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- amourExpert
oloc a écrit:skindiver a écrit:Comment ça pourrait se savoir??
Il ne faut jamais mésestimer la méchanceté des gens, et conseiller la mauvaise foi vis-à-vis de l'Etat-employeur ne me paraît pas une bonne idée, quelle que soit la situation.
+ 1000
Skindiver est un grand naïf, ou grand filou (ou les deux)
- pignoloNiveau 6
jdbinks a écrit:
Je viens d'obtenir le concours de l'agrégation et serais l'année prochaine stagiaire avec 9h de cours par semaine. Ayant un Master dans l'enseignement je pense pouvoir être dispensé de la formation à l'Espe.
Aspect juridique : la circulaire encadrant les cumuls d'activité paraît, dans mon académie en tout cas, vers la mi-septembre. J'obtiens mon autorisation de cumul vers fin octobre (au mieux). Je te laisse voir la cohérence et les risques de l'affaire.
Aspect professionnel : la formation à l'ESPE est obligatoire. Point barre, tu es PAYÉ pour un temps complet donc aussi pour ça. Si tu joues avec ça, c'est ton problème, mais il ne faudra pas venir pleurer si tu te fais démolir dans les visites/rapports. Dans la formation, il y a aussi des temps d'échanges ; si tu estimes que tu n'as même pas besoin de ça alors que tu ne connais pas tes conditions d'exercice futures, eh bien bonne chance pour la suite de ta carrière.
J'ai été un peu cash...
- JennyMédiateur
Prune-stmg a écrit:J'ai l'impression que le cumul avec d'autres fonctions enseignantes (Greta, ou université comme c'était pour le cas d'un collègue stagiaire) ne pose pas problème.
+1.
Dans ma promo, un stagiaire avait aussi obtenu un cumul d'activité en université.
Dans certaines ESPE, il faut même refaire un mémoire quand on a déjà un M2.
- jdbinksNiveau 1
Alors, entendons nous bien. la question n'est pas de savoir si je vais pouvoir être dispensé de la formation à l'espe mais de savoir si je peux cumuler année de stage et emploi dans le privé.
Si je dois faire la formation je la ferais sans soucis au contraire !
Je m'adapterai en fonction de ma charge de travail, mon travail en tant que stagiaire sera bien sur ma priorité. Mais je souhaite tout de même revenir un minima dans le privé afin de garder mes compétences et mes contacts (même si je dois faire du bénévolat). Cela fait 1 an que j'ai quitté ce milieu (après une dizaine d'année) et 2 ans risque de faire trop pour pouvoir y revenir un jour...
Je pense que garder un pied dans le monde du privé ne pourrait être que + enrichissant en terme de pédagogie, et bien sur cela arrondirait les fins de mois.
Merci pour l'ensemble de vos retours. Je me rapprocherais donc de mon chef d'établissement et de mon inspecteur. J'ai cru comprendre que cela est négociable dans la mesure du raisonnable.
Si je dois faire la formation je la ferais sans soucis au contraire !
Je m'adapterai en fonction de ma charge de travail, mon travail en tant que stagiaire sera bien sur ma priorité. Mais je souhaite tout de même revenir un minima dans le privé afin de garder mes compétences et mes contacts (même si je dois faire du bénévolat). Cela fait 1 an que j'ai quitté ce milieu (après une dizaine d'année) et 2 ans risque de faire trop pour pouvoir y revenir un jour...
Je pense que garder un pied dans le monde du privé ne pourrait être que + enrichissant en terme de pédagogie, et bien sur cela arrondirait les fins de mois.
Merci pour l'ensemble de vos retours. Je me rapprocherais donc de mon chef d'établissement et de mon inspecteur. J'ai cru comprendre que cela est négociable dans la mesure du raisonnable.
- VicomteDeValmontGrand sage
Je doute quand même de la légalité d'exiger plus qu'un présentiel si l'on dispose déjà d'un master.
Le concours exige un master, pas de refaire une année de master 2. L'ESPE donne, certes, son avis pour la titularisation mais je pense qu'il serait très facile de contester un avis négatif qui s'appuierait seulement sur un non-rendu de devoir ou autre mémoire si les visites en classe sont positives.
Il est d'ailleurs étonnant que le ministère n'ait pas harmonisé les formations dispensées (aux récipiendaires d'un master) sur l'ensemble des académies et qu'elles soient à la discrétion de chaque ESPE, puisque le concours est national.
Le concours exige un master, pas de refaire une année de master 2. L'ESPE donne, certes, son avis pour la titularisation mais je pense qu'il serait très facile de contester un avis négatif qui s'appuierait seulement sur un non-rendu de devoir ou autre mémoire si les visites en classe sont positives.
