- OsmieSage
Je suis en train de finir le Journal d'une femme de chambre, de Mirbeau : c'est un beau texte, sordide et puissant à la fois. C'est rare que j'aie la nausée en lisant, mais là, un passage...Un homme tue un canard pour le repas de ses maîtres, à la "normande" : il le saisit, le coince entre ses cuisses (qui font rêver la narratrice) et lui enfonce doucement une épingle dans le crâne, puis touille lentement le contenu de ce crâne, pour le plaisir...je vous fais grâce de la suite.
Beau tableau de la bassesse humaine, beau tableau de l'enfer social ; ça prend aux tripes.
Beau tableau de la bassesse humaine, beau tableau de l'enfer social ; ça prend aux tripes.
- Reine MargotDemi-dieu
Je lis en ce moment Mara et Dann, de Doris Lessing, je conseille. C'est un roman d'anticipation (je ne savais pas avant qu'elle en avait écrit), qui se passe dans notre monde transformé en désert, où la civilisation actuelle s'est perdue, et menacé par la sécheresse. L'Afrique est devenue l'Ifrik, et les deux personnages, frère et soeur, tentent de survivre au milieu des dangers naturels et humains (les différentes villes et civilisations parcourues valent le détour).
_________________
Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- LeilEsprit éclairé
Un titre à ne pas rater de cette rentrée littéraire ...
http://www.bricabook.fr/2014/10/la-fractale-des-raviolis-pierre-raufast/
25è lecture de la rentrée littéraire.
http://www.bricabook.fr/2014/10/la-fractale-des-raviolis-pierre-raufast/
25è lecture de la rentrée littéraire.
_________________
http://www.bricabook.fr/
- YoKonokéFidèle du forum
Je viens de m'offrir le dernier Amélie Nothomb - Pétronille - .
Je suis pressée de le lire et je viendrai ensuite vous en parler ici.
Je suis pressée de le lire et je viendrai ensuite vous en parler ici.
_________________
«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
- Nom d'utilisateurNiveau 10
Une fois de plus ému par le genou de Leil, je me décide à placer ici un hommage à Jacques Pimpaneau dont est paru cette année le livre Chine : l'opéra classique - Promenade au jardin des poiriers (du nom d'un genre théâtral et d'une troupe de la dynastie des Tang), Les Belles Lettres, P., 2014.
Dans ses cours de littérature chinoise, ce grand dadais vêtu de sombre, la tête perpétuellement noyée dans des volutes de fumée de cigarette, égrainait anecdotes, paradoxes et historiettes, titillait les taoïstes et les bouddhistes, refaisait et défaisait des mondes. Jamais Pimpaneau ne parle "de" ou "sur" la littérature : il parle littérature, tout simplement. Il s'agit d'art, de rêve, de nous, quoi.
Dans ce livre, nulle référence pointue aux dernières (et passionnantes) recherches en musicologie chinoise, et quand il est dit "au début de ce siècle", c'est encore du XXe qu'il s'agit... (on ne dit pas merci, au passage, au relecteur des Belles Lettres, qui a non seulement laissé passer ces anachronismes, mais aussi laissé coquilles sur coquilles, n'a pas pris soin d'ajouter les tons sur les noms chinois etc.) Mais justement : Jacques Pimpaneau n'a rien a fiche de l'actualité, lui qui est dans le meilleur sens du terme notre contemporain. Et sachez que si ce livre est par endroit hérissé de références à des lieux, des gens et des pratiques si mal connus en Occident, c'est aussi qu'on s'amuse à ces catalogues destinés à faire fuir le lecteur pressé.
Un teaser parmi tant d'autres possibles : imaginerez-vous les diverses façons de disposer une table et une chaise sur une scène vide pour signifier qu'on se trouve à l'extérieur, à l'intérieur, dans la montagne ou encore qu'on franchit une muraille... (p. 145). Et alors, peut-être irez vous voir la représentation de la légende du Serpent blanc par la nouvelle troupe du théâtre de Pékin au Théâtre de la ville (Place du Châtelet, Paris) ?
