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- PandorafaFidèle du forum
Quand j'étais au SNALC, certains collègues (principalement du SNES) prétendaient que mon syndicat était noyauté par le FN. Très agréable...
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
- RuthvenGuide spirituel
Pandorafa a écrit:Quand j'étais au SNALC, certains collègues (principalement du SNES) prétendaient que mon syndicat était noyauté par le FN. Très agréable...
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
Une crypto-lambertiste, certes, mais d'extrême droite, si l'on connaît "enfin la vérité" sur les syndicats et les partis politiques ! :lol!:
http://www.snalc.fr/national/article/647/
- User5899Demi-dieu
Et les expériences erratiques esseulées, c'est la logique républicaine, c'est ça :lol:sena a écrit:Je crois que Fo est contre la territorialisation de l'école et donc à partir de là il ne peut accepter une décision esseulée d'un conseil d'école. J'y vois une garantie contre toutes sortes de dérives.
Le conseil d'école ne peut être l'espace décisionnel car sinon c'est l'éclatement de l'école républicaine.
Et donc, vouloir au nom de l'école républicaine que les expériences erratiques n'aient pas lieue contre l'avis des intéressés, c'est anti-républicain...
Mais mais mais... Si c'était si dangereux, comme vous dites, que n'ont-ils voté "contre" ?
Non, disons-le posément : c'est n'importe quoi.
- philannDoyen
Cripure a écrit:Merci, Gryphe. Ces proclamations de vertu pro FO m'agacent un tantinet. FO a les mains propres, mais n'a pas de mains.
Non ! Ca c'est Kant, cher Cri-tique
_________________
2014-2015: poste fixe dans les Hauts de Seine
2013-2014: certifiée stagiaire dans les Hauts de Seine
2011-2013: prof. contractuelle dans l'Essonne
- PandorafaFidèle du forum
Ruthven a écrit:Pandorafa a écrit:Quand j'étais au SNALC, certains collègues (principalement du SNES) prétendaient que mon syndicat était noyauté par le FN. Très agréable...
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
Une crypto-lambertiste, certes, mais d'extrême droite, si l'on connaît "enfin la vérité" sur les syndicats et les partis politiques ! :lol!:
http://www.snalc.fr/national/article/647/
J'ignorais l'existence de ce communiqué. On en a assez qu'on nous taxe d'être d'extrême-droite, donc on accuse le syndicat chez qui se barrent certains de nos adhérents/militants d'être soutenu par le FN. Très classe, très digne, bravo.
Au moins, les collègues qui connaissent des représentants FO et leurs valeurs, même s'ils n'ont pas les mêmes opinions qu'eux, savent que ce que ça vaut, ce genre d'insinuations.
- senaNiveau 8
Cripure a écrit:Et les expériences erratiques esseulées, c'est la logique républicaine, c'est ça :lol:sena a écrit:Je crois que Fo est contre la territorialisation de l'école et donc à partir de là il ne peut accepter une décision esseulée d'un conseil d'école. J'y vois une garantie contre toutes sortes de dérives.
Le conseil d'école ne peut être l'espace décisionnel car sinon c'est l'éclatement de l'école républicaine.
Et donc, vouloir au nom de l'école républicaine que les expériences erratiques n'aient pas lieue contre l'avis des intéressés, c'est anti-républicain...
Mais mais mais... Si c'était si dangereux, comme vous dites, que n'ont-ils voté "contre" ?
Non, disons-le posément : c'est n'importe quoi.
La logique me semble être celle-ci : le SNUDI FO est contre ce décret sur les rythmes scolaires. Il ne peut voter sur des propositions qui entrent dans le cadre de son application.
D'autre part, le fait de dire résister au niveau des conseils d'école OK c'est pour le moins limite , c'est du genre nationalement on déserte le combat mais localement débrouillez-vous......ça me fait penser au syndicat majoritaire dans le premier degré , non?
- FinrodExpert
Pandorafa a écrit:
Au moins, les collègues qui connaissent des représentants FO et leurs valeurs, même s'ils n'ont pas les mêmes opinions qu'eux, savent que ce que ça vaut, ce genre d'insinuations.
Les collègues qui ont un minimum de sens commun se contrefichent de ce genre de bisbilles et ne regardent que l'évolution du métier et les défis que posent l'avenir.
Notre principal problème, c'est que environs 15% des personnels ont compris qu'ils pouvaient être acteurs des débats présents et futurs grâce à la seule forme de regroupement autorisée légalement pour ce type de réflexion/ élaboration de projet et qui fut appelé il y a longtemps syndicat.
