- AudreyOracle
Lora a écrit:Ah oui, tiens, le projet pourrait être le voyage en Italie ! J'ai l'impression que plusieurs collègues seraient d'accord pour faire le projet avec moi, finalement !
Non, car il faut une réalisation concrète. Un voyage n'est pas une réalisation produite par les élèves...
- GrypheMédiateur
Doctor Who, il faudrait vérifier, mais je crois que les "marges profs" sont prévues justement pour que dans ton EPI, si les élèves l'ont 1h30, tu l'as 1h30. Mais avec le prof de bio.
(J'suis pas très sûre de moi là-dessus, ceci dit.)
(J'suis pas très sûre de moi là-dessus, ceci dit.)
- doctor whoDoyen
Gryphe a écrit:Doctor Who, il faudrait vérifier, mais je crois que les "marges profs" sont prévues justement pour que dans ton EPI, si les élèves l'ont 1h30, tu l'as 1h30. Mais avec le prof de bio.
(J'suis pas très sûre de moi là-dessus, ceci dit.)
Pas pour les dédoublements dans les matières hors EPI ?
Même si tu les as 1H30, tu ne fais ta matière que pendant la moitié (et encore, le fait que ce soit un projet, pratique qui plus est, va manger du temps en découpage, filmage, brain storming, etc.)
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- linotteFidèle du forum
par doctor who
Si un EPI, c'est 1,5h par semaine sur un an, le prof de LC aura 0,75 h par semaine et par an en plus de ses 1h en 5e et 2h en 4e et 3e.
Donc, 1,75h au lieu de 2h en 5e, 2,75 au lieu de 3h en 4e et 3e.
Pour ma part (mais je ne pense pas être la seule), les trois heures n'existent plus depuis un moment. J'en suis à 2 h/ niveau.
Cela n'enlève rien au calcul 'officiel' . Juste pour dire que dès qu'on peut rogner sur le latin, on le fait ...
- GrypheMédiateur
Pareil chez nous pour les élèves, mais 4h pour le prof, car vu le nombre d'inscrits :succes: , on ouvre deux groupes par niveau.linotte a écrit:Pour ma part (mais je ne pense pas être la seule), les trois heures n'existent plus depuis un moment. J'en suis à 2 h/ niveau.
- OlympiasProphète
Bah, son cabinet a dû lui faire des fiches cuisine pedagogogoSullien a écrit:Où a-t-elle dit cela ? La r'voilà qui ment publiquement...
Elle a jeté un oeil sur les programmes actuels ou bien ?
- User14996Niveau 10
Audrey a écrit:Lora a écrit:Ah oui, tiens, le projet pourrait être le voyage en Italie ! J'ai l'impression que plusieurs collègues seraient d'accord pour faire le projet avec moi, finalement !
Non, car il faut une réalisation concrète. Un voyage n'est pas une réalisation produite par les élèves...
Un devoir. Je veux dire une copie-double, remplie par leurs soins, ça c'est une réalisation qui a de la gueule.
- SergeMédiateur
Audrey a écrit:Lora a écrit:Ah oui, tiens, le projet pourrait être le voyage en Italie ! J'ai l'impression que plusieurs collègues seraient d'accord pour faire le projet avec moi, finalement !
Non, car il faut une réalisation concrète. Un voyage n'est pas une réalisation produite par les élèves...
Teh teh teh, cela deviendra le cas si on leur demande de l'organiser de A à Z, de faire les visites guidées, de prévoir les réservations, de faire le calcul des frais, de planifier les horaires des visites, les itinéraires, sur les routes et au sein des villes, etc. Ils feront ainsi du latin, de l'histoire, de la géographie avec les itinéraires, de la SVT avec le Vésuve, des maths avec le calcul du budget, des frais, etc., et ils devraient évidemment argumenter et défendre le projet au CA
Une vraie tâche complexe interdisciplinaire.