Dans ses cours de littérature chinoise, ce grand dadais vêtu de sombre, la tête perpétuellement noyée dans des volutes de fumée de cigarette, égrainait anecdotes, paradoxes et historiettes, titillait les taoïstes et les bouddhistes, refaisait et défaisait des mondes. Jamais Pimpaneau ne parle "de" ou "sur" la littérature : il parle littérature, tout simplement. Il s'agit d'art, de rêve, de nous, quoi.
Dans ce livre, nulle référence pointue aux dernières (et passionnantes) recherches en musicologie chinoise, et quand il est dit "au début de ce siècle", c'est encore du XXe qu'il s'agit... (on ne dit pas merci, au passage, au relecteur des Belles Lettres, qui a non seulement laissé passer ces anachronismes, mais aussi laissé coquilles sur coquilles, n'a pas pris soin d'ajouter les tons sur les noms chinois etc.) Mais justement : Jacques Pimpaneau n'a rien a fiche de l'actualité, lui qui est dans le meilleur sens du terme notre contemporain. Et sachez que si ce livre est par endroit hérissé de références à des lieux, des gens et des pratiques si mal connus en Occident, c'est aussi qu'on s'amuse à ces catalogues destinés à faire fuir le lecteur pressé.
Un teaser parmi tant d'autres possibles : imaginerez-vous les diverses façons de disposer une table et une chaise sur une scène vide pour signifier qu'on se trouve à l'extérieur, à l'intérieur, dans la montagne ou encore qu'on franchit une muraille... (p. 145). Et alors, peut-être irez vous voir la représentation de la légende du Serpent blanc par la nouvelle troupe du théâtre de Pékin au Théâtre de la ville (Place du Châtelet, Paris) ?
- AnaxagoreGuide spirituel
Nom d'utilisateur a écrit: Et alors, peut-être irez vous voir la représentation de la légende du Serpent blanc par la nouvelle troupe du théâtre de Pékin au Théâtre de la ville (Place du Châtelet, Paris) ?
Vu à Marseille. Je ne suis pas assez connaisseur pour en faire un commentaire approfondi mais c'est à voir. Il faut que je me documente.
_________________
"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- AnagrammeFidèle du forum
Janne a écrit:Je suis en train de finir le Journal d'une femme de chambre, de Mirbeau : c'est un beau texte, sordide et puissant à la fois. C'est rare que j'aie la nausée en lisant, mais là, un passage...Un homme tue un canard pour le repas de ses maîtres, à la "normande" : il le saisit, le coince entre ses cuisses (qui font rêver la narratrice) et lui enfonce doucement une épingle dans le crâne, puis touille lentement le contenu de ce crâne, pour le plaisir...je vous fais grâce de la suite.
Beau tableau de la bassesse humaine, beau tableau de l'enfer social ; ça prend aux tripes.
C'est un de mes romans préférés.
- AnaxagoreGuide spirituel
Cette semaine il y aura si tout va bien:
Quelques pensées sur l'éducation de Locke.
Quelques pensées sur l'éducation de Locke.
_________________
"De même que notre esprit devient plus fort grâce à la communication avec les esprits vigoureux et raisonnables, de même on ne peut pas dire combien il s'abâtardit par le commerce continuel et la fréquentation que nous avons des esprits bas et maladifs." Montaigne
"Woland fit un signe de la main, et Jérusalem s'éteignit."
"On déclame contre les passions sans songer que c'est à leur flambeau que la philosophie allume le sien." Sade
- zeprofGrand sage
j'arrive au bout du 15e (et dernier ?) tome du Trône de Fer !
_________________
"La peur est le chemin vers le côté obscur: la peur mène à la colère, la colère mène à la haine, la haine… mène à la souffrance."
