- User5899Demi-dieu
Probablement par masochismeMandoline a écrit:Le socle est un outil dont personne ne se sert et que tout le monde critique.
- User5899Demi-dieu
Isis39 a écrit:Sur un autre fil on est près de rendre le socle responsable du vote FN, alors....
Luigi_B a écrit:Bah ici on est près d'accuser ceux qui critiquent le socle de ne pas être républicains...Isis39 a écrit:Sur un autre fil on est près de rendre le socle responsable du vote FN, alors....
- doctor whoDoyen
the educator a écrit:
Mais puisque nous souhaitons l'éveiller, il nous faut à un moment donné nous poser la question de son développement, d'autant que ça ouvre des portes pour la suite des opération d'apprentissage. Pour moi il ne s'agit pas de valider des items comme nous le faisons bêtement depuis 5 ans, mais bien de se demander si nous sommes arrivé à nos fins, à tenir ou non nos promesses, et le cas échéant pourquoi, et comment.
Justement de cette manière on ne se pose plus la question du "bon pour le service", mais juste de savoir ou nous en sommes dans sa formation, au sens noble. Pour moi la validation terminale relève de l'inutile, c'est de savoir où on en est, et de pouvoir se le tra,smettre entre équipes, établissement, collègues, etc...
Si c'est ça, le socle, je suis pour. Une sorte de préambule expliquant la cohérence éducative des programmes afin d'éviter le morcellement, le bachotage et rappeler la nécessité de faire s'approprier les connaissances par les élèves.
Mais il me semble que celle belle idée est un idéal, ce vers quoi les enseignants devraient être invités à tendre, et non un minimum. Je ne vois toujours pas pourquoi on appelle cela "socle", si ce n'est pour faire de la communication (un peu comme les objectifs chiffrés de la police sous Sarkozy).
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Mon blog sur Tintin (entre autres) : http://popanalyse.over-blog.com/
Blog pédagogique : http://pedagoj.eklablog.com
- CasparProphète
N'oublions pas que nous avons tous plus d'une centaine d'élèves et de nombreux items à valider. Est-il possible de suivre tous les élèves de façon très fine et suivie? Alors "si, pourquoi et comment" ça va être très fastidieux.
- the educatorFidèle du forum
Je ne suis pas sur qu'il y ait nécessairement besoin d'autant d'items et de sous items, ni d'aller aussi loin dans la finesse et le suivi. Mais j'avoue que par rapport au primaire, le fait d'avoir autant d'élèves, et le fait pour les élèves d'avoir autant de professeurs, complique cette tache (et la rend d'autant plus utile puisqu'il faut pouvoir se refiler la balle d'une année à l'autre.)
En faire un minimum, et l'inscrire dans la loi, c'est juste une manière de contraindre le système à faire des efforts pour ceux qui ne valideraient pas. ça crée une obligation sinon légale, du moins morale, à repêcher l'irrepêchable, à aller chercher les moins bons (les plus nuls) pour aller au bout de ce socle. En parlant d'idéal, on perd cette notion de contrat. Si on arrive c'est bien, sinon tant pis. Moi j'avoue que j'aime cette injonction, et que je trouve scandaleux qu'on ne nous donne pas les moyens structurels de cette ambition. Si on se loupe, on se loupe, et d'ailleurs la responsabilité est toujours dans ces cas là partagée avec l'élève et ses parents, ce qui devrait nous permettre de tout de même dormir tranquille.
De toute manière, à l'impossible...Mais il me semble que celle belle idée est un idéal, ce vers quoi les enseignants devraient être invités à tendre, et non un minimum.
En faire un minimum, et l'inscrire dans la loi, c'est juste une manière de contraindre le système à faire des efforts pour ceux qui ne valideraient pas. ça crée une obligation sinon légale, du moins morale, à repêcher l'irrepêchable, à aller chercher les moins bons (les plus nuls) pour aller au bout de ce socle. En parlant d'idéal, on perd cette notion de contrat. Si on arrive c'est bien, sinon tant pis. Moi j'avoue que j'aime cette injonction, et que je trouve scandaleux qu'on ne nous donne pas les moyens structurels de cette ambition. Si on se loupe, on se loupe, et d'ailleurs la responsabilité est toujours dans ces cas là partagée avec l'élève et ses parents, ce qui devrait nous permettre de tout de même dormir tranquille.
- doctor whoDoyen
the educator a écrit:De toute manière, à l'impossible...doctor who a écrit:Mais il me semble que celle belle idée est un idéal, ce vers quoi les enseignants devraient être invités à tendre, et non un minimum.
En faire un minimum, et l'inscrire dans la loi, c'est juste une manière de contraindre le système à faire des efforts pour ceux qui ne valideraient pas. ça crée une obligation sinon légale, du moins morale, à repêcher l'irrepêchable, à aller chercher les moins bons (les plus nuls) pour aller au bout de ce socle. En parlant d'idéal, on perd cette notion de contrat. Si on arrive c'est bien, sinon tant pis. Moi j'avoue que j'aime cette injonction, et que je trouve scandaleux qu'on ne nous donne pas les moyens structurels de cette ambition. Si on se loupe, on se loupe, et d'ailleurs la responsabilité est toujours dans ces cas là partagée avec l'élève et ses parents, ce qui devrait nous permettre de tout de même dormir tranquille.
Mais l'idéal dont je parle n'est pas celui d'un minimum commun, mais de la partie "compétence" du socle, qui cherche à faire des liens entre les enseignements et à leur conserver, ou redonner, leur portée éducative.
Ca, c'est un idéal.
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- VoltigeurHabitué du forum
Une analyse du substrat idéologique du socle commun :study:
Le Pédagogisme comme masque du néolibéralisme le plus obscène. Mais quelle surprise...
http://michelcollon.info/Eduquer-et-former-sous-la.html?lang=fr
Le Pédagogisme comme masque du néolibéralisme le plus obscène. Mais quelle surprise...
http://michelcollon.info/Eduquer-et-former-sous-la.html?lang=fr
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«Quand tout le monde pense la même chose, c'est que plus personne ne pense» (Walter Lippman)
- coindeparadisGuide spirituel
Très intéressant ! Merci Voltigeur !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Mila Saint AnneNiveau 9
Pur une autre lecture du Socle Commun de Connaissances, de compétences et de Culture :
http://fr.scribd.com/doc/229554879/Le-socle-commun-de-2014-une-autre-lecture
http://fr.scribd.com/doc/229554879/Le-socle-commun-de-2014-une-autre-lecture
- coindeparadisGuide spirituel
En français, on dirait des items d'élémentaire !
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- Mila Saint AnneNiveau 9
coindeparadis a écrit:En français, on dirait des items d'élémentaire !
Le premier palier du Socle se valide en élémentaire. Notre métier est d'adapter au niveau auquel nous enseignons.
- JohnMédiateur
... afin d'amener l'élève au niveau supérieur.Notre métier est d'adapter au niveau auquel nous enseignons...
Ca me semble nécessaire de compléter la phrase.
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En achetant des articles au lien ci-dessous, vous nous aidez, sans frais, à gérer le forum. Merci !
"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- neomathÉrudit
coindeparadis a écrit:Très intéressant ! Merci Voltigeur !
+1
- User5899Demi-dieu
Oui, merci.coindeparadis a écrit:Très intéressant ! Merci Voltigeur !
Même si ce qu'il dit est connu depuis 12 ans au moins, et s'il est évident que le socle n'a pu être conçu que dans nos sociétés UMP+PS+Union européenne, soit le plus gros conglomérat libéral depuis 40 ans.
- Mila Saint AnneNiveau 9
John a écrit:... afin d'amener l'élève au niveau supérieur.Notre métier est d'adapter au niveau auquel nous enseignons...
Ca me semble nécessaire de compléter la phrase.
je ne vois pas comment elle aurait pu se finir autrement....
- Roumégueur IerÉrudit
En fait, le socle c'est un... chapeau! Si, si :
http://www.vousnousils.fr/2014/06/13/le-socle-sera-le-chapeau-general-des-futurs-programmes-scolaires-553749
"Le Conseil supérieur des programmes (CSP) vient de publier, ce mardi 10 juin, son projet de socle commun rénové, tandis que la veille son président, Alain Boissinot, démissionnait. Le point avec Eric Favey, membre du CSP et secrétaire général adjoint de la Ligue de l'enseignement.
Quelles sont les évolutions notables dans le projet de "socle de connaissances, de compétences et de culture "que vient de rendre public le CSP ?
Il y a d'abord un souci de continuité. Bien que le socle précédent soit théoriquement installé depuis la loi du 23 avril 2005, il n'est pas totalement intégré dans les pratiques de l'école. Le CSP a donc voulu signifier que le socle de connaissances, et son acquisition par tous les élèves à l'issue de la scolarité obligatoire, est un outil de la recherche d'égalité et de justice sociale dans l'école. Nous avons aussi voulu que les compétences et les connaissances soient constitutives du socle. Le reproche fait au texte précédent, c'est d'être un peu "fourre-tout" et de mêler les compétences, les capacités, les attitudes et les contenus. Cette fois, nous avons pris le parti d'élaborer un socle référence pour la déclinaison des programmes d'enseignement des différents cycles.
Enfin, le socle a été rendu plus lisible et plus ramassé. Désormais, les 8 compétences clés pour l'éducation , définies par le Parlement européen, sont présentes au travers des 5 grands domaines de formation que nous proposons.
Que répondez-vous aux critiques qui trouvent ce nouveau texte "trop vague" ?
Il faut le lire dans le détail, c'est un texte d'intentions fortes ! Le socle va maintenant être décliné par cycle, en reprenant chacun des domaines, et en définissant les compétences plus fines à acquérir, les connaissances, et la manière de les évaluer. Le socle est le chapeau général des programmes scolaires, qui sont en cours de déclinaison.
Le diplôme national du brevet (DNB) va-t-il disparaître, comme l'aurait récemment déclaré Denis Paget ?
Denis Paget n'a pas dit ça ! Il a expliqué qu'on ne peut pas avoir un double système, avec d'une part l'évaluation du socle, qui vérifie l'acquisition des 5 grands domaines, et d'autre part un diplôme sans rapport, prétendant sanctionner les programmes de la scolarité obligatoire. Le travail n'est pas terminé, nous allons remettre une proposition au ministre cet été pour que le brevet devienne vraiment la concrétisation de la validation du socle. Avec évidemment une part déterminante d'évaluation continue et, peut-être, une épreuve consécutive qui permette de recueillir des informations complémentaires sur les acquisitions.
Le CSP préconise la mise en place d'une "évaluation positive permettant de valoriser différents niveau de réussite". L'idée n'est pas nouvelle, qu'est-ce que cela signifie ?
En cohérence avec la loi de refondation de l'école, l'évaluation est faite par cycle et non pas par classe. Il s'agit donc de mettre en place des indicateurs pour apprécier ce que les élèves ont appris à l'issue de chacun des cycles, même si les enseignants auront sans doute besoin de guides pour mesurer année après année les acquis de l'élève. La logique de la moyenne et de la compensation n'existe plus. Nous proposons une échelle de validation, avec un niveau minimum requis, comme cela se pratique déjà dans bon nombre de pays européens.
La démission d'Alain Boissinot, de la présidence du CSP, ne remet-elle pas en cause la crédibilité de la réforme des programmes scolaires ?
La présidence du CSP est un élément symbolique important, en terme de dynamique d'entraînement du travail. Mais nous sommes 17 autres membres ! C'est un peu méprisant de penser que le CSP se résume uniquement à son président. Cinq groupes techniques mobilisent plus de 100 personnes en permanence ! Néanmoins, la démission d'Alain Boissinot modifie momentanément la dynamique. Il appartient donc au ministre de le remplacer rapidement. En attendant, Anny Cazenave, vice-présidente, assure l'intérim et il n'y a pas de vacance du conseil.
Partagez-vous le point de vue d'Alain Boissinot qui, dans une interview accordée au journal Le Monde, estime que le CSP n'a pas les moyens de ses missions ?
Les missions confiées au CSP sont extrêmement importantes. La question de la révision des programmes, régulièrement repoussée, est fondamentale. Il faut y apporter une réponse, sinon ce sera un élément du discrédit de la refondation. Je pense que le CSP a les moyens de travailler. Alain Boissinot, sans doute, a été déçu par le fait que nos premières propositions ont immédiatement suscité une forme de guerre civile. Seule la France a cette malheureuse habitude, alors que tous les autres pays européens font évoluer leur système éducatif par la négociation et la recherche du consensus.
Charles Centofanti"
http://www.vousnousils.fr/2014/06/13/le-socle-sera-le-chapeau-general-des-futurs-programmes-scolaires-553749
"Le Conseil supérieur des programmes (CSP) vient de publier, ce mardi 10 juin, son projet de socle commun rénové, tandis que la veille son président, Alain Boissinot, démissionnait. Le point avec Eric Favey, membre du CSP et secrétaire général adjoint de la Ligue de l'enseignement.
Quelles sont les évolutions notables dans le projet de "socle de connaissances, de compétences et de culture "que vient de rendre public le CSP ?
Il y a d'abord un souci de continuité. Bien que le socle précédent soit théoriquement installé depuis la loi du 23 avril 2005, il n'est pas totalement intégré dans les pratiques de l'école. Le CSP a donc voulu signifier que le socle de connaissances, et son acquisition par tous les élèves à l'issue de la scolarité obligatoire, est un outil de la recherche d'égalité et de justice sociale dans l'école. Nous avons aussi voulu que les compétences et les connaissances soient constitutives du socle. Le reproche fait au texte précédent, c'est d'être un peu "fourre-tout" et de mêler les compétences, les capacités, les attitudes et les contenus. Cette fois, nous avons pris le parti d'élaborer un socle référence pour la déclinaison des programmes d'enseignement des différents cycles.