- linotteFidèle du forum
Sans oublier les inévitables bobos : formation EPI aux 1ers secours
- leyadeEsprit sacré
le carnet de bord du voyage alors!Audrey a écrit:Lora a écrit:Ah oui, tiens, le projet pourrait être le voyage en Italie ! J'ai l'impression que plusieurs collègues seraient d'accord pour faire le projet avec moi, finalement !
Non, car il faut une réalisation concrète. Un voyage n'est pas une réalisation produite par les élèves...
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- AdriGrand Maître
Olympias a écrit:Bah, son cabinet a dû lui faire des fiches cuisine pedagogogoSullien a écrit:Où a-t-elle dit cela ? La r'voilà qui ment publiquement...
Elle a jeté un oeil sur les programmes actuels ou bien ?
ça ne m'étonne pas qu'elle ne connaisse pas le dossier.
Pour le volet LV, la réforme nous avait déjà été proposée sous la même forme exactement en décembre 2013 dans l'académie de Rennes - nous avions fait bloc, et elle en était restée au stade expérimentale dans quelques établissements "volontaires". Bref, en décembre 2013, elle n'était pas encore là, mais la réforme, oui. Ca ne m'étonnerait pas que les autres volets lui soient également antérieurs !
- archebocEsprit éclairé
doctor who a écrit:Or il faut faire 6 des 8 thèmes proposés au cycle 4. S'il y en a deux à faire chaque année, chaque élève ne peut prendre l'EPI LCA qu'une seule et unique fois, au choix en 5e, 4e ou 3e.
L'élève doit faire 6 des 8 thèmes. Il ne pourrait pas les faire chez lui, et laisser les heures de cours pour des vrais cours ?
Lora a écrit:Est-ce que ça veut dire que pour avoir droit à enseigner le latin (et le grec), nous, profs de LC, serons obligés de faire un EPI avec un ou des collègues
Peut-être pourras-tu, toi prof de latin, faire un EPI avec toi prof de grec ? Il y a sûrement plein de textes qui s'y prêtent (même si je ne connais que les adages d'Erasme pour cela).
Après tout, EPI, il s'agit de mélanger les disciplines, pas de faire un carrousel de profs.
La question est plus générale : y a-t-il des mélanges de disciplines qui seront interdits ? Par exemple, est-il envisageable de condamner depuis le ministère un EPI histoire-géographie ?
- trompettemarineMonarque
Audrey a écrit:Lora a écrit:Ah oui, tiens, le projet pourrait être le voyage en Italie ! J'ai l'impression que plusieurs collègues seraient d'accord pour faire le projet avec moi, finalement !
Non, car il faut une réalisation concrète. Un voyage n'est pas une réalisation produite par les élèves...
Si si,
ils cherchent le voyagiste
puis établissent les devis
font voter le voyage en CA
trouvent des mécènes
organisent chacune des journées
préparent des exposés pour expliquer à leurs professeurs chacun des monuments.
Pour soulager les élèves, le professeur prendra les photos. Faut les aider un peu quand même.
Enfin, ils établissent un cahier de voyage et une exposition destinés à être présentés aux élèves des classes qui n'ont pas choisi cet EPI.
Voilà de la belle pédagogie par projet !
:lol!:
- Sylvain de Saint-SylvainGrand sage
Ou grammaire-littérature ?archeboc a écrit:La question est plus générale : y a-t-il des mélanges de disciplines qui seront interdits ? Par exemple, est-il envisageable de condamner depuis le ministère un EPI histoire-géographie ?
- SergeMédiateur
Quand bien même ce serait possible ... Quels élèves choisiraient "ça" s'ils ont (je caricature à peine) accrobranche à côté ?
- archebocEsprit éclairé
Serge a écrit:Quand bien même ce serait possible ... Quels élèves choisiraient "ça" s'ils ont (je caricature à peine) accrobranche à côté ?
Les élèves qui n'ont pas envie d'être pris pour des singes ?
