les stagiaires à la rentrée 2015

Je suppose que les autres iront en pro. Lesmeilleurs (qui sont nombreux) s'adapteront. Les quelques rares au milieu se ramasseront.

Sinon, faire des petites interros régulières que même les élèves en difficulté peuvent réussir: interro /5 ou /10, en début de cours sur la leçon précédente ou en fin de cours sur la leçon qui vient d'être faite. Les brillants auront encore une super note aussi. Pour les brillants des questions, pour les autres des QCM ... ? Je sais pas je cherche mais franchement je trouve ça lamentable, bon courage !

Ah mais même en pro, s'ils ont des notes entre 0 et 5 en ce moment, ça sera pas mieux en LP. Bah c'est simple: ils quitteront le circuit.

SilverLining a écrit:Sinon, faire des petites interros régulières que même les élèves en difficulté peuvent réussir: interro /5 ou /10, en début de cours sur la leçon précédente ou en fin de cours sur la leçon qui vient d'être faite. Les brillants auront encore une super note aussi. Pour les brillants des questions, pour les autres des QCM ... ? Je sais pas je cherche mais franchement je trouve ça lamentable, bon courage !

Ah mais même en pro, s'ils ont des notes entre 0 et 5 en ce moment, ça sera pas mieux en LP. Bah c'est simple: ils quitteront le circuit.

Du coup, j'aurai probablement des vingt de moyenne. Vous en aviez vous ? C'est bizarre vingt de moyenne en CÉFRAN

J'ai pensé aux interro. Les médiocres n'en branlent pas une, mais j'arrive à obtenir le silence et leur attention dans mes cours. Je peux raisonnablement espérer qu'ils arriveront à recracher leur cours la séance suivante (non appris naturellement).

Salammb0 a écrit:

Rendash a écrit:
Des nouvelles des élèves qui passent au lycée ensuite?

L'établissement est bon. Je pense que les élèves qui vont au lycée s'en sortent bien. J'ai vraiment d'excellent éléments dans ma classe. Je ne peux pas le nier.

Les bons s'en sortent, oui, mais leurs notes à eux ne sont pas mensongères. Je parlais des autres, ceux dont on gonfle les notes pour arriver à cette moyenne artificielle, et qu'on envoie au casse-pipe ensuite.

Mes plus grands scrupules sont surtout de noter différemment les bons et les mauvais, puisque les premier atteignent déjà le plafond. En même temps, je dois évaluer communément des élèves dont l'expression est parfaite et des élèves qui peinent à comprendre qu'une phrase commence par une majuscule et finit par un point.

Salammb0 a écrit:Mes plus grands scrupules sont surtout de noter différemment les bons et les mauvais, puisque les premier atteignent déjà le plafond. En même temps, je dois évaluer communément des élèves dont l'expression est parfaite et des élèves qui peinent à comprendre qu'une phrase commence par une majuscule et finit par un point.

Pourquoi des scrupules? Tu peux faire deux sujets, par exemple. Ou donner des coups de pouce aux plus faibles. Ou ajouter des questions et de la difficulté aux plus forts, de façon à ce qu'ils progressent eux aussi. Ce genre de choses. Le sujet unique pour tous, ce n'est guère pertinent quand tu as une telle hétérogénéité.

Oui, mais ça implique bel et bien de noter différemment deux élèves. Merci Rendash. Je vais essayer d'appliquer concrètement tout ça.

Je pense que mes bons élèves progressent, parce que je pars du principe que si en 4e certains n'ont toujours pas compris ce qu'était un verbe, ils ne le comprendront plus. Ce n'est pas politiquement correct, mais entre les condamner tous et en sauver certains, je choisis la seconde solution. Du coup, je n'adapte pas vraiment mes cours aux mauvais, mais plutôt aux bons.
Je prends parfois du temps pour leur expliquer (par exemple pendant une évaluation terminée plus tôt, la dernière fois, alors que les bons planchent toute l'heure), mais c'est tout. Je ne vais pas laisser pourrir tout le panier de pommes.

