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- AbraxasDoyen
Tiens, JPB a pondu une Note sur la violence scolaire…
Histoire d'aller un peu plus loin que les discours sensationnalistes des médias…
Bonne lecture…
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2009/05/22/violences.html
Histoire d'aller un peu plus loin que les discours sensationnalistes des médias…
Bonne lecture…
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2009/05/22/violences.html
- miss teriousDoyen
Bonsoir Al. Delon . Je vais lire ça.
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- CarabasVénérable
JPB a écrit:Et, last but not least, sur l’appui de nos collègues. J’ai vu trop souvent des enseignants tacler sévèrement d’autres enseignants, à grands coups de « moi, je n’ai pas de problème » et de « qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’il soit comme ça ? ».
En parlant du soutien de la hiérarchie aux enseignants, de la solidarité des collègues, avez-vous remarqué que les syndicats s'étaient montrés fort discrets suite à l'agression de la prof de maths? Que les profs n'avaient pas exercé leur droit de retrait? S'ils ne l'exercent pas dans des conditions pareilles, quand le feront-ils? Quand le collège aura brûlé?
- miss teriousDoyen
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- AudreyOracle
Abraxas a écrit:Tiens, JPB a pondu une Note sur la violence scolaire…
Histoire d'aller un peu plus loin que les discours sensationnalistes des médias…
Bonne lecture…
http://bonnetdane.midiblogs.com/archive/2009/05/22/violences.html
Faudra quand même un jour qu'on m'explique pourquoi monsieur brighelli persiste à parler de lui à la troisième personne sur ce forum... ce secret de polichinelle devient ridicule, non?
- Reine MargotDemi-dieu
mode Roselyne bachelot on - Ah bon?- mode Roselyne Bachelot off. :lol:
je suis d'accord avec la plupart des choses dites. Seulement je crois que les moyens ça ne fait pas de mal. une pédagogie ambitieuse (remettre les savoirs au centre, etc) a besoin de moyens. Les savoirs au centre avec 30 gamins par classe c'est pas la joie. les élèves ont besoin d'être encadrés dans les étb et prioritairement par des pions. La présence de l'adulte, ça aide quand même, contre la violence.
je suis d'accord avec la plupart des choses dites. Seulement je crois que les moyens ça ne fait pas de mal. une pédagogie ambitieuse (remettre les savoirs au centre, etc) a besoin de moyens. Les savoirs au centre avec 30 gamins par classe c'est pas la joie. les élèves ont besoin d'être encadrés dans les étb et prioritairement par des pions. La présence de l'adulte, ça aide quand même, contre la violence.
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- miss teriousDoyen
Autre remarque. L'un des points proposés me semble mal tourné.
C'est du détail, mais la formule a sonné étrangement à mon oreille...
J'aurais tendance à écrire : la parole d'un élève ne doit pas avoir le même poids que celle d'un adulte.La parole d’un adulte ne doit pas avoir le même poids que celle d’un élève.
C'est du détail, mais la formule a sonné étrangement à mon oreille...
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"Ni ange, ni démon, juste sans nom." (Barbey d'AUREVILLY, in. Une histoire sans nom)
"Bien des choses ne sont impossibles que parce qu'on s'est accoutumé à les regarder comme telles." DUCLOS
- RuthvenGuide spirituel
Identifier les surveillants aux "grands frères", c'est quand même un peu de la mauvaise foi. La politique des grands frères a été une gigantesque ânerie mais qu'on ne peut pas rabattre sur la question des moyens d'encadrement.
La disparition des MI-SE a été catastrophique; les établissements tournent souvent avec des surveillants, qui n'ont le temps de ne rien surveiller parce qu'ils doivent gérer toute la paperasserie de la vie scolaire. En lycée, pas de salle de permanence pour exclure les élèves.
C'est bien beau de s'en prendre à ceux qui réclament des moyens, mais comment fait-on pour surveiller un établissement quand on supprime ces moyens?