Enfin, le socle a été rendu plus lisible et plus ramassé. Désormais, les 8 compétences clés pour l'éducation , définies par le Parlement européen, sont présentes au travers des 5 grands domaines de formation que nous proposons.
Que répondez-vous aux critiques qui trouvent ce nouveau texte "trop vague" ?
Il faut le lire dans le détail, c'est un texte d'intentions fortes ! Le socle va maintenant être décliné par cycle, en reprenant chacun des domaines, et en définissant les compétences plus fines à acquérir, les connaissances, et la manière de les évaluer. Le socle est le chapeau général des programmes scolaires, qui sont en cours de déclinaison.
Le diplôme national du brevet (DNB) va-t-il disparaître, comme l'aurait récemment déclaré Denis Paget ?
Denis Paget n'a pas dit ça ! Il a expliqué qu'on ne peut pas avoir un double système, avec d'une part l'évaluation du socle, qui vérifie l'acquisition des 5 grands domaines, et d'autre part un diplôme sans rapport, prétendant sanctionner les programmes de la scolarité obligatoire. Le travail n'est pas terminé, nous allons remettre une proposition au ministre cet été pour que le brevet devienne vraiment la concrétisation de la validation du socle. Avec évidemment une part déterminante d'évaluation continue et, peut-être, une épreuve consécutive qui permette de recueillir des informations complémentaires sur les acquisitions.
Le CSP préconise la mise en place d'une "évaluation positive permettant de valoriser différents niveau de réussite". L'idée n'est pas nouvelle, qu'est-ce que cela signifie ?
En cohérence avec la loi de refondation de l'école, l'évaluation est faite par cycle et non pas par classe. Il s'agit donc de mettre en place des indicateurs pour apprécier ce que les élèves ont appris à l'issue de chacun des cycles, même si les enseignants auront sans doute besoin de guides pour mesurer année après année les acquis de l'élève. La logique de la moyenne et de la compensation n'existe plus. Nous proposons une échelle de validation, avec un niveau minimum requis, comme cela se pratique déjà dans bon nombre de pays européens.
La démission d'Alain Boissinot, de la présidence du CSP, ne remet-elle pas en cause la crédibilité de la réforme des programmes scolaires ?
La présidence du CSP est un élément symbolique important, en terme de dynamique d'entraînement du travail. Mais nous sommes 17 autres membres ! C'est un peu méprisant de penser que le CSP se résume uniquement à son président. Cinq groupes techniques mobilisent plus de 100 personnes en permanence ! Néanmoins, la démission d'Alain Boissinot modifie momentanément la dynamique. Il appartient donc au ministre de le remplacer rapidement. En attendant, Anny Cazenave, vice-présidente, assure l'intérim et il n'y a pas de vacance du conseil.
Partagez-vous le point de vue d'Alain Boissinot qui, dans une interview accordée au journal Le Monde, estime que le CSP n'a pas les moyens de ses missions ?
Les missions confiées au CSP sont extrêmement importantes. La question de la révision des programmes, régulièrement repoussée, est fondamentale. Il faut y apporter une réponse, sinon ce sera un élément du discrédit de la refondation. Je pense que le CSP a les moyens de travailler. Alain Boissinot, sans doute, a été déçu par le fait que nos premières propositions ont immédiatement suscité une forme de guerre civile. Seule la France a cette malheureuse habitude, alors que tous les autres pays européens font évoluer leur système éducatif par la négociation et la recherche du consensus.
Charles Centofanti"
- Dr RaynalHabitué du forum
Roumégueur Ier a écrit:
l'évaluation est faite par cycle et non pas par classe. Il s'agit donc de mettre en place des indicateurs pour apprécier ce que les élèves ont appris à l'issue de chacun des cycles, même si les enseignants auront sans doute besoin de guides pour mesurer année après année les acquis de l'élève.
La logique de la moyenne et de la compensation n'existe plus. Nous proposons une échelle de validation, avec un niveau minimum requis, comme cela se pratique déjà dans bon nombre de pays européens.
Si cela est mis en oeuvre, c'est tout simplement:
- la fin de la liberté pédagogique au sujet de l'évaluation
- la fin de la notation "/20" (c'est pour cela qu'il n'y aura plus "de compensation" et "de moyenne"): deux modes de notation différents ne soudaient coexister longtemps.
- encore davantage de temps perdu à cocher des cases, avec les choix "acquis / non acquis" et une belle usine à gaz "cyclique" en perspective.
- l'impossibilité de mesurer les effets de ce m...dier sur le niveau des élèves, les évaluations ne répondant plus à la même logique ne pouvant plus être comparées aux anciennes.
Tout cela pour bien nous faire comprendre, comme le chantait déjà J. Yanne: "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil"...
- CasparProphète
"bon nombre de pays européens", c'est vague, que l'on nous donne des exemples précis, et des explications claires. Et quid des pays qui ne font pas partie du "bon nombre"?
- retraitéeDoyen
Le socle est un chapeau ! Chapeau l'artiste !
- Dr RaynalHabitué du forum
Le seul socle que je connaisse qui serve aussi de chapeau, c'est une pierre tombale.
- Roumégueur IerÉrudit
Dr Raynal a écrit:Le seul socle que je connaisse qui serve aussi de chapeau, c'est une pierre tombale.
Bien vu!
D'ailleurs, à ce sujet deux articles savoureux du café péda, présentés côte à côte : l'Asie pour nous aider à penser le curriculum et la marchandisation de l'enseignement en Asie. De là à dire qu'il y aurait un lien entre les deux, voire que l'un ne va pas sans l'autre...
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/06/16062014Article635385024627736217.aspx
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/06/16062014Article635385024615567983.aspx
- coindeparadisGuide spirituel
Roumégueur, je n'ai pas compris. Tu procèdes à la même analyse que le Café Pédagogique où tu déplores le parallèle qui est fait entre le curriculum et la merchandisation (histoire de diaboliser les méthodes asiatiques) ?
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Ne t'excuse jamais d'être ce que tu es. Gandhi
- egometDoyen
Roumégueur Ier a écrit:Dr Raynal a écrit:Le seul socle que je connaisse qui serve aussi de chapeau, c'est une pierre tombale.
Bien vu!
D'ailleurs, à ce sujet deux articles savoureux du café péda, présentés côte à côte : l'Asie pour nous aider à penser le curriculum et la marchandisation de l'enseignement en Asie. De là à dire qu'il y aurait un lien entre les deux, voire que l'un ne va pas sans l'autre...
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/06/16062014Article635385024627736217.aspx
http://www.cafepedagogique.net/lexpresso/Pages/2014/06/16062014Article635385024615567983.aspx
Bof.
D'abord le mot curriculum peut signifier beacoup de choses. Pas certain que des intervenants de pays aussi différents que la Chine et le Japon l'entendent de la même façon.
Quant à la marchandisation, elle traduit des problèmes très divers. Entre la compensation spontanée des failles de l'école publique et une volonté de libéraliser l'école, il y a un fossé.
Je note quand même que la Chine continue de vouloir faire de bons petits socialistes.
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Primum non nocere.
Ubi bene, ibi patria.
Mes livres, mes poèmes, réflexions pédagogiques: http://egomet.sanqualis.com/
- Mila Saint AnneNiveau 9
C'est marrant ce que vous racontez...
Dans mon académie cette année 2013/2014, c'est environ 400 collègues qui ont DEMANDÉ à assister à des stages sur site pour mettre en œuvre l'enseignement par compétences dans leurs classes. Ça ne doit pas dégoûter tout le monde....
Dans mon académie cette année 2013/2014, c'est environ 400 collègues qui ont DEMANDÉ à assister à des stages sur site pour mettre en œuvre l'enseignement par compétences dans leurs classes. Ça ne doit pas dégoûter tout le monde....
- User5899Demi-dieu
400 sur combien ? Ca peut n'être pas très spectaculaire. Et puis moi aussi je demande plein de stages. Ca me fait des journées pour corriger des copies et ensuite, ça me fait des HS Robien puisque je rattrape tout. Deux fois bénéfiques
- egometDoyen
Une demande de formation peut fort bien correspondre à une angoisse. Mais je ne suis pas dans la tête des gens.Mila Saint Anne a écrit:C'est marrant ce que vous racontez...
Dans mon académie cette année 2013/2014, c'est environ 400 collègues qui ont DEMANDÉ à assister à des stages sur site pour mettre en œuvre l'enseignement par compétences dans leurs classes. Ça ne doit pas dégoûter tout le monde....
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- Nouveau socle commun : "Il n'y aura pas de proposition de carnet de compétences ou de grille d'évaluation dans le socle".
- CSE sur le nouveau socle commun
- Cours, préparations, stagiaire, réunions, copies, socle commun, et ma fille : j'arrive à saturation !
- Nouveau socle commun et Programmes d'Espagnol
- A quoi sert le nouveau socle commun ?
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