- JPhMMDemi-dieu
Anaxagore a écrit:Cette semaine il y aura si tout va bien:
Quelques pensées sur l'éducation de Locke.
_________________
Labyrinthe où l'admiration des ignorants et des idiots qui prennent pour savoir profond tout ce qu'ils n'entendent pas, les a retenus, bon gré malgré qu'ils en eussent. — John Locke
Je crois que je ne crois en rien. Mais j'ai des doutes. — Jacques Goimard
- OsmieSage
Je me régale en lisant Oblomov, roman russe écrit par Gontcharov et publié en 1859. Un vrai art de vivre : Oblomov, propriétaire terrien, reste cloué sur son lit, repoussant sans cesse ce qu'il doit faire et refusant de se lever, malgré les nombreuses sollicitations de ses amis, connaissances. Tout gravite autour du lit (et sans gaudriole).
- thrasybuleDevin
C'est un de mes livres de chevet! Ou de divan, en l'occurrence!
- Nom d'utilisateurNiveau 10
Grâce à l'extraordinaire traduction de Luba Jurgenson ! (zut, non, je suis dans mes livres, que diable fais-je ici)
- RellNiveau 6
J'ai terminé ce matin L'Amour et les forêts d'Eric Reinhardt.
Bouleversante histoire d'une prof de français originaire de Metz, amatrice des ouvrages dudit Eric Reinhardt, qui rencontre l'auteur et lui raconte - avec difficultés et interruptions (on comprend vite pourquoi) - sa vie de femme victime de harcèlement de la part de son mari, un pervers narcissique. Jusqu'au bout, une seule question : où cela s'arrêtera-t-il ?
De très beaux passages sur le pouvoir de la littérature, des références à Villiers de l'Isle-Adam (le personnage principal lui a consacré un mémoire), une réflexion sur le pouvoir d'autrui sur l'individu, sur les arbres des prairies et les arbres des forêts pour reprendre la somptueuse métaphore finale. Bref, j'ai été chamboulé.
Les Bonnes feuilles sur le roman : http://www.franceculture.fr/emission-les-bonnes-feuilles-eric-reinhardt-l-amour-et-les-forets-2014-08-04
Après, je m'attaque à Corinne ou l'Italie. J'aime beaucoup la personne de Madame de Staël mais je n'ai jamais lu un de ses ouvrages.
_________________
Classes 2020-2021 : deux classes de 1ère générale + HLP 1ère
"Le temps était encore ténébreux et sentant l'infélicité et calamité des Goths, qui avaient mis à destruction toute bonne littérature ; mais, par la bonté divine, la lumière et dignité a esté de mon âge rendue ès lettres [...] Maintenant toutes disciplines sont restituées, les langues instaurées, grecque, sans laquelle c'est honte que une personne se die savant, Hébraïque, Chaldaïque, Latine "[...]
François Rabelais, Les Horribles et Épouvantables Faits et Prouesses du très renommé Pantagruel, chap. 8, 1532.
- LouisBarthasExpert
« Les soupçons, largement partagés à l’aube de l’ère industrielle, lorsque l’impératif d’efficacité n’était pas hégémonique, ont laissé la place à une confiance accrue dans la technique et son pouvoir émancipateur à l’âge de l’industrialisme triomphant. L’imposition de la société industrielle au XIXe siècle a marginalisé pour un temps les résistances qui s’exprimaient sous des formes variées. Le capitalisme industriel a triomphé en construisant un accord généralisé sur la question des machines, c’est-à-dire en l’excluant du champ politique et de l’espace démocratique. La critique des technologies a dès lors été résorbée comme une attitude fondamentalement réactionnaire et, en tant que telle, condamnable à l’heure où dominait l’idéologie du « progrès ». Se moulant dans le confort de la rhétorique modernisatrice d’après 1945, l’historiographie a souvent présenté les critiques du « progrès technique » comme des régressions antihumanistes, des tentatives stériles d’un « retour à la terre » qui auraient préparé le terrain des fascismes. Cette représentation continue parfois de modeler certains jugements ; elle permet de discréditer à bon compte toute opinion protestataire alors même que les régimes fascistes et autoritaires du XXe siècle furent profondément technocratiques et modernisateurs, et que les critiques de la société technicienne furent souvent énoncés au nom d’idéaux égalitaires et émancipateurs.
