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- AlexlaféeNiveau 6
nlm76 a écrit:Exercice d'écriture, cela signifie exercice très court. Ecriture de phrases sur des modèles. Ecriture de phrases comportant des verbes transitifs, etc.
Bon, il faudrait aussi faire thème et version... et en particulier en latin; ça, ce serait vraiment efficace.
Oui, je comprends mais pour moi cette activité n'est pas vraiment de l'écriture...plutôt de l'application. Alors ça va, je pratique déja....
- NLM76Grand Maître
???Alexlafée a écrit:nlm76 a écrit:Exercice d'écriture, cela signifie exercice très court. Ecriture de phrases sur des modèles. Ecriture de phrases comportant des verbes transitifs, etc.
Bon, il faudrait aussi faire thème et version... et en particulier en latin; ça, ce serait vraiment efficace.
Oui, je comprends mais pour moi cette activité n'est pas vraiment de l'écriture...
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
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Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AlexlaféeNiveau 6
Je m'explique nlm 76:
Il n'y a rien de littéraire selon moi à rédiger de courtes phrases pour appliquer une notion de grammaire.
Un exercice d'écriture, selon ma conception, c'est forcément une production longue.
Il n'y a rien de littéraire selon moi à rédiger de courtes phrases pour appliquer une notion de grammaire.
Un exercice d'écriture, selon ma conception, c'est forcément une production longue.
- MUTISExpert
Non, un exercice d'écriture peut-être court.Alexlafée a écrit:
Un exercice d'écriture, selon ma conception, c'est forcément une production longue.
Un haïku par exemple, est-ce une production longue ? Un aphorisme ?
Et on peut faire rédiger deux phrases ou 3 pour utiliser une notion.
Cela ne me gêne pas. En revanche, les objections que j'ai formulées plus haut n'ont pas trouvé d'explications.
Pourquoi, est-ce mal de faire des exercices d'application ? Parce que l'inspecteur l'a dit ou parce qu'il y a une démarche vraiment répréhensible ?
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"Heureux soient les fêlés car ils laissent passer la lumière" (Audiard)
"Ce n'est pas l'excès d'autorité qui est dangereux, c'est l'excès d'obéissance" (Primo Levi)
"La littérature, quelque passion que nous mettions à le nier, permet de sauver de l'oubli tout ce sur quoi le regard contemporain, de plus en plus immoral, prétend glisser dans l'indifférence absolue" (Enrique Vila-Matas)
" Que les dissemblables soient réunis et de leurs différences jaillira la plus belle harmonie ; rien ne se fait sans lutte." (Héraclite)
"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
- NLM76Grand Maître
Même chose que MUTIS. D'autre part, c'est probablement une des raisons pour lesquelles notre pédagogie est souvent inefficace : nous leur demandons trop par rapport à leurs forces. En particulier, il serait bon de réfléchir au statut de l'erreur. Quand un élève fait une faute par ligne, lui demander d'écrire une ou deux lignes, c'est entrer dans une pédagogie de la réussite. Il a une chance, en se concentrant de ne pas commettre de fautes du tout. S'il fait des fautes, il y en aura une ou deux. Ça, pour lui, c'est possible à corriger par la suite.Alexlafée a écrit:Je m'explique nlm 76:
Il n'y a rien de littéraire selon moi à rédiger de courtes phrases pour appliquer une notion de grammaire.
Un exercice d'écriture, selon ma conception, c'est forcément une production longue.
En revanche, le pousser à écrire un devoir de deux ou trois pages dans lequel il y aura cinquante fautes, c'est tout simplement le pousser à faire des fautes. C'est en fait contraire aux principes élémentaires de la pédagogie.
C'est d'ailleurs souvent malheureusement ce que je fais, à ma grande honte, dans l'optique d'une pseudo-préparation au pseudo-bac.
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«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- AlexlaféeNiveau 6
OUi, d'accord je comprends mais c'est oublier aussi ce que préconisent les programmes: au collège un travail d'écriture longue toutes les 3 semaines et en fin d'année pour un volume d'une page à une page et demie selon les niveaux du collège....
On ne peut pas se contenter de productions de deux ou trois lignes : la cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs, la chronologie du récit nécessitent une confrontation à une rédaction longue (une page environ).
Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
On ne peut pas se contenter de productions de deux ou trois lignes : la cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs, la chronologie du récit nécessitent une confrontation à une rédaction longue (une page environ).
Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
- Marie LaetitiaBon génie
Fires of Pompeii a écrit:Bonjour les Néos....
