Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- MarmontNiveau 9
Visiblement si, ils sont de la chair à canon et ce n'est pas neuf.
J'ai aussi été contractuel au départ et je n'ai jamais été mal traité par l'employeur. Bien au contraire : choyé, près de chez moi (ça j'ai compris ensuite, c'était pour éviter de me payer des frais de déplacement... ) avec des interlocuteurs sympas.
Par contre, une fois le concours en poche, j'ai été victime de toutes les vexations possibles : éloignement, mépris de l'ancienneté, infantilisation en IUFM et par mes IPR, affecté à des postes dont personne ne veut en zone de violence. J'ai une amie qui a le concours depuis plus de 10 ans et qui n'a toujours pas de poste fixe, se faisant balancer d'un coin à l'autre (chaînée sur plusieurs établissements, remplaçant les dépressifs et les suicidés - ce n'est malheureusement pas une blague !), comme quoi le traitement "chair à canon" peut continuer longtemps.
Bref, oui bien entendu, ce ne sont pas les collègues responsables de tout cela, mais bien le système.
Je n'écris pas cela pour décourager qui que ce soit, ni pour me plaindre - puisque le purgatoire est terminé depuis 6 ans -, mais bien pour expliquer que tout cela n'est malheureusement pas isolé et n'affecte pas seulement les fonctionnaires-stagiaires et qu'il n'y a pas de solution.
Et non, je ne leur reproche pas de râler - j'ai du me faire mal comprendre... - mais de leur montrer que cela ne sert souvent à rien et que c'est la "machine" qui a toujours raison, pas nous.
J'ai aussi été contractuel au départ et je n'ai jamais été mal traité par l'employeur. Bien au contraire : choyé, près de chez moi (ça j'ai compris ensuite, c'était pour éviter de me payer des frais de déplacement... ) avec des interlocuteurs sympas.
Par contre, une fois le concours en poche, j'ai été victime de toutes les vexations possibles : éloignement, mépris de l'ancienneté, infantilisation en IUFM et par mes IPR, affecté à des postes dont personne ne veut en zone de violence. J'ai une amie qui a le concours depuis plus de 10 ans et qui n'a toujours pas de poste fixe, se faisant balancer d'un coin à l'autre (chaînée sur plusieurs établissements, remplaçant les dépressifs et les suicidés - ce n'est malheureusement pas une blague !), comme quoi le traitement "chair à canon" peut continuer longtemps.
Bref, oui bien entendu, ce ne sont pas les collègues responsables de tout cela, mais bien le système.
Je n'écris pas cela pour décourager qui que ce soit, ni pour me plaindre - puisque le purgatoire est terminé depuis 6 ans -, mais bien pour expliquer que tout cela n'est malheureusement pas isolé et n'affecte pas seulement les fonctionnaires-stagiaires et qu'il n'y a pas de solution.
Non John, pas pour dépression à l'année - ce que la DRH m'avait proposé ! ( :shock: ).John a écrit:
Euh non, en cas de congé maladie on est payé, au moins temporairement.
Mais Marmont, ne serais-tu pas en train de reprocher à des gens de râler pour des motifs similaires à ceux qui t'ont fait râler autrefois ?
Et non, je ne leur reproche pas de râler - j'ai du me faire mal comprendre... - mais de leur montrer que cela ne sert souvent à rien et que c'est la "machine" qui a toujours raison, pas nous.
- JohnMédiateur
C'est un témoignage qui est juste, qui en rejoint de nombreux autres, et je ne comprends pas que "le système" ne les entende pas.Par contre, une fois le concours en poche, j'ai été victime de toutes les vexations possibles : éloignement, mépris de l'ancienneté, infantilisation en IUFM et par mes IPR, affectés à des postes dont personne ne veut en zone de violence. J'ai une amie qui a le concours depuis plus de 10 ans et qui n'a toujours pas de poste fixe, se faisant balancer d'un coin à l'autre (chaînée sur plusieurs établissements, remplaçant les dépressifs et les suicidés - ce n'est malheureusement pas une blague !), comme quoi le traitement "chair à canon" peut continuer longtemps.
Bref, oui bien entendu, ce ne sont pas les collègues responsables de tout cela, mais bien le système.
Je n'écris pas cela pour décourager qui que ce soit, ni pour me plaindre - puisque le purgatoire est terminé depuis 6 ans -, mais bien pour expliquer que tout cela n'est malheureusement pas isolé et n'affecte pas seulement les fonctionnaires-stagiaires.