Depuis deux siècles, mais avec un rythme de plus en plus soutenu depuis 1945, le consumérisme technologique s’est imposé comme le ciment des sociétés. À travers le déferlement des publicités et des discours futuristes, la technique semble être devenue notre destin et notre seul horizon. »
_________________
Chaque génération, sans doute, se croit vouée à refaire le monde. La mienne sait pourtant qu’elle ne le refera pas. Mais sa tâche est peut-être plus grande. Elle consiste à empêcher que le monde ne se défasse. - Albert Camus
Aller apprendre l'ignorance à l'école, c'est une histoire qui ne s'invente pas ! - Alexandre Vialatte
À quels enfants allons-nous laisser le monde ? - Jaime Semprun
Comme si, tous ceux qui n'approuvent pas les nouveaux abus étaient évidemment partisans des anciens. - Edmund Burke
Versaillais de droite et Versaillais de gauche doivent être égaux devant la haine du peuple. - Manifeste des proscrits de la Commune
- DimkaVénérable
J’ai lu Au guet-apens de Maître Mô. Ça reprend en partie son blog (ici), mais j’aime bien avoir le livre en tant qu’objet, et c’est un peu remanié (et je tiens vraiment à me péter le dos lors de mon prochain déménagement). En tous cas, ça fiche toujours une claque.
L’auteur est avocat pénaliste, chaque chapitre raconte une histoire issue de son expérience. Je trouve que ça va souvent à l’encontre des préjugés que l’on peut avoir, et surtout que ça nuance les choses, alors que les médias et le grand public vont souvent vers une approche manichéenne avec des figures clairement tranchées, alors que rien n’est jamais simple ou évident.
L’auteur est avocat pénaliste, chaque chapitre raconte une histoire issue de son expérience. Je trouve que ça va souvent à l’encontre des préjugés que l’on peut avoir, et surtout que ça nuance les choses, alors que les médias et le grand public vont souvent vers une approche manichéenne avec des figures clairement tranchées, alors que rien n’est jamais simple ou évident.
_________________
- Spoiler:
- pitchounetteExpert
Moi je vous présente les tribulations d'une cuisinière anglaise.
J'ai choisi ce livre car je me suis fais avoir "a inspiré downton abbey. J'espérais en apprendre plus sur les relations entre ceux d'en haut et ceux qui travaillent au sous sol. Je suis restée sur ma faim.
Mais bon le livre se lit très bien. Margaret Powell a décidé de nous raconter sa vie de cusinière anglaise. Il a y un long chapitre sur son enfance (les galères, les joies des petits riens). mais elle explique surtout comment elle est arrivée à choisir le métier de cuisinière.
Le reste est une simple présentation et description des familles dans lesquelles elle a travaillé. Elle détaille les conditions de travail, les relations avec le reste du personnel, les choses qu'elle devait faire. Il n'y a rien d'original ni de palpitant
Ce livre fait passer un bon moment. C'est agréable mais sans plus
J'ai choisi ce livre car je me suis fais avoir "a inspiré downton abbey. J'espérais en apprendre plus sur les relations entre ceux d'en haut et ceux qui travaillent au sous sol. Je suis restée sur ma faim.
Mais bon le livre se lit très bien. Margaret Powell a décidé de nous raconter sa vie de cusinière anglaise. Il a y un long chapitre sur son enfance (les galères, les joies des petits riens). mais elle explique surtout comment elle est arrivée à choisir le métier de cuisinière.