La disparition des MI-SE a été catastrophique; les établissements tournent souvent avec des surveillants, qui n'ont le temps de ne rien surveiller parce qu'ils doivent gérer toute la paperasserie de la vie scolaire. En lycée, pas de salle de permanence pour exclure les élèves.
C'est bien beau de s'en prendre à ceux qui réclament des moyens, mais comment fait-on pour surveiller un établissement quand on supprime ces moyens?
- Reine MargotDemi-dieu
+1 Ruthven!
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- sandGuide spirituel
Vraiment pas intéressé par le ministère de l'EN, JPB ?
- AbraxasDoyen
Audrey a écrit: Faudra quand même un jour qu'on m'explique pourquoi monsieur brighelli persiste à parler de lui à la troisième personne sur ce forum... ce secret de polichinelle devient ridicule, non?
"Je est un autre" !
- kensingtonEsprit éclairé
Tiens, ça continue:
Une conseillère d’éducation frappée par un collégien
Une conseillère d’éducation frappée par un collégien
- mel93Grand sage
Je vous copie-colle un article paru dans Le Monde sur un établissement charmant que j'ai fréquenté :
Reportage
"Ici, tout est une lutte"
LE MONDE | 08.05.09 | 14h55 • Mis à jour le 08.05.09 | 14h55
Le collège Jean-Perrin, situé non loin de la porte de Montreuil, dans le 20e arrondissement parisien, compte environ 400 élèves. Un établissement de taille modeste, ce qui devrait faciliter un fonctionnement serein. Mais voilà : plus rien n'est facile à Jean-Perrin. Pourtant, le collège ne présente aucun trait caractéristique des établissements défaillants. Il est dirigé par une principale appréciée et aucun problème n'est signalé du côté de l'équipe éducative. Mais les conseils de discipline s'y multiplient. Peut-on les éviter ? Ce serait nier la notion même de sanction. Alors, leur succession rythme l'année.
Le premier conseil, début octobre 2008, était motivé par des vols commis par un élève de 3e dans les vestiaires de sport. Un problème administratif est à l'origine du deuxième. Le troisième avait pour objet une tentative d'agression d'un autre élève de 3e, empêché par des témoins d'asséner un coup de chaise à un camarade. Le quatrième était lié à une agression physique sur une enseignante de français : un élève de 5e l'avait coincée contre le tableau, avant de lui jeter des craies à la figure.
Les cinquième et sixième conseils, à l'approche de Noël, étaient dus à une intrusion. Pour comprendre cette affaire, il faut savoir que Jean-Perrin compte deux conseillers principaux d'éducation (CPE), un homme et une femme. "La" CPE, voyant pénétrer dans l'établissement un élève exclu pour plusieurs jours, lui demande de sortir. L'élève refuse, la prend à partie et tente de lui donner un coup de poing, stoppé in extremis par "le" CPE. L'élève se retourne alors contre celui-ci, le bouscule puis le fait tomber en arrière en le saisissant par les cuisses. Un autre élève a répondu du fait d'avoir, lors du même incident, asséné des coups puis tenté d'étrangler un surveillant qui venait secourir le CPE.
Janvier commence avec un septième conseil, pour "menaces proférées par un élève à l'encontre de plusieurs adultes", dont la CPE, qui a porté plainte pour être protégée. Juste avant les vacances de février, deux élèves tentent de la pousser dans l'escalier, motivant les huitième et neuvième conseils de discipline, le 5 mars.
Enfin, le 20 mars, c'était le douzième conseil de discipline de l'année au collège Jean-Perrin. Le motif de comparution de l'élève ? Avoir frappé "délibérément" une jeune camarade avec une chaise et lui avoir cassé le bras. Outre cette affaire, deux autres élèves comparaissaient. L'un pour "manquements répétés au règlement intérieur et refus systématique de l'autorité des adultes", l'autre pour les mêmes motifs, ainsi que des "menaces et intimidations à l'encontre d'un professeur".
Combien d'exclusions définitives, au total ? Les délibérations sont secrètes. Mais chacun sait que les auteurs de violences graves n'y échappent généralement pas.
