- KakHabitué du forum
Monstre sous le lit a écrit:Alors, je me base sur les 280 premières pages (sur 700). Je suis malheureusement une bien piètre critique, j'espère que ces quelques mots ne vous donneront pas envie de ne surtout pas lire le livreSei a écrit:Je veux bien une petite présentation, Monstre.
L'action se déroule au Vietnam, après la guerre. Miên, mariée à un riche propriétaire terrain et parfaitement heureuse avec lui, voit soudain son premier mari, déclaré mort quelques années plus tôt pendant la guerre, revenir et la réclamer. Sous la pression de la communauté et parce qu'elle est une femme d'honneur, elle retourne vivre avec lui, alors qu'elle ne l'aime plus (voire le déteste franchement).
La narration s'attache successivement à un des trois personnages en particulier :
- Miên, profondément malheureuse mais suivant son devoir, mais donc la parole s'efface pendant bien 150 pages dans cette première petite moitié du roman, comme si elle-même n'existait plus qu'à travers les autres ;
- Bôn, son premier mari, qui a véritablement la rage, et même la haine, de vivre et de reconquérir Miên, mais qui en même temps est désespéré d'être totalement dépendant d'elle financièrement ;
- Hoan, son second mari, brisé par la situation.
L'intrigue maritale est aussi le point d'entrée à la description d'une société et d'individus qui ont été broyés par la guerre. L'écriture s'attache beaucoup aux sentiments des personnages, qui tous souffrent de cette situation. C'est un roman vraiment poignant, je prends énormément de plaisir à le lire.
C'est l'une de mes plus belles découvertes de ces dernières années.
Plus loin dans le livre, un passage sur la guerre elle-même est particulièrement poignant. Le personnage de Miên est effacée presque tout le long du livre.
- zinzinuleNiveau 8
Monstre, je partage ton enthousiasme pour ce roman vraiment magnifique. J'ajouterais à ta critique (qui rend très bien compte du début du livre, rassure-toi) que l'écriture est vraiment "charnelle": le corps des personnages, et leurs sensations prennent, dans mon souvenir, une place importante. Les odeurs, en particulier, sont très présentes. L'ensemble est très dépaysant.
- zinzinuleNiveau 8
J'ajoute que Myosotis (1996) est également très bien.
- Monstre sous le litNiveau 5
Ah, je crois que je suis en plein dedans : c'est un souvenir de Bôn ?Kak a écrit:Plus loin dans le livre, un passage sur la guerre elle-même est particulièrement poignant.
- Monstre sous le litNiveau 5
Oui oui, tes souvenirs sont justes.zinzinule a écrit:Monstre, je partage ton enthousiasme pour ce roman vraiment magnifique. J'ajouterais à ta critique (qui rend très bien compte du début du livre, rassure-toi) que l'écriture est vraiment "charnelle": le corps des personnages, et leurs sensations prennent, dans mon souvenir, une place importante. Les odeurs, en particulier, sont très présentes. L'ensemble est très dépaysant.
Je note, mercizinzinule a écrit:J'ajoute que Myosotis (1996) est également très bien.
- zinzinuleNiveau 8
Je garde un souvenir impérissable de ce bouquin à cause de cela (l'histoire, comme celle de tous les romans que je lis, je l'ai à peu près oubliée...)
- KakHabitué du forum
Monstre sous le lit a écrit:Ah, je crois que je suis en plein dedans : c'est un souvenir de Bôn ?Kak a écrit:Plus loin dans le livre, un passage sur la guerre elle-même est particulièrement poignant.
Oui.
- SeiGrand Maître
Merci, Monstre, pour la description ! Le roman est traduit du vietnamien ?
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- Monstre sous le litNiveau 5
Oui.Sei a écrit:Merci, Monstre, pour la description ! Le roman est traduit du vietnamien ?
- micaschisteMonarque
J'ai relu Le petit Prince. Mon livre suivant sera pour le livre de plus de 500 pages.
_________________
"Il ne sert à rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre". François Mauriac
"Pick a star in the dark horizon and follow the light "
- JPhMMDemi-dieu
https://www.neoprofs.org/t87863p20-le-defi-lecture-2015-recap-des-listes-des-participants#2982731
Plusieurs mises à jour, dont
Extrait.