Il est d'ailleurs étonnant que le ministère n'ait pas harmonisé les formations dispensées (aux récipiendaires d'un master) sur l'ensemble des académies et qu'elles soient à la discrétion de chaque ESPE, puisque le concours est national.
- ShajarVénérable
J'avais cumulé pendant l'année de stage sans souci, mais pour beaucoup moins d'heures.
- jean bonnotNiveau 3
VicomteDeValmont a écrit:Je doute quand même de la légalité d'exiger plus qu'un présentiel si l'on dispose déjà d'un master.
Le concours exige un master, pas de refaire une année de master 2. L'ESPE donne, certes, son avis pour la titularisation mais je pense qu'il serait très facile de contester un avis négatif qui s'appuierait seulement sur un non-rendu de devoir ou autre mémoire si les visites en classe sont positives.
Il est d'ailleurs étonnant que le ministère n'ait pas harmonisé les formations dispensées (aux récipiendaires d'un master) sur l'ensemble des académies et qu'elles soient à la discrétion de chaque ESPE, puisque le concours est national.
Des stagiaires qui ont eu des visites positives et se sont retrouvés en position délicate pour la titularisation, j'en ai côtoyé plus d'un au cours de ma carrière. D'ailleurs des stagiaires avec la tête farcie des mêmes a priori et certitudes que celles que vous présentez s'en sont bien mordu les doigts. Ce n'est pas parce que les ESPE se voient opposer assez rapidement des critiques semblables à celles qu'ont connu les défunts IUFM que ce sont des pétaudières open bar sans règles où les stagiaires peuvent tout se permettre.
Quand j'étais stagiaire iufm, les agrégés pouvaient dans la pratique snober la formation. J'en ai vu venir en formation juste signer la feuille de présence et ostensiblement partir, ils n'avaient pas le mémoire et c'est l'ipr que les visitait au final et non les formateurs. Mais toutes les disciplines n'étaient déjà pas aussi laxistes. Pour qu'un agrégé soit renouvelé ou pire viré, il fallait une catastrophe ambulante. Cela a bien changé depuis, mais on croise parfois des jeunes stagiaires qui ont encore cette vision complètement décalée. Quand on a ainsi des infos par bouche à oreille, il faut toujours se demander si elles sont fiables et actuelles. Quand c'est la titularisation qui est en jeu, mieux vaut se baser sur de l'officiel que sur ce que l'on en pense.
- DaphnéDemi-dieu
jdbinks a écrit:Alors, entendons nous bien. la question n'est pas de savoir si je vais pouvoir être dispensé de la formation à l'espe mais de savoir si je peux cumuler année de stage et emploi dans le privé.
Si je dois faire la formation je la ferais sans soucis au contraire !
Je m'adapterai en fonction de ma charge de travail, mon travail en tant que stagiaire sera bien sur ma priorité. Mais je souhaite tout de même revenir un minima dans le privé afin de garder mes compétences et mes contacts (même si je dois faire du bénévolat). Cela fait 1 an que j'ai quitté ce milieu (après une dizaine d'année) et 2 ans risque de faire trop pour pouvoir y revenir un jour...
Je pense que garder un pied dans le monde du privé ne pourrait être que + enrichissant en terme de pédagogie, et bien sur cela arrondirait les fins de mois.
Merci pour l'ensemble de vos retours. Je me rapprocherais donc de mon chef d'établissement et de mon inspecteur. J'ai cru comprendre que cela est négociable dans la mesure du raisonnable.
Pour tout cumul d'emploi/d'activité, le recteur doit donner son autorisation.
- stenchMonarque
skindiver a écrit:Et si tu oublies de demander une autorisation et que personne n'est au courant?
Ca ne devrait pas poser de soucis. Si on te fais la remarque ensuite tu expliqueras que tu n'étais pas au courant.
Surtout pas. On demande une autorisation de cumul quand il s'agit d'une seconde activité salariée. Du coup, tu dois déclarer les revenus, ce qui peut remonter au rectorat. Par ailleurs, si tu travailles à côté sans avoir l'accord de cumul (qui n'est parfois qu'une formalité) et que d'une façon ou d'une autre le rectorat l'apprend, outre les sanctions du rectorat tu devras rembourser tout ce que tu as gagné. Et l'argument "je ne savais pas " n'a aucune valeur devant la loi.
J'ai une autorisation de cumul, pour certains métiers ça ne pose aucun problème, ça serait idiot de ne pas le demander. Après, elles sont délivrées sous réserve de ne pas déranger le fonctionnement du service, demander en même temps un aménagement peut poser problème.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- stenchMonarque
Daphné a écrit:jdbinks a écrit:Alors, entendons nous bien. la question n'est pas de savoir si je vais pouvoir être dispensé de la formation à l'espe mais de savoir si je peux cumuler année de stage et emploi dans le privé.