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- MarmontNiveau 9
De plus j'ai remarqué que les IPR et les "formateurs" IUFM ne nous (les ex-contractuels devenus stagiaires) appréciaient pas - donc nous chargeaient de tout ce qu'ils pouvaient -, parce que nous avions de l'expérience et nous trouvions la formation infantilisante (tout comme les "visites-conseils" à la noix) et souvent mal adaptée.
Je les soupçonne de s'être "vengés" au moment des vœux de fin d'année et de m'affecter dans le pire collège de l'académie, situé à l'autre bout de mon domicile, sans avoir pris soin de tenir compte de l'ancienneté. Les syndicats ont répondu aux abonnés absents, parce qu'ils avaient peur de se frotter aux IPR en question.
Donc oui, je souhaite prévenir les fonctionnaires-stagiaires de se méfier de tous ces mouvements d'humeur. Certains sauront s'en souvenir le moment opportun. Après tout le monde ne se comporte pas de la sorte - heureusement d'ailleurs ! - mais des cas existent et il faut en avoir conscience.
Je les soupçonne de s'être "vengés" au moment des vœux de fin d'année et de m'affecter dans le pire collège de l'académie, situé à l'autre bout de mon domicile, sans avoir pris soin de tenir compte de l'ancienneté. Les syndicats ont répondu aux abonnés absents, parce qu'ils avaient peur de se frotter aux IPR en question.
Donc oui, je souhaite prévenir les fonctionnaires-stagiaires de se méfier de tous ces mouvements d'humeur. Certains sauront s'en souvenir le moment opportun. Après tout le monde ne se comporte pas de la sorte - heureusement d'ailleurs ! - mais des cas existent et il faut en avoir conscience.
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- coindeparadisGuide spirituel
L'EN a des années de retard en DRH, elle applique les méthodes des entreprises privées des années 80 : pressurisation, chantage, pensée unique... Aujourd'hui ces mêmes entreprises cultivent le bien-vivre de ses cadres comme moyen de bien les faire travailler (crèches, conciergeries, parkings avec possibilités de recharger vélos et voitures électriques...).
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Euh si . Cependant, au bout de trois mois en arrêt maladie, on perçoit un mi-traitement. La seule condition est d'avoir un arrêt maladie. C'est plutôt là que le problème se poserait.Marmont a écrit:Visiblement si, ils sont de la chair à canon et ce n'est pas neuf.
J'ai aussi été contractuel au départ et je n'ai jamais été mal traité par l'employeur. Bien au contraire : choyé, près de chez moi (ça j'ai compris ensuite, c'était pour éviter de me payer des frais de déplacement... ) avec des interlocuteurs sympas.
Par contre, une fois le concours en poche, j'ai été victime de toutes les vexations possibles : éloignement, mépris de l'ancienneté, infantilisation en IUFM et par mes IPR, affecté à des postes dont personne ne veut en zone de violence. J'ai une amie qui a le concours depuis plus de 10 ans et qui n'a toujours pas de poste fixe, se faisant balancer d'un coin à l'autre (chaînée sur plusieurs établissements, remplaçant les dépressifs et les suicidés - ce n'est malheureusement pas une blague !), comme quoi le traitement "chair à canon" peut continuer longtemps.
Bref, oui bien entendu, ce ne sont pas les collègues responsables de tout cela, mais bien le système.
Je n'écris pas cela pour décourager qui que ce soit, ni pour me plaindre - puisque le purgatoire est terminé depuis 6 ans -, mais bien pour expliquer que tout cela n'est malheureusement pas isolé et n'affecte pas seulement les fonctionnaires-stagiaires et qu'il n'y a pas de solution.Non John, pas pour dépression à l'année - ce que la DRH m'avait proposé ! ( :shock: ).John a écrit:
Euh non, en cas de congé maladie on est payé, au moins temporairement.
Mais Marmont, ne serais-tu pas en train de reprocher à des gens de râler pour des motifs similaires à ceux qui t'ont fait râler autrefois ?
Eat non, je ne leur reproche pas de râler - j'ai du me faire mal comprendre... - mais de leur montrer que cela ne sert souvent à rien et que c'est la "machine" qui a toujours raison, pas nous.
A part cela, en tant que titulaires, on est soumis à des règles, certes parfois compliquées, mais qui sont les mêmes pour tous et assorties à un système,' certes froid, de points. L'avantage, c'est que c'est le même pour tout le monde.
En revanche' imposer une formation aux stagaiires pendant les vacances est scandaleux
1) Car' ils ont besoin de repos, nécessité aggravée apr leurs conditions d'entrée dans le métier.
2) On profite de leur situation de stagiaires pour leur imposer cela.
Après, on est titulaire, on connaît ou on est censé connaître les règles du jeu.
- coindeparadisGuide spirituel
Merci Ingeborg.
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- MarmontNiveau 9
Je connais pas mal de monde pour qui ce choix - proposé par l'employeur... - était synonyme de non-choix en définitive. Faut arrêter deux minutes : en début de carrière, mi-traitement c'est pratiquement le RSA, sans ce qui va avec...Ingeborg B. a écrit:Euh si . Cependant, au bout de trois mois en arrêt maladie, on perçoit un mi-traitement.
Personne ne peut se permettre ça.
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Cel06Niveau 5
On ne passe pas le concours après des années de non titulaire pour opter pour un arrêt même si l'affectation imposée est loin. Dans ce cas on va voir ailleurs: démission
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Moi je parle de gens réellement malades et qui n'ont pas le choix.... Si tu es réellement malade, souffrant d'une dépression ou d'une longue maladie, tu bénéficies d'un congé longue maladie et tu perçois 100 % de ton salaire. Dans les autres cas, on a le choix et on s'adapte aux règles de la fonction publique ou on démissionne, point. C'est la contre-partie du statut de fonctionnaire.Marmont a écrit:Je connais pas mal de monde pour qui ce choix - proposé par l'employeur... - était synonyme de non-choix en définitive. Faut arrêter deux minutes : en début de carrière, mi-traitement c'est pratiquement le RSA, sans ce qui va avec...Ingeborg B. a écrit:Euh si . Cependant, au bout de trois mois en arrêt maladie, on perçoit un mi-traitement.
Personne ne peut se permettre ça.
J'ai lu ici de nombreux stagaires qui sont prêts à accepter ces conditions l'an prochain. Ils demandent juste que leur entrée dans le métier se fasse dans de meilleures conditions. Ce n'est pas le cas pour l'instant.
- MarmontNiveau 9
S'adapter aux "règles" ? De quelles règles parle-t-on lorsque celles-ci sont justement contournées par sa hiérarchie et que la DRH ne vous propose comme solution que la "mise en dépression" alors que vous êtes en pleine forme ?
Le conseil de la démission, lorsque la situation ne vous plait pas, est des plus humains, représentatif du système que nous évoquions plus haut... :|
Le conseil de la démission, lorsque la situation ne vous plait pas, est des plus humains, représentatif du système que nous évoquions plus haut... :|
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Les règles sont celles des mutations avec des points, tout çà.... Tout le monde est logé à la même enseigne. Si quelqu'un obtient une mutation à 200 km de chez lui et que cela correspond à son barème, on respecte une règle. Là, tu souhaitais qu'on déroge à la règle en fonction de ton cas individuel. Mais dans ce cas, comment fait-on ? On mute d'office un collègue pour que tu prennes son poste ? On crée un poste spécialement ppur toi alors que ce n'est pas nécessaire ?Marmont a écrit:S'adapter aux "règles" ? De quelles règles parle-t-on lorsque celles-ci sont justement contournées par sa hiérarchie et que la DRH ne vous propose comme solution que la "mise en dépression" alors que vous êtes en pleine forme ?
Le conseil de la démission, lorsque la situation ne vous plait pas, est des plus humains, représentatif du système que nous évoquions plus haut... :|
Explique-moi quel système permettrait de résoudre cette équation impossible. A moins d'organiser des migrations forcées d'élèves, je ne vois pas comment c'est possible
- MarmontNiveau 9
Euh... je comprends pas bien ce que les 200kms et le reste viennent faire ici.
On échangeait sur une proposition de la hiérarchie de "mise en dépression" pour le reste de l'année, ce qui ne me semblait justement pas très honnête par rapport "aux règles" en question.
On échangeait sur une proposition de la hiérarchie de "mise en dépression" pour le reste de l'année, ce qui ne me semblait justement pas très honnête par rapport "aux règles" en question.
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Ingeborg B.Esprit éclairé
Tu as tout de même écrit dans deux messages de la page précédente que tu avais été balancé à 200 km de chez toi' non ? Au passgae' tu affrimes que ce sont les IPR qui ont décidé de cette mutation et tu incrimines même les syndicats qui auraient peur des IPR. Soit, ton compte a été piraté, soit tu t'es mal exprimé. Dans tous les cas 1) les IPR n'interviennent pas dans les mutations' sauf pour les postes à profil 2) Les syndicats n'ont pas peur des IPR . 3) S' il y avait eu une erreur réelle sur ton barème, les syndicats seraient intervenus.Marmont a écrit:Euh... je comprends pas bien ce que les 200kms et le reste viennent faire ici.
On échangeait sur une proposition de la hiérarchie de "mise en dépression" pour le reste de l'année, ce qui ne me semblait justement pas très honnête par rapport "aux règles" en question.
Ils t'ont envoyé balader méchamment mais que voulais-tu qu'ils te proposent ?
Sinon, pour en revenir au sujet qui ne concernait pas ta situation personnelle, oui c'est scandaleux que les cours de stagaires soient planifiés en fonction de formateurs qui ne seraient pas en vacances à la Toussaint. Le formateur devrait s' adapter aux besoins du stagiaire et non l'inverse.
Quand je lis qu'on impose aussi des cours jusqu'à 19 h, je trouve cela inadmissible. J'imagine que cela arrange les formateurs qui peuvent ainsi alléger leur semaine.
Je me demande comment un stagiaire peut assurer des cours corrects dans ces conditions. Pourtant, mais je me trompe peut-être, c'est sa mission principale.
- coindeparadisGuide spirituel
C'est justement ce que j'ai reproché au système d'affectation des stagiaires dans certaines académies : pas de respect des barèmes mais affectation "à la tête du client".Ingeborg B. a écrit:
Les règles sont celles des mutations avec des points, tout çà.... Tout le monde est logé à la même enseigne. Si quelqu'un obtient une mutation à 200 km de chez lui et que cela correspond à son barème, on respecte une règle. L
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- MarmontNiveau 9
Tu avais placé en gras dans ta réponse le sujet de la dépression, nous avons échangé là-dessus.Ingeborg B. a écrit:Tu as tout de même écrit dans deux messages de la page précédente que tu avais été balancé à 200 km de chez toi' non ? Au passgae' tu affrimes que ce sont les IPR qui ont décidé de cette mutation et tu incrimines même les syndicats qui auraient peur des IPR. Soit, ton compte a été piraté, soit tu t'es mal exprimé. Dans tous les cas 1) les IPR n'interviennent pas dans les mutations' sauf pour les postes à profil 2) Les syndicats n'ont pas peur des IPR . 3) S' il y avait eu une erreur réelle sur ton barème, les syndicats seraient intervenus.Marmont a écrit:Euh... je comprends pas bien ce que les 200kms et le reste viennent faire ici.
On échangeait sur une proposition de la hiérarchie de "mise en dépression" pour le reste de l'année, ce qui ne me semblait justement pas très honnête par rapport "aux règles" en question.
Ils t'ont envoyé balader méchamment mais que voulais-tu qu'ils te proposent ?
Sinon, pour en revenir au sujet qui ne concernait pas ta situation personnelle, oui c'est scandaleux que les cours de stagaires soient planifiés en fonction de formateurs qui ne seraient pas en vacances à la Toussaint. Le formateur devrait s' adapter aux besoins du stagiaire et non l'inverse.
Quand je lis qu'on impose aussi des cours jusqu'à 19 h, je trouve cela inadmissible. J'imagine que cela arrange les formateurs qui peuvent ainsi alléger leur semaine.
Je me demande comment un stagiaire peut assurer des cours corrects dans ces conditions. Pourtant, mais je me trompe peut-être, c'est sa mission principale.
Aussi, je n'avais pas l'impression que ta réponse concernait l'ensemble de mon message (encore moins le contenu de tes premiers messages). Donc, si tu faisais allusion dès le départ à cette expérience personnelle, il fallait l'écrire clairement.
Pour le reste, je n'ai pas envie de m'étendre ici, mais il est faux de croire qu'un IPR ne peut pas intervenir pas à la fin de l'année de stage pour les affectations à suivre.
Quant aux formateurs des ESPE, je n'en sais rien, n'en étant pas un. Je sais simplement que certains tentent de persuader la direction de faire le moins de cours possible au moment des vacances scolaires, mais cela ne fonctionne pas toujours.
