- PseudoDemi-dieu
ecogest a écrit:Pseudo a écrit:
C'est donc de l'envie. Voire de l'aigreur.
Si l'agreg est importante pour toi, monte des projets et obtiens la par LA. L'agreg, ce n'est jamais qu'un concours administratif, et un moyen de travailler moins pour gagner plus, pourquoi pas faire ce que l'administration demande ?
Comment ça ce n'est pas une promotion ? Mais c'est quoi alors ? Un titre aristocratique ?
Mais moi je m'en fiche, j'ai réussi le concours.
Ce n'est pas une promotion mais un autre concours, la hors-classe est justement la promotion pour les profs "méritants".
Edit : et j'ai préparé le concours pendant 2 ans avec d'autres collègues qui, malheureusement, n'ont pas réussi.
J'avoue ne pas vraiment faire un grosse différence entre concours ou promotion. Disons alors que c'est une promotion par concours :lol:
- OsmieSage
Promotion par un concours qui devrait rester disciplinaire !
- celitianSage
Pseudo a écrit:
J'avoue ne pas vraiment faire un grosse différence entre concours ou promotion. Disons alors que c'est une promotion par concours :lol:
Ah ben quand même, juste une toute petite différence au niveau du travail à fournir.
- PseudoDemi-dieu
Osmie a écrit:L'agrégation devrait rester un concours purement disciplinaire car au fond, ne sommes-nous pas là pour transmettre une discipline ? Que l'on trouve un autre machin pour les pros des projets, mais que l'on ne mélange pas tout.
Je n'aime pas beaucoup les affolés de projets, mais je crois aussi qu'on devrait arrêter de considérer l'agrégation comme un concours pour les princes du savoir disciplinaire. Car au fond, tous les profs ne sont-ils pas là pour transmettre une discipline, du vacataire à l'agrégé ?
_________________
"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- Isis39Enchanteur
J'avoue n'avoir jamais vu (en tout cas dans ma discipline) quelqu'un de glandeur obtenir l'agrégation par LA. Au contraire, elle a été donnée à des bosseurs acharnés.
- PseudoDemi-dieu
ecogest a écrit:Pseudo a écrit:
J'avoue ne pas vraiment faire un grosse différence entre concours ou promotion. Disons alors que c'est une promotion par concours :lol:
Ah ben quand même, juste une toute petite différence au niveau du travail à fournir.
Je n'ai pas beaucoup la culture du travail pour le travail. En chier pour en chier ne fait pas partie de ma philosophie. Je trouve d'ailleurs cela assez suspect.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- celitianSage
Pseudo a écrit:ecogest a écrit:Pseudo a écrit:
J'avoue ne pas vraiment faire un grosse différence entre concours ou promotion. Disons alors que c'est une promotion par concours :lol:
Ah ben quand même, juste une toute petite différence au niveau du travail à fournir.
Je n'ai pas beaucoup la culture du travail pour le travail. En chier pour en chier ne fait pas parti de ma philosophie. Je trouve d'ailleurs cela assez suspect.
Il y a quand même des objectifs au bout, outre le fait de mieux maitriser sa ou ses disciplines, les candidats font cela pour être payés correctement, être affectés dans d'autres classes, aller travailler ailleurs....et je ne vois pas e qu'il y a de suspect à vouloir continuer à apprendre.
- OsmieSage
Si, les profs sont tous là pour cela ; le CAPES aussi est, ou plutôt était, un concours disciplinaire. Heureusement que nous sommes recrutés sur ce que nous devons maîtriser. Le scandale est que l'agrégation n'existe pas pour toutes les disciplines.Pseudo a écrit:Osmie a écrit:L'agrégation devrait rester un concours purement disciplinaire car au fond, ne sommes-nous pas là pour transmettre une discipline ? Que l'on trouve un autre machin pour les pros des projets, mais que l'on ne mélange pas tout.