Salammb0 a écrit:Oui, mais ça implique bel et bien de noter différemment deux élèves. Merci Rendash. Je vais essayer d'appliquer concrètement tout ça.

Je pense que mes bons élèves progressent, parce que je pars du principe que si en 4e certains n'ont toujours pas compris ce qu'était un verbe, ils ne le comprendront plus. Ce n'est pas politiquement correct, mais entre les condamner tous et en sauver certains, je choisis la seconde solution. Du coup, je n'adapte pas vraiment mes cours aux mauvais, mais plutôt aux bons.
Je prends parfois du temps pour leur expliquer (par exemple pendant une évaluation terminée plus tôt, la dernière fois, alors que les bons planchent toute l'heure), mais c'est tout. Je ne vais pas laisser pourrir tout le panier de pommes.

Oui oui, il faut noter différemment, puisqu'on n'attend pas la même chose des deux élèves. Je ne sais pas comment tu peux faire ça dans ta discipline, mais tu peux exiger beaucoup plus des très bons, de façon à les faire progresser encore. Quant aux mauvais, tu leur fais faire des choses basiques, jusqu'à ce qu'ils maîtrisent ça, avant de corser au fur et à mesure si tu sens que le basique commence à être maîtrisé. C'est la fameuse différenciation pédagogique, en fait, ni plus ni moins. C'est galère, mais c'est envisageable, n'aie pas de scrupules à le faire.

Oui, merci Rendash.

Je viens de découvrir le "suivi pluriannuel" sur Pronotes. Je comprends mieux... Comment un élève avec une syntaxe déplorable, couplée à une orthographe hasardeuse, peut-il avoir seize de moyenne en français ? C'est complètement fou, ubuesque presque.

Rendash a écrit:

mobo a écrit:

Je ne sais pas s'il est réellement possible de passer une année de stage sereine. ça existe, des stagiaires sereins?

Rétrospectivement, je dirais que oui. En établissement, ça s'est magnifiquement bien passé pour moi, notamment parce que ma tutrice a été fantastique, et ne m'a jamais mis cette pression dont tu parles : elle 'ma toujours traité en collègue, et m'a d'abord appris à me faire confiance, ce qui m'a soulagé de cette pression auto-infligée dont parle dami1kd.
Pour l'ESPE dans laquelle j'étais, un stagiaire serein n'était pas un bon stagiaire, ils voulaient voir des tremblements, des pleurs et des grincements de dents. Au point que M.Imbécile en chef m'a reproché, en début d'année, de ne pas avoir de souci de gestion de classe à raconter : pour lui, c'était bonnement impossible, je ne pouvais que me voiler la face. Un bon stagiaire est un stagiaire dépressif, pour certains.

Bon, il a amèrement regretté de m'avoir sorti de mon silence, par la suite.

Je pense tout comme Rendash. Certaines personnes ne peuvent concevoir que cela se passe bien dans nos classes, même si on est jeune professeur (à entendre peu de carrière devant soi). De ma propre expérience, un stagiaire serein n'est qu'un stagiaire qui se voile la face (encore une fois pour certaines personnes). Par contre, il était tout à fait normal que ma collègue stagaire avait une boule au ventre pour aller en cours, n'avait pas envie de faire cours à certains moments, etc. Personnellement, j'en suis à me demander s'il ne vaudrait pas mieux que je me plaigne un peu de mes classes.

Il ne faut pas mais j'appréhende la visite de mon tuteur de demain.
Je risque de ne pas me sentir à l'aise en sa présence et de paniquer. Et cela va se voir.

Je vais essayer de me

Marounette a écrit:Il ne faut pas mais j'appréhende la visite de mon tuteur de demain.
Je risque de ne pas me sentir à l'aise en sa présence et de paniquer. Et cela va se voir.

Je vais essayer de me  

Idem ! Pourtant il est déjà venu dans ma classe et je sais qu'il n'y a pas de quoi avoir peur, mais je n'arrive pas à m'en empêcher. Ses critiques de la première visite m'ont beaucoup aidée, j'espère juste que ça se voit :lol:

Bon courage à vous deux!

Marounette a écrit:Il ne faut pas mais j'appréhende la visite de mon tuteur de demain.
Je risque de ne pas me sentir à l'aise en sa présence et de paniquer. Et cela va se voir.

Je vais essayer de me  

Bon courage
Comment ça se passe cette année ?

Salammb0 a écrit:Rendash/Jenny : Le PP. Le CDE et la PA tiendraient à leur bon taux de réussite au brevet.

Et ça me semblait énorme aussi jusqu'à ce que j'apprenne que les très très bonnes classes avaient 14 de moyenne.

Comme quoi d'un établissement à un autre... Dans mon établissement de stage, les profs qui avaient des moyennes trop hautes se faisaient engueuler, car il ne fallait pas donner de faux espoirs aux familles concernant l'orientation et le niveau réel de leurs enfants... J'ai eu une paix royale.
Bon, il faut faire avec, comme tu es stagiaire... interros orales, de cours ?

En plus, c'est la première visite de mon tuteur.
Et avec tout ce qui s'est passé les années précédentes, je suis de plus en plus paniquée à l'idée d'être observée en classe, peu importe la personne.

Jenny a écrit: Comment ça se passe cette année ?

Je pense qu'on peut dire que cela se passe relativement bien. J'ai vraiment du mal à être objective.

Marounette a écrit:En plus, c'est la première visite de mon tuteur.
Et avec tout ce qui s'est passé les années précédentes, je suis de plus en plus paniquée à l'idée d'être observée en classe, peu importe la personne.

Jenny a écrit: Comment ça se passe cette année ?

Je pense qu'on peut dire que cela se passe relativement bien. J'ai vraiment du mal à être objective.

Aie confiance en toi. Si tu sens une amélioration, c'est positif. Un tuteur peut comprendre ton stress
(Même un IPR d'ailleurs. J'étais accrochée à mes notes pendant l'inspection de titularisation et mes élèves étaient plus stressés que moi C'était un peu bizarre...)

Jenny a écrit:
Aie confiance en toi. Si tu sens une amélioration, c'est positif. Un tuteur peut comprendre ton stress
(Même un IPR d'ailleurs. J'étais accrochée à mes notes pendant l'inspection de titularisation et mes élèves étaient plus stressés que moi C'était un peu bizarre...)

C'est dur d'avoir confiance en soi quand le système t'a broyé (enfin, c'est mon ressenti).
Je sais que je ne n'étais pas prête (et je ne le suis toujours pas) à réussir le concours pour passer une année de stage sereine.
Je fais un gros travail sur moi pour ne pas me sentir "stagiaire" dans ma tête. Cela peu paraître fou, mais je pense que l'année dernière s'est plutôt bien passée car justement je n'avais pas tout ce poids sur dos et je ne m'en rajoutais pas. Et paradoxalement, je me suis enfin sentie "prof" et légitime dans ma salle de cours que j'ai perdu le bénifice de mon concours.

Merci pour vos réponses ! Oui, en soit, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose d'assister aux cours de collègues, ni que mon tuteur vienne régulièrement. Seulement, il ne me donne aucun conseil. Quand j'ai assisté à son cours, la première fois, il m'a dit: "tu vois, un cours se passe comme ça". Quelque peu gênant. Et puis, je ne m'imagine pas trop travailler comme lui (élèves en "autonomie" 40 minutes, puis distribution de corrigé qu'ils lisent à voix haute).
Il me donne des rendez-vous de trente minutes le vendredi matin et me salue à peine le reste du temps. Donc pour le moment, pas de retour sur la séance à laquelle il a assisté. Enfin, je vais faire le dos rond, et on verra bien ! Heureusement, quelques collègues me soutiennent davantage.