C'est dans ce contexte que, le 3 février, quand le collège est informé de sa dotation en heures d'enseignement pour la rentrée 2009, l'équipe se rebelle. "Avec une prévision de perte de 36 élèves, on nous retirait 38 heures de professeur par semaine, ce qui équivaut à la suppression d'une classe", expliquent Frédérique Bezançon et Jerôme Ferec, deux trentenaires professeurs d'histoire géographie et de sciences de la vie et de la terre (SVT), syndiqués au SNES. L'équipe dépose alors un préavis de grève pour le 3 mars et revendique un classement du collège en éducation prioritaire, "catégorie 5", un critère parisien indiquant un niveau maximal de difficulté en fonction de la composition sociale de l'effectif. Ce classement permettrait d'avoir davantage de professeurs et de surveillants pour encadrer les élèves.
La grève du 3 mars est suivie "à 100 %", rapporte Frédérique Bezançon. Le 5, une délégation de professeurs et de parents est reçue au rectorat par le responsable du second degré. "Il nous a dit qu'on avait déjà beaucoup de moyens pour un petit établissement et qu'une refonte des critères de classement à Paris était prévue pour 2010", résument les enseignants. Leur interlocuteur leur promet néanmoins que les difficultés seront prises à leur "juste mesure"... pour la rentrée 2010.
Jean-Perrin est un collège aux multiples projets pédagogiques. On y étudie le latin et le grec ancien, et l'équipe "se démène", assure Jérôme Ferec. Pour expliquer cette dégradation, il souligne la disparition progressive de la mixité sociale. D'abord à cause d'une modification du secteur de recrutement du collège, intervenue il y a sept ans, et maintenant dans le cadre de la suppression de la carte scolaire, "parce que les dérogations se multiplient". C'est à ce dernier facteur qu'il attribue la différence entre les classes de 3e, où "subsiste encore un petit mélange", et cette 6e qui lui fait passer " sa pire heure dans la semaine". Selon Frédérique Bezançon, "une majorité d'élèves semble hors d'atteinte, hors d'état de comprendre ce que nous disons. Ils sont tout le temps dans le hurlement, le rapport de force, la recherche de la domination"...
Ce constat est confirmé par d'autres membres de l'équipe. Sur les six établissements qu'a connus Chloé, professeure d'anglais, "c'est de loin le plus dur". Clarisse, professeure de français, a connu cinq établissements. Et sa conclusion est la même : "Une heure de cours et t'es mort ! Tout est une lutte. Le silence, c'est une lutte. Le travail, c'est une lutte. Faire sortir une feuille, c'est une lutte."
Luc Cédelle
Article paru dans l'édition du 09.05.09.
Reportage
"Ici, tout est une lutte"
LE MONDE | 08.05.09 | 14h55 • Mis à jour le 08.05.09 | 14h55
Le collège Jean-Perrin, situé non loin de la porte de Montreuil, dans le 20e arrondissement parisien, compte environ 400 élèves. Un établissement de taille modeste, ce qui devrait faciliter un fonctionnement serein. Mais voilà : plus rien n'est facile à Jean-Perrin. Pourtant, le collège ne présente aucun trait caractéristique des établissements défaillants. Il est dirigé par une principale appréciée et aucun problème n'est signalé du côté de l'équipe éducative. Mais les conseils de discipline s'y multiplient. Peut-on les éviter ? Ce serait nier la notion même de sanction. Alors, leur succession rythme l'année.
Le premier conseil, début octobre 2008, était motivé par des vols commis par un élève de 3e dans les vestiaires de sport. Un problème administratif est à l'origine du deuxième. Le troisième avait pour objet une tentative d'agression d'un autre élève de 3e, empêché par des témoins d'asséner un coup de chaise à un camarade. Le quatrième était lié à une agression physique sur une enseignante de français : un élève de 5e l'avait coincée contre le tableau, avant de lui jeter des craies à la figure.
Les cinquième et sixième conseils, à l'approche de Noël, étaient dus à une intrusion. Pour comprendre cette affaire, il faut savoir que Jean-Perrin compte deux conseillers principaux d'éducation (CPE), un homme et une femme. "La" CPE, voyant pénétrer dans l'établissement un élève exclu pour plusieurs jours, lui demande de sortir. L'élève refuse, la prend à partie et tente de lui donner un coup de poing, stoppé in extremis par "le" CPE. L'élève se retourne alors contre celui-ci, le bouscule puis le fait tomber en arrière en le saisissant par les cuisses. Un autre élève a répondu du fait d'avoir, lors du même incident, asséné des coups puis tenté d'étrangler un surveillant qui venait secourir le CPE.
Janvier commence avec un septième conseil, pour "menaces proférées par un élève à l'encontre de plusieurs adultes", dont la CPE, qui a porté plainte pour être protégée. Juste avant les vacances de février, deux élèves tentent de la pousser dans l'escalier, motivant les huitième et neuvième conseils de discipline, le 5 mars.
Enfin, le 20 mars, c'était le douzième conseil de discipline de l'année au collège Jean-Perrin. Le motif de comparution de l'élève ? Avoir frappé "délibérément" une jeune camarade avec une chaise et lui avoir cassé le bras. Outre cette affaire, deux autres élèves comparaissaient. L'un pour "manquements répétés au règlement intérieur et refus systématique de l'autorité des adultes", l'autre pour les mêmes motifs, ainsi que des "menaces et intimidations à l'encontre d'un professeur".
Combien d'exclusions définitives, au total ? Les délibérations sont secrètes. Mais chacun sait que les auteurs de violences graves n'y échappent généralement pas.
C'est dans ce contexte que, le 3 février, quand le collège est informé de sa dotation en heures d'enseignement pour la rentrée 2009, l'équipe se rebelle. "Avec une prévision de perte de 36 élèves, on nous retirait 38 heures de professeur par semaine, ce qui équivaut à la suppression d'une classe", expliquent Frédérique Bezançon et Jerôme Ferec, deux trentenaires professeurs d'histoire géographie et de sciences de la vie et de la terre (SVT), syndiqués au SNES. L'équipe dépose alors un préavis de grève pour le 3 mars et revendique un classement du collège en éducation prioritaire, "catégorie 5", un critère parisien indiquant un niveau maximal de difficulté en fonction de la composition sociale de l'effectif. Ce classement permettrait d'avoir davantage de professeurs et de surveillants pour encadrer les élèves.
La grève du 3 mars est suivie "à 100 %", rapporte Frédérique Bezançon. Le 5, une délégation de professeurs et de parents est reçue au rectorat par le responsable du second degré. "Il nous a dit qu'on avait déjà beaucoup de moyens pour un petit établissement et qu'une refonte des critères de classement à Paris était prévue pour 2010", résument les enseignants. Leur interlocuteur leur promet néanmoins que les difficultés seront prises à leur "juste mesure"... pour la rentrée 2010.
Jean-Perrin est un collège aux multiples projets pédagogiques. On y étudie le latin et le grec ancien, et l'équipe "se démène", assure Jérôme Ferec. Pour expliquer cette dégradation, il souligne la disparition progressive de la mixité sociale. D'abord à cause d'une modification du secteur de recrutement du collège, intervenue il y a sept ans, et maintenant dans le cadre de la suppression de la carte scolaire, "parce que les dérogations se multiplient". C'est à ce dernier facteur qu'il attribue la différence entre les classes de 3e, où "subsiste encore un petit mélange", et cette 6e qui lui fait passer " sa pire heure dans la semaine". Selon Frédérique Bezançon, "une majorité d'élèves semble hors d'atteinte, hors d'état de comprendre ce que nous disons. Ils sont tout le temps dans le hurlement, le rapport de force, la recherche de la domination"...