Plusieurs mises à jour, dont
Extrait.
Sans l'individu, nous ne voyons que des chiffres : mille morts, cent mille morts, « le nombre des victimes pourrait atteindre un million ». Avec les récits individuels, les statistiques se métamorphosent en gens — mais cela même est un mensonge, car les gens continuent de souffrir et leur nombre se révèle étourdissant, dépourvu de sens. Regardez, voyez cet enfant au ventre gonflé, aux coins des yeux envahis par les mouches, aux membres squelettiques : serait-il plus agréable pour vous de connaître son nom, son âge, ses rêves, ses craintes ? De le voir de l'intérieur ? Et si tel est le cas, ne serait-ce pas rendre un mauvais service à sa sœur qui gît près de lui dans la poussière brûlante, caricature d'enfant distendue, distordue ? Supposons que nous les prenions en pitié, sont-ils devenus plus importants pour nous que mille autres enfants touchés par la même famine, mille autres jeunes vies qui serviront bientôt de nourriture aux myriades de vers qui sont les enfants des mouches ?
Nous dressons des barrières autour de ces instants douloureux, nous demeurons sur nos îles, si bien qu'ils ne peuvent nous blesser. La douce couche nacrée qui les recouvre leur permet de glisser telles des perles hors de nos âmes, sans véritable souffrance.
La fiction nous autorise à nous glisser dans ces autres têtes, ces autres endroits, à regarder par ces autres yeux. Au cours du récit, nous nous arrêtons avant de mourir, ou bien mourons par procuration, en toute sécurité ; dans le monde au-delà du récit, nous tournons la page ou fermons le livre, et nous reprenons notre existence.
Une existence qui, comme toutes les autres, ne ressemble à aucune autre.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- FrisouilleEnchanteur
Hihi, c'est le roman que j'ai lu l'année dernière à la mater'.
- JPhMMDemi-dieu
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- SeikilosNiveau 9
Je n'ai lu qu'un seul roman en entier cette année (le reste, c'est du scientifique, ça ne compte pas).
20XX, premier roman auto-publié-en-ligne (sur Youscribe il est à 2€ [H.S.: on a le droit de mettre des liens vers des sites tiers ? Je vais lire la charte et je reviendrai éditer, mais pas ce soir, ça rame trop]) d'Olivier Rizzolo.
J'ai beaucoup aimé et si jamais quelqu'un l'a lu ou compte le lire je me ferai une joie d'en discuter.
Un peu perturbé au premier abord, j'ai ensuite beaucoup accroché à la construction épistolaire. J'ai adoré l'intrigue, l'environnement néo ou stempunk, l'atmosphère, les flashback, les références, la critique du monde dans lequel nous vivons ou vers lequel nous tendons, les réflexions écologiste pertinentes et j'en passe.
Vous pouvez d'ailleurs lire les premières pages ICI.
Mais je ne saurais trouver les mots pour le décrire sans vous gâcher le plaisir, alors peut-être laisser parler la quatrième de couverture.
Ce bouquin peut concourir pour les catégories suivantes :
Un livre publié cette année
Un livre avec un nombre dans le titre
Un thriller ou un polar
Un livre dont le titre tient en un mot
Un livre dont l’histoire se passe dans un pays différent
Un livre recommandé par un ami
Un livre que l’on peut finir en une journée
Un livre dont l’histoire se déroule dans le futur
Un livre écrit par un auteur que vous n’avez jamais lu
20XX, premier roman auto-publié-en-ligne (sur Youscribe il est à 2€ [H.S.: on a le droit de mettre des liens vers des sites tiers ? Je vais lire la charte et je reviendrai éditer, mais pas ce soir, ça rame trop]) d'Olivier Rizzolo.
J'ai beaucoup aimé et si jamais quelqu'un l'a lu ou compte le lire je me ferai une joie d'en discuter.
Un peu perturbé au premier abord, j'ai ensuite beaucoup accroché à la construction épistolaire. J'ai adoré l'intrigue, l'environnement néo ou stempunk, l'atmosphère, les flashback, les références, la critique du monde dans lequel nous vivons ou vers lequel nous tendons, les réflexions écologiste pertinentes et j'en passe.
Vous pouvez d'ailleurs lire les premières pages ICI.
Mais je ne saurais trouver les mots pour le décrire sans vous gâcher le plaisir, alors peut-être laisser parler la quatrième de couverture.
20XX, est un roman épistolaire qui se déroule sur plusieurs siècles. Une uchronie qui flirte avec la dystopie, en surface en tout cas. Son héros, Gabriel d'Orfray, est un chasseur nocturne qui aurait débuté sa carrière de justicier au moment de la révolution française. Une machine de guerre implacable (Batman passerait pour un tendre en comparaison), élevée dans une chambre à gravité augmentée, qui arpente, la nuit venue, les rues et les venelles obscures de la malade Louisville et qui va faire une rencontre inattendue, celle de son humanité. Mais ce n’est pas tout. On y rencontre, au grès des époques, Nikola Tesla, Milton Erikson, Albert Hofmann, Aldous Huxley, des contre-penseurs (Rivielo Maslinko, Franck Kafequa). Certains réunis autour de projets fous suite, notamment, à une expérience shamanique, d’autres, isolés dans leur lutte contre le Grand Capital. Mais, chut, j’en ai déjà trop dit…
Ce bouquin peut concourir pour les catégories suivantes :
Un livre publié cette année
Un livre avec un nombre dans le titre
Un thriller ou un polar
Un livre dont le titre tient en un mot
Un livre dont l’histoire se passe dans un pays différent
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Un livre que l’on peut finir en une journée
Un livre dont l’histoire se déroule dans le futur
Un livre écrit par un auteur que vous n’avez jamais lu
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Inter deum et diabolum semper musica est.
- SeiGrand Maître
Merci encore, Monstre. (Rhaaa, je voulais mettre un bonhomme jaune souriant pour te témoigner ma reconnaissance, mais les smileys ont déserté Neo, ce soir…)
J'ai mis à jour avec Oscar et la dame rose, de Schmitt [smiley mourant d'ennui à insérer ici], dans le but de dénicher des lectures cursives pour mes futures 4e. Chiantissime. Heureusement, je l'ai dégoté gratis sur le Net.
Mais j'ai aussi lu une œuvre sublime, de Gao Xingjian, La montagne de l'âme. Il s'agit de trouver la montagne de l'Ame, dans la Chine du Sud, alors que le narrateur a côtoyé la mort, y échappant cependant de façon grotesque, son cancer se révélant simple anomalie de papier, écorchure sur le scanner. Mais au fur et à mesure du périple, la montagne échappe, en même temps que le roman se constitue en tant qu'objet, et chaque chapitre, chaque page, chaque phrase représente un sédiment de cette montagne de l'âme, sédiment toujours voué à se défaire sur lui-même, renonçant à figer un roman dans une forme reconnaissable. Il n'y a pas de réponse à l'interrogation posée par cette montagne de l'Ame, mais une immense cartographie navigant entre les légendes ancestrales chinoises, les chants populaires, les traditions des anciens moines d'une part et la terreur maoïste, les camps de rééducation, la tentation de l'Occident d'autre part. Les récits s'ajoutent les uns aux autres, comme autant de pierres à la montagne, les narrateurs se mêlent, comme diverses facettes d'une même âme, les hommes se cognent violemment aux femmes, l'égoïsme et la veulerie transpirent de désir. Gao Xingjian n'est pas indulgent, questionnant sans relâche le frottement douloureux de l'individu à la communauté pour faire émerger la troublante solitude de l'homme face à son désir et face à la mort.
La fin du monde, 2006, Gao Xingjian :
J'ai mis à jour avec Oscar et la dame rose, de Schmitt [smiley mourant d'ennui à insérer ici], dans le but de dénicher des lectures cursives pour mes futures 4e. Chiantissime. Heureusement, je l'ai dégoté gratis sur le Net.