Bon courage à tous, et prenons exemple sur les curés: partageons nos expériences, et serrons nous les ... coudes:

mobo a écrit:Et d'ailleurs, dami1kd, attends-tu des stagiaires que tu visites que leurs cours soient parfaits?

Le cours parfait existe-t-il ???

Marounette a écrit:C'est dur d'avoir confiance en soi quand le système t'a broyé (enfin, c'est mon ressenti).
Je sais que je ne n'étais pas prête (et je ne le suis toujours pas) à réussir le concours pour passer une année de stage sereine.
Je fais un gros travail sur moi pour ne pas me sentir "stagiaire" dans ma tête. Cela peu paraître fou, mais je pense que l'année dernière s'est plutôt bien passée car justement je n'avais pas tout ce poids sur dos et je ne m'en rajoutais pas. Et paradoxalement, je me suis enfin sentie "prof" et légitime dans ma salle de cours que j'ai perdu le bénifice de mon concours.

Bon courage pour te sentir mieux
Je comprends tout à fait, j'espère que cette nouvelle année sera une réussite et qu'elle te permettra de te sentir légitime.

ninie88 a écrit:Oui, en soit, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose d'assister aux cours de collègues, ni que mon tuteur vienne régulièrement. Seulement, il ne me donne aucun conseil. Quand j'ai assisté à son cours, la première fois, il m'a dit: "tu vois, un cours se passe comme ça". Quelque peu gênant. Et puis, je ne m'imagine pas trop travailler comme lui (élèves en "autonomie" 40 minutes, puis distribution de corrigé qu'ils lisent à voix haute).
Il me donne des rendez-vous de trente minutes le vendredi matin et me salue à peine le reste du temps. Donc pour le moment, pas de retour sur la séance à laquelle il a assisté. Enfin, je vais faire le dos rond, et on verra bien ! Heureusement, quelques collègues me soutiennent davantage.

Bon courage à tous, et prenons exemple sur les curés: partageons nos expériences, et serrons nous les ... coudes:

pour la phrase en gras.
La phrase soulignée me rappelle mon premier tuteur. Tu devrais te protéger au cas où. Envoie tes cours et tes questions de préférence par mail (avec toi en copie). Si tu n'as pas de retour oral sur tes cours, demande le aussi par mail. Garde une trace (écrite) quand tu vas le voir.

Jenny a écrit:
Bon courage pour te sentir mieux
Je comprends tout à fait, j'espère que cette nouvelle année sera une réussite et qu'elle te permettra de te sentir légitime.

Merci Jenny.


J'ai eu la visite de mon tuteur dans ma classe. Il a assisté à un cours niveau 6ème d'une durée de 2h, suivi d'un entretien.
Je ne suis pas morte. :lol:
Un certain nombre de points à améliorer, mais pas que des points négatifs

Marounette :

Bonjour à tous,

Je tenais à vous faire part de mon ressenti suite à la journée d'hier. Ma première classe s'est montrée (un peu) moins bruyante que d'habitude et s'est davantage intéressée au cours, ce qui m'a fait très plaisir. De même, je n'ai pas hésité à prendre des carnets dès que l'occasion se présentait. De toute façon, tous les élèves de cette classe (même les perturbateurs) sont adorables, je les apprécie beaucoup et je sais qu'ils m'apprécient également. D'où, probablement, ma répugnance à sanctionner (même si, depuis hier, je m'améliore ou du moins je tâche de m'améliorer).
De toute façon, hier matin, j'avais la pêche en arrivant au collège, j'étais heureuse d'être là et de faire cours (en fait, il m'est arrivé quelque chose de positif à la gare, pendant que j'attendais le train, ce qui m'a mis du baume au coeur pour le reste de la journée).
Par contre, avec ma classe de 4e, c'est la cata, je ne sais plus comment tenir les perturbateurs. J'essaie de punir également, mais à chaque fois ils s'offusquent en me disant "Mais c'est pas moi, madame!" et vont ensuite se plaindre, auprès du pp, en disant que je suis injuste... Une collègue a d'ailleurs été obligée d'intervenir quand elle a vu que c'était le bordel...
Ce matin, j'ai un module de gestion de classe à l'ESPE, j'espère trouver des solutions à certains problèmes.