Si je dois faire la formation je la ferais sans soucis au contraire !
Je m'adapterai en fonction de ma charge de travail, mon travail en tant que stagiaire sera bien sur ma priorité. Mais je souhaite tout de même revenir un minima dans le privé afin de garder mes compétences et mes contacts (même si je dois faire du bénévolat). Cela fait 1 an que j'ai quitté ce milieu (après une dizaine d'année) et 2 ans risque de faire trop pour pouvoir y revenir un jour...
Je pense que garder un pied dans le monde du privé ne pourrait être que + enrichissant en terme de pédagogie, et bien sur cela arrondirait les fins de mois.
Merci pour l'ensemble de vos retours. Je me rapprocherais donc de mon chef d'établissement et de mon inspecteur. J'ai cru comprendre que cela est négociable dans la mesure du raisonnable.
Pour tout cumul d'emploi/d'activité, le recteur doit donner son autorisation.
Voilà. Tu déposes la demande à ton secrétariat qui fait remonter au recteur. C'est ce dernier qui donne l'autorisation. Il faut compter un mois en gros. Il y a des formulaires types pour cette demande.
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- AliceinwonderlandNeoprof expérimenté
jean bonnot a écrit:VicomteDeValmont a écrit:Je doute quand même de la légalité d'exiger plus qu'un présentiel si l'on dispose déjà d'un master.
Le concours exige un master, pas de refaire une année de master 2. L'ESPE donne, certes, son avis pour la titularisation mais je pense qu'il serait très facile de contester un avis négatif qui s'appuierait seulement sur un non-rendu de devoir ou autre mémoire si les visites en classe sont positives.
Il est d'ailleurs étonnant que le ministère n'ait pas harmonisé les formations dispensées (aux récipiendaires d'un master) sur l'ensemble des académies et qu'elles soient à la discrétion de chaque ESPE, puisque le concours est national.
Des stagiaires qui ont eu des visites positives et se sont retrouvés en position délicate pour la titularisation, j'en ai côtoyé plus d'un au cours de ma carrière. D'ailleurs des stagiaires avec la tête farcie des mêmes a priori et certitudes que celles que vous présentez s'en sont bien mordu les doigts. Ce n'est pas parce que les ESPE se voient opposer assez rapidement des critiques semblables à celles qu'ont connu les défunts IUFM que ce sont des pétaudières open bar sans règles où les stagiaires peuvent tout se permettre.
Quand j'étais stagiaire iufm, les agrégés pouvaient dans la pratique snober la formation. J'en ai vu venir en formation juste signer la feuille de présence et ostensiblement partir, ils n'avaient pas le mémoire et c'est l'ipr que les visitait au final et non les formateurs. Mais toutes les disciplines n'étaient déjà pas aussi laxistes. Pour qu'un agrégé soit renouvelé ou pire viré, il fallait une catastrophe ambulante. Cela a bien changé depuis, mais on croise parfois des jeunes stagiaires qui ont encore cette vision complètement décalée. Quand on a ainsi des infos par bouche à oreille, il faut toujours se demander si elles sont fiables et actuelles. Quand c'est la titularisation qui est en jeu, mieux vaut se baser sur de l'officiel que sur ce que l'on en pense.
Autrement dit, les ESPE sont pires que ne l'étaient les IUFM. Quand je pense à ma mère jeune agrégée de LC qui n'a eu à suivre que les cours de sa tutrice l'année de stage (tutrice qui faisait partie de son jury d'agreg) et n'a jamais subi l'IUFM... Pourtant l'IUFM c'était Bisounoursland par rapport aux ESPE semble-t-il...
Rien qu'à l'idée de me retaper une année de stage dans ces conditions ça me file des spasmes, je sens que je ne remettrai jamais les pieds dans l'EN et si on flique ainsi les jeunes stagiaires la crise du recrutement ne risque pas de s'arranger : démissions et licenciements vont se multiplier encore.
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Comme chaque année à la même époque je fais preuve d'un optimisme aveugle en me disant que l'année à venir ne peut pas être pire que celle qui vient de s'écouler. En oubliant que l'année passée a été pire que la précédente... (je cite de mémoire Emmanuel Brouillard)
- DaphnéDemi-dieu
stench a écrit:Daphné a écrit:jdbinks a écrit:Alors, entendons nous bien. la question n'est pas de savoir si je vais pouvoir être dispensé de la formation à l'espe mais de savoir si je peux cumuler année de stage et emploi dans le privé.