- LefterisEsprit sacré
Sullien a écrit:linotte a écrit:Oui mais bon, faut reconnaitre ( et je le fais volontiers :lol:) qu'elle débarque un peu ...
Efit : Sullien : +1 ... Mais sur un malentendu, aux yeux du grand public ...
Si elle l'ignore, je dirais presque que c'est encore pire.
Faire une réforme sans savoir ce qui est en place, c'est bien la preuve qu'on fait une réforme pour réformer...
Tu ne crois peut-être pas si bien dire : réformer n'importe quoi pour attaquer en plusieurs bandes le statut, ce statut si honni, si jalousé.
Ce sont les mêmes qui grenouillent dans les ministères depuis des lustres, qui tirent les ficelles. En changeant la fonction (le métier) autoritairement , l'organe (l'enseignant) se transforme. On le maintient plus longtemps, il fait plus de garderie pédagogique, et on gagne des postes. Pour y arriver, on le coupe de ses matières, il enseigne enfin pour enseigner (le verbe devient alors définitivement intransitif dans le contexte de l'EN), il ne peut plus se raccrocher à un contenu, il a désormais un "projet" dépendant non plus d'un savoir, mais des lubies du moment. Et pour fabriquer cet être neuf, on change évidemment sa formation, qui passe dans les mains des
Restera à trouver des candidats pur ce boulot, puisque déjà, ça ne sera plus parmi ceux qui aiment leur matière, déjà fort raréfiés... Mais ce sont de basses contingences, on n'arrête pas une "réforme" pour si peu, quand on est du bel-air.
Là, ils tiennent une marionnette, spécialiste des éléments de langage (son premier emploi dans le cursus honorum était porte-parole du gvt...) mais pas de l' E.N. . C'est le moment rêvé pour donner le coup de grâce, et en même temps se partager - ou donner des bouts de gras aux copains - les fromages qui seraient créés du même coup.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- User14996Niveau 10
Oui, tout cela, j'ai fini par le comprendre. Mais le ministre n'a-t-il vraiment aucune influence ? Tout de même, c'est son cabinet. Je ne suis pas encore très au fait de l'histoire de l'éducation, mais quand j'entend un homme aussi convaincu et riche d'idées que François Bayrou par exemple*, j'ai du mal à croire qu'il n'ait rien tenté une fois nommé ministre, pour ne faire que de la figuration. Suis-je naïf ?
* Oui, parce que pour NVB, ça m'étonne moins, faut dire...
* Oui, parce que pour NVB, ça m'étonne moins, faut dire...
- AudreyOracle
Si je me souviens bien, c'est Bayrou qui a réduit l'enseignement du grec, en le passant de la 4e à la 3e...
- archebocEsprit éclairé
Je me permets de relancer ici une branche de ce fil vieille de quelques pages.
Au sujet d'un billet de Zakhartchouk, Presse purée a écrit :
Presse-purée a écrit:Vous méprenez aussi les connaissances de l'auteur de ce billet sur les conflits internes aux LC: la référence à Veyne mise en face de celle à Romilly est riche de sens. On connaît la franche hostilité de la première face au second, hostilité politique et pédagogique.
(Je vous mets en lien un billet de blog assez touchant sur le sujet: Veyne, Romilly, cessez de vous chamailler, où l'auteur méconnait visiblement ces lignes de tension et se voit recadré par le premier commentaire).
Bref, notre ami Zakhartchouk se place résolument du côté de Veyne dans le combat contre l'aspect linguistique de notre discipline. Et, selon moi, nous sommes dans un moment de basculement de la discipline, qui quitte la littérature et la linguistique (au collège, via cette réforme, et à l'université) pour aller, si on nous le permet, vers l'anthropologie et l'histoire (histoire culturelle et histoire des idées).