ninie88 a écrit:Merci pour vos réponses ! Oui, en soit, je ne pense pas que ce soit une mauvaise chose d'assister aux cours de collègues, ni que mon tuteur vienne régulièrement. Seulement, il ne me donne aucun conseil. Quand j'ai assisté à son cours, la première fois, il m'a dit: "tu vois, un cours se passe comme ça". Quelque peu gênant. Et puis, je ne m'imagine pas trop travailler comme lui (élèves en "autonomie" 40 minutes, puis distribution de corrigé qu'ils lisent à voix haute).
Il me donne des rendez-vous de trente minutes le vendredi matin et me salue à peine le reste du temps. Donc pour le moment, pas de retour sur la séance à laquelle il a assisté. Enfin, je vais faire le dos rond, et on verra bien ! Heureusement, quelques collègues me soutiennent davantage.

Bon courage à tous, et prenons exemple sur les curés: partageons nos expériences, et serrons nous les ... coudes:

Ça me rappelle ma première année : pour ma tutrice, je n'avais qu'à faire comme elle en cours, et donc, aller la voir. À la fin du cours elle me disait "voilà comment il faut faire". Je n'étais guère plus avancée.

Mlle_Andromede a écrit:Bonjour à tous,

Je tenais à vous faire part de mon ressenti suite à la journée d'hier. Ma première classe s'est montrée (un peu) moins bruyante que d'habitude et s'est davantage intéressée au cours, ce qui m'a fait très plaisir. De même, je n'ai pas hésité à prendre des carnets dès que l'occasion se présentait. De toute façon, tous les élèves de cette classe (même les perturbateurs) sont adorables, je les apprécie beaucoup et je sais qu'ils m'apprécient également. D'où, probablement, ma répugnance à sanctionner (même si, depuis hier, je m'améliore ou du moins je tâche de m'améliorer).
De toute façon, hier matin, j'avais la pêche en arrivant au collège, j'étais heureuse d'être là et de faire cours (en fait, il m'est arrivé quelque chose de positif à la gare, pendant que j'attendais le train, ce qui m'a mis du baume au coeur pour le reste de la journée).
Par contre, avec ma classe de 4e, c'est la cata, je ne sais plus comment tenir les perturbateurs. J'essaie de punir également, mais à chaque fois ils s'offusquent en me disant "Mais c'est pas moi, madame!" et vont ensuite se plaindre, auprès du pp, en disant que je suis injuste... Une collègue a d'ailleurs été obligée d'intervenir quand elle a vu que c'était le bordel...
Ce matin, j'ai un module de gestion de classe à l'ESPE, j'espère trouver des solutions à certains problèmes.

J'espère que tu as eu des réponses à tes questions. Mais tu ne devrais pas laisser les élèves remettre en question ton autorité : tu es le professeur, c'est toi qui décide. Discutes-en avec ton PP, envisagé peut-être un action à deux sur l'une de tes heures pour remettre les pendules à l'heure, discute avec l'équipe pédagogique de la classe, mais ne te laisse pas bouffer par cette classe : tu es le professeur, c'est toi qui applique les règles. Ils ne les suivent pas ? C'est eux qui doivent se remettre en question.

J'ai beau donné des conseils, journée pénible pour moi aussi avec ma 4ème relou... Debut d'heure difficile, avec un élève de plus en plus agaçant, qui a fini par prendre la porte après avoir éclaté de rire en classe. Ensuite, interruption du cours pour la distribution des photos de classe (comment voulez-vous faire cours après ça ?). Et enfin : je n'arrive toujours pas à donner les devoirs dans le silence. Gros problème ici. J'ai rendez-vous avec ma principale bientôt, j'espère qu'elle aura des conseils à me donner.