Les autres ne se posent pas la question, ou pire perçoivent les syndicats non comme des moyens d'expression mais comme une institution immuable s'opposant à leurs intérêts individuels et confisquant pouvoir et moyens d'expression : on l'entend fréquemment et c'est bien idiot... notre profession semble regrouper beaucoup de gens effrayés par la moindre contradiction (et effectivement dans un syndicat les gens donnent leur point de vue, on peut donc se retrouver face à une personne qui s'oppose à vous et on discute entre collègues ! (à la limite si on s'est planté, on change de syndicat). On ne rentre pas chez soi en clamant que les syndicats vous empêchent de vous exprimer...
Et pire encore, il y a ceux qui préfèrent jouer les aveugles sourds et muets. " Je suis syndiqué au SGEN/UNSA, je sais, ils sont pédago, j'aime pas ça, mais on peut être syndiqué et avoir ses idées"... euh...
Notre principal problème, c'est ce chiffre, 15%, qui est ridicule, le fait que les autres sont pas motivés motivés et qu'il faudrait se poser des questions là-dessus.
Alors si parmi ces 15%, il y en a 1% (donc 0,15% de la profession) qui se pâment dans un vague discours anti-syndicaliste visant un autre syndicat, ils ne méritent qu'une chose : être superbement ignorés. Quand bien même FO serait infiltrés par des petits homme verts, laissons ceux qui veulent choisir FO aller à FO et ceux qui préfère le SNALC ou le SNES y aller.
Notre devoir est de les informer avec le plus de justesse possible. Comme l'a fait Gryphe ici. Et de les inciter à rechercher ce type d'information.
Oh et les profs qui adhèrent à un syndicat plutôt qu'un autre parcequ'ils ont reçu le mail de machin un jour plus tôt et qu'il y avait leur prénom dedans - c'est désespérant.
- FinrodExpert
sena a écrit:le SNUDI FO est contre ce décret sur les rythmes scolaires. Il ne peut voter sur des propositions qui entrent dans le cadre de son application.
Aucun problème pour le fait que ce soit logique.
Mais je ne trouve pas non plus cela pertinent.
A chacun de faire ses choix - que tout le monde sache que FO ne vote pas les amendements car cela leur permet d'exprimer jusqu'au bout leur opposition au projet, donc de rester clair, alors que le SNALC pense que voter les amendements peut limiter la nuisance de la réforme et considère que le fait d'avoir marqué son opposition dans le texte est suffisant.
Ce que je dis est factuel - je n'ai ajouté aucun jugement ni aucune emphase envers aucun des deux points de vue.
Je choisis le SNALC.
On verra ce que choisissent les personnels dans les urnes (je n'en sais rien pour ma part - mais je prédis d'ores et déjà que la quasi-totalité d'entre eux ignorent les votes au CTM et au CSA, s'ils connaissent seulement l'existence du CTM...)
- Jim ThompsonExpert
il me semble qu'à l'origine du SNFOLC il y a le courant Front Unique Ouvrier du SNES de la FENLefteris a écrit:Et FO fait peur, car ayant une ligne de conduite lisible et constante quel que soit le ministère, ayant été le premier syndicat à bouger pour les rythmes, certains craignent pour les "parts de marché". Si les PE sont cohérents, le SNUDI surtout devrait faire un bond spectaculaire.Presse-purée a écrit:Marcel Khrouchtchev a écrit:C'est certain que quiconque a été à FO en connaît des membres du POI. Mais, effectivement, ils sont très peu nombreux! Noyauter une confédération comme FO, ce n'est pas sérieux.
Ils ne noyautent pas, ils la dirigent et lavent le cerveau des nouveaux adhérents.
Sinon, dans mon académie, un gros syndicat, qui pratique l'abstention offensive et le vote contre positif, tourne en HiS pour dire que FO a des accointances avec l'UMP, tandis que sur Twitter, des membres d'un syndicat qui veut être calife à la place de leurs anciens amis de la FEN expliquent que FO = FN (c'est vrai, il y a une lettre en commun, le "F").
Bref.
Les élections pro arrivent, en fait...
Il faut savoir que les élections déterminent les dispenses , donc les permanents, et les subventions.
Ayant été syndicaliste (mais pas à FO) , je peux dire que c'est à couteaux tirés , et parfois même au sein du même syndicat. Mon syndicat a d'ailleurs explosé comme ça, pour des histoires de décharges .
Courant-tendance dirigé(e) par les Lambertistes (à l'époque OCI puis PT puis maintenant POI)
J'ai vu des trucs sur le site du SNALC sur les rapports FN/FO
_________________
CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- Jim ThompsonExpert
Sur les rumeurs "SNALC-FN"
Il me semble qu'elles sont parties du fait que quand le FN a échoué à faire des syndicats (souvenez vous FN-Police les 80's), il y aurait eu un mot d'ordre de tenter d'entrer au SNALC pour en faire un "FN-EN"
Il me semble qu'elles sont parties du fait que quand le FN a échoué à faire des syndicats (souvenez vous FN-Police les 80's), il y aurait eu un mot d'ordre de tenter d'entrer au SNALC pour en faire un "FN-EN"
_________________
CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- Jim ThompsonExpert
Sachant qu'il y a des trotskystes au sein la tendance EE du SNES mais ils ne sont pas Lambertistes ce sont souvent ceux de LCR/NPAPandorafa a écrit:Quand j'étais au SNALC, certains collègues (principalement du SNES) prétendaient que mon syndicat était noyauté par le FN. Très agréable...
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
et des libertaires dans Emancipation
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CAPA/CAPN: SNES CTA/CTM: FSU
- P_ArnaudNiveau 1
Membre du SNALC, je suis heureux de voir une partie de ces gens partir. En effet, ce départ n'est qu'un parmi d'autres dans une petite liste :
Bernard Kuntz et sa femme, ancien président national
Bureau académique de Versailles qui a dévasté le local avant de prendre ses valises
Présidente de Strasbourg
Tous ces gens avaient, à mon sens, l'impression d'être des fonctionnaires du syndicalisme, pratique pour ne plus voir d'élèves, et redoutent fort que les prochaines élections ne leur assurent plus une décharge totale. Comme la trahison est toujours chèrement récompensée d'où qu'elle vienne (notamment entre partis politiques, les exemples sont trop nombreux pour que je m'y appesantisse), ils sont à peu près certains de retrouver à FO cette assurance de ne plus voir d'élèves.
Enfin, le départ se fonde sur une conception syndicale : doit-on refuser en bloc toute perspective de réforme et demander l'impossible (8% d'augmentation immédiate), en rêvant du grand Soir où tous les salariés et fonctionnaires paralyseraient la France, ou cherche-t-on, avec humilité, à être au service de ses collègues, sur son temps libre, à décortiquer chaque réforme en distinguant ce qui est positif, négatif, et en essayant de convaincre dans les négociations avec le Ministère d'enlever l'inacceptable ou de recourir immédiatement à la grève pour peser immédiatement (ex : CPGE pour le projet Peillon). Il faut aussi savoir analyser un rapport de forces qui actuellement est on ne peut plus défavorable aux fonctionnaires tout en n'acceptant pas la dégradation permanente de nos conditions matérielles de travail avec un point d'indice bloqué et l'augmentation de nos tâches, notamment périphériques à l'enseignement. Voilà mon ressenti de l'intérieur.
Bernard Kuntz et sa femme, ancien président national
Bureau académique de Versailles qui a dévasté le local avant de prendre ses valises
Présidente de Strasbourg
Tous ces gens avaient, à mon sens, l'impression d'être des fonctionnaires du syndicalisme, pratique pour ne plus voir d'élèves, et redoutent fort que les prochaines élections ne leur assurent plus une décharge totale. Comme la trahison est toujours chèrement récompensée d'où qu'elle vienne (notamment entre partis politiques, les exemples sont trop nombreux pour que je m'y appesantisse), ils sont à peu près certains de retrouver à FO cette assurance de ne plus voir d'élèves.
Enfin, le départ se fonde sur une conception syndicale : doit-on refuser en bloc toute perspective de réforme et demander l'impossible (8% d'augmentation immédiate), en rêvant du grand Soir où tous les salariés et fonctionnaires paralyseraient la France, ou cherche-t-on, avec humilité, à être au service de ses collègues, sur son temps libre, à décortiquer chaque réforme en distinguant ce qui est positif, négatif, et en essayant de convaincre dans les négociations avec le Ministère d'enlever l'inacceptable ou de recourir immédiatement à la grève pour peser immédiatement (ex : CPGE pour le projet Peillon). Il faut aussi savoir analyser un rapport de forces qui actuellement est on ne peut plus défavorable aux fonctionnaires tout en n'acceptant pas la dégradation permanente de nos conditions matérielles de travail avec un point d'indice bloqué et l'augmentation de nos tâches, notamment périphériques à l'enseignement. Voilà mon ressenti de l'intérieur.
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Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet (G. Courteline)
- goldiNiveau 2
Anciennement au SNALC, j'aimerais également partager votre optimisme sur le départ de ces gens-là... Ceci dit, je pense que c'est se voiler la face que de soutenir qu'il n'y a pas une grosse crise au snalc depuis 2011...
En effet : Kuntz et plusieurs responsables (qui consacre 30 ans au snalc et qui part juste pour une décharge à FO, on a du mal à y croire mais surtout la façon dont son départ est accueilli - traité de roi fainéant, de looser, de vandale ... pose vraiment des questions : http://www.du-snalc-a-fo.fr/).
Puis le snalc versailles, puis le snalc réunion (j'avais vu passer l'info sur le forum justement), puis maintenant la présidente de Strasbourg avec quelques élus... Entre temps la secrétaire du snalc Paris... Quand on sait aussi que le SNE (snalc 1er degré) a perdu son seul élu capd et que plusieurs responsables sont passés au snudi-FO...
Je ne peux pas croire qu'autant de responsables snalc étaient des "fonctionnaires du syndicalisme", juste là pour ne plus voir d'élèves... (Si tel était le cas, combien en reste t-il encore ?)...
Il faut aussi savoir analyser un rapport de forces qui actuellement est on ne peut plus défavorable à ce syndicat dont certaines positions étaient bonnes mais qui soutient une réforme insoutenable maintenant qu'il tangue.
Ceci dit il ne faut pas tomber dans l'extrême et c'est bien sûr évident qu'il reste des gens très bien, prêts à aider sur leur temps libre mais cela est-il encore possible ... ?
Je me pose aussi une question : le crédit d'impôts lorsque l'on est syndiqué est versé pour tout syndicat représentatif. Le snalc est-il tjrs représentatif au regard des impôts ? Au CTM ce n'est pas le cas mais il est au CSE cependant.
En effet : Kuntz et plusieurs responsables (qui consacre 30 ans au snalc et qui part juste pour une décharge à FO, on a du mal à y croire mais surtout la façon dont son départ est accueilli - traité de roi fainéant, de looser, de vandale ... pose vraiment des questions : http://www.du-snalc-a-fo.fr/).
Puis le snalc versailles, puis le snalc réunion (j'avais vu passer l'info sur le forum justement), puis maintenant la présidente de Strasbourg avec quelques élus... Entre temps la secrétaire du snalc Paris... Quand on sait aussi que le SNE (snalc 1er degré) a perdu son seul élu capd et que plusieurs responsables sont passés au snudi-FO...
Je ne peux pas croire qu'autant de responsables snalc étaient des "fonctionnaires du syndicalisme", juste là pour ne plus voir d'élèves... (Si tel était le cas, combien en reste t-il encore ?)...
Il faut aussi savoir analyser un rapport de forces qui actuellement est on ne peut plus défavorable à ce syndicat dont certaines positions étaient bonnes mais qui soutient une réforme insoutenable maintenant qu'il tangue.
Ceci dit il ne faut pas tomber dans l'extrême et c'est bien sûr évident qu'il reste des gens très bien, prêts à aider sur leur temps libre mais cela est-il encore possible ... ?
Je me pose aussi une question : le crédit d'impôts lorsque l'on est syndiqué est versé pour tout syndicat représentatif. Le snalc est-il tjrs représentatif au regard des impôts ? Au CTM ce n'est pas le cas mais il est au CSE cependant.
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Nos amis les plantes : http://www.cactuspassion.com/
- V.MarchaisEmpereur
Oui, et puis moi aussi j'ai quitté le SNALC pour FO, sensiblement pour les mêmes raisons que la dame évoquée, et je ne crains pas qu'on me renvoie en classe, vu que j'y suis déjà.
Je pense que la politique menée par le SNALC est mauvaise et pour l'instant, dans les "négociations" menées, je vois bien ce qu'on a perdu, pas ce qu'on a gagné. Ça tourne à l'angélisme naïf, cette volonté de "voir du positif".
J'adorerais me tromper dans mes analyses et que l'avenir me prouve que cette ex-présidente académique et moi avons tort. L'avenir le dira. En attendant, la position du SNALC est bien risquée.
Je pense que la politique menée par le SNALC est mauvaise et pour l'instant, dans les "négociations" menées, je vois bien ce qu'on a perdu, pas ce qu'on a gagné. Ça tourne à l'angélisme naïf, cette volonté de "voir du positif".
J'adorerais me tromper dans mes analyses et que l'avenir me prouve que cette ex-présidente académique et moi avons tort. L'avenir le dira. En attendant, la position du SNALC est bien risquée.
- User5899Demi-dieu
goldi a écrit:ce syndicat dont certaines positions étaient bonnes mais qui soutient une réforme insoutenable maintenant qu'il tangue.
- P_ArnaudNiveau 1
En tout cas, personne je pense ne me contredira quand j'affirme que l'UMP a voulu la mort des syndicats de métier, en l'occurrence du SNALC dans l'Educ' Nat, en faisant voter sa loi sur la soi-disant représentativité syndicale qui impose l'adhésion à une fédération pour avoir le droit d'exister et une audience qui ne se limite pas à un corps de métier. Or, contre toute attente, le syndicat qui devait disparaître par cette loi scélérate, a survécu. Certes, je ne méconnais pas qu'il joue sa survie tous les quatre ans, à chaque élection professionnelle, mais j'ose encore croire que le dévouement de ses adhérents et responsables, son indépendance et sa lecture non biaisée des textes réglementaires convainquent suffisamment d'enseignants pour permettre de faire perdurer cette voix singulière qui manquerait durablement au syndicalisme. Que resterait-il donc entre un SNES tiraillé entre un tendance majoritaire cogestionnaire contestée par 4 courants néo-FO, une FO réactionnaire, et deux syndicats "pédago"-enthousiastes. Franchement, j'ai lu le projet Peillon et ne vois dans l'argumentaire de ses détracteurs que des fantasmes : annualisation du temps de travail, etc... Ses calculs de M. X et Mme Y se fondent sur la seule heure de première chaire sans prendre jamais en compte ceux qui ne la touchaient pas. D'ailleurs le dernier tract FO cite, non le projet, mais un rapport de la cour des comptes : belle preuve d'amalgame ! Enfin, quand on connaît les projets de relèvement des maxima horaires de la droite, on se dit que confirmer, par loi, ces horaires, constituent une "garantie" qu'il sera plus aisé de défendre après 2017 qu'en se raccrochant sempiternellement à des décrets de 1950 désuets et dépassés par la force des choses. Leur donner une nouvelle vie, en conservant l'essentiel, en les actualisant, ce n'est certes pas une grande avancée, mais un mur de barrage contre les attaques futures qui ne tarderont pas, n'en doutons pas, à surgir.
- User5899Demi-dieu
Ne vous fatiguez pas : d'autres et moi l'avons expliqué déjà je ne sais combien de fois (le SNALC est assez représenté sur Néo, comme les autres syndicats d'ailleurs), mais bon, les fantasmes sont difficiles à dissiper...P_Arnaud a écrit:En tout cas, personne je pense ne me contredira quand j'affirme que l'UMP a voulu la mort des syndicats de métier, en l'occurrence du SNALC dans l'Educ' Nat, en faisant voter sa loi sur la soi-disant représentativité syndicale qui impose l'adhésion à une fédération pour avoir le droit d'exister et une audience qui ne se limite pas à un corps de métier. Or, contre toute attente, le syndicat qui devait disparaître par cette loi scélérate, a survécu. Certes, je ne méconnais pas qu'il joue sa survie tous les quatre ans, à chaque élection professionnelle, mais j'ose encore croire que le dévouement de ses adhérents et responsables, son indépendance et sa lecture non biaisée des textes réglementaires convainquent suffisamment d'enseignants pour permettre de faire perdurer cette voix singulière qui manquerait durablement au syndicalisme. Que resterait-il donc entre un SNES tiraillé entre un tendance majoritaire cogestionnaire contestée par 4 courants néo-FO, une FO réactionnaire, et deux syndicats "pédago"-enthousiastes. Franchement, j'ai lu le projet Peillon et ne vois dans l'argumentaire de ses détracteurs que des fantasmes : annualisation du temps de travail, etc... Ses calculs de M. X et Mme Y se fondent sur la seule heure de première chaire sans prendre jamais en compte ceux qui ne la touchaient pas. D'ailleurs le dernier tract FO cite, non le projet, mais un rapport de la cour des comptes : belle preuve d'amalgame ! Enfin, quand on connaît les projets de relèvement des maxima horaires de la droite, on se dit que confirmer, par loi, ces horaires, constituent une "garantie" qu'il sera plus aisé de défendre après 2017 qu'en se raccrochant sempiternellement à des décrets de 1950 désuets et dépassés par la force des choses. Leur donner une nouvelle vie, en conservant l'essentiel, en les actualisant, ce n'est certes pas une grande avancée, mais un mur de barrage contre les attaques futures qui ne tarderont pas, n'en doutons pas, à surgir.
- LefterisEsprit sacré
C'est dommage pour le SNALC, dont j'aurais partagé certaines positions, mais dont certains membres ne s'honorent pas aujourd'hui par leurs déclarations, qui ressemblent à celles qu'ils ont essuyées de leurs détracteurs par le passé.
Je crois tout simplement que l'heure n'est plus à la petite structure, anciennement autonome, mais affiliée tant bien que mal a des "fédérations" hétéroclites, en vertu des diverses lois sur la représentativité syndicales qui se sont succédé , trop centrée sur une profession. D'une part, il y a un manque de prise de recul , on se voit d'abord en tant qu'enseignant , avant de se voir d'abord comme fonctionnaire (ce n'est pas spécifique aux enseignants, d'autres métiers croient que leur "identité" prime sur tout, et cette croyance est soigneusement entretenue, ça divise les fonctionnaires).
Ensuite, ces syndicats, qui se vivent comme les "autonomes" de naguère, n'ont pas la force de frappe nécessaire et sont plus obligés de "composer" avec l'administration que les autres. Et ça vaut pour a défense des intérêts individuels , qui sont autant les garants de la défense des intérêts collectifs que l'inverse.
J'ai bien eu le temps d'observer le syndicalisme dans ma "vie" antérieure, ça a même démoli ma vie professionnelle, et j'ai eu le loisir de voir ça de fort près. Il arrive hélas aussi que dans les appareils, ce soit un vivier de piranhas qu'on ne soupçonne pas (gros enjeux de pouvoir, d'avantages personnels ou à distribuer , de décharges...) , mais ça, ce sont les aléas de toute organisation humaine, on a autant de risques dans un syndicat que dans un autre.
Je crois tout simplement que l'heure n'est plus à la petite structure, anciennement autonome, mais affiliée tant bien que mal a des "fédérations" hétéroclites, en vertu des diverses lois sur la représentativité syndicales qui se sont succédé , trop centrée sur une profession. D'une part, il y a un manque de prise de recul , on se voit d'abord en tant qu'enseignant , avant de se voir d'abord comme fonctionnaire (ce n'est pas spécifique aux enseignants, d'autres métiers croient que leur "identité" prime sur tout, et cette croyance est soigneusement entretenue, ça divise les fonctionnaires).
Ensuite, ces syndicats, qui se vivent comme les "autonomes" de naguère, n'ont pas la force de frappe nécessaire et sont plus obligés de "composer" avec l'administration que les autres. Et ça vaut pour a défense des intérêts individuels , qui sont autant les garants de la défense des intérêts collectifs que l'inverse.
J'ai bien eu le temps d'observer le syndicalisme dans ma "vie" antérieure, ça a même démoli ma vie professionnelle, et j'ai eu le loisir de voir ça de fort près. Il arrive hélas aussi que dans les appareils, ce soit un vivier de piranhas qu'on ne soupçonne pas (gros enjeux de pouvoir, d'avantages personnels ou à distribuer , de décharges...) , mais ça, ce sont les aléas de toute organisation humaine, on a autant de risques dans un syndicat que dans un autre.
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"La réforme [...] c'est un ensemble de décrets qui s'emboîtent les uns dans les autres, qui ne prennent leur sens que quand on les voit tous ensemble"(F. Robine , expliquant sans fard la stratégie du puzzle)
Gallica Musa mihi est, fateor, quod nupta marito. Pro domina colitur Musa latina mihi.
Δεν ελπίζω τίποτα, δεν φοβούμαι τίποτα, είμαι λεύτερος (Kazantzakis).
- marjorie_estiNiveau 5
P_Arnaud a écrit:En tout cas, personne je pense ne me contredira quand j'affirme que l'UMP a voulu la mort des syndicats de métier, en l'occurrence du SNALC dans l'Educ' Nat, en faisant voter sa loi sur la soi-disant représentativité syndicale qui impose l'adhésion à une fédération pour avoir le droit d'exister et une audience qui ne se limite pas à un corps de métier. Or, contre toute attente, le syndicat qui devait disparaître par cette loi scélérate, a survécu. Certes, je ne méconnais pas qu'il joue sa survie tous les quatre ans, à chaque élection professionnelle, mais j'ose encore croire que le dévouement de ses adhérents et responsables, son indépendance et sa lecture non biaisée des textes réglementaires convainquent suffisamment d'enseignants pour permettre de faire perdurer cette voix singulière qui manquerait durablement au syndicalisme. Que resterait-il donc entre un SNES tiraillé entre un tendance majoritaire cogestionnaire contestée par 4 courants néo-FO, une FO réactionnaire, et deux syndicats "pédago"-enthousiastes. Franchement, j'ai lu le projet Peillon et ne vois dans l'argumentaire de ses détracteurs que des fantasmes : annualisation du temps de travail, etc... Ses calculs de M. X et Mme Y se fondent sur la seule heure de première chaire sans prendre jamais en compte ceux qui ne la touchaient pas. D'ailleurs le dernier tract FO cite, non le projet, mais un rapport de la cour des comptes : belle preuve d'amalgame ! Enfin, quand on connaît les projets de relèvement des maxima horaires de la droite, on se dit que confirmer, par loi, ces horaires, constituent une "garantie" qu'il sera plus aisé de défendre après 2017 qu'en se raccrochant sempiternellement à des décrets de 1950 désuets et dépassés par la force des choses. Leur donner une nouvelle vie, en conservant l'essentiel, en les actualisant, ce n'est certes pas une grande avancée, mais un mur de barrage contre les attaques futures qui ne tarderont pas, n'en doutons pas, à surgir.
Soit dit en passant, dans l'EN seul FO a voté contre les accords de Bercy pendant que d'autres parafaient, ravis...
- User5899Demi-dieu
Vous avez raison de le souligner. C'est tellement rare que FO retrouve ses bulletins de votemarjorie_esti a écrit:P_Arnaud a écrit:En tout cas, personne je pense ne me contredira quand j'affirme que l'UMP a voulu la mort des syndicats de métier, en l'occurrence du SNALC dans l'Educ' Nat, en faisant voter sa loi sur la soi-disant représentativité syndicale qui impose l'adhésion à une fédération pour avoir le droit d'exister et une audience qui ne se limite pas à un corps de métier. Or, contre toute attente, le syndicat qui devait disparaître par cette loi scélérate, a survécu. Certes, je ne méconnais pas qu'il joue sa survie tous les quatre ans, à chaque élection professionnelle, mais j'ose encore croire que le dévouement de ses adhérents et responsables, son indépendance et sa lecture non biaisée des textes réglementaires convainquent suffisamment d'enseignants pour permettre de faire perdurer cette voix singulière qui manquerait durablement au syndicalisme. Que resterait-il donc entre un SNES tiraillé entre un tendance majoritaire cogestionnaire contestée par 4 courants néo-FO, une FO réactionnaire, et deux syndicats "pédago"-enthousiastes. Franchement, j'ai lu le projet Peillon et ne vois dans l'argumentaire de ses détracteurs que des fantasmes : annualisation du temps de travail, etc... Ses calculs de M. X et Mme Y se fondent sur la seule heure de première chaire sans prendre jamais en compte ceux qui ne la touchaient pas. D'ailleurs le dernier tract FO cite, non le projet, mais un rapport de la cour des comptes : belle preuve d'amalgame ! Enfin, quand on connaît les projets de relèvement des maxima horaires de la droite, on se dit que confirmer, par loi, ces horaires, constituent une "garantie" qu'il sera plus aisé de défendre après 2017 qu'en se raccrochant sempiternellement à des décrets de 1950 désuets et dépassés par la force des choses. Leur donner une nouvelle vie, en conservant l'essentiel, en les actualisant, ce n'est certes pas une grande avancée, mais un mur de barrage contre les attaques futures qui ne tarderont pas, n'en doutons pas, à surgir.
Soit dit en passant, dans l'EN seul FO a voté contre les accords de Bercy pendant que d'autres parafaient, ravis...
- P_ArnaudNiveau 1
Soit dit en passant, dans l'EN seul FO a voté contre les accords de Bercy pendant que d'autres parafaient, ravis...
En quoi cela concerne-t-il le SNALC? Marre des amalgames. D'après mes sources (je ne suis pas un historien des luttes syndicales, un simple militant récent, "La CGT, la CFDT, l’UNSA, la FSU, la CGC et Solidaires (représentant 70 % des voix) se sont prononcés pour la signature le vendredi 23 mai". Le SNALC a effectivement été exclu de certaines instances par la loi sur la représentativité syndical, mais si certains syndicats ont signé, il faut les nommer et renvoyer au contenu de ces accords plutôt qu'à une simple allusion grosse de sous-entendus et de confusions.