Je n'aime pas beaucoup les affolés de projets, mais je crois aussi qu'on devrait arrêter de considérer l'agrégation comme un concours pour les princes du savoir disciplinaire. Car au fond, tous les profs ne sont-ils pas là pour transmettre une discipline, du vacataire à l'agrégé ?
- PseudoDemi-dieu
ecogest a écrit:Pseudo a écrit:ecogest a écrit:
Ah ben quand même, juste une toute petite différence au niveau du travail à fournir.
Je n'ai pas beaucoup la culture du travail pour le travail. En chier pour en chier ne fait pas parti de ma philosophie. Je trouve d'ailleurs cela assez suspect.
Il y a quand même des objectifs au bout, outre le fait de mieux maitriser sa ou ses disciplines, les candidats font cela pour être payés correctement, être affectés dans d'autres classes, aller travailler ailleurs....et je ne vois pas e qu'il y a de suspect à vouloir continuer à apprendre.
Il n'y a rien de suspect à vouloir continuer d'apprendre. Imagine-toi que je le fais gratuitement, sans agrégation ni salaire supplémentaire au bout. Incroyable...
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- JPhMMDemi-dieu
Une bonne partie de mon travail se déroulant dans la boite noire cachée à l'intérieur de mon crâne, je me demande comment quelqu'un pourrait juger que je ne travaille pas.
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Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- celitianSage
Pseudo a écrit:ecogest a écrit:Pseudo a écrit:
Je n'ai pas beaucoup la culture du travail pour le travail. En chier pour en chier ne fait pas parti de ma philosophie. Je trouve d'ailleurs cela assez suspect.
Il y a quand même des objectifs au bout, outre le fait de mieux maitriser sa ou ses disciplines, les candidats font cela pour être payés correctement, être affectés dans d'autres classes, aller travailler ailleurs....et je ne vois pas e qu'il y a de suspect à vouloir continuer à apprendre.
Il n'y a rien de suspect à vouloir continuer d'apprendre. Imagine-toi que je le fais gratuitement, sans agrégation ni salaire supplémentaire au bout. Incroyable...
Donc on est bien d'accord, bosser pour préparer un concours n'est pas suspect.
- scot69Modérateur
En fait, pour revenir au sujet initial, que les collègues ne fichent rien chez eux, au lycée, dans leur salle de classe, devant les élèves... je m'en fiche totalement.
En revanche, j'ai plus de mal à accepter si cette fainéantise gêne les autres collègues dans leur travail.
En revanche, j'ai plus de mal à accepter si cette fainéantise gêne les autres collègues dans leur travail.
- Thalia de GMédiateur
C'est le contraire de ce que je dis à ma cops agrégée : "Tu l'as eue dans une pochette surprise"Isis39 a écrit:J'avoue n'avoir jamais vu (en tout cas dans ma discipline) quelqu'un de glandeur obtenir l'agrégation par LA. Au contraire, elle a été donnée à des bosseurs acharnés.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- lilith888Grand sage
Bien plus que ceux qui glandent, maintenant que je suis un peu plus impliquée au niveau syndical, ce qui commence sérieusement à m'affoler, c'est la servitude volontaire. Ceux qui s'écrasent devant les petits chefs qui n'ont de pouvoirs que ceux qu'ils s’octroient. Ce qui m'affole c'est la méconnaissance des textes qui permet de plus en plus de dérives. L'acceptation par lassitude ou par ignorance.
Pour moi, le vrai danger de l'EN, c'est ça (plus la disparition de plus en plus alarmante de ce qu'on nommait jadis "l'esprit critique"... Je ne suis même plus sûre que ce ne soit pas devenu un défaut pour certains chantres de la relève)
Pour moi, le vrai danger de l'EN, c'est ça (plus la disparition de plus en plus alarmante de ce qu'on nommait jadis "l'esprit critique"... Je ne suis même plus sûre que ce ne soit pas devenu un défaut pour certains chantres de la relève)
- nina67Niveau 5
D'accord avec Ancolie !