Romilly donne à cette opposition une portée encore supérieure. Elle note que Paul Veyne a mis l'accent, dans son approche de l'antiquité gréco-latine, sur des aspects culturels qui signent la survivance de caractères proto-historique, rapprochant les sociétés antiques des sociétés primitives étudiées au XXe siècles par l'ethnologie et l'anthropologie. L'approche de Paul Veyne permet de montrer que les sociétés grecques et latines respirent encore les imaginaires primitifs, et ne sont donc pas si loin des arawaks, des jivaros et des papous.
Romilly répond que malgré ces traits primitifs, la littérature gréco-latine, dès son origine (Homère et Hésiode), porte une vocation à l'universel, et qu'à ce titre, elle est une des sources de l'universalisme de l'Occident.
L'approche de Paul Veyne permettrait ainsi de combattre l'européo-centrisme que porterait le culte de l'antiquité. Romilly rétorque que l'antiquité est exceptionnelle en ce qu'elle atteint, la première dans l'histoire de l'humanité, et sous une forme particulièrement distillée, une portée universelle.
On comprend l'arrière plan de Z. : Défendre les lumières ou défendre les humanités, c'est défendre une idéologie universaliste mais européenne. C'est donc défendre la suprématie de l'homme blanc. C'est donc réactionnaire.
Si Romilly est la thuriféraire de la Culture, celle qui élève et qui émancipe, Paul Veyne peut prendre le rôle finalement flatteur de défenseur des cultures, toutes à égalités. Ce qui se joue ici, ce n'est pas seulement un jeu de bascule entre disciplines ou entre sections du CNU. C'est le renversement de valeur illustré par Finkielkraut dans "la défaite de la pensée".
- doctor whoDoyen
Et moi, je pense que Zakhartchouck ne s'inscrit que superficiellement dans le débat Veyne / Romilly.
Il cite Paul Veyne parce que celui-ci a récemment fait une sortie pour réclamer le report de l'apprentissage des LA au post-bac.
Il mentionne Romilly parce qu'elle est la figure de proue des partisans des LA dès le secondaire.
C'est une position de polémiste ou de publiciste, pas de savant. (Je ne cherche pas à dire qu'il est inculte, attention ! Je ne le pense pas, d'ailleurs. Mais il ne faut pas donner à ses propos la profondeur qu'ils n'ont pas).
Il cite Paul Veyne parce que celui-ci a récemment fait une sortie pour réclamer le report de l'apprentissage des LA au post-bac.
Il mentionne Romilly parce qu'elle est la figure de proue des partisans des LA dès le secondaire.
C'est une position de polémiste ou de publiciste, pas de savant. (Je ne cherche pas à dire qu'il est inculte, attention ! Je ne le pense pas, d'ailleurs. Mais il ne faut pas donner à ses propos la profondeur qu'ils n'ont pas).
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- archebocEsprit éclairé
doctor who a écrit:Et moi, je pense que Zakhartchouck ne s'inscrit que superficiellement dans le débat Veyne / Romilly.
Il cite Paul Veyne parce que celui-ci a récemment fait une sortie pour réclamer le report de l'apprentissage des LA au post-bac.
Il mentionne Romilly parce qu'elle est la figure de proue des partisans des LA dès le secondaire.
C'est une position de polémiste ou de publiciste, pas de savant. (Je ne cherche pas à dire qu'il est inculte, attention ! Je ne le pense pas, d'ailleurs. Mais il ne faut pas donner à ses propos la profondeur qu'ils n'ont pas).
Jacqueline de Romilly est une grande scientifique, mais je n'ai lu d'elle que ses livres de publiciste. Tu veux dire que même ceux-là, Z. ne les a pas lus ?
Quoiqu'il en soit, je pense que le débat Veyne-Romilly est structurant pour l'ensemble des acteurs de l'éducation sur la question des langues anciennes, et que si les analyses de Z. sont superficielles, elles s'inscrivent parfaitement dans cette opposition profonde, non pas seulement disciplinaire, mais proprement politique et identitaire. D'où l'âpreté du débat.
- AudreyOracle
Info tout chaude et super nouvelle: https://www.neoprofs.org/t88121-philippe-brunet-fondateur-du-theatre-demodocos-nous-soutient-contre-la-reforme-et-il-vous-invite#2990361
- pamplemousses4Expert
Je reviens sur un point évoqué plus haut: qu'en est-il des deux pétitions sur le sujet, elles tournent actuellement en parallèle dans les réseaux des uns et des autres?
Cela a-t-il du sens de signer aussi celle de la cnarela, sachant que j'ai comme beaucoup ici signé la pétition initiée par Audrey -c'est celle que j'ai relayée d'ailleurs- et alors même que j'ai trouvé regrettables leur lenteur et les critiques adressées aux simples profs que nous sommes?
Je m'interroge, parce que le problème, ce n'est pas tant notre éventuelle susceptibilité, que l'efficacité de nos démarches. Plus de signatures partout pour plus de poids, ou le risque de se voir reprocher d'apparaître deux fois, ou la confirmation du fait que nous ne faisons pas front tout à fait unis?
Comme je ne suis en outre pas très au fait d'éventuelles dissensions idéologiques ou pédagogiques en amont, ni, remarquez, non plus des arcanes politiciennes des cabinets ministériels et de leurs prétextes fallacieux, je crains de ne manquer un peu de discernement.
Edit: bon, j'ai lu un autre fil à ce sujet, rayon "langues anciennes" (pardon, je débute sur néo), et j'ai moins de scrupules après les échanges d'hier avec Cripure...
Cela a-t-il du sens de signer aussi celle de la cnarela, sachant que j'ai comme beaucoup ici signé la pétition initiée par Audrey -c'est celle que j'ai relayée d'ailleurs- et alors même que j'ai trouvé regrettables leur lenteur et les critiques adressées aux simples profs que nous sommes?
Je m'interroge, parce que le problème, ce n'est pas tant notre éventuelle susceptibilité, que l'efficacité de nos démarches. Plus de signatures partout pour plus de poids, ou le risque de se voir reprocher d'apparaître deux fois, ou la confirmation du fait que nous ne faisons pas front tout à fait unis?
Comme je ne suis en outre pas très au fait d'éventuelles dissensions idéologiques ou pédagogiques en amont, ni, remarquez, non plus des arcanes politiciennes des cabinets ministériels et de leurs prétextes fallacieux, je crains de ne manquer un peu de discernement.
Edit: bon, j'ai lu un autre fil à ce sujet, rayon "langues anciennes" (pardon, je débute sur néo), et j'ai moins de scrupules après les échanges d'hier avec Cripure...
- Presse-puréeGrand sage
À noter ceci:
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/270315/les-langues-anciennes-peuvent-avoir-un-avenir
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/270315/les-langues-anciennes-peuvent-avoir-un-avenir
_________________
Homines, dum docent, discunt.Sénèque, Epistulae Morales ad Lucilium VII, 8
"La culture est aussi une question de fierté, de rapport de soi à soi, d’esthétique, si l’on veut, en un mot de constitution du sujet humain." (Paul Veyne, La société romaine)
"Soyez résolus de ne servir plus, et vous voilà libres". La Boétie
"Confondre la culture et son appropriation inégalitaire du fait des conditions sociales : quelle erreur !" H. Pena-Ruiz
"Il vaut mieux qu'un élève sache tenir un balai plutôt qu'il ait été initié à la philosophie: c'est ça le socle commun" un IPR
- doctor whoDoyen
Presse-purée a écrit:À noter ceci:
http://blogs.mediapart.fr/blog/claude-lelievre/270315/les-langues-anciennes-peuvent-avoir-un-avenir
Comme d'hab, C. Lelièvre fait le service après-vente.
_________________
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Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- De l'avenir des langues anciennes au collège en 2016: sortez vos mouchoirs.
- Professeurs d'allemand et de langues rares : la réalité du terrain, réforme 2016. (reconversion PE /CDE !)
- Entrée en vigueur des nouveaux programmes d'hist-géo collège : en 2016 ou à partir de 2016?
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