide les propositions des commissions qui respectent les voeux des CDE.Balthamos a écrit:
Le Recteur doit classer les demandes
Le directeur peut refuser un candidat s'il a un motif légitime.
Sauf si les personnes prioritaires (perte de poste, perte d'heures, motifs particuliers) n'ont pas été prises en compte sur ces voeux...
La liberté de conscience permet à chacun de croire ce qu'il souhaite. Vous avez donc le droit de croire à cela.
Dans les faits, si 1 Rectorat déroge aux règles fixées par le décret de 2005, il peut se faire retoquer.
Exemple de la Bretagne avec les Maths.
(bien sur nous savons que certains syndicats sont de mèche avec telle structure religieuse pour "s'arranger entre eux").
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- MazuzuNiveau 7
UNSA-Enseignement a écrit:
La liberté de conscience permet à chacun de croire ce qu'il souhaite. Vous avez donc le droit de croire à cela.
Dans les faits, si 1 Rectorat déroge aux règles fixées par le décret de 2005, il peut se faire retoquer.
Exemple de la Bretagne avec les Maths.
(bien sur nous savons que certains syndicats sont de mèche avec telle structure religieuse pour "s'arranger entre eux").
Chacun est bien évidemment libre de croire ce que bon lui semble mais il ne faut pas raconter n'importe quoi. Dans l'enseignement privé, il n'existe aucun système de points comme dans le public. Seulement des ordres de priorité, principalement en cas de perte de postes et d'heures, qui font que c'est le CDE qui choisit les enseignants qu'il souhaite recruter.
Dans la pratique, le rectorat ne peut pas imposer la nomination d'un enseignant sans l'avis favorable du CDE...
Pour le "de mèche avec telle structure religieuse", il serait bon d'expliciter vos propos, qui ne manquent pas de sel de la part d'un syndicat qui n'a bien évidemment jamais été proche d'un certain pouvoir ayant contribué à la dégradation des conditions d'enseignement...
- UNSA-EnseignementNiveau 3
Mazuzu a écrit:
Pour le "de mèche avec telle structure religieuse", il serait bon d'expliciter vos propos, qui ne manquent pas de sel de la part d'un syndicat qui n'a bien évidemment jamais été proche d'un certain pouvoir ayant contribué à la dégradation des conditions d'enseignement...
Je vous invite à prendre connaissance de quelques textes officiels et officieux qui concernent les établissements privés sous contrat d'association avec l'Enseignement Public.
Sans vouloir faire un cours d'histoire :
Statut des enseignants contractuels des étbs sous contrat :
1984 : les syndicats pro-domo s'opposent à l'intégration des établissements sous contrat dans le service public et le statut de fonctionnaire.
1985 : les 3 syndicats majoritaires s'entendent tacitement pour le refus du statut de fonctionnaire. (rappel de cette position en 2014).
Formation initiale et continuée des enseignant(e)s:
Aujourd'hui encore, environ 50% des crédits de formation sont détournés à "d'autres fins" avec l'accord tacite des syndicats majoritaires. Voir rapport Cour des Comptes.
Retraite :
depuis 1977, la Loi qui prévoit l'égalité des pensions entre enseignant(e)s n'est pas appliquée.
Mutations :
Presque tous les syndicats du champ professionnel, travaillent à court circuiter l'activité de l'Etat (Rectorat et DSDEN) en plaçant leur activité syndicale sous l'autorité de personnes d'un lobby à caractère philosophique/religieux.
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- xavaudNiveau 8
UNSA-Enseignement a écrit:les enseignants (agents contractuels de l'Etat) n'ont pas dans leurs obligations de service de surveiller la cour.
L'Ogec recoit une subvention (de l'argent public) pour rémunérer des surveillant(e)s.
Si en plus de votre travail vous souhaitez travailler en temps que surveillant, vous devez être rémunéré sinon ... travail au noir.
Ce n'est pas du "travail au noir" de travailler sans être payé, c'est juste du bénévolat...
- MazuzuNiveau 7
UNSA-Enseignement a écrit:
Je vous invite à prendre connaissance de quelques textes officiels et officieux qui concernent les établissements privés sous contrat d'association avec l'Enseignement Public.
Sans vouloir faire un cours d'histoire :
Statut des enseignants contractuels des étbs sous contrat :
1984 : les syndicats pro-domo s'opposent à l'intégration des établissements sous contrat dans le service public et le statut de fonctionnaire.
1985 : les 3 syndicats majoritaires s'entendent tacitement pour le refus du statut de fonctionnaire. (rappel de cette position en 2014).
Formation initiale et continuée des enseignant(e)s:
Aujourd'hui encore, environ 50% des crédits de formation sont détournés à "d'autres fins" avec l'accord tacite des syndicats majoritaires. Voir rapport Cour des Comptes.
Retraite :
depuis 1977, la Loi qui prévoit l'égalité des pensions entre enseignant(e)s n'est pas appliquée.
Mutations :
Presque tous les syndicats du champ professionnel, travaillent à court circuiter l'activité de l'Etat (Rectorat et DSDEN) en plaçant leur activité syndicale sous l'autorité de personnes d'un lobby à caractère philosophique/religieux.
Pour les cours d'histoire, on voit clairement l'orientation politique que vous donneriez à ceux-ci !
Sans la nommée, vous faites référence au projet loi Savary(1984) qui avait pour but de créer un "grand service public de l'éducation", c'est-à-dire +/- l'intégration de établissements privés dans l'EN. Vous devriez avoir l'honnêteté de dire que ce projet a été rejeté par l'ensemble des interlocuteurs du privé (diocèses, syndicats de CDE et d'enseignants) et une bonne partie de l'opinion publique. Le "mouvement pour une école libre" s'est traduit par de nombreuses manifestations, dont une géante d'un million de personnes à Paris en juin 1984, qui ont abouti au retrait du projet de la loi et à la démission du premier ministre Mauroy et d'Alain Savary.
Quant à vos arguments concernant les mutations, vous vous contentez de jeter l’opprobre sur vos syndicats "concurrents" mais sans jamais expliciter vos propos. Il existe des protocoles d'accord pour les mutations, avec des ordres de priorité et ceux-ci sont respectés. En cas de non-respect de la procédure, le rectorat agit.
Simplement, le système de mutation du privé n'est pas et ne sera jamais celui du public. Le recrutement des enseignants est assuré par le CDE après entretien. Il existe certes des priorités -perte de postes, perte d'heures- qui font que certains maîtres souhaitant mutés voient leur situation examinée en priorité etc...
Mais nous sommes à des années lumières de la question initiale concernant les surveillances de récréation. J'ai le sentiment que vous avez profité de ce fil pour faire de la propagande...
Comme plusieurs collègues, je me demande au nom de quoi l'UNSA a le droit de disposer d'un compte pour développer ses idées ?
Je n'ai pas vu de comptes au nom du SNES, de la CGT, de la FSU, de la CFTC, de la CFDT, du SNALC ou autres syndicats !
A mon sens, soit on l'autorise pour tous ou bien pour personne !
- UNSA-EnseignementNiveau 3
Sans vouloir brusquer la certitude de l'existence d'un monde manichéen, vous pourriez commencer par la lecture suivante :
https://rfp.revues.org/2515
Pour le reste je ne fait que répondre à vos questions.
https://rfp.revues.org/2515
Pour le reste je ne fait que répondre à vos questions.
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- MazuzuNiveau 7
Comme noté dans le compte-rendu dont vous donné le lien, il s'agit "d'un livre de commande" comportant "un nombre élevé d'erreurs". En d'autres termes moins policés, cet ouvrage comporte un parti pris idéologique...
Il n'y a aucun monde manichéen, juste des réalités et celle de votre syndicat est loin d'être glorieuse. De plus, au risque de me répéter, je ne vois pas au nom de quoi vous bénéficieriez d'un traitement de faveur par rapport aux autres syndicats !
Il n'y a aucun monde manichéen, juste des réalités et celle de votre syndicat est loin d'être glorieuse. De plus, au risque de me répéter, je ne vois pas au nom de quoi vous bénéficieriez d'un traitement de faveur par rapport aux autres syndicats !
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