Le reste est une simple présentation et description des familles dans lesquelles elle a travaillé. Elle détaille les conditions de travail, les relations avec le reste du personnel, les choses qu'elle devait faire. Il n'y a rien d'original ni de palpitant
Ce livre fait passer un bon moment. C'est agréable mais sans plus
_________________
Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- coindeparadisGuide spirituel
Personnellement je ne me base pas sur tous les types d'intelligence mais sur les principales (logique et mathématique, kinesthésique, verbale et linguistique, visuelle et spatiale). L'ouvrage donne de vrais pistes concrètes (aménagement des coins jeux, achat de jeux de société...) et propose des activités différentes pour travailler la même compétence, selon des axes différents (rythmique, logique, verbal...). Certaines activités peuvent être évidentes pour un non débutant, mais l'ensemble reste riche et a sa place dans une bibliothèque, pour le compulser régulièrement.La théorie des intelligences multiples formulées, par Howard Gardner peut être adaptée à chaque contexte d'apprentissage et offre les avantages d'une pédagogie différenciée : l'enfant y est vu à travers ses formes d'intelligence . Une rapide synthèse de cette théorie, en début d'ouvrage, permet de mieux comprendre son réel apport dans la pédagogie. Fruit d'une expérimentation dans les classes de maternelle, il propose, dans une deuxième partie, un ensemble de modules visant des objectifs notionnels au programme du cycle 1. Au sein de chaque module, des unités sont traitées selon les 8 formes d'intelligence (verbale ; linguistique, logique ; mathématique, naturaliste, corporelle ; kinesthésique, musicale ; rythmique, visuelle ; spatiale, interpersonnelle, intrapersonnelle), permettant la présentation de savoirs sous des formes variées pour une meilleure assimilation par tous les enfants. L'organisation pédagogique et les modalités de mise en oeuvre des séquences sont décrites avec précision. Enfin, dans la troisième partie, les auteurs sont partis des grands domaines d'activités qui animent les classes maternelles. Ils ont cherché à les organiser selon les différents types d'intelligences, de telle sorte que chaque activité décrite relève principalement de l'une d'entre elles. Le DVD propose 10 films ainsi que les supports nécessaires à cette mise en oeuvre (une centaine de documents en couleurs) : album à imprimer, photos, textes... Ces documents peuvent être imprimés et photocopiés en A4 pour l'usage individuel des élèves, ou vidéoprojetés pour l'usage collectif (voire imprimés en A3). Une collection de formation professionnelle qui, par l'étroite articulation entre théorie et pratique, propose aux enseignants à la fois un outil de réflexion et un guide de terrain
- palomitaNeoprof expérimenté
:lol:Clodoald a écrit:Fleur Pellerin te remercie.
_________________
"La sagesse, c'est d'avoir des rêves suffisamment grands pour ne pas les perdre de vue lorsqu'on les poursuit"
Oscar wilde.
- CeladonDemi-dieu
Je viens de m'avaler les 500 et quelques pages du Suicide français. Année par année de 1970 à nos jours, dans les faits décisifs selon Zemmour.
Pas si horrifiée que cela. A part quelques pages.
Pas si horrifiée que cela. A part quelques pages.
- User14996Niveau 10
Oui, ça ne m'étonne pas. "Zemmour" en couverture suffit, l'enfumage médiatique fait le reste.Celadon a écrit:Je viens de m'avaler les 500 et quelques pages du Suicide français. Année par année de 1970 à nos jours, dans les faits décisifs selon Zemmour.
Pas si horrifiée que cela. A part quelques pages.
Et sinon, ça vaut le détour ou je peux passer mon chemin ?
- YoKonokéFidèle du forum
Faudrait envoyer un livre de Modiano à Fleur Pellerin !
Toujours pas commencé le dernier Amélie Nothomb pour ma part. Normal je traîne trop sur néo !
Toujours pas commencé le dernier Amélie Nothomb pour ma part. Normal je traîne trop sur néo !
_________________
«Plus on partage, plus on possède, voilà le miracle.» Léonard Nimoy
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum