- User5899Demi-dieu
Trompette, je crois que vous et moi ne nous entendons pas parce que je parle de documents complémentaires, pas de lectures cursives. Ce sont deux choses différentes. Et dans ce que vous avez mis en gras, vous vous appuyez sur ce que vous avez à votre disposition : élargir à l'oeuvre intégrale, où est le problème ?
- Simone BouéNiveau 9
La conversation reste très cordiale :) Il est bon de confronter les opinions.
Je pense à cela aussi :
- vous demande-t-on d'indiquer sur le bordereau "LECTURE tel passage" ?
Je pense à cela aussi :
- vous demande-t-on d'indiquer sur le bordereau "LECTURE tel passage" ?
- User5899Demi-dieu
Bon, ben écoutez, chacun pour soi, et sauve qui peut. Je suis très surpris des arguments que vous m'opposez, pour moi, pas un seul ne tient, mais je vous sens ennuyés et donc par camaraderie, je vous tiens pour tels. Il n'empêche que je ne m'embêterai pas à faire autant de photocopies non demandées en fin d'année.
Et si vraiment il vous faut les textes avant, interrogez sur les OI exclusivement. Vous devez bien les avoir chez vous.
Et si vraiment il vous faut les textes avant, interrogez sur les OI exclusivement. Vous devez bien les avoir chez vous.
- trompettemarineMonarque
Pour les textes complémentaires et les lectures cursives, notre IPR nous a dit que dans les programmes les textes complémentaires avaient disparu mais pas pour le bac...
Comment faire alors...
J'ai supprimé tous les textes complémentaires ou plus exactement je les ai appelés lectures cursives... donc tous mes groupements de textes comprennent soit des LA soit des LC.
Comment faire alors...
J'ai supprimé tous les textes complémentaires ou plus exactement je les ai appelés lectures cursives... donc tous mes groupements de textes comprennent soit des LA soit des LC.
- Simone BouéNiveau 9
De même...
"Les extraits qui constituent les groupements de textes (cf. infra les corpus) ne font pas obligatoirement l'objet d'une lecture analytique ; certains d'entre eux peuvent être abordés dans le cadre de lectures cursives, "
Qu'appelez-vous lectures cursives Cripure? Et doc complémentaires?
"Les extraits qui constituent les groupements de textes (cf. infra les corpus) ne font pas obligatoirement l'objet d'une lecture analytique ; certains d'entre eux peuvent être abordés dans le cadre de lectures cursives, "
Qu'appelez-vous lectures cursives Cripure? Et doc complémentaires?
- trompettemarineMonarque
De toutes façons, c'est pas grave, dans un an, ils vont encore nous le changer le programme et le bac...
Il y a un conseil des programmes pour cela je pense...
On n'aura pas fini d'ergoter et de ne plus savoir où est l'important.
Il y a un conseil des programmes pour cela je pense...
On n'aura pas fini d'ergoter et de ne plus savoir où est l'important.
- Une passanteEsprit éclairé
Heu... je ne fais pas de distinction entre textes complémentaires ou lectures cursives
Il y a les textes travaillés en lecture analytique et les autres (qui peuvent nourrir l'entretien).
Il y a les textes travaillés en lecture analytique et les autres (qui peuvent nourrir l'entretien).
- Simone BouéNiveau 9
Je fais comme vous...Mon descriptif est d'ailleurs divisé ainsi :
I. Pour l'exposé
II. Pour l'entretien.
I. Pour l'exposé
II. Pour l'entretien.
- OxfordNeoprof expérimenté
Les lectures cursives d'oeuvres, faut arrêter la blague, très rares sont les candidats qui les ont faites. Alors sans txs complémentaires ou parcours de lecture sur une OI, sur quoi interroger ? C'est hélas là que l'on risque de poser des questions pointillistes.
Idem pour les GT: sans txs cpltaires, comment élargir la réflexion ? Alors que, par ex, sur de simples photos de mises en scène les candidats peuvent montrer leurs connaissances.
Et puis txs cpltaires, doc cpltaires et lectures cursives...chaque descriptif utilise son propre galimatias !
Idem pour les GT: sans txs cpltaires, comment élargir la réflexion ? Alors que, par ex, sur de simples photos de mises en scène les candidats peuvent montrer leurs connaissances.
Et puis txs cpltaires, doc cpltaires et lectures cursives...chaque descriptif utilise son propre galimatias !
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Tutti i ghjorna si n'impara.
- OxfordNeoprof expérimenté
Simone Boué a écrit:La conversation reste très cordiale Il est bon de confronter les opinions.
Je pense à cela aussi :
- vous demande-t-on d'indiquer sur le bordereau "LECTURE tel passage" ?
Manquerait plus que ça !
- NLM76Grand Maître
Oxford a écrit:Les lectures cursives d'oeuvres, faut arrêter la blague, très rares sont les candidats qui les ont faites.
Les lectures cursives sont obligatoires; s'ils ne les ont pas faites, qu'ils se tapent une mauvaise note, et puis c'est marre !
_________________
Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- Écusette de NoireuilEsprit éclairé
... Sans parler des candidats qui n'ont aucune idée de ce dont parle l'oeuvre en dehors des passages étudiés en classe!
Celle qui dans le "mariage de Figaro"ne sait pas pourquoi Figaro ne peut pas épouser Marcelline...
Celui qui ne sait pas du tout comment se finit" l'école des femmes..."
Celle qui après une explication pourtant correcte d'une des "lettres persanes"s'avère incapable de dire ce qu'est exactement un eunuque (ah oui, pourtant je crois qu'il y a une lettre sur le sujet...)
Que des oeuvres intégrales!
Sur cette session c'est inquiétant, j'ai eu le phénomène sur plus de la moitié des candidats. Séries générales je précise!
Celle qui dans le "mariage de Figaro"ne sait pas pourquoi Figaro ne peut pas épouser Marcelline...
Celui qui ne sait pas du tout comment se finit" l'école des femmes..."
Celle qui après une explication pourtant correcte d'une des "lettres persanes"s'avère incapable de dire ce qu'est exactement un eunuque (ah oui, pourtant je crois qu'il y a une lettre sur le sujet...)
Que des oeuvres intégrales!
Sur cette session c'est inquiétant, j'ai eu le phénomène sur plus de la moitié des candidats. Séries générales je précise!
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" Celui qui ne lit pas ne vit qu'une seule vie " (Umberto Eco )
- stenchMonarque
nlm76 a écrit:Oxford a écrit:Les lectures cursives d'oeuvres, faut arrêter la blague, très rares sont les candidats qui les ont faites.
Les lectures cursives sont obligatoires; s'ils ne les ont pas faites, qu'ils se tapent une mauvaise note, et puis c'est marre !
Pour moi c'est systématique: les œuvres ne sont pas lues, je ne mets pas la moyenne. C'est quand même le minimum dans notre matière. Marre de voir d'anciens candidats faire les malins parce qu'ils ont eu 15 alors qu'Ils "n'ont même pas lu le livre".
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"Nous ne défendons pas la nature, nous sommes la nature qui se défend." Yannis Youlountas
"Ils veulent dessiner l'apartheid, on dessinera le maquis."
- User5899Demi-dieu
La lecture cursive est un livre que l'élève lit seul chez lui, il n'est pas travaillé en classe. Le document complémentaire est donné pour augmenter le nombre des points de vue sur une question que l'on aborde via les lectures analytiques. Et nos IPR ne nous ont rien dit, parce qu'à Besançon, ils ont l'excellente idée de nous ficher la paix et de ne pas venirUne passante a écrit:Heu... je ne fais pas de distinction entre textes complémentaires ou lectures cursives
Il y a les textes travaillés en lecture analytique et les autres (qui peuvent nourrir l'entretien).
- User5899Demi-dieu
Si je vois que le livre n'est pas maîtrisé, je note en-dessous de la moyenne en notation globale. Si c'est vraiment très net que rien n'a été lu, je note 1 ou 2.Écusette de Noireuil a écrit:... Sans parler des candidats qui n'ont aucune idée de ce dont parle l'oeuvre en dehors des passages étudiés en classe!
Celle qui dans le "mariage de Figaro"ne sait pas pourquoi Figaro ne peut pas épouser Marcelline...
Celui qui ne sait pas du tout comment se finit" l'école des femmes..."
Celle qui après une explication pourtant correcte d'une des "lettres persanes"s'avère incapable de dire ce qu'est exactement un eunuque (ah oui, pourtant je crois qu'il y a une lettre sur le sujet...)
Que des oeuvres intégrales!
Sur cette session c'est inquiétant, j'ai eu le phénomène sur plus de la moitié des candidats. Séries générales je précise!
- doctor whoDoyen
Normalement, avec un élèves cultivé, qui sait s'exprimer de manière un peu développée, on doit pouvoir parler cinq minutes pleines sur un seul roman lu dans l'année.
Quand ce n'est pas possible, ce n'est pas la faute de l'examinateur mais celle de l'élève.
Les textes complémentaires fournis à l'avance servent des palliatifs à cet état de fait.
Quand ce n'est pas possible, ce n'est pas la faute de l'examinateur mais celle de l'élève.
Les textes complémentaires fournis à l'avance servent des palliatifs à cet état de fait.
_________________
Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- retraitéeDoyen
Cripure a écrit:Mais je ne pense pas que ce serait bien. Cet oral génère des masses de papier ahurissantes. Moi qui ai quelques heures de vol, j'ai interrogé pendant douze ans, de 1989 à 2001, sur des descriptifs que je ne recevais pas à l'avance, que le candidat me tendait sur le pas de la porte en entrant et tout se passait très bien. Je sais bien que maintenant, il y a une question à poser. Mais même si vous ne voulez pas poser la même question à tout le monde, vous avez la première demi-heure pour vous procurer les manuels auprès des candidats qui attendent et faire tous les sujets de la demi-journée. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut six jours pour faire huit sujets !Simone Boué a écrit:Mais Cripure, on ne reproche pas cela, on dit juste que ça serait bien ! Quand aux IPR, ma foi, c'est plutôt au recteur que l'on doit s'adresser.
Pas la peine de déforester 1% de l'Europe chaque année pour cet oral...
Quant à recevoir les textes complémentaires à l'avance, j'y suis opposé. Vous transformez l'esprit de l'oral en faisant ainsi. Un entretien repose sur des questions rapides et superficielles, ce n'est pas l'entretien qui suit la leçon d'agrégation. C'est pour ça que je ne les fournis pas et que je ne les indique pas sur le descriptif. Mes élèves s'appuieront sur ce qu'ils se rappellent, mais l'examinateur ne pourra pas jouer à ce jeu malsain dont certains ont abusé par le passé, remplacer un entretien général sur une question par une série de questions de cours pointues sur tel ou tel texte.
Eh bien, j'ai interrogé dès 1982, et en ce temps-là, les choses étaient simples : une explication de texte de 20 mn, et une liste de textes étudiés, ainsi que les oeuvres intégrales. Les élèves faisaient leur liste ( manuscrite ou tapée à la machine ), le professeur la signait et mettait le cachet de l'établissement.
L'élève arrivait, présentait sa liste, on choisissait, et vogue la galère.
Les élèves pouvaient ajouter leurs lectures personnelles.
Et ma première liste, en 82, était une liste de textes canoniques, présentés chronologiquement . Seule obligation : plusieurs siècles et différents genres. Pas de GT.
Une de mes collègues présentait une dizaine d'oeuvres complètes en série littéraire.
- Thalia de GMédiateur
Quelques années plus tard, les GT. Cela restait gérable, aussi bien à enseigner pendant l'année que pour l'épreuve orale.retraitée a écrit:Cripure a écrit:Mais je ne pense pas que ce serait bien. Cet oral génère des masses de papier ahurissantes. Moi qui ai quelques heures de vol, j'ai interrogé pendant douze ans, de 1989 à 2001, sur des descriptifs que je ne recevais pas à l'avance, que le candidat me tendait sur le pas de la porte en entrant et tout se passait très bien. Je sais bien que maintenant, il y a une question à poser. Mais même si vous ne voulez pas poser la même question à tout le monde, vous avez la première demi-heure pour vous procurer les manuels auprès des candidats qui attendent et faire tous les sujets de la demi-journée. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut six jours pour faire huit sujets !Simone Boué a écrit:Mais Cripure, on ne reproche pas cela, on dit juste que ça serait bien ! Quand aux IPR, ma foi, c'est plutôt au recteur que l'on doit s'adresser.
Pas la peine de déforester 1% de l'Europe chaque année pour cet oral...
Quant à recevoir les textes complémentaires à l'avance, j'y suis opposé. Vous transformez l'esprit de l'oral en faisant ainsi. Un entretien repose sur des questions rapides et superficielles, ce n'est pas l'entretien qui suit la leçon d'agrégation. C'est pour ça que je ne les fournis pas et que je ne les indique pas sur le descriptif. Mes élèves s'appuieront sur ce qu'ils se rappellent, mais l'examinateur ne pourra pas jouer à ce jeu malsain dont certains ont abusé par le passé, remplacer un entretien général sur une question par une série de questions de cours pointues sur tel ou tel texte.
Eh bien, j'ai interrogé dès 1982, et en ce temps-là, les choses étaient simples : une explication de texte de 20 mn, et une liste de textes étudiés, ainsi que les oeuvres intégrales. Les élèves faisaient leur liste ( manuscrite ou tapée à la machine ), le professeur la signait et mettait le cachet de l'établissement.
L'élève arrivait, présentait sa liste, on choisissait, et vogue la galère.
Les élèves pouvaient ajouter leurs lectures personnelles.
Et ma première liste, en 82, était une liste de textes canoniques, présentés chronologiquement . Seule obligation : plusieurs siècles et différents genres. Pas de GT.
Une de mes collègues présentait une dizaine d'oeuvres complètes en série littéraire.
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Le printemps a le parfum poignant de la nostalgie, et l'été un goût de cendres.
Soleil noir de mes mélancolies.
- Hermione0908Modérateur
Encore en 2000, j'ai proprement écrit à la main ma liste de bac, ma prof les a récupérées, les a signées, le cde a mis un coup de stempel, et en avant toute. Je crois qu'en tant qu'élève, la question m'aurait bloquée à l'oral.
_________________
Certaines rubriques de Neoprofs.org sont en accès restreint.
Pour en savoir plus, c'est par ici : https://www.neoprofs.org/t48247-topics-en-acces-restreint-forum-accessible-uniquement-sur-demande-edition-2021
- User5899Demi-dieu
J'ai passé mon français en 82retraitée a écrit:Cripure a écrit:Mais je ne pense pas que ce serait bien. Cet oral génère des masses de papier ahurissantes. Moi qui ai quelques heures de vol, j'ai interrogé pendant douze ans, de 1989 à 2001, sur des descriptifs que je ne recevais pas à l'avance, que le candidat me tendait sur le pas de la porte en entrant et tout se passait très bien. Je sais bien que maintenant, il y a une question à poser. Mais même si vous ne voulez pas poser la même question à tout le monde, vous avez la première demi-heure pour vous procurer les manuels auprès des candidats qui attendent et faire tous les sujets de la demi-journée. Vous n'allez pas me dire qu'il vous faut six jours pour faire huit sujets !Simone Boué a écrit:Mais Cripure, on ne reproche pas cela, on dit juste que ça serait bien ! Quand aux IPR, ma foi, c'est plutôt au recteur que l'on doit s'adresser.
Pas la peine de déforester 1% de l'Europe chaque année pour cet oral...
Quant à recevoir les textes complémentaires à l'avance, j'y suis opposé. Vous transformez l'esprit de l'oral en faisant ainsi. Un entretien repose sur des questions rapides et superficielles, ce n'est pas l'entretien qui suit la leçon d'agrégation. C'est pour ça que je ne les fournis pas et que je ne les indique pas sur le descriptif. Mes élèves s'appuieront sur ce qu'ils se rappellent, mais l'examinateur ne pourra pas jouer à ce jeu malsain dont certains ont abusé par le passé, remplacer un entretien général sur une question par une série de questions de cours pointues sur tel ou tel texte.