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Isis39Enchanteur
Marmont a écrit:Tu avais placé en gras dans ta réponse le sujet de la dépression, nous avons échangé là-dessus.Ingeborg B. a écrit:Tu as tout de même écrit dans deux messages de la page précédente que tu avais été balancé à 200 km de chez toi' non ? Au passgae' tu affrimes que ce sont les IPR qui ont décidé de cette mutation et tu incrimines même les syndicats qui auraient peur des IPR. Soit, ton compte a été piraté, soit tu t'es mal exprimé. Dans tous les cas 1) les IPR n'interviennent pas dans les mutations' sauf pour les postes à profil 2) Les syndicats n'ont pas peur des IPR . 3) S' il y avait eu une erreur réelle sur ton barème, les syndicats seraient intervenus.Marmont a écrit:Euh... je comprends pas bien ce que les 200kms et le reste viennent faire ici.
On échangeait sur une proposition de la hiérarchie de "mise en dépression" pour le reste de l'année, ce qui ne me semblait justement pas très honnête par rapport "aux règles" en question.
Ils t'ont envoyé balader méchamment mais que voulais-tu qu'ils te proposent ?
Sinon, pour en revenir au sujet qui ne concernait pas ta situation personnelle, oui c'est scandaleux que les cours de stagaires soient planifiés en fonction de formateurs qui ne seraient pas en vacances à la Toussaint. Le formateur devrait s' adapter aux besoins du stagiaire et non l'inverse.
Quand je lis qu'on impose aussi des cours jusqu'à 19 h, je trouve cela inadmissible. J'imagine que cela arrange les formateurs qui peuvent ainsi alléger leur semaine.
Je me demande comment un stagiaire peut assurer des cours corrects dans ces conditions. Pourtant, mais je me trompe peut-être, c'est sa mission principale.
Aussi, je n'avais pas l'impression que ta réponse concernait l'ensemble de mon message (encore moins le contenu de tes premiers messages). Donc, si tu faisais allusion dès le départ à cette expérience personnelle, il fallait l'écrire clairement.
Pour le reste, je n'ai pas envie de m'étendre ici, mais il est faux de croire qu'un IPR ne peut pas intervenir pas à la fin de l'année de stage pour les affectations à suivre.
Quant aux formateurs des ESPE, je n'en sais rien, n'en étant pas un. Je sais simplement que certains tentent de persuader la direction de faire le moins de cours possible au moment des vacances scolaires, mais cela ne fonctionne pas toujours.
Non mais c'est faux !!!
- coindeparadisGuide spirituel
Tu peux expliquer s'il te plaît ?Pour le reste, je n'ai pas envie de m'étendre ici, mais il est faux de croire qu'un IPR ne peut pas intervenir pas à la fin de l'année de stage pour les affectations à suivre.
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- JohnMédiateur
Peut-être si le stagiaire est titularisé TZR dans l'académie ?
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- coindeparadisGuide spirituel
Ah oui, ma grosse crainte : rester à vie dans cette académie hors la loi !
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- MarmontNiveau 9
Il n'y a pas que dans le cas des TZR.
J'ai souvenir d'un camarade de promo, à barème très faible, qui est resté dans son établissement de stage (un lycée qui demandait à cette date plus de 600 points de barème...) : l'IPR a demandé au CDE que les nombreux BMP du bahut soient transformés en poste pour le stagiaire en question. L'année suivante, le poste était effectif, le camarade en place et il n'a pas bougé depuis. Il y avait deux autres stagiaires avec lui dans cet établissement.
Tant mieux pour lui, tant pis pour les deux autres.
Mais, arrêtons de croire que les IPR ne peuvent pas intervenir à la fin de l'année de stage, je ne parle même pas des postes en prépa et du reste et que les affectations ne se fondent que sur le barème.
J'ai souvenir d'un camarade de promo, à barème très faible, qui est resté dans son établissement de stage (un lycée qui demandait à cette date plus de 600 points de barème...) : l'IPR a demandé au CDE que les nombreux BMP du bahut soient transformés en poste pour le stagiaire en question. L'année suivante, le poste était effectif, le camarade en place et il n'a pas bougé depuis. Il y avait deux autres stagiaires avec lui dans cet établissement.
Tant mieux pour lui, tant pis pour les deux autres.
Mais, arrêtons de croire que les IPR ne peuvent pas intervenir à la fin de l'année de stage, je ne parle même pas des postes en prépa et du reste et que les affectations ne se fondent que sur le barème.
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- JohnMédiateur
Il a demandé que les BMP du bahut soient transormfés en poste fixe, ça c'est faisable. Mais pour l'affectation du stagiaire, c'est forcément le rectorat qui est responsable, et tout a été suivi en CAPA.l'IPR a demandé au CDE que les nombreux BMP du bahut soient transformés en poste pour le stagiaire en question
Oui mais ça, forcément, c'est hors barème.je ne parle même pas des postes en prépa et du reste
_________________
En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- NormandyxNeoprof expérimenté
le "système est responsable", bah oui, peut être, mais qui parmi ceux qui ont plus d'ancienneté est volontaire pour déménager et laisser son poste à ce débutant?
Peut être faudrait il revoir l'information des candidats aux concours ou même leur faire signer comme les anesthésistes, une décharge précisant qu'en cas de réussite au concours, ils pourront être nommé sur toute l'académie pour les PE ou sur toute la France pour les agrégés et autres profs...
Si vraiment ça les coince, qu'ils optent pour un établissement privé, ils ont toutes leurs chances, vu les recrutements du privé.
Peut être faudrait il revoir l'information des candidats aux concours ou même leur faire signer comme les anesthésistes, une décharge précisant qu'en cas de réussite au concours, ils pourront être nommé sur toute l'académie pour les PE ou sur toute la France pour les agrégés et autres profs...
Si vraiment ça les coince, qu'ils optent pour un établissement privé, ils ont toutes leurs chances, vu les recrutements du privé.
- MarmontNiveau 9
C'est ce que je pensais aussi auparavant...John a écrit:Il a demandé que les BMP du bahut soient transformés en poste fixe, ça c'est faisable. Mais pour l'affectation du stagiaire, c'est forcément le rectorat qui est responsable, et tout a été suivi en CAPA.l'IPR a demandé au CDE que les nombreux BMP du bahut soient transformés en poste pour le stagiaire en question
_________________
"Tous pour un, chacun pour soi"... Non, ça doit pas être ça...
- Pierre-HenriHabitué du forum
Normandyx a écrit:
Si vraiment ça les coince, qu'ils optent pour un établissement privé, ils ont toutes leurs chances, vu les recrutements du privé.
Euh... j'ignore quelle est la situation dans les autres disciplines, mais en lettres modernes, la barre d'admission au CAPES est à 7.15 et celle du CAFEP à 10.3, alors qu'il s'agit des mêmes épreuves. Cela fait plus de trois points en faveur du privé.
- NormandyxNeoprof expérimenté
tu m'étonnes, si je n'étais si près de la quille, quitte à ne pas changer de métier, j'irais exercer dans le privé.
mais si c'est la localisation qui les bloque, il me semble que dans les établissements privés on est embauché par un établissement, donc on sait où on est et où on va. Les difficultés d'affectations sont liées à l'entrée plus tardive dans la vie professionnelle, quand les gens ont déjà construit leur vie personnelle, mais il y presque 40 ans, c'était pareil, il fallait aller dans les régions les moins demandées et sur les postes qui n'étaient pas les plus demandés.
mais si c'est la localisation qui les bloque, il me semble que dans les établissements privés on est embauché par un établissement, donc on sait où on est et où on va. Les difficultés d'affectations sont liées à l'entrée plus tardive dans la vie professionnelle, quand les gens ont déjà construit leur vie personnelle, mais il y presque 40 ans, c'était pareil, il fallait aller dans les régions les moins demandées et sur les postes qui n'étaient pas les plus demandés.
- coindeparadisGuide spirituel
Le problème c'est que dans certaines académies les syndicats n'ont plus le droit de siéger en CAPA...John a écrit:Il a demandé que les BMP du bahut soient transormfés en poste fixe, ça c'est faisable. Mais pour l'affectation du stagiaire, c'est forcément le rectorat qui est responsable, et tout a été suivi en CAPA.l'IPR a demandé au CDE que les nombreux BMP du bahut soient transformés en poste pour le stagiaire en question
Oui mais ça, forcément, c'est hors barème.je ne parle même pas des postes en prépa et du reste
_________________
Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
Page 4 sur 5 • 1, 2, 3, 4, 5
- vacances scolaires 2014 2015 (et rentrée 2014)
- Faute de remplaçant, certains professeurs stagiaires doivent renoncer à leurs 15 jours de formation.
- Dans le 94, première conséquence des rythmes scolaires : désorganisation de la rentrée 2014
- Rapport de la DGRH sur la formation des stagiaires : Les stagiaires sont très demandeurs, en formation personnalisée, d'un droit de tirage dans le PAF.
- Concours scolaires 2014-2015 pour mobiliser vos élèves de primaire, de collège et de lycée.
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum