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- cléliaFidèle du forum
Je comprends bien la volonté de socialiser ces enfants. J'ai d'ailleurs une année travaillé avec une collègue d'ulis : on avait monté un projet qui réunissait sa classe et ma classe de 5e une heure par semaine. Mais placer 4h par semaine un élève de niveau GS dans une classe de 6e en français, je suis sceptique...
- neoprof3463Niveau 7
oceanovox a écrit:ycombe a écrit:Autrement dit, tu fais garderie. J'admire ton dévouement, ça serait moi il reste au fond sans rien faire. Réclame toujours quelques HSE, en insistant le CdE t'en trouveras peut être une ou deux par mois, pour compenser un peu.neoprof3463 a écrit:Non, rien du tout, il vient en cours avec les autres et on fait ce qu'on peut avec nous a-t-on dit...
Tu devrais trouver des pistes de travail sur des sites alimentés par des PE. Je pense notamment à Lutinbazar qui regorge de fiches ludiques et particulièrement bien conçues.
un exemple : http://www.lutinbazar.fr/documentaires-animaliers-a1171164
Travailler à partir d'albums ou de BD me semble être une bonne idée. Sinon, pourquoi ne pas faire acheter (par le collège) un cahier de vacances niveau CE1/CE2 que l'élève pourrait utiliser en maths et français?
Il ne sait pas écrire, il ne sait même pas épeler son prénom, c est pour cela que tout doit passer par l'oral ou par des activités qu'il peut faire seul...
- ycombeMonarque
Je ne suis pas Mère Thérésa. Ajouter dans une classe de sixième (déjà surchargée à priori) un gamin dont l'âge mental est de trois ans −autrement dit qui n'a aucune chance de comprendre quoi que ce soit à un cours de sixième, quelle que soit la matière− est scandaleux. Nous ne sommes pas là pour faire garderie, et nous avons l'obligation de traiter le programme de sixième pour les autres élèves.oceanovox a écrit:Les parents d'enfants handicapés n'ont malheureusement pas fini de se battre...ycombe a écrit:Autrement dit, tu fais garderie. J'admire ton dévouement, ça serait moi il reste au fond sans rien faire. Réclame toujours quelques HSE, en insistant le CdE t'en trouveras peut être une ou deux par mois, pour compenser un peu.neoprof3463 a écrit:Non, rien du tout, il vient en cours avec les autres et on fait ce qu'on peut avec nous a-t-on dit...
Si c'est fait en proposant une décharge pour compenser le temps nécessaire à la prise en charge particulière, je veux bien qu'on puisse discuter −si l'enseignant est formé. Mais là, on nous demanderait −sur le même temps de travail puisqu'aucune décharge n'est prévue− de prendre du temps pour un handicap lourd, et donc de consacrer moins de temps aux autres élèves de la classe? Je ne suis pas d'accord! Je le dit: ce serait moi il reste au fond de la classe sans rien faire.
Je rappelle juste que les ULIS et autres institutions spécialisées ne sont pas à 30 élèves par classe.
Ceci dit, j'ai eu il y a quelques années un élève en troisième atteint du syndrôme d'Asperger, qui avait un avs. Ça c'est très bien passé, il est actuellement au lycée et ça continue à bien se passer (sans avs depuis la seconde). Ça ne me pose pas de problème que des élèves handicapés soient scolarisés en classe normale, à condition que leur handicap leur permette de suivre une scolarité à peu près normale. Ici on parle de facultés intellectuelles d'un enfant de trois ans.
Il me semble aussi que cet enfant aurait plus de chance de progresser avec une prise en charge spécialisée.
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Assurbanipal: "Passant, mange, bois, divertis-toi ; tout le reste n’est rien".
Franck Ramus : "Les sciences de l'éducation à la française se font fort de produire un discours savant sur l'éducation, mais ce serait visiblement trop leur demander que de mettre leur discours à l'épreuve des faits".
- neoprof3463Niveau 7
clélia a écrit:Je comprends bien la volonté de socialiser ces enfants. J'ai d'ailleurs une année travaillé avec une collègue d'ulis : on avait monté un projet qui réunissait sa classe et ma classe de 5e une heure par semaine. Mais placer 4h par semaine un élève de niveau GS dans une classe de 6e en français, je suis sceptique...
Je comprends également ton sentiment. Mon but ne sera pas faire de lui un génie, mais lui trouver des activités à sa portée plutôt que le laisser gentiment au fond de la salle je pense que ça peut être faisable, au moins le temps de lui trouver une classe adaptée...
- neoprof3463Niveau 7
ycombe a écrit:Je ne suis pas Mère Thérésa. Ajouter dans une classe de sixième (déjà surchargée à priori) un gamin dont l'âge mental est de trois ans −autrement dit qui n'a aucune chance de comprendre quoi que ce soit à un cours de sixième, quelle que soit la matière− est scandaleux. Nous ne sommes pas là pour faire garderie, et nous avons l'obligation de traiter le programme de sixième pour les autres élèves.oceanovox a écrit:Les parents d'enfants handicapés n'ont malheureusement pas fini de se battre...ycombe a écrit:
Autrement dit, tu fais garderie. J'admire ton dévouement, ça serait moi il reste au fond sans rien faire. Réclame toujours quelques HSE, en insistant le CdE t'en trouveras peut être une ou deux par mois, pour compenser un peu.
Si c'est fait en proposant une décharge pour compenser le temps nécessaire à la prise en charge particulière, je veux bien qu'on puisse discuter −si l'enseignant est formé. Mais là, on nous demanderait −sur le même temps de travail puisqu'aucune décharge n'est prévue− de prendre du temps pour un handicap lourd, et donc de consacrer moins de temps aux autres élèves de la classe? Je ne suis pas d'accord! Je le dit: ce serait moi il reste au fond de la classe sans rien faire.
Je rappelle juste que les ULIS et autres institutions spécialisées ne sont pas à 30 élèves par classe.
Ceci dit, j'ai eu il y a quelques années un élève en troisième atteint du syndrôme d'Asperger, qui avait un avs. Ça c'est très bien passé, il est actuellement au lycée et ça continue à bien se passer (sans avs depuis la seconde). Ça ne me pose pas de problème que des élèves handicapés soient scolarisés en classe normale, à condition que leur handicap leur permette de suivre une scolarité à peu près normale. Ici on parle de facultés intellectuelles d'un enfant de trois ans.
Il me semble aussi que cet enfant aurait plus de chance de progresser avec une prise en charge spécialisée.
Dans son dossier il est inscrit qu'il est capable de comprendre certaines choses à l'oral. Un cours d'histoire, un récit en français... On ne m'a pas demandé explicitement de lui trouver une occupation, on m'a simplement dit que si je faisais des lectures de textes, il comprendrait sans doute.
Je suis d'accord qu'il serait mieux en école spécialisée, on attend, peut être, et je le souhaite, qu'il aura rapidement une place... On a demandé une avs aussi mais l'an dernier, l avs demandée en juillet est arrivée en janvier, donc on ne préfère pas compter trop dessus...
- SaskaNiveau 8
Il y a des éditeurs de littérature jeunesse qui sortent de très beaux livres sans texte, mais qui ne font pas albums pour tout petits, c'est peut-être une piste à creuser, ta doc ou une librairie spécialisée jeunesse ou une bibliothécaire efficace devraient pouvoir t'orienter. Je pense par exemple à certains albums des éditions MeMo.neoprof3463 a écrit:Il ne sait pas écrire, il ne sait même pas épeler son prénom, c est pour cela que tout doit passer par l'oral ou par des activités qu'il peut faire seul...
Tu nous dis ce qu'il ne sait pas faire, mais il sait faire quoi ? A l'oral, par exemple, ça se passe comment ?
L'idée de lui faire raconter l'histoire à partir d'un album sans paroles peut être une idée et qui permet aussi d'associer les autres élèves, parce que sur un album sans textes, tout le monde ne voit pas la même chose, ne "lit" pas la même histoire.
- neoprof3463Niveau 7
Ce que je sais de lui, je vous l'ai di. Je l'accueille lundi donc j'en saurai un peu plus. Tout ce qu'on m'a dit lors de la réunion c est qu'il aimait les histoires. Voilà pourquoi je pensais partir d'un album.
- neoprof3463Niveau 7
En tout cas, merci à tous pour cet échange
- poutouNiveau 10
Je suis exactement dans le même cas que toi (enfant qui aurait dû aller en Ulis mais pas de place en ULIs à proximité et pas d'internat sur l'Ulis située à 50 km) Les instits nous avaient prévenus en fin d'année dernière, l'instit spécialisée de clis en pleurait presque. Et voilà donc Kevin en 6è, mis dans la classe bilangue. Il n'a depuis 2 jours qu'un crayon à papier, ne sait pratiquement écrire que son prénom. J'ai tout écrit ce matin (il y avait 5 lignes, hein, pas 50!)il est très gentil, mais.... Bref, aujourd'hui, j'ai dit au principal qu'il fallait réagir, qu'on allait faire désapprendre cet enfant en le maintenant en classe de 6è et qu'il allait forcément un jour poser des problèmes de comportement. Quelle souffrance ça doit être pour lui! Le principal m'a dit qu'on faisait une demande d'AVS. Je lui ai rétorqué que c'était mieux que rien mais que je ne pourrais rien faire pour cet enfant, avs ou pas. Nous ne sommes pas formés et oui, il n'est pas à sa place. Cela n'a rien à voir avec une enfant malvoyante que j'avais eue une année en 5è ou avec des élèves DYS.
Lundi, je lui apporte un album de mon petit neveu et quand les autres feront un exercice d'orthographe, je le ferai lire un peu. Je lui consacrerai 4 minutes, pas plus. Je ne peux pas faire mieux.
Ce système est horrible.
Lundi, je lui apporte un album de mon petit neveu et quand les autres feront un exercice d'orthographe, je le ferai lire un peu. Je lui consacrerai 4 minutes, pas plus. Je ne peux pas faire mieux.
Ce système est horrible.
- neoprof3463Niveau 7
poutou a écrit:Je suis exactement dans le même cas que toi (enfant qui aurait dû aller en Ulis mais pas de place en ULIs à proximité et pas d'internat sur l'Ulis située à 50 km) Les instits nous avaient prévenus en fin d'année dernière, l'instit spécialisée de clis en pleurait presque. Et voilà donc Kevin en 6è, mis dans la classe bilangue. Il n'a depuis 2 jours qu'un crayon à papier, ne sait pratiquement écrire que son prénom. J'ai tout écrit ce matin (il y avait 5 lignes, hein, pas 50!)il est très gentil, mais.... Bref, aujourd'hui, j'ai dit au principal qu'il fallait réagir, qu'on allait faire désapprendre cet enfant en le maintenant en classe de 6è et qu'il allait forcément un jour poser des problèmes de comportement. Quelle souffrance ça doit être pour lui! Le principal m'a dit qu'on faisait une demande d'AVS. Je lui ai rétorqué que c'était mieux que rien mais que je ne pourrais rien faire pour cet enfant, avs ou pas. Nous ne sommes pas formés et oui, il n'est pas à sa place. Cela n'a rien à voir avec une enfant malvoyante que j'avais eue une année en 5è ou avec des élèves DYS.
Lundi, je lui apporte un album de mon petit neveu et quand les autres feront un exercice d'orthographe, je le ferai lire un peu. Je lui consacrerai 4 minutes, pas plus. Je ne peux pas faire mieux.
Ce système est horrible.
Je me sens moins seule... Je ne délaisserai pas ma classe pour lui mais je prendrai quelques minutes... Encore, s'il savait lire un minimum ce serait plus simple... Enfin, un peu moins compliqué!
- OlympiasProphète
neoprof3463 a écrit:clélia a écrit:Je comprends bien la volonté de socialiser ces enfants. J'ai d'ailleurs une année travaillé avec une collègue d'ulis : on avait monté un projet qui réunissait sa classe et ma classe de 5e une heure par semaine. Mais placer 4h par semaine un élève de niveau GS dans une classe de 6e en français, je suis sceptique...
Je comprends également ton sentiment. Mon but ne sera pas faire de lui un génie, mais lui trouver des activités à sa portée plutôt que le laisser gentiment au fond de la salle je pense que ça peut être faisable, au moins le temps de lui trouver une classe adaptée...
Courage en tous cas
- RoninMonarque
C'est n'importe quoi. On se fout de ton élève, de ses parents, de toi, des autres élèves. S'il a le niveau mental d'un élève de maternelle à 12 ans, sa place est en IME ou en ULIS, nulle part ailleurs, pas plus en segpa.
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- OlympiasProphète
Ronin, j'attendais que tu arrives ! C'est une catastrophe la situation de ce petit.Ronin a écrit:C'est n'importe quoi. On se fout de ton élève, de ses parents, de toi, des autres élèves. S'il a le niveau mental d'un élève de maternelle à 12 ans, sa place est en IME ou en ULIS, nulle part ailleurs, pas plus en segpa.
- LilypimsGrand sage
oceanovox a écrit:Les parents d'enfants handicapés n'ont malheureusement pas fini de se battre...ycombe a écrit:Autrement dit, tu fais garderie. J'admire ton dévouement, ça serait moi il reste au fond sans rien faire. Réclame toujours quelques HSE, en insistant le CdE t'en trouveras peut être une ou deux par mois, pour compenser un peu.neoprof3463 a écrit:Non, rien du tout, il vient en cours avec les autres et on fait ce qu'on peut avec nous a-t-on dit...
Mais heureusement tu es là et tu vas tous les sauver.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- RoninMonarque
C'est presque de la non assistance à personne en danger. Mais bien sûr on va vous dire de vous adapter, de faire un effort, de ne pas être trop disciplinaire.
Pour donner un exemple précis à neo3463, on m'a demandé de prendre en charge une élève de 4ème, déficiente cognitive, la MDPH a proposé une place en ULIS à cette élève, les parents ont refusé et ont exigé ( la loi de 2005 le leur permet ) qu'elle soit scolarisé en 4ème ordinaire dans le collège de secteur.
Et le pédopsy me demande de la prendre en charge une heure par semaine pour faire quelque chose. ET bien c'est non, je refuse de m'associer à cette mascarade et de cautionner le déni et l'inconscience de ces parents ( ceci étant, le père est lui aussi déficitaire et la mère bipolaire ). D'abord parce que l'écart est tel que je ne peux rien faire pour que cette élève suive en 4 ème. Ensuite parce que la meilleur solution pour elle est l'Ulis. De plus, c'est de la malhonnêteté pure et du mensonge que de la laisser au collège et de faire croire qu'avec une heure, même en individuel on puisse régler le problème. Enfin, je connais la chute, on va culpabiliser et accuser les profs du collège de ne rien faire pour elle, alors qu'ils ne PEUVENT rien faire.
A un moment il faut dire stop au n'importe quoi.
Pour donner un exemple précis à neo3463, on m'a demandé de prendre en charge une élève de 4ème, déficiente cognitive, la MDPH a proposé une place en ULIS à cette élève, les parents ont refusé et ont exigé ( la loi de 2005 le leur permet ) qu'elle soit scolarisé en 4ème ordinaire dans le collège de secteur.
Et le pédopsy me demande de la prendre en charge une heure par semaine pour faire quelque chose. ET bien c'est non, je refuse de m'associer à cette mascarade et de cautionner le déni et l'inconscience de ces parents ( ceci étant, le père est lui aussi déficitaire et la mère bipolaire ). D'abord parce que l'écart est tel que je ne peux rien faire pour que cette élève suive en 4 ème. Ensuite parce que la meilleur solution pour elle est l'Ulis. De plus, c'est de la malhonnêteté pure et du mensonge que de la laisser au collège et de faire croire qu'avec une heure, même en individuel on puisse régler le problème. Enfin, je connais la chute, on va culpabiliser et accuser les profs du collège de ne rien faire pour elle, alors qu'ils ne PEUVENT rien faire.
A un moment il faut dire stop au n'importe quoi.
- ycombeMonarque
Ronin a écrit:
A un moment il faut dire stop au n'importe quoi.
Voilà. Je vais en faire ma devise de cette phrase.
Merci Ronin.
- PointàlaligneExpert
Ronin a écrit:De plus, c'est de la malhonnêteté pure et du mensonge que de la laisser au collège et de faire croire qu'avec une heure, même en individuel on puisse régler le problème. Enfin, je connais la chute, on va culpabiliser et accuser les profs du collège de ne rien faire pour elle, alors qu'ils ne PEUVENT rien faire.
A un moment il faut dire stop au n'importe quoi.
On ne saurait mieux dire.
Quelle injustice de faire peser une telle responsabilité sur le dernier maillon de la chaîne... le collègue qui se retrouve avec un enfant à qui, au mieux, il n'apportera pas grand chose.
Bon courage...
- yogiSage
Pointàlaligne a écrit:Ronin a écrit:De plus, c'est de la malhonnêteté pure et du mensonge que de la laisser au collège et de faire croire qu'avec une heure, même en individuel on puisse régler le problème. Enfin, je connais la chute, on va culpabiliser et accuser les profs du collège de ne rien faire pour elle, alors qu'ils ne PEUVENT rien faire.
A un moment il faut dire stop au n'importe quoi.
On ne saurait mieux dire.
Quelle injustice de faire peser une telle responsabilité sur le dernier maillon de la chaîne... le collègue qui se retrouve avec un enfant à qui, au mieux, il n'apportera pas grand chose.
Bon courage...
Bien dit! C'est affligeant comme situation.
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"Jboirai du lait le jour où les vaches mangeront du raisin!"
- ysabelDevin
Je ne dirai pas "affligeant" mais honteux et inadmissible.
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« vous qui entrez, laissez toute espérance ». Dante
« Il vaut mieux n’avoir rien promis que promettre sans accomplir » (L’Ecclésiaste)
- neoprof3463Niveau 7
Lilypims a écrit:oceanovox a écrit:Les parents d'enfants handicapés n'ont malheureusement pas fini de se battre...ycombe a écrit:
Autrement dit, tu fais garderie. J'admire ton dévouement, ça serait moi il reste au fond sans rien faire. Réclame toujours quelques HSE, en insistant le CdE t'en trouveras peut être une ou deux par mois, pour compenser un peu.
Mais heureusement tu es là et tu vas tous les sauver.
Je n'ai pas la prétention de croire que je vais le sauver non, juste faire en sorte que ce gamin qui n'a rien demandé se sente bien...
- LilypimsGrand sage
neoprof3463 a écrit:Lilypims a écrit:oceanovox a écrit:
Les parents d'enfants handicapés n'ont malheureusement pas fini de se battre...
Mais heureusement tu es là et tu vas tous les sauver.
Je n'ai pas la prétention de croire que je vais le sauver non, juste faire en sorte que ce gamin qui n'a rien demandé se sente bien...
Ce n'est pas toi que je citais mais Océanovox.
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...il faut continuer, je ne peux pas continuer, il faut continuer, je vais donc continuer...
- menerveOracle
C'est vraiment malheureux pour le gamin et ses parents. Et comme d'hab on joue sur la corde sensible du prof pour gérer ce qui devrait l'être de façon plus générale.
Dans la loi tout le monde a sa place dans la sociétd, dans les faits les handicapés, personnes âgées sans ressources et sans famille.....on les laisse crever. Rien n'est adapté pour eux.
Dans la loi tout le monde a sa place dans la sociétd, dans les faits les handicapés, personnes âgées sans ressources et sans famille.....on les laisse crever. Rien n'est adapté pour eux.
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