Ce constat est confirmé par d'autres membres de l'équipe. Sur les six établissements qu'a connus Chloé, professeure d'anglais, "c'est de loin le plus dur". Clarisse, professeure de français, a connu cinq établissements. Et sa conclusion est la même : "Une heure de cours et t'es mort ! Tout est une lutte. Le silence, c'est une lutte. Le travail, c'est une lutte. Faire sortir une feuille, c'est une lutte."
Luc Cédelle
Article paru dans l'édition du 09.05.09.
- InvitéeHrÉrudit
Une autre CPE a été frappée mercredi par un élève de 16 ans dans un bahut des Yvelines, à Chanteloup-les-Vignes.
- JohnMédiateur
Au sujet de la violence scolaire, notre amie "Une vieille Néotit'" débattra avec Xavier Darcos lundi 25 mai 2009 dans l'émission Mots Croisés, présentée par Yves Calvi et diffusée à partir de 22h15 sur France 2.
Participeront également à ce débat le tout nouveau président du Syndicat National des Personnels de Direction de l'Education Nationale (tendance SE-UNSA) et un responsable politique important du PS.
Plus de détails ici : https://www.neoprofs.org/actualites-f5/une-vieille-neotit-affrontera-xavier-darcos-lundi-25-mai-sur-france-2-t8689.htm#108265
Participeront également à ce débat le tout nouveau président du Syndicat National des Personnels de Direction de l'Education Nationale (tendance SE-UNSA) et un responsable politique important du PS.
Plus de détails ici : https://www.neoprofs.org/actualites-f5/une-vieille-neotit-affrontera-xavier-darcos-lundi-25-mai-sur-france-2-t8689.htm#108265
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Hervé HervéFidèle du forum
Faudra quand même un jour qu'on m'explique pourquoi monsieur brighelli
persiste à parler de lui à la troisième personne sur ce forum...""
Oui mais qu'il garde sa photo sur néoprof, celle de bonnet d'ane est beaucoup moins bien.
C'est simple sur Bonnet d'ane c'est" grande gueule polémiste" avec des commentateurs parfois insupportables et ici c'est le collègue sympa et cultivé (c'est pas une insulte on est pas sur Mérieu.com) qui vient voir les petits jeunes pour leur donner des conseils.
persiste à parler de lui à la troisième personne sur ce forum...""
Oui mais qu'il garde sa photo sur néoprof, celle de bonnet d'ane est beaucoup moins bien.
C'est simple sur Bonnet d'ane c'est" grande gueule polémiste" avec des commentateurs parfois insupportables et ici c'est le collègue sympa et cultivé (c'est pas une insulte on est pas sur Mérieu.com) qui vient voir les petits jeunes pour leur donner des conseils.
- AudreyOracle
Hervé Hervé a écrit:Faudra quand même un jour qu'on m'explique pourquoi monsieur brighelli
persiste à parler de lui à la troisième personne sur ce forum...""
Oui mais qu'il garde sa photo sur néoprof, celle de bonnet d'ane est beaucoup moins bien.
C'est simple sur Bonnet d'ane c'est" grande gueule polémiste" avec des commentateurs parfois insupportables et ici c'est le collègue sympa et cultivé (c'est pas une insulte on est pas sur Mérieu.com) qui vient voir les petits jeunes pour leur donner des conseils.
Mouais...moi, j'ai du mal à voir où sont les conseils parfois....je vois juste la culture façon confiture...mais bon, je dois être la seule à ne pas trop aimer ça, la confiture.
- LodyNiveau 10
Carabas a écrit:JPB a écrit:Et, last but not least, sur l’appui de nos collègues. J’ai vu trop souvent des enseignants tacler sévèrement d’autres enseignants, à grands coups de « moi, je n’ai pas de problème » et de « qu’est-ce que tu lui as fait pour qu’il soit comme ça ? ».
En parlant du soutien de la hiérarchie aux enseignants, de la solidarité des collègues, avez-vous remarqué que les syndicats s'étaient montrés fort discrets suite à l'agression de la prof de maths? Que les profs n'avaient pas exercé leur droit de retrait? S'ils ne l'exercent pas dans des conditions pareilles, quand le feront-ils? Quand le collège aura brûlé?
