- Roumégueur IerÉrudit
Un rapport mis en ligne à lire là : http://cache.media.education.gouv.fr/file/2014/10/1/2014-032_Structuration_EPLE_377101.pdf
Extraits :
"Alors que la recommandation du Parlement européen et du Conseil du 18 juin 2009 a stimulé les démarches qualité, la superposition de ces initiatives avec les dispositifs existants est perçue comme une source d’incohérence et rencontre l’incompréhension des acteurs de terrain. La mission considère que la situation actuelle est propice à une réorientation complète de la démarche qualité en établissement et à une clarification des deux concepts de labellisation lycée des métiers et de certification qualité."
"La mission a établi sept préconisations, résumées ci-dessous, portant sur quatre axes.
Donner un cadre de référence aux lycées polyvalents
Le lycée polyvalent est un des outils politiques de recomposition de l’offre de formation. La proximité immédiate des différentes voies de formation est un levier de meilleure gestion des parcours de formation, des passerelles et donc de réussite pour les jeunes. La polyvalence des établissements suppose un nombre minimal d’élèves par voie de formation et de remplir certaines conditions : dotation unique pour permettre une meilleure intégration des différents corps d’enseignants et un décloisonnement de la répartition des services, organisation des responsabilités et des espaces par pôles de formation et niveau d’études, vie de l’établissement partagée autour d’un projet unique garanti par la lettre de mission du chef d’établissement. Le statut particulier des LPO doit être reconnu.
Assurer le développement de réseaux d’actions en développant un pilotage par le projet et l’innovation
Les réseaux s’inscrivent dans le projet académique. Les corps d’inspection y ont une place déterminante pour accompagner les établissements dans la gestion de leur autonomie.
Accompagner l’autonomie des établissements en mobilisant l’animation pédagogique, notamment par les corps d’inspection autour des projets d’établissement (gestion de parcours différenciés via des passerelles mono et multi établissements, gestion flexible des emplois du temps, exploitation optimisée des périodes de formation en milieu professionnel, accompagnement de la certification intermédiaire et des CCF, mixité des publics sous toutes ses formes, etc.).
Pour une nouvelle démarche de labellisation
Un label doit reconnaître l’excellence des formations dans leur gestion des parcours, l’organisation des enseignements, les relations partenariales avec le monde économique et l’entreprise, l’inscription dans la formation tout au long de la vie. Il faut entièrement revisiter les critères, le périmètre et le mode d’obtention du label afin que le concept soit partagé par tous les acteurs, qu’ils soient du monde éducatif, économique ou
politique, associés à part égale à la délivrance du label. Le label est un outil du développement de la formation tout au long de la vie par l’accroissement des possibilités d’actions de l’établissement au sein de son territoire. Le label doit permettre des actions différenciées par rapport aux autres établissements si l’éducation nationale veut en faire une véritable promotion. C’est notamment vrai des actions pour faciliter l’adaptation à l’emploi et favoriser la mixité des publics.
Pour un développement et une généralisation d’une démarche qualité simplifiée
Une procédure d’auto-évaluation, à partir du cadre européen, est suffisante pour renforcer le pilotage des établissements dans une démarche d’amélioration continue de l’efficacité et l’équité de notre système d’éducation et de formation.
Séparer la démarche de labellisation lycée des métiers de la démarche qualité.
Généraliser à tous les établissements la mise en application de Qualéduc ; piloter nationalement la communication et le plan de développement"
Article du Café Péda qui en parle : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/23122014Article635549225354459136.aspx
Extraits :
"Alors que la recommandation du Parlement européen et du Conseil du 18 juin 2009 a stimulé les démarches qualité, la superposition de ces initiatives avec les dispositifs existants est perçue comme une source d’incohérence et rencontre l’incompréhension des acteurs de terrain. La mission considère que la situation actuelle est propice à une réorientation complète de la démarche qualité en établissement et à une clarification des deux concepts de labellisation lycée des métiers et de certification qualité."
"La mission a établi sept préconisations, résumées ci-dessous, portant sur quatre axes.
Donner un cadre de référence aux lycées polyvalents
Le lycée polyvalent est un des outils politiques de recomposition de l’offre de formation. La proximité immédiate des différentes voies de formation est un levier de meilleure gestion des parcours de formation, des passerelles et donc de réussite pour les jeunes. La polyvalence des établissements suppose un nombre minimal d’élèves par voie de formation et de remplir certaines conditions : dotation unique pour permettre une meilleure intégration des différents corps d’enseignants et un décloisonnement de la répartition des services, organisation des responsabilités et des espaces par pôles de formation et niveau d’études, vie de l’établissement partagée autour d’un projet unique garanti par la lettre de mission du chef d’établissement. Le statut particulier des LPO doit être reconnu.
Assurer le développement de réseaux d’actions en développant un pilotage par le projet et l’innovation
Les réseaux s’inscrivent dans le projet académique. Les corps d’inspection y ont une place déterminante pour accompagner les établissements dans la gestion de leur autonomie.
Accompagner l’autonomie des établissements en mobilisant l’animation pédagogique, notamment par les corps d’inspection autour des projets d’établissement (gestion de parcours différenciés via des passerelles mono et multi établissements, gestion flexible des emplois du temps, exploitation optimisée des périodes de formation en milieu professionnel, accompagnement de la certification intermédiaire et des CCF, mixité des publics sous toutes ses formes, etc.).
Pour une nouvelle démarche de labellisation
Un label doit reconnaître l’excellence des formations dans leur gestion des parcours, l’organisation des enseignements, les relations partenariales avec le monde économique et l’entreprise, l’inscription dans la formation tout au long de la vie. Il faut entièrement revisiter les critères, le périmètre et le mode d’obtention du label afin que le concept soit partagé par tous les acteurs, qu’ils soient du monde éducatif, économique ou
politique, associés à part égale à la délivrance du label. Le label est un outil du développement de la formation tout au long de la vie par l’accroissement des possibilités d’actions de l’établissement au sein de son territoire. Le label doit permettre des actions différenciées par rapport aux autres établissements si l’éducation nationale veut en faire une véritable promotion. C’est notamment vrai des actions pour faciliter l’adaptation à l’emploi et favoriser la mixité des publics.
Pour un développement et une généralisation d’une démarche qualité simplifiée
Une procédure d’auto-évaluation, à partir du cadre européen, est suffisante pour renforcer le pilotage des établissements dans une démarche d’amélioration continue de l’efficacité et l’équité de notre système d’éducation et de formation.
Séparer la démarche de labellisation lycée des métiers de la démarche qualité.
Généraliser à tous les établissements la mise en application de Qualéduc ; piloter nationalement la communication et le plan de développement"
Article du Café Péda qui en parle : http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/12/23122014Article635549225354459136.aspx
- JacqGuide spirituel
Extrait du Café Péda :
"[Le rapport] recommande "une dotation unique pour permettre une meilleure intégration des différents corps d’enseignants et un décloisonnement de la répartition des services (organisation des responsabilités et des espaces par pôles et niveaux, vie de l’établissement partagée autour d’un projet unique garanti par la lettre de mission du chef d’établissement, …)".
"[Le rapport] recommande "une dotation unique pour permettre une meilleure intégration des différents corps d’enseignants et un décloisonnement de la répartition des services (organisation des responsabilités et des espaces par pôles et niveaux, vie de l’établissement partagée autour d’un projet unique garanti par la lettre de mission du chef d’établissement, …)".
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