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Passer pour un idiot aux yeux d'un imbécile est une volupté de fin gourmet (G. Courteline)
- V.MarchaisEmpereur
réponse à Cripure : ça fait bien longtemps que FO a abandonné cette logique de non-participation aux votes, justement parce que, convaincant de plus en plus, elle a intégré les attentes de ses nouvelles recrues.
Bref, cette guéguerre est sans intérêt. On adhère à un syndicat à cause des idées (et des personnels) qu'il défend (ou pas). Je ne me sens plus assez bien défendue par le SNALC, c'est tout.
Bref, cette guéguerre est sans intérêt. On adhère à un syndicat à cause des idées (et des personnels) qu'il défend (ou pas). Je ne me sens plus assez bien défendue par le SNALC, c'est tout.
- FinrodExpert
V.Marchais a écrit:réponse à Cripure : ça fait bien longtemps que FO a abandonné cette logique de non-participation aux votes, justement parce que, convaincant de plus en plus, elle a intégré les attentes de ses nouvelles recrues.
Pas aux derniers CSE - FO n'a pas participé aux votes des amendements (car contre le texte) - mais peut être évoques-tu une logique passée encore plus marquée ?
- AudreyOracle
Ruthven a écrit:Pandorafa a écrit:Quand j'étais au SNALC, certains collègues (principalement du SNES) prétendaient que mon syndicat était noyauté par le FN. Très agréable...
Maintenant que je suis à FO, certains collègues (du SNES ou de la CGT) me taxent d'être une crypto-lambertiste (pour ceux qui connaissent le terme ); une trotskyste, ou une communiste...
Ah, et le coup de la CIA, on me l'a sorti dès mon arrivée.
Venant du SNALC, ce genre d'arguments, c'est décevant, et vraiment pas à leur honneur.
Et les Illuminati, c'est pour quand ?
Une crypto-lambertiste, certes, mais d'extrême droite, si l'on connaît "enfin la vérité" sur les syndicats et les partis politiques ! :lol!:
http://www.snalc.fr/national/article/647/
Bon, j'ai beau lire un paquet de choses, ce communiqué-là m'avait échappé à moi aussi...
Je suis syndiquée au SNALC, mais franchement, ce texte me met hors de moi. Parce qu'on a été victime de rumeurs infondées, on se réjouit de voir d'autres "soutenus" par le FN? Et depuis quand le fait de voir un parti déclarer soutenir une organisation prouve que celle-ci se réjouit de ce soutien et s'accorde avec ses idées? Oui, franchement, plus je le lis, plus je trouve ce texte minable... C'est même puéril tiens. La petite guéguerre des syndicats n'est à l'honneur de personne.
Là, j'ai honte de mon syndicat. Et quand je commence à me faire ce genre de remarque à propos de quelqu'un, ça sent le roussi...j'espère ne pas avoir d'autres mauvaises surprises du genre.
- CelebornEsprit sacré
Audrey a écrit:
Là, j'ai honte de mon syndicat. Et quand je commence à me faire ce genre de remarque à propos de quelqu'un, ça sent le roussi...j'espère ne pas avoir d'autres mauvaises surprises du genre.
Je crois que vous n'avez aucune idée d'où en sont les relations entre le SNALC et FO, en fait. Ces derniers ont juste essayé de nous tuer, purement et simplement. Le départ de la présidente de Strasbourg (bon débarras… d'ailleurs, pour mettre en perspective, depuis que le président de Versailles est parti à FO, la section de Versailles n'a jamais eu autant d'adhérents, donc ne croyez pas qu'on s'attriste outre mesure de ce type de départs) est le dernier avatar d'une seule action d'ensemble menée par une poignée de gens anciennement de chez nous qui ont préféré aller brouter l'herbe ailleurs pour des raisons qui n'ont rien à voir avec la défense des personnels.
Alors oui, à un moment, on se défend. Parce que les pratiques de l'adversaire sont vraiment moches (la vandalisation du local de la section de Versailles, c'est une réalité, par exemple).
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- CelebornEsprit sacré
V.Marchais a écrit:réponse à Cripure : ça fait bien longtemps que FO a abandonné cette logique de non-participation aux votes,
Je siège au CSE, et je peux clairement affirmer que ce que tu écris est faux.
Mais effectivement, parfois, ils votent contre. Sur tout le reste, ils refusent de voter.
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