Convocation à un entretien de titularisation

Fleur16 a écrit:Nous avons été plusieurs à être renouvelés et titularisés, mais la 2nde année de stage est souvent très dure moralement...

Mais ne panique pas d'avance !

Dure moralement ? Pourquoi ? Dure d'être plus chiante que la première, avec cette tutrice qui m'a jamais rien pardonné. La deuxième j'ai meilleur espoir, maintenant que j'apprends à me blinder et à être plus hypocrite. Et surtout, je pourrai tenter de visser les classes dès septembre, vu que j'ai découvert les recettes cette année.

Loreia a écrit:Excuse-moi Mélophore j'allais éditer mon message, j'ai relu les posts et j'ai vu que tu étais passé en effet mais tu n'as pas tellement parlé de l'entretien. Ils t'ont demandé d'expliquer le rôle des 10 compétences, sérieusement? …
Ils t'ont demandé pourquoi tu pensais avoir été convoqué?

Allez vivement que ça passe que je puisse mettre ça derrière moi.

Hé bien, ils m'ont fait un topo classique, me laissant parler et rebondissant sur ce que je dis, ils me demandèrent
- mon impression générale
- ce que j'estimais avoir réussi
- ce que j'estimais avoir raté
- ce que je mettrai en place l'année pro pour dépasser mes erreurs

J'ai fait un plat méa culpa, reprenant le rapport de mon inspecteur (qui m'avait reproché de pas assez travailler sur les capacités et compétences) mais défendant les bons points et les progrès, disant que l'année prochaine, j'avais rien contre le renouvellement, que je prenais comme une chance.

Ils m'ont interrogé sur les compétences, leur rôle dans le système scolaire. Ils sont piégeux. Je leur ai dit "Malgré mes difficultés, j'ai toujours été là, j'ai tenu, je suis allé en cours avec le sourire, parce que le public collégien le mérite". Ils m'ont rétorqué "Un sourire, ça suffit pour enseigner ?". "Evidemment non, le cadre et la transmissions sont le coeur du métier, mais la bienveillance souligne ces démarches" répondis-je.

"un sourire, ça suffit pour enseigner?"  :lol: 

... c'était pour donner un aperçu d'à quel point ils cherchent la petite bête. Ca m'a rappellé certains entretiens d'embauche.

C'était qui dans le jury ? Des Ipr de quelle matière ?

Perso, je n'aurais pas osé prononcer le mot "renouvellement". Même si mes rapports avaient été pitoyables, j'aurais pas été aussi pessimiste quant à mon avenir, surtout devant des Ipr.

Je ne l'ai pas dit, je l'ai sous-entendu. Il y avait un IPR de Physique-Chimie (le mauvais flic) et il me semble un chef d'établissement (le bon flic). Normalement, les commissions sont mixtes

Mélophore a écrit:

Fleur16 a écrit:Nous avons été plusieurs à être renouvelés et titularisés, mais la 2nde année de stage est souvent très dure moralement...

Mais ne panique pas d'avance !

Dure moralement ? Pourquoi ? Dure d'être plus chiante que la première, avec cette tutrice qui m'a jamais rien pardonné. La deuxième j'ai meilleur espoir, maintenant que j'apprends à me blinder et à être plus hypocrite. Et surtout, je pourrai tenter de visser les classes dès septembre, vu que j'ai découvert les recettes cette année.

Ma 2nde année s'est mieux passée que la 1ère : super tuteur, moins de difficulté...

Mais, et je crois ne pas avoir été la seule dans ce cas, je l'ai passée avec une pression énorme vis à vis du licenciement et un sentiment d'échec assez compliqué à gérer. Dès la réunion d'entrée on a affirmé aux futurs stagiaires que le renouvellement ne concernait que des cas rares et graves etc. (heureusement une autre néo d'HG était renouvelée en même temps que moi dans mon académie).

Bref, une année professionnellement plus simple mais avec l'impression d'être sans arrêt jugée et remise en cause.

Cela dit, tu seras peut-être titularisé dès cette année : mon entretien de 2nde année ne s'est pas super bien passé (très mauvais rapport d'IPR), j'ai tout donné comme tu l'as fait et j'ai été titularisée !

Fafnir a écrit:

Larsson a écrit:Si je ne m'abuse, il n'est pas possible de refaire un stage au même endroit que la première année. Donc dans tous les cas tu changes de poste.
A moins que tu n'aies une solution ?

Si, c'est possible.
En cas de renouvellement, on m'avait proposé de rester sur mon poste.

On peut demander à changer de poste ? Tu sais ?

Jenny a écrit:

Fafnir a écrit:

Larsson a écrit:Si je ne m'abuse, il n'est pas possible de refaire un stage au même endroit que la première année. Donc dans tous les cas tu changes de poste.
A moins que tu n'aies une solution ?

Si, c'est possible.
En cas de renouvellement, on m'avait proposé de rester sur mon poste.

On peut demander à changer de poste ? Tu sais ?

L'usage est de changer de poste,  mais on peut demander à rester sur son poste.
Mon chef avait rédigé un courrier (non envoyé finalement) au rectorat pour demander, si renouvellement, que je sois maintenue sur le support stagiaire vacant, mais que la tutrice change. Ce après en avoir parlé au téléphone avec l'inspecteur.
Je connais deux profs stagiaires ayant repiqué là où ils avaient fait leur stage. Ils le souhaitaient et la direction approuvait (pas de souci de gestion de classe, élément indispensable). Pour tous les autres, ils ont changé d'établissement,  et, en général,  demandé un lycée qu'ils ont obtenu.

Merci pour la précision.
(On se demande pourquoi il avait demandé que tu changes de tuteur   )

Fleur16 a écrit:

Mélophore a écrit:

Fleur16 a écrit:Nous avons été plusieurs à être renouvelés et titularisés, mais la 2nde année de stage est souvent très dure moralement...

Mais ne panique pas d'avance !

Dure moralement ? Pourquoi ? Dure d'être plus chiante que la première, avec cette tutrice qui m'a jamais rien pardonné. La deuxième j'ai meilleur espoir, maintenant que j'apprends à me blinder et à être plus hypocrite. Et surtout, je pourrai tenter de visser les classes dès septembre, vu que j'ai découvert les recettes cette année.

Ma 2nde année s'est mieux passée que la 1ère : super tuteur, moins de difficulté...

Mais, et je crois ne pas avoir été la seule dans ce cas, je l'ai passée avec une pression énorme vis à vis du licenciement et un sentiment d'échec assez compliqué à gérer. Dès la réunion d'entrée on a affirmé aux futurs stagiaires que le renouvellement ne concernait que des cas rares et graves etc. (heureusement une autre néo d'HG était renouvelée en même temps que moi dans mon académie).

Bref, une année professionnellement plus simple mais avec l'impression d'être sans arrêt jugée et remise en cause.

Cela dit, tu seras peut-être titularisé dès cette année : mon entretien de 2nde année ne s'est pas super bien passé (très mauvais rapport d'IPR), j'ai tout donné comme tu l'as fait et j'ai été titularisée !

Je confirme ce que Fleur dit (l'autre néo c'est moi!!). La deuxième année de stage plus simple mais j'avais toujours l'impression d'être sur le fil! Mon deuxième tuteur n'était pas à la hauteur. C'est moi qui lui donnais des conseils!!! Heureusement, l'IPR et le CDE se sont montrés bienveillants et m'ont soutenu.

Tout n'est pas perdu. Attends de connaître la réponse.

Jenny a écrit:Merci pour la précision.
(On se demande pourquoi il avait demandé que tu changes de tuteur   )

Oui, hein ?
ça ne me fait pas plaisir de te voir sur ce fil, je croise les doigts pour toi !

Merci Fafnir.     

Moi j'imagine que sans aucune nouvelle d'une convocation éventuelle, je suis titularisé. Je croise les doigts !

Mélophore a écrit:Arrête, ça me fait peur, ce que tu dis, c'est mon cas, rapports plus que moyens cette année, on me conseille une deuxième année. Ca arrive vraiment à des gens ? Alors qu'on a besoin de profs, ils osent vraiment licencier des gens la deuxième année (je veux dire, en dehors des gens super-bordélisés qui sont vraiment pas pédagogues, ce qui est pas mon cas j'espère, un peu bordélisé parfois mais ayant instauré une ambiance de cours calme à terme, d'après les rapports de ma tutrice, ayant montré que des progrès étaient possibles) ? Après des années d'études, un concours bien dur, une gniaque ? Une envie d'enseigner et de progresser ? Une bienveillance réelle que je ressens chaque jour pour les gosses ? Franchement, ce serait la pire des injustices.

Si cela peut te rassurer Mélophore, nous avons connaissance ici d'un stagiaire en maths qui redoublait son stage cette année (c'est vraiment à se demander de qui il est le fils pour ne pas s'être fait licencier dès la première année !) : pré-rentrée, pot d'accueil dans son établissement. Il a fini complètement ivre 1h après le début, il est allé dans le bureau du proviseur et s'est assis sur sa chaise, a enlevé ses chaussures et posés ses pieds sur le bureau, tout en tutoyant rudement le proviseur ! Il est arrivé deux fois complètement ivre devant des élèves mais à part ça c'est nous qui sommes convoqués...

Nonancourt a écrit:Moi j'imagine que sans aucune nouvelle d'une convocation éventuelle, je suis titularisé. Je croise les doigts !

Nonancourt, ici les convocations sont envoyées seulement 3 jours avant la commission... passe un coup de fil à ton rectorat, à la DEC, et demande la date de la commission. Si tu n'as rien reçu et qu'elle est proche, demande confirmation concernant le fait que tu y sois "convié". Tu y verras plus clair.

angelusia a écrit:
Si cela peut te rassurer Mélophore, nous avons connaissance ici d'un stagiaire en maths qui redoublait son stage cette année (c'est vraiment à se demander de qui il est le fils pour ne pas s'être fait licencier dès la première année !) : pré-rentrée, pot d'accueil dans son établissement. Il a fini complètement ivre 1h après le début, il est allé dans le bureau du proviseur et s'est assis sur sa chaise, a enlevé ses chaussures et posés ses pieds sur le bureau, tout en tutoyant rudement le proviseur ! Il est arrivé deux fois complètement ivre devant des élèves mais à part ça c'est nous qui sommes convoqués...

Ce type de situation est tellement rare mais c'est quand même    

Mélophore a écrit:Arrête, ça me fait peur, ce que tu dis, c'est mon cas, rapports plus que moyens cette année, on me conseille une deuxième année. Ca arrive vraiment à des gens ? Alors qu'on a besoin de profs, ils osent vraiment licencier des gens la deuxième année (je veux dire, en dehors des gens super-bordélisés qui sont vraiment pas pédagogues, ce qui est pas mon cas j'espère, un peu bordélisé parfois mais ayant instauré une ambiance de cours calme à terme, d'après les rapports de ma tutrice, ayant montré que des progrès étaient possibles) ? Après des années d'études, un concours bien dur, une gniaque ? Une envie d'enseigner et de progresser ? Une bienveillance réelle que je ressens chaque jour pour les gosses ? Franchement, ce serait la pire des injustices.

Désolé. Je ne veux pas faire peur à tout prix, mais il faut savoir que cela arrive.

Donc pour répondre à tout le monde sur plein de choses que j'ai lues :

- demander 6 semaines d'avance sur les cours est une hérésie. Je ne comprends pas qu'un tuteur puisse faire cela.
- pour ma part, ma tutrice est très pro, toujours bienveillante, toujours de bon conseil, mais elle demandait à vérifier chacun de mes cours. Ce qu'elle a fait (et parfois la veille quand j'étais en retard !!!). Dans son premier rapport, elle souligne des difficultés d'organisation en tout début d'année (ben oui, après le 26 août qu'on a 3 classes de seconde -et encore, je n'avais qu'un seul niveau cette année) et gérer en même temps la rentrée de sa propre fille... bon le temps de m'adapter, c'est vrai que j'ai démarré lentement. J'ai eu de graves soucis de santé en octobre, ce qui m'a obligée à m'arrêter trois jours avant les vacances, et opération pendant les vacs, donc pas possible de rattraper le retard... mais son 2e rapport fait état des gros progrès que j'ai faits dans ce domaine-là (à finir par lui envoyer mes cours en avance !). Le problème avec moi, c'est que "sur le papier ça fonctionne super bien, et en classe non". Malheureusement, nous ne sommes pas parvenus à identifier la source du problème. D'où ma position en cette fin d'année... Il n'y a vraiment que la mise en oeuvre que l'on me reproche et je sais que c'est là-dessus que je dois faire des progrès. Une année de stage supplémentaire permettrait de les faire plus sereinement (moins de choses à acquérir que la première année, un objectif de travail plus précis, etc.).

- quant au fait de n'être pas sûre d'avoir l'académie de Lyon l'an prochain, aucun problème, j'ai largement assez de points pour l'avoir (normalement) mais je ne veux pas vendre la peau de l'ours. Comme je vous l'ai expliqué tantôt, c'est la panique dans l'académie, car le ministère a décidé que les lauréats des concours exceptionnels resteraient dans l'académie dans laquelle ils ont passé le concours, donc on a beaucoup plus de stagiaires à caler que prévu au sein de l'académie. En revanche l'an prochain, comme la plupart (2/3) partiront, le mouvement sera plus "libre" que cette année donc j'ai des chances d'avoir un meilleur poste tout de même... Donc à voir.
Après, la certitude d'être titularisée peut soulager d'un point de vue "sécurité de l'emploi" mais enfin si c'est pour que je galère à finir mon budget chaque mois... quel intérêt ? Vous me direz que titulaire ou pas, le mouvement sera le même et que j'aurai autant de chances l'an prochain. Et je dis oui c'est vrai (et là vous comprenez que mon cerveau vient seulement de se mettre en marche ^^').

Disons que j'ai été traumatisée il y a 3 ans, quand j'étais contractuelle, d'avoir dû, à deux reprises, appeler mon établissement pour dire que je ne pourrais pas venir car ma voiture était en panne. En fait, je n'avais plus un rond pour mettre de l'essence, et ça, c'est quand même l'humiliation suprême (car j'avais repris le travail 3 semaines seulement après la naissance de ma fille, je bossais à 1h de chez moi, donc j'enquillais biberon, douche, boulot. Je partais il faisait nuit, je rentrais il faisait nuit, et ne voyais mon bébé que 2 h par jour grand max, tout ça parce que financièrement c'était super tendu. J'avais donc repris en octobre, et fus payée fin janvier. Je n'ai même pas pu me reposer et profiter de ma fille parce qu'on m'avait refusé mon congé parental parce qu'il me manquait 2h de travail pour y avoir droit (vive les vacations et les contrats !). Donc depuis, la distance me fait peur parce que je ne veux pas me trouver à emprunter de l'argent pour mettre de l'essence pour aller au boulot.)

Alors nous verrons ! J'appelle le rectorat demain pour savoir si je suis convoquée et je vous tiendrai au courant.

Bonsoir,

Angeluisa : je comprends tes arguments mais je pense que tu devrais quand même aller à la commission, je m'explique :
- tu montres que tu es motivée et sérieuse en tant que fonctionnaire, le renouvellement n'est pas de droit, n'oublies pas que c'est amené comme un cadeau que l'on te fait. J'aurais peur d'être carrément licenciée dès maintenant.
- ça te permets de voir comment ça se passe, de te préparer en conséquence pour l'année prochaine, même si tu fais comprendre que tu préférerais un renouvellement le jour J au moins tu auras entendu leurs reproches, leurs arguments...

Pour tes arguments concernant ta situation financière et géographique, je les comprends pour avoir moi aussi une famille. Je trouve les commentaires bien sévères parce que de ce que je comprends peu importe que le logement soit acheté ou en location puisque de toute façon le conjoint a un travail à un endroit fixe donc il y aura frais d'un côté ou de l'autre.

donc je comprends votre choix d'acheter, après en tant que titulaire normalement tu as une prise en charge partielle de tes frais de déplacement et perso ce serait mon dernier argument pour te dire de tenter ta chance.

Bien entendu je vais aller à la commission.

Ce qui me motive c'est qu'il n'y a pas vraiment de public "difficile" dans ma zone (hormis 1 ou 2 établissements).

Effectivement, d'un côté ou de l'autre, achat ou location, mon mari bosse ici et pas question de déménager.

Pour les frais de déplacement, qu'il s'agisse d'ISSR ou de frais seulement, cela dédommagera un peu mais pas bcp étant donné que mon rad sera super loin de mon domicile. J'ai une demande de 5 voeux à formuler pour choisir un rad donc je vais proposer le plus proche de chez moi en priorité. Je pense que l'on s'en sortira mais il est vrai que l'inspecteur m'a tellement martelé que je ne m'en sortirais pas si je ne redoublais pas que j'ai fini par le croire...

Merci en tout cas pour le soutien !

Il n'y a pas qq'un qui a sa commission demain ??? (Désolée mais avec tous ces messages je m'emmêle un peu les pinceaux)

Moi aussi je me mélange, je ne me souviens plus ce que t'as reproché ton IPR ?

J'ai reçu un message du syndicat qui me dit des choses très sensées : - ne pas attaquer l'administration (j'ai enterré l'idée de parler de ma PA, en avoir parlé ici m'a fait du bien, ça va aller de ce côté)
- montrer que l'on a pris du recul et être honnête concernant les difficultés rencontrées, que l'on a compris ce qu'il fallait faire différemment à la rentrée (ça OK)
- ne pas se chercher d'excuses (là ça me pose un problème) : j'ai renvoyé un mail en demandant si ça signifiait ne pas pointer les éventuelles contradictions...

Pareil, ma tutrice ne venait me voir que sur des classe au profil très particulier avec des décisions prises par l'ensemble de l'équipe pour réussir à faire cours convenablement, du coup j'ai demandé la copie des différentes mesures prises dans l'année pour justifier que je n'étais pas la seule à rencontrer des difficultés de gestion de classe sur ces classes-là...vous me déconseillez d'en parler vous ?

L'ipr prétend s'appuyer sur les rapports d'un CDM, or le rapport du CDM dit tout le contraire du rapport de l'IPR : ça revient à se chercher des excuses ???

angelusia a écrit:

Nonancourt a écrit:Moi j'imagine que sans aucune nouvelle d'une convocation éventuelle, je suis titularisé. Je croise les doigts !

Nonancourt, ici les convocations sont envoyées seulement 3 jours avant la commission... passe un coup de fil à ton rectorat, à la DEC, et demande la date de la commission. Si tu n'as rien reçu et qu'elle est proche, demande confirmation concernant le fait que tu y sois "convié". Tu y verras plus clair.

+1

Angelusia, regarde les montants des ISSR, ça aide quand même beaucoup, ici c'est 15 euros minimum par jour travaillé.

Brebisnoire : Moi j'ai insisté sur les progrès fait et les solutions qui seraient mises en place pour progresser (formations...) je te conseille de regarder du côté du PAF.

Et surtout : paraître sûr de soi, parler de façon claire et assez fort, garder le sourire, être sur-motivé.

Le jour J mon tuteur m'a envoyé par SMS "positive, motivée, souriante, goooo" j'ai foncé et voilà !

(bien sûr ça ne suffit pas toujours)

Le PAF c'est bien le Programme de formation ? Bonne idée, je vais aller regarder.

Merci pour ton expérience, ce qui m'inquiète c'est que l'IPR a noté qu'il n'y avait pas eu d'améliorations suffisantes, et là il me coupe l'herbe sous le pied....parce que des difficultés j'en ai rencontrées, des solutions j'en ai testées...par contre si je ne parle pas des rapports des CDM pour le contredire je n'ai que ma parole pour dire que j'ai fait des progrès cette année...

Pour les ISSR, effectivement c'est très intéressant, motivation de plus pour moi pour l'entretien !

Il est venu quand ? Moi l'IPR avait fait un très mauvais rapport (et j'étais renouvelée), j'ai joué sur le fait qu'il était passé en février-mars, que ça avait été un électrochoc et que je m'étais améliorée après grâce à ses indications.

Les rapports de mon tuteur et du CDE (plus récents) indiquaient une amélioration.

Oui le PAF c'est le plan académique de formation.