Eh bien, j'ai interrogé dès 1982, et en ce temps-là, les choses étaient simples : une explication de texte de 20 mn, et une liste de textes étudiés, ainsi que les oeuvres intégrales. Les élèves faisaient leur liste ( manuscrite ou tapée à la machine ), le professeur la signait et mettait le cachet de l'établissement.
L'élève arrivait, présentait sa liste, on choisissait, et vogue la galère.
Les élèves pouvaient ajouter leurs lectures personnelles.
Et ma première liste, en 82, était une liste de textes canoniques, présentés chronologiquement . Seule obligation : plusieurs siècles et différents genres. Pas de GT.
Une de mes collègues présentait une dizaine d'oeuvres complètes en série littéraire.
3 textes de chaque grand auteur de Montaigne à Proust inclus, par ordre chronologique. Plus Polyeucte, Phèdre, Dom Juan, Lorenzaccio, Madame Bovary, Poèmes saturniens, La Reine morte...
- InvitéInvité
Et j'ajouterai qu'à cette époque lointaine, on ne posait pas de question. Le candidat faisait son analyse comme on lui avait appris à le faire en classe et il s'en sortait! Pas la peine de le prendre par la main. Et, oh, miracle, il était capable de relever des procédés d'écriture et de les commenter, et ce n'était pas mal!
Rien à voir avec les paraphrases ou traductions de texte d'aujourd'hui.
Bon, en même temps, c'était deux semaines d'oraux ou 150 copies de bac pour le correcteur.
Par contre, je crois me souvenir que l'oral ne durait que 10 mn. Pas 20.
Rien à voir avec les paraphrases ou traductions de texte d'aujourd'hui.
Bon, en même temps, c'était deux semaines d'oraux ou 150 copies de bac pour le correcteur.
Par contre, je crois me souvenir que l'oral ne durait que 10 mn. Pas 20.
- CarabasVénérable
Ah, de mon temps, c'était bien 20 minutesBrindacier a écrit:Et j'ajouterai qu'à cette époque lointaine, on ne posait pas de question. Le candidat faisait son analyse comme on lui avait appris à le faire en classe et il s'en sortait! Pas la peine de le prendre par la main. Et, oh, miracle, il était capable de relever des procédés d'écriture et de les commenter, et ce n'était pas mal!
Rien à voir avec les paraphrases ou traductions de texte d'aujourd'hui.
Bon, en même temps, c'était deux semaines d'oraux ou 150 copies de bac pour le correcteur.
Par contre, je crois me souvenir que l'oral ne durait que 10 mn. Pas 20.
J'ai passé le français en 99.
Peut-être qu'à une époque antérieure, ça ne durait que 10 minutes, mais à mon époque, on a bien eu un entretien.
J'ai eu droit aux GT choisis par le prof (relations maître-valet au théâtre, tellement standard qu'il y avait un profil dessus, et "vivre le présent" en poésie, avec "L'Horloge" de Baudelaire, entre autres). OI : Les 4 premiers livres des Confessions de Rousseau, Les Châtiments (spécial série L) de Hugo, Electre de Giraudoux, Dom Juan de Molière...
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Les chances uniques sur un million se réalisent neuf fois sur dix.
Terry Pratchett
- retraitéeDoyen
Non, l'oral durait 20 minutes.
Et sur ma "première" liste d'oral, en1982, série G à l'époque, il y avait une bonne cinquantaine de textes !
Et on faisait l'écrit, ou l'oral. Je me souviens d'épouvantables journées d'oral, de 8h à 18 h en théorie, où on voyait défiler des dizaines de candidats. Et ensuite, il fallait "entrer" les notes sur Minitel ! Quand il faisait chaud, c'était une torture !
Et sur ma "première" liste d'oral, en1982, série G à l'époque, il y avait une bonne cinquantaine de textes !
Et on faisait l'écrit, ou l'oral. Je me souviens d'épouvantables journées d'oral, de 8h à 18 h en théorie, où on voyait défiler des dizaines de candidats. Et ensuite, il fallait "entrer" les notes sur Minitel ! Quand il faisait chaud, c'était une torture !
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