Les glandeurs m'indiffèrent...
En revanche, les obsédées du projet en tout genre, qui virevoltent à droite et à gauche (quand elles sont là)
me... fatiguent !
Les glandeurs m'indiffèrent...
En revanche, les obsédées du projet en tout genre, qui virevoltent à droite et à gauche (quand elles sont là)
me... fatiguent !
- DinaaaExpert spécialisé
JPhMM a écrit:Une bonne partie de mon travail se déroulant dans la boite noire cachée à l'intérieur de mon crâne, je me demande comment quelqu'un pourrait juger que je ne travaille pas.
Tout à fait ! Je réfléchis souvent à la façon de faire comprendre ce qu'est une apposition, à la formulation de mes questions dans le futur contrôle, au texte que je pourrais proposer pour rebondir sur ce dont on a parlé le matin-même en classe... en épluchant mes carottes ou en prenant ma douche.
Est-ce que c'est du travail ou non ? Ne peut-on travailler qu'assis à un bureau devant un livre ou un ordinateur ? Le travail de conception peut-il s'arrêter à 18h chaque jour ? Quand le dimanche à 15h je glande au fond de mon lit avec un livre et que brutalement je me dis "ça ce serait génial pour mes 4e, faut absolument que je mette un post-it pour penser à leur lire ce passage Jeudi prochain", est-ce que je travaille ou non ?
- leyadeEsprit sacré
+ 1
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Maggi is my way, Melfor is my church and Picon is my soutien. Oui bon je sais pas dire soutien en anglais.
LSU AP ENT HDA PAI PAP PPMS PPRE ULIS TICE PAF
- ProvençalLeGauloisExpert
Dans tous les boulots, il y a des glandeurs, des personnes qui brassent beaucoup de vents en prétendant travailler énormément et en se mettant en avant (ce sont les plus fatigants à mon avis), des personnes qui se noient dans un verre d'eau, des personnes à qui cela prend 5 heures de faire un boulot d'une et qui sont tout le temps débordées, des personnes qui font leur boulot normalement sans plus, des personnes qui bossent vite et efficacement donc potentiellement moins que d'autres, des personnes qui ne savent pas s'arrêter de bosser...
Ça regarde qui, à part eux-mêmes et leurs chefs tant qu'on ne se retrouve pas avec une charge de travail supplémentaire qu'ils ne peuvent assumer ?
Si le prof de la matière A est un "glandeur", cela donne-t-il plus de boulot à celui de la matière B ? J'en doute.
Ça regarde qui, à part eux-mêmes et leurs chefs tant qu'on ne se retrouve pas avec une charge de travail supplémentaire qu'ils ne peuvent assumer ?
Si le prof de la matière A est un "glandeur", cela donne-t-il plus de boulot à celui de la matière B ? J'en doute.
- celitianSage
Dinaaa a écrit:JPhMM a écrit:Une bonne partie de mon travail se déroulant dans la boite noire cachée à l'intérieur de mon crâne, je me demande comment quelqu'un pourrait juger que je ne travaille pas.
Tout à fait ! Je réfléchis souvent à la façon de faire comprendre ce qu'est une apposition, à la formulation de mes questions dans le futur contrôle, au texte que je pourrais proposer pour rebondir sur ce dont on a parlé le matin-même en classe... en épluchant mes carottes ou en prenant ma douche.
Est-ce que c'est du travail ou non ? Ne peut-on travailler qu'assis à un bureau devant un livre ou un ordinateur ? Le travail de conception peut-il s'arrêter à 18h chaque jour ? Quand le dimanche à 15h je glande au fond de mon lit avec un livre et que brutalement je me dis "ça ce serait génial pour mes 4e, faut absolument que je mette un post-it pour penser à leur lire ce passage Jeudi prochain", est-ce que je travaille ou non ?
Bien sur que c'est du travail !!! Le fait de réfléchir à nos cours, je trouve que c'est du travail.