+ 1 !
- AbraxasDoyen
Audrey a écrit:Mouais...moi, j'ai du mal à voir où sont les conseils parfois....je vois juste la culture façon confiture...mais bon, je dois être la seule à ne pas trop aimer ça, la confiture.
Eh bien, demandez à toutes celles / ceux à qui, ici ou en privé, j'ai passé des cours ou des docs sur la littérature…
Et cette histoire de culture / confiture, c'est une réflexion typique de ceux (et celles, manifestement) qui préfèrent manger leur pain sec.
- InvitéInvité
Vous êtes dur(e)s avec Abraxas ! Qu'on soit d'accord ou pas avec lui, il a tout de même beaucoup d'humour, et ce n'est pas toujours courant dans notre milieu. Et puis avouez que la photo de son avatar fait plaisir aux yeux.
Je n'avais pas remarqué que notre illustre collègue parlât de lui à la 3e personne. Mais j'aime bien ça ! C'est plutôt malin. Alain Delon expliquait que, s'il parlait de lui à la 3e personne, c'est parce qu'il voulait faire la différence entre l'acteur, incarnant un rôle (personnage public, donc), et la personne privée. Pas si bête, à y réfléchir, c'est une preuve de modestie ...
Oups ! désolée d'avoir fait tourner les choses au débat pro et contra !
Je n'avais pas remarqué que notre illustre collègue parlât de lui à la 3e personne. Mais j'aime bien ça ! C'est plutôt malin. Alain Delon expliquait que, s'il parlait de lui à la 3e personne, c'est parce qu'il voulait faire la différence entre l'acteur, incarnant un rôle (personnage public, donc), et la personne privée. Pas si bête, à y réfléchir, c'est une preuve de modestie ...
Oups ! désolée d'avoir fait tourner les choses au débat pro et contra !
- InvitéInvité
Je pense qu'Abraxas veut peut-être séparer justement l'homme public et la personne qu'il est sur le forum en parlant ainsi de lui à la troisième personne.
Je comprends ce que dit Audrey, dans le sens où parfois il intimide ceux qui posent des questions avec des remarques bourrues du type "quoi ? Vous ne savez pas ça ?" Bon, mais on fait avec quand on le connaît mieux ! Disons que, d'entrée de jeu, cela peut décourager parfois certaines personnes un peu timides qui ont peur d'être exposées ou jugées, et ce serait dommage, puisqu'on est sur un forum pour les "néo-profs"... Mais je suis sûre qu'Abraxas comprend si on le lui dit.
Je comprends ce que dit Audrey, dans le sens où parfois il intimide ceux qui posent des questions avec des remarques bourrues du type "quoi ? Vous ne savez pas ça ?" Bon, mais on fait avec quand on le connaît mieux ! Disons que, d'entrée de jeu, cela peut décourager parfois certaines personnes un peu timides qui ont peur d'être exposées ou jugées, et ce serait dommage, puisqu'on est sur un forum pour les "néo-profs"... Mais je suis sûre qu'Abraxas comprend si on le lui dit.
- RuthvenGuide spirituel
Effectivement, vous êtes dur avec Abraxas qui donne plein d'idées originales de lectures !
Il fait quand même moins Père fouettard que quand il passe à la télé :lol!: ...
Il fait quand même moins Père fouettard que quand il passe à la télé :lol!: ...
- DaphnéDemi-dieu
Parce que tu trouves qu'il fait Père Fouettard à la télé ?? :shock:
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- avez-vous vos "têtes", l'élève qui vous insupporte, vous donne de l'uricaire...
- Vous pensez que les robots vont vous piquer votre boulot ? Vous avez raison
- Prof célibataire (mais pas seulement?)... vous ruminez chez vous quand vous avez une classe pénible?
- Est-ce qu'il vous arrive de contester quand vous avez trop de surveillance d'examens ?
- La réaction des élèves quand vous leur avez annoncé que vous partiez
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