Mais j'ai aussi lu une œuvre sublime, de Gao Xingjian, La montagne de l'âme. Il s'agit de trouver la montagne de l'Ame, dans la Chine du Sud, alors que le narrateur a côtoyé la mort, y échappant cependant de façon grotesque, son cancer se révélant simple anomalie de papier, écorchure sur le scanner. Mais au fur et à mesure du périple, la montagne échappe, en même temps que le roman se constitue en tant qu'objet, et chaque chapitre, chaque page, chaque phrase représente un sédiment de cette montagne de l'âme, sédiment toujours voué à se défaire sur lui-même, renonçant à figer un roman dans une forme reconnaissable. Il n'y a pas de réponse à l'interrogation posée par cette montagne de l'Ame, mais une immense cartographie navigant entre les légendes ancestrales chinoises, les chants populaires, les traditions des anciens moines d'une part et la terreur maoïste, les camps de rééducation, la tentation de l'Occident d'autre part. Les récits s'ajoutent les uns aux autres, comme autant de pierres à la montagne, les narrateurs se mêlent, comme diverses facettes d'une même âme, les hommes se cognent violemment aux femmes, l'égoïsme et la veulerie transpirent de désir. Gao Xingjian n'est pas indulgent, questionnant sans relâche le frottement douloureux de l'individu à la communauté pour faire émerger la troublante solitude de l'homme face à son désir et face à la mort.
La fin du monde, 2006, Gao Xingjian :
- Monstre sous le litNiveau 5
Ça. A. L'air. Trop. Bien.Sei a écrit:Merci encore, Monstre. (Rhaaa, je voulais mettre un bonhomme jaune souriant pour te témoigner ma reconnaissance, mais les smileys ont déserté Neo, ce soir…)
J'ai mis à jour avec Oscar et la dame rose, de Schmitt [smiley mourant d'ennui à insérer ici], dans le but de dénicher des lectures cursives pour mes futures 4e. Chiantissime. Heureusement, je l'ai dégoté gratis sur le Net.
Mais j'ai aussi lu une œuvre sublime, de Gao Xingjian, La montagne de l'âme. Il s'agit de trouver la montagne de l'Ame, dans la Chine du Sud, alors que le narrateur a côtoyé la mort, y échappant cependant de façon grotesque, son cancer se révélant simple anomalie de papier, écorchure sur le scanner. Mais au fur et à mesure du périple, la montagne échappe, en même temps que le roman se constitue en tant qu'objet, et chaque chapitre, chaque page, chaque phrase représente un sédiment de cette montagne de l'âme, sédiment toujours voué à se défaire sur lui-même, renonçant à figer un roman dans une forme reconnaissable. Il n'y a pas de réponse à l'interrogation posée par cette montagne de l'Ame, mais une immense cartographie navigant entre les légendes ancestrales chinoises, les chants populaires, les traditions des anciens moines d'une part et la terreur maoïste, les camps de rééducation, la tentation de l'Occident d'autre part. Les récits s'ajoutent les uns aux autres, comme autant de pierres à la montagne, les narrateurs se mêlent, comme diverses facettes d'une même âme, les hommes se cognent violemment aux femmes, l'égoïsme et la veulerie transpirent de désir. Gao Xingjian n'est pas indulgent, questionnant sans relâche le frottement douloureux de l'individu à la communauté pour faire émerger la troublante solitude de l'homme face à son désir et face à la mort.
La fin du monde, 2006, Gao Xingjian :
Bon ben je note, merci Ma liste de livres à acheter/emprunter et ma PAL (physique, soit bien rangée dans ma bibliothèque, soit sous forme de piles par ci par là dans mon appartement) augmentent beaucoup plus vite que je ne lis. Je profiterai de mon déménagement pour faire le point, mais je pense largement dépasser les 100 livres dans ma PAL. Heureusement que c'est les vacances pour pouvoir débroussailler un peu tout ça
- JennyMédiateur
Sei : Ton résumé donne très très envie…
Hop, dans la pile des livres à acheter.
Hop, dans la pile des livres à acheter.
- RoninMonarque
Une PAL de 100 livres on peut dire que ça commence à compter.
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- miss sophieExpert spécialisé
Mise à jour : https://www.neoprofs.org/t87863p20-le-defi-lecture-2015-recap-des-listes-des-participants#3039848
Cela va commencer à être difficile car il me reste notamment tout ce qui a trait aux émotions, or je suis peu émotive... Pour "un livre qui vous fait pleurer", sur les conseils de ma documentaliste j'avais compté sur "Nos étoiles contraires", mais niet (le livre est bien mais je ne suis pas émue). Je mise donc sur "Réparer les vivants" que certains d'entre vous ont lu, je viens de l'acheter. Pour un livre qui fait peur, je vais tenter "La route" de McCarthy. Pour le livre "qui se passe dans un endroit où vous rêvez d'aller", j'ai été obligée de tricher un peu, je ne rêve d'aller nulle part, je suis très casanière ! J'ai mis Inishowen de O'Connor car l'Irlande est un endroit où cela ne me déplairait pas d'aller...
Cela va commencer à être difficile car il me reste notamment tout ce qui a trait aux émotions, or je suis peu émotive... Pour "un livre qui vous fait pleurer", sur les conseils de ma documentaliste j'avais compté sur "Nos étoiles contraires", mais niet (le livre est bien mais je ne suis pas émue). Je mise donc sur "Réparer les vivants" que certains d'entre vous ont lu, je viens de l'acheter. Pour un livre qui fait peur, je vais tenter "La route" de McCarthy. Pour le livre "qui se passe dans un endroit où vous rêvez d'aller", j'ai été obligée de tricher un peu, je ne rêve d'aller nulle part, je suis très casanière ! J'ai mis Inishowen de O'Connor car l'Irlande est un endroit où cela ne me déplairait pas d'aller...
- piescoModérateur
Il est rare, très rare, qu'un livre me fasse pleurer. Je pense que c'est arrivé une seule fois. Mais alors, impossible de m'arrêter.
Je conseille donc La voz dormida, de Dulce Chacón.
Je conseille donc La voz dormida, de Dulce Chacón.
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Nos han quitado tanto, nos quitaron el miedo.
https://www.youtube.com/watch?v=oeU7rb-dBow&t=277s
- nevermoreNiveau 10
Moi, je pensais terminer Anima de wajdi Mouawad avant de partir. Eh bien, non!
Le nez dans les valises, les couches, le ménage, je n'ai pas trouvé le temps. Est-ce que je peux aussi être insomniaque svp?
Il va donc prendre le chemin de ma valise. Et j'espère avoir un peu plus de temps pendant les vacances, malgré un programme bien chargé.
Je vous souhaite à tous un agréable été de lecture
Le nez dans les valises, les couches, le ménage, je n'ai pas trouvé le temps. Est-ce que je peux aussi être insomniaque svp?
Il va donc prendre le chemin de ma valise. Et j'espère avoir un peu plus de temps pendant les vacances, malgré un programme bien chargé.
Je vous souhaite à tous un agréable été de lecture
- MalagaModérateur
J'ai remis à jour la liste des participants au défi et leur avancée : c'est sur la page 1 de ce topic (et sur la page 1 du topic récap').
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J'utilise des satellites coûtant plusieurs millions de dollars pour chercher des boîtes Tupperware dans la forêt ; et toi, c'est quoi ton hobby ?
- SeiGrand Maître
Merci Malaga.
Monstre et Jenny, je suis contente de vous avoir donné envie de lire. Bon, vous constaterez vite que c'est une œuvre difficilement résumable, et les résumés doivent différer selon les lecteurs. J'ai hâte de découvrir les vôtres, du coup.
Monstre et Jenny, je suis contente de vous avoir donné envie de lire. Bon, vous constaterez vite que c'est une œuvre difficilement résumable, et les résumés doivent différer selon les lecteurs. J'ai hâte de découvrir les vôtres, du coup.
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"Humanité, humanité, engeance de crocodile."
- JennyMédiateur
Livre acheté. Je ne sais pas si on va oser poster un résumé après le tien.
Je l'ai lu à ma maman, qui dit que tu as une belle écriture et qui a très envie de lire le livre aussi.
Je l'ai lu à ma maman, qui dit que tu as une belle écriture et qui a très envie de lire le livre aussi.
- piescoModérateur
miss sophie a écrit:Je note ! Merci.
Je t'en prie. J'espère qu'il te plaira!
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