Mais un "vrai glandeur" ne fait pas ça, j'ai eu l'occasion de travailler avec un champion qui notait les élèves au hasard (très drôle les CC où les délègues laissaient échapper qu'ils ne comprenaient pas les notes mais comme elles étaient bonnes, pas de suite), qui faisait cours à sa convenance, il arrivait devant la porte et disait au élèves qu'il n'avait pas envie de faire cours et se barrait (au bout d'un moment, le PA a fini par le pister et venait systématiquement à tous ses débuts de cours) et avec une telle assurance, qu'il aurait eu tort de se gêner.
J'ai eu aussi une collègue qui avait expliqué avec aplomb en CC que, d'un trimestre à l'autre,elle se contentait d'augmenter ses moyennes de 0.5 et qu'elle ne faisait aucune autre notation. Là aussi, très drôle et elle assumait totalement.
Personnellement, j'envie ce type de profs qui n'ont peur de rien et de personne.
- InvitéInvité
Il faut appeler un chat un chat, et cesser de faire des procès d'intention en hurlant à la délation bouh c'est mal !!!!!!
Un glandeur est visible dans une équipe, je parle du glandeur professionnel
Son boulot ne consiste plus à faire ce qui relève de son cœur de métier, car souvent il n'a plus à cœur ou le cœur de le faire son métier, à savoir enseigner.
Et ces glandeurs sont nuisibles aux élèves et aux collègues. Ce n'est d'ailleurs pas eux qui sont l'objet de cassage de sucre, généralement ils en sont même les instigateurs ... le vrai glandeur sait se faire une réputation d'intouchable aussi.
Un glandeur est visible dans une équipe, je parle du glandeur professionnel
Son boulot ne consiste plus à faire ce qui relève de son cœur de métier, car souvent il n'a plus à cœur ou le cœur de le faire son métier, à savoir enseigner.
Et ces glandeurs sont nuisibles aux élèves et aux collègues. Ce n'est d'ailleurs pas eux qui sont l'objet de cassage de sucre, généralement ils en sont même les instigateurs ... le vrai glandeur sait se faire une réputation d'intouchable aussi.
- celitianSage
ProvençalLeGaulois a écrit:Dans tous les boulots, il y a des glandeurs, des personnes qui brassent beaucoup de vents en prétendant travailler énormément et en se mettant en avant (ce sont les plus fatigants à mon avis), des personnes qui se noient dans un verre d'eau, des personnes à qui cela prend 5 heures de faire un boulot d'une et qui sont tout le temps débordées, des personnes qui font leur boulot normalement sans plus, des personnes qui bossent vite et efficacement donc potentiellement moins que d'autres, des personnes qui ne savent pas s'arrêter de bosser...
Ça regarde qui, à part eux-mêmes et leurs chefs tant qu'on ne se retrouve pas avec une charge de travail supplémentaire qu'ils ne peuvent assumer ?
Si le prof de la matière A est un "glandeur", cela donne-t-il plus de boulot à celui de la matière B ? J'en doute.
Non, mais à un autre prof de la matière A si tu récupères ses classes 'année d'après
- InvitéInvité
J'ai la désagréable impression que le glandeur, c'est le prof qui ne fait pas comme nous, en fait ( oui parce que faire des projets et être vantard n'est pas synonyme de ne rien faire, par exemple)
- LefterisEsprit sacré
Assez bonne définition du vrai glandeur, agité en surface, immobile en dessous, et se faisant passer pour le seul à bosser. A vrai dire , je m'en tape complètement , chacun fait ce qu'il veut. Mais il est fort pénible de récupérer des classes qui disent : "Avec Mme X, on avait 15 de moyenne, avec M. Machin, on ne comptait pas telle faute, avec Mme Truc, on faisait des sorties ...".johar a écrit:Il faut appeler un chat un chat, et cesser de faire des procès d'intention en hurlant à la délation bouh c'est mal !!!!!!