Je serai inspectée (pour éventuelle titularisation) d'ici une dizaine de jours, avec ma classe de sixième, et la séquence que je fais en ce moment est sur les récits de déluge. Voilà pour le décor
Voici ma question : est-il vraiment "casse-gueule" de faire une leçon de langue le jour de l'inspection ?
D'habitude je procède ainsi : travail de repérage en autonomie; puis correction et déduction de la règle par les élèves (soit à l'oral, soit à l'écrit); puis trace écrite ; puis relecture de la trace écrite, je fais réciter quelques volontaires, les autres commencent les exercices pendant ce temps...
Sachant qu'en général, les étapes de repérage, déduction et TE se répètent car je "saucissonne" mon cours. (exemple sur le futur : d'abord les terminaisons et les bases verbales, puis les valeurs; enfin, je ne sais pas si c'est bien clair expliqué ainsi, mais on fait la TE au fur et à mesure, et pas en rush à la fin du cours.)
Alors d'un côté je me dis, mince elle va trouver ça trop basique; en même temps je vois bien que mes élèves sont habitués ainsi et je refuse de faire quelque chose qui les perturberait sur la forme de mon cours, car ça serait le meilleur moyen de rater ma séance, je pense. Et puis d'un autre côté je me dis "bon, est-ce qu'il ne vaut pas mieux montrer à l'inspectrice un cours basique mais qui correspond à mes habitudes de travail, qu'un cours hyper différent, avec des travaux de groupe et compagnie, choses que je ne fais pas vraiment habituellement ?"...
Bref, je suis un peu perdue, çar ça fait sept mois que j'enseigne et j'ai peur que tout d'un coup en une heure on vienne me dire que tout ce que je fais est nul. Ma tutrice ne m'a jamais rien reproché, mais j'ai peur de l'inspectrice ^^.
Edit : je me suis complètement trompée de section du forum, je dois être à moitié folle... un modérateur peut-il déplacer mon post ? merci
Dites-moi que je comprends de travers. (note: je ne juge pas les collègues qui font ce qu'on leur dit de faire, mais les directives).
J'ai la bizarre impression que le cours de grammaire doit justifier de son utilité par rapport à un texte étudié.
C'est un peu comme si, en HG, nous devions partir d'un article de journal ou de revue scientifique ou non pour justifier d'étudier (au hasard) les façades maritimes ou l'Église au Moyen Âge. C'est tordu ou c'est moi?
édit: ah tiens, je n'avais pas lu l'intervention de Mutis mais c'est un peu la même idée...
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Si tu crois encore qu'il nous faut descendre dans le creux des rues pour monter au pouvoir, si tu crois encore au rêve du grand soir, et que nos ennemis, il faut aller les pendre... Aucun rêve, jamais, ne mérite une guerre. L'avenir dépend des révolutionnaires, mais se moque bien des petits révoltés. L'avenir ne veut ni feu ni sang ni guerre. Ne sois pas de ceux-là qui vont nous les donner (J. Brel, La Bastille)
Antigone, c'est la petite maigre qui est assise là-bas, et qui ne dit rien. Elle regarde droit devant elle. Elle pense. [...] Elle pense qu'elle va mourir, qu'elle est jeune et qu'elle aussi, elle aurait bien aimé vivre. Mais il n'y a rien à faire. Elle s'appelle Antigone et il va falloir qu'elle joue son rôle jusqu'au bout...
Et on ne dit pas "voir(e) même" mais "voire" ou "même".
- YolatengoHabitué du forum
Alexlafée a écrit: Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
Ce qui revient à la même chose que de les faire écrire moins, non ?
Qu'entends-tu pas "simplifier les exigences orthographiques et grammaticales" ? Mieux vaut les faire écrire un passage plus court mais correct au niveau de l'orthographe et de la syntaxe plutôt que de les faire écrire une page truffée de fautes et de phrases incorrectes. C'est mieux pour eux : leurs efforts seront plus conséquents si la tâche ne leur semble pas insurmontable et en plus ils n'auront pas l'impression que les exigences syntaxiques et orthographiques ne sont pas des exigences réelles - ce qui est le risque si on valorise uniquement ce qui a été réussi.
- NLM76Grand Maître
Quand les programmes préconisent des choses qui sont mauvaises pour nos élèves, il est bon de savoir un peu les oublier. A vouloir le beurre et l'argent du beurre tout de suite, on n'obtient ni l'un ni l'autre.Alexlafée a écrit:OUi, d'accord je comprends mais c'est oublier aussi ce que préconisent les programmes: au collège un travail d'écriture longue toutes les 3 semaines et en fin d'année pour un volume d'une page à une page et demie selon les niveaux du collège....
On ne peut pas se contenter de productions de deux ou trois lignes : la cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs, la chronologie du récit nécessitent une confrontation à une rédaction longue (une page environ).
Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
La cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs (quoique je réserverais plutôt l'emploi de tels objets à l'électricité...), la chronologie du récit sont tout ce qu'il y a de plus naturel, et ne posent absolument aucun problème à 95% des élèves, s'ils ont appris préalablement à écrire correctement, s'ils ont lu suffisamment, s'ils ont appris à construire des plans.
Non, il NE FAUT PAS "simplifier les exigences orthographiques et grammaticales", ce qui revient à les encourager à faire des fautes. Il faut donner un travail à la mesure des élèves.
Cependant à propos de la longueur, j'ai une question aux anciens. Depuis quand la coutume s'est-elle instaurée de faire rédiger sur de grandes feuilles ? Quand j'étais élèves, le français, c'était toujours dans de petits classeurs. Depuis que je suis enseignant, c'est toujours sur de grandes feuilles. Est-ce que ce changement matériel n'a pas poussé à la démesure en matière de longueur ?
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- HermionyGuide spirituel
Alexlafée a écrit:OUi, d'accord je comprends mais c'est oublier aussi ce que préconisent les programmes: au collège un travail d'écriture longue toutes les 3 semaines et en fin d'année pour un volume d'une page à une page et demie selon les niveaux du collège....
On ne peut pas se contenter de productions de deux ou trois lignes : la cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs, la chronologie du récit nécessitent une confrontation à une rédaction longue (une page environ).
Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
Si tu parviens à suivre ce rythme, tant au niveau de l'organisation de tes cours, de ta progression que des corrections, je t'admire.
Je considère que c'est trop chronophage. Alors si, bien sûr, si je corrige les copies comme me l'a demandé l'IPR, en ne soulignant pas tout et en ne comptant pas toutes les erreurs d'orthographe / conjugaison/syntaxe, mais seulement certains points, je vais corriger plus vite, et je peux faire ça toutes les 3 semaines. Sauf que je n'en vois pas trop l'intérêt.
Faire écrire quelques phrases permet de travailler la syntaxe (on voit déjà qui va les écrire sans point et sans majuscule), l'orthographe et la conjugaison. Ce n'est certes pas l'écrit long canonique mais fait de façon très régulière, cela fait à mon avis bien plus progresser que les longs et interminables pensums pondus toutes les 3 semaines et bourrés d'erreurs.
Et pour revenir au post de départ, la grammaire se suffit à elle-même, nul besoin de lui donner systématiquement une justification.
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"Soyons subversifs. Révoltons-nous contre l'ignorance, l'indifférence, la cruauté, qui d'ailleurs ne s'exerce si souvent contre l'homme que parce qu'elles se sont fait la main sur les animaux. Il y aurait moins d'enfants martyrs s'il y avait moins d'animaux torturés".
Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- MUTISExpert
Alexlafée a écrit:OUi, d'accord je comprends mais c'est oublier aussi ce que préconisent les programmes: au collège un travail d'écriture longue toutes les 3 semaines et en fin d'année pour un volume d'une page à une page et demie selon les niveaux du collège....
On ne peut pas se contenter de productions de deux ou trois lignes : la cohérence narrative, l'utilisation de connecteurs, la chronologie du récit nécessitent une confrontation à une rédaction longue (une page environ).
Certes les élèves en difficulté fatiguent plus vite, mais pour ceux-là on simplifie les exigences orthographiques et grammaticales dans les consignes et on valorise ce qui a été réussi...
1) A mon avis, ce sont deux démarches différentes et complémentaires. Les faire écrire des phrases correctes en utilisant des points de grammaire, d'orthographe est une chose. Les faire rédiger des textes plus longs est un autre exercice.
2) Un texte plus long correspond à d'autres critères.
3) Je n'ai toujours pas compris en quoi faire des exercices d'application sur des notions de grammaire ou d'orthographe est répréhensible ou gênant.
4) Enfin, d'accord avec nlm, les consignes ne doivent pas "simplifier les exigences orthographiques et grammaticales". L'évaluation peut moduler, mais c'est autre chose.
5) Hermiony, on vous a vraiment demandé de ne pas corriger certaines fautes ??? Et pourquoi ?