Si je dois faire la formation je la ferais sans soucis au contraire !
Je m'adapterai en fonction de ma charge de travail, mon travail en tant que stagiaire sera bien sur ma priorité. Mais je souhaite tout de même revenir un minima dans le privé afin de garder mes compétences et mes contacts (même si je dois faire du bénévolat). Cela fait 1 an que j'ai quitté ce milieu (après une dizaine d'année) et 2 ans risque de faire trop pour pouvoir y revenir un jour...
Je pense que garder un pied dans le monde du privé ne pourrait être que + enrichissant en terme de pédagogie, et bien sur cela arrondirait les fins de mois.
Merci pour l'ensemble de vos retours. Je me rapprocherais donc de mon chef d'établissement et de mon inspecteur. J'ai cru comprendre que cela est négociable dans la mesure du raisonnable.
Pour tout cumul d'emploi/d'activité, le recteur doit donner son autorisation.
Voilà. Tu déposes la demande à ton secrétariat qui fait remonter au recteur. C'est ce dernier qui donne l'autorisation. Il faut compter un mois en gros. Il y a des formulaires types pour cette demande.
Et de toute façon, il est toujours précisé, en cas d'accord, que cette activité annexe ne doit en aucun cas gêner le fonctionnement du service, pour lequel on est quand même prioritairement rémunéré.
- Prune-stmgNiveau 5
VicomteDeValmont a écrit:Je doute quand même de la légalité d'exiger plus qu'un présentiel si l'on dispose déjà d'un master.
Le concours exige un master, pas de refaire une année de master 2. L'ESPE donne, certes, son avis pour la titularisation mais je pense qu'il serait très facile de contester un avis négatif qui s'appuierait seulement sur un non-rendu de devoir ou autre mémoire si les visites en classe sont positives.
Il est d'ailleurs étonnant que le ministère n'ait pas harmonisé les formations dispensées (aux récipiendaires d'un master) sur l'ensemble des académies et qu'elles soient à la discrétion de chaque ESPE, puisque le concours est national.
Totalement d'accord avec la 1ère partie du message. L'ESPE n'a pas le droit d'exiger d'un titulaire de m2 de refaire un m2.
De ce fait dans mon Espe, les titulaires de m2 suivaient un "parcours adapté de formation" qui n'avait d' "adapté"que le nom, vu qu'il était identique à la plaquette du m2 meef : obligation de faire un mémoire, des évaluations,...
La seule différence était la suivante :
- 1 stagiaire titulaire d'un m1 ne peut pas être titularisé s'il n'a pas obtenu 10/20 au m2 meef
- 1 stagiaire déjà titulaire d'un m2 peut être titularisé même s'il a moins de 10/20 au m2 meef mais la titularisation peut être difficile vu que l'Espe rend dans ce cas un avis défavorable.
- jdbinksNiveau 1
Mais attendez. On ne doit pas obligatoirement avoir validé un M2 pour prétendre à l'agreg ? Dans ma formation les responsables se depechaient de valider le M2 avant les premiers oraux il me semble. Donc pour moi tous les stagiaires ont un M2!
- Monstre sous le litNiveau 5
Tous les stagiaires ne sont pas agrégés…jdbinks a écrit:Mais attendez. On ne doit pas obligatoirement avoir validé un M2 pour prétendre à l'agreg ? Dans ma formation les responsables se depechaient de valider le M2 avant les premiers oraux il me semble. Donc pour moi tous les stagiaires ont un M2!
- VinapaniNiveau 3
Pour le cumul des emplois, aucune idée. Par contre, ce qui est certain, c'est que tu auras une formation à l'ESPE. Mais l'ESPE ne concerne pas que les agrégés, il y a aussi tous les CAPES, CAFEP, et autres concours dont j'ignore les noms...
- Monstre sous le litNiveau 5
Vinapani, de quelle ESPE / académie vient le document que tu as posté ? Les maquettes ne sont pas nationales, chaque ESPE fait à sa sauce, tout particulièrement pour le "parcours adapté" pour les stagiaires déjà titulaires d'un M2.
- VinapaniNiveau 3
Ah zut. C'est une maquette de l'Académie de Lyon. Peut-être que cela permettra tout de même d'avoir une idée du volume horaire et des modules en fonction du diplôme obtenu...
- Monstre sous le litNiveau 5
Honnêtement ? Je ne suis même pas sûreVinapani a écrit:Ah zut. C'est une maquette de l'Académie de Lyon. Peut-être que cela permettra tout de même d'avoir une idée du volume horaire et des modules en fonction du diplôme obtenu...
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