Un glandeur est visible dans une équipe, je parle du glandeur professionnel, celui qui justement brasse du vent, en étant de tous les fronts. Il monte x projets, se fait mousser pour des initiatives de type sorties bidons, participation aux réunions et instances, organisation des goûters et activités de l'amicale, c'est lui qui coupe la galette des rois en janvier et sert le mousseux ... Bref, le glandeur s'agite et te fait culpabiliser d'être trop discret, pas assez bien intégré etc.
Son boulot ne consiste plus à faire ce qui relève de son cœur de métier, car souvent il n'a plus à cœur ou le cœur de le faire son métier, à savoir enseigner.
Et ces glandeurs sont nuisibles aux élèves et aux collègues. Ce n'est d'ailleurs pas eux qui sont l'objet de cassage de sucre, généralement ils en sont même les instigateurs ... Alors parler de délation sur ce post c'est nier la réalité. On a de plus en plus de profs qui ne fichent rien, et quand tu récupères leurs élèves les années suivantes, tu en chies ... mais il faut rien dire, hein, parce que le vrai glandeur sait se faire une réputation d'intouchable aussi.
Que ces gens-là au moins fassent profil bas, c'est tout ce qu'on leur demande.
_________________
"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- celitianSage
holderfar a écrit:J'ai la désagréable impression que le glandeur, c'est le prof qui ne fait pas comme nous, en fait ( oui parce que faire des projets et être vantard n'est pas synonyme de ne rien faire, par exemple)
Sauf que notre métier c'est d'enseigner et, au bout de x voyages et sorties, tu fais cours à quel moment ?
Certains profs font cours entre deux projets mais tant que cela entraine un article dans le journal local, tout va bien.
- InvitéInvité
Travailler par projets, c'est aussi faire travailler les élèves.
Ça commence à me faire peur, cette façon de juger les collègues selon qu'ils travaillent ou non comme nous.
Ça commence à me faire peur, cette façon de juger les collègues selon qu'ils travaillent ou non comme nous.
- dandelionVénérable
Comme je l'ai signalé plus haut, le vrai glandeur ne travaille pas et ne pense pas au travail, si ce n'est pour l'éviter. C'est un être admirable qui a une fonction extrêmement importante dans l'EN: il démontre que l'on peut moins en faire sans risques, y compris bien souvent pour les élèves, contrairement à ce qui est indiqué ci- dessus.
Souvent, le glandeur a élaboré sa philosophie après bien des années de bons et loyaux services. Lassé d'apprendre d'une réforme à l'autre que ce qu'il faisait hier et qui remportait tant de succès est aujourd'hui considéré comme une vilenie absolue, ayant atteint le dernier échelon depuis quelque temps, et fort d'une expérience solide, le glandeur utilise toutes les failles de l'EN afin d'en faire le moins possible. Un peu cynique, revenu de tout et donc plein d'humour, le glandeur est souvent d'une compagnie agréable, et vous fera profiter aimablement de ses conseils. Rencontrer un vrai glandeur est donc un privilège, et il convient de lui témoigner les marques d'un respect amusé. Un jour, peut-être, nous aussi pourrons lui ressembler
Souvent, le glandeur a élaboré sa philosophie après bien des années de bons et loyaux services. Lassé d'apprendre d'une réforme à l'autre que ce qu'il faisait hier et qui remportait tant de succès est aujourd'hui considéré comme une vilenie absolue, ayant atteint le dernier échelon depuis quelque temps, et fort d'une expérience solide, le glandeur utilise toutes les failles de l'EN afin d'en faire le moins possible. Un peu cynique, revenu de tout et donc plein d'humour, le glandeur est souvent d'une compagnie agréable, et vous fera profiter aimablement de ses conseils. Rencontrer un vrai glandeur est donc un privilège, et il convient de lui témoigner les marques d'un respect amusé. Un jour, peut-être, nous aussi pourrons lui ressembler
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