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- HermionyGuide spirituel
MUTIS a écrit:
5) Hermiony, on vous a vraiment demandé de ne pas corriger certaines fautes ??? Et pourquoi ?
Oui, oui ! C'est pour pouvoir corriger plus vite et surtout pour éviter de décourager les élèves. On se centre que quelques points et on oublie le reste (comme pour les dictées, quoi, ce que je ne fais pas non plus).
A côté de ça, il m'a conseillé de moduler la longueur et les critères formels pour les plus faibles, ce que je trouve très pertinent.
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Marguerite Yourcenar
« La vraie bonté de l’homme ne peut se manifester en toute pureté et en toute liberté qu’à l’égard de ceux qui ne représentent aucune force. » «Le véritable test moral de l’humanité, ce sont ses relations avec ceux qui sont à sa merci : les animaux. » Kundera, L’Insoutenable Légèreté de l’être
- SowanaNiveau 8
Lors de ma dernière inspection le chargé de mission nous a expliqué qu'il y avait une méthode toute simple pour faire progresser de façon spectaculaire les élèves en orthographe : il faut mettre une croix dans la marge devant une ligne où il y a une faute. Autant de croix que de fautes. La croix agirait telle une lumière dans l'esprit de l'élève qui immédiatement identifierait sa faute et la corrigerait. Dubitative, je lui ai demandé si on ne pouvait pas craindre l'effet inverse :
_ j'ai acheté des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. X
_ j'ai acheter des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. XX
_J'ai acheté des mot croisés pour m'occupé pendent une journée de fomations. xxxxxxxxxx !!!!!!!
"Euh, c'est une possibilité..." m'a-t-il répondu. :boulet:
_ j'ai acheté des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. X
_ j'ai acheter des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. XX
_J'ai acheté des mot croisés pour m'occupé pendent une journée de fomations. xxxxxxxxxx !!!!!!!
"Euh, c'est une possibilité..." m'a-t-il répondu. :boulet:
- MUTISExpert
Sowana a écrit:Lors de ma dernière inspection le chargé de mission nous a expliqué qu'il y avait une méthode toute simple pour faire progresser de façon spectaculaire les élèves en orthographe : il faut mettre une croix dans la marge devant une ligne où il y a une faute. Autant de croix que de fautes. La croix agirait telle une lumière dans l'esprit de l'élève qui immédiatement identifierait sa faute et la corrigerait. Dubitative, je lui ai demandé si on ne pouvait pas craindre l'effet inverse :
_ j'ai acheté des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. X
_ j'ai acheter des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. XX
_J'ai acheté des mot croisés pour m'occupé pendent une journée de fomations. xxxxxxxxxx !!!!!!!
"Euh, c'est une possibilité..." m'a-t-il répondu. :boulet:
Bon, va falloir que je me reconvertisse.
Car lire autant de _________________ me fatigue moralement !
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"Les hommes sont si nécessairement fous que ce serait être fou par un autre tour de folie, de n'être pas fou" (Pascal).
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MUTIS a écrit:Sowana a écrit:Lors de ma dernière inspection le chargé de mission nous a expliqué qu'il y avait une méthode toute simple pour faire progresser de façon spectaculaire les élèves en orthographe : il faut mettre une croix dans la marge devant une ligne où il y a une faute. Autant de croix que de fautes. La croix agirait telle une lumière dans l'esprit de l'élève qui immédiatement identifierait sa faute et la corrigerait. Dubitative, je lui ai demandé si on ne pouvait pas craindre l'effet inverse :
_ j'ai acheté des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. X
_ j'ai acheter des mots croisés pour m'occupé pendant une journée de formation. XX
_J'ai acheté des mot croisés pour m'occupé pendent une journée de fomations. xxxxxxxxxx !!!!!!!
"Euh, c'est une possibilité..." m'a-t-il répondu. :boulet:
Bon, va falloir que je me reconvertisse.
Car lire autant de _________________ me fatigue moralement !
Moi aussi, je vais devoir arrêter d'enseigner, si je dois faire des croix...C'est n'importe quoi.
- SowanaNiveau 8
Désolée de contribuer à vous miner le moral (en ce moment ce ne sont pas les raisons qui manquent), mais moi aussi, il m'avait bien déprimée le grand homme. J'étais tellement dégoutée qu'en rentrant chez moi j'ai regardé avec dépit mon bureau, mes classeurs et manuels, j'ai planqué les classeurs dans un meuble et démonté le bureau afin de le porter à la décharge le lendemain, ce que j'ai fait. Possible qu'un de ces 4 je refasse un tour à la décharge...
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