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- JohnMédiateur
http://www.sudouest.fr/2014/02/21/bordeaux-protestations-sur-le-campus-1469273-3034.php[/quote]Depuis ce vendredi 13h30, une soixantaine d'étudiants, doctorants, personnels Atos de l'ancienne université Bordeaux IV est réunie devant le site où se tient le conseil d'administration de la Nouvelle université de Bordeaux (NUB). "Plus globalement, on est très inquiets sur l'avenir des chargés de TD et doctorants en sciences humaines et sur la suppression de nombreux CDD."
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- Invité-BHabitué du forum
Chez nous, des chargés de TD extérieurs ont été "remerciés" du jour au lendemain : nous sommes passés de 7 à 6 groupes de TD entre le semestre 3 et le semestre 4. Donc aux "extérieurs", il a été dit que les TD n'auraient pas lieu sachant que le semestre était commencé depuis trois jours et que certains avaient, j'imagine, déjà préparé leurs séances. J'en étais malade pour eux.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est arrivé chez nous aussi
- ZepoNiveau 6
C'est pareil partout malheureusement.
Chez nous, ils ont commencé par les vacataires, payés 10 à 14 mois après la réalisation de leurs cours. Puis ils nous ont accentué les contrôles sur les volumes réalisés. Enfin, ils nous obligent aujourd'hui à comprimer les nouvelles maquettes (diminution des heures de 20 à 50% selon les niveaux) afin de minimiser les possibilités d'interventions extérieures. L'objectif étant clairement de réaliser un nombre d'heures correspondants grosso modo au nombre théorique d'heures réalisées par les titulaires : ce n'est pas le diplôme qui structure la maquette, c'est le nombre d'heure.
Et les contractuels hors enseignement (responsable site, certaines secrétaires, intervenant informatique, etc.) sont purement et simplement foutus dehors : leurs contrats ne sont pas renouvelés.
Et chaque année, le président de l'université nous fait un speech sur l'Université Française (avec plein de majuscules) et sur la grandeur de notre mission (avec plein de trémolos dans la voix). Il parait que nous formons l'avenir !
Chez nous, ils ont commencé par les vacataires, payés 10 à 14 mois après la réalisation de leurs cours. Puis ils nous ont accentué les contrôles sur les volumes réalisés. Enfin, ils nous obligent aujourd'hui à comprimer les nouvelles maquettes (diminution des heures de 20 à 50% selon les niveaux) afin de minimiser les possibilités d'interventions extérieures. L'objectif étant clairement de réaliser un nombre d'heures correspondants grosso modo au nombre théorique d'heures réalisées par les titulaires : ce n'est pas le diplôme qui structure la maquette, c'est le nombre d'heure.
Et les contractuels hors enseignement (responsable site, certaines secrétaires, intervenant informatique, etc.) sont purement et simplement foutus dehors : leurs contrats ne sont pas renouvelés.
Et chaque année, le président de l'université nous fait un speech sur l'Université Française (avec plein de majuscules) et sur la grandeur de notre mission (avec plein de trémolos dans la voix). Il parait que nous formons l'avenir !
- alpha75Niveau 4
Un ami, prof à la fac, m'a indiqué avoir reçu des consignes "de pratiquer une sélection suffisante permettant une qualité optimale des cours". En clair, passage de 5 groupes de TD à 3. Et donc, de faire comprendre aux plus mauvais étudiants que ce n'est pas la peine qu'ils viennent au second semestre...
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Et si on mangeait les enfants ?
Et si on mangeait, les enfants ?
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- barègesÉrudit
Dans quel champ disciplinaire (si ce n'est pas indiscret) ?
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Chez nous, en histoire, le seuil de 45 étudiants par TD est fait pour éviter les intervenants extérieurs et pour décourager les plus faibles. Les résultats sont catastrophiques.
- stenchMonarque
J'ai commencé les vacations il y a cinq ans avec des TD de 20 personnes et on nous expliquait que c'était le prix de la réussite. Puis on est passé à 25, puis 30. L'an dernier, la limite était posée à 40 par TD (alors que mon salaire avait, en cinq ans, légèrement diminué). J'ai fini en juin dernier par laisser tomber.
- barègesÉrudit
J'ai "vu" des fermetures de groupes, mais c'était motivé en principe par une baisse des effectifs étudiants... Là, je suis très surprise.Et donc, de faire comprendre aux plus mauvais étudiants que ce n'est pas la peine qu'ils viennent au second semestre...
Quel sera le "juste seuil" pour être considéré comme "le plus faible" étudiant et méritant de partir pour alléger les promos ? Parce que là c'est les contractuels, et puis ils feront bien comme dans le secondaire, les postes de titulaires ne tenant que grâce à plein d'heures sups, les postes partagés sur deux établissements, les regroupements de sites (dans l'intérêt des enseignants, hein, pour qu'ils ne subissent plus le partage de poste), les mutualisations. Quand on a commencé, pourquoi s'arrêter sur le bon chemin des économies ?
- damanhourNiveau 9
Marcel Khrouchtchev a écrit:C'est arrivé chez nous aussi
Et concrètement vous avez fait quoi ? Désolée, c'est juste qu'entendre des EC titulaires pleurer sur votre sort (ah, nous sommes désolés la fac ne peut te payer la moitié de ce que nous t'avons promis pour ce travail...) eh bien parfois ça énerve plus qu'autre chose...Dixit une ancienne précaire
Si on quitte le monde de la recherche, ce n'est pas qu'à cause de l'administration mais aussi parce qu'on ne reçoit souvent aucun soutien de nos "chers collègues".
Je précise que je ne parle pas en mon nom, je suis partie car le métier ne me convenait plus même si j'ai tenu à terminer ma thèse, mais je vois autour de moi des camarades se faire traiter comme des moins que rien et ça me révolte.
Un exemple: les réunions pour l'attribution des postes et le fait que rien n'est jamais certain jusqu'en juin-juillet (pour les EC c'est souvent juste un papier, pour toi tu mises ta carrière et ta vie de famille), les arguments qui te dégoutent (on donne un poste à machin car il n'a pas de concours alors que toi t'as l'agreg donc va finir ta thèse dans le secondaire...), les travaux qui ne sont payés qu'à moitié et toi tu dois la boucler...
- barègesÉrudit
Ah, mais c'est ça l'administration : celui ou celle qui te plaint est sincère, il est un maillon d'une chaîne entre les crédits ou heures alloués et les contractuels/vacataires... Et il ne faut pas être au bout de la chaîne : on subit tout, et on ne peut agir sur rien.
- User17706Bon génie
J'aime bien ce singulier. Il est probable en effet que la chaîne n'ait qu'un bout, car je ne sache pas qu'il existe un maillon où l'on puisse agir sur tout et où l'on ne subisse rien.
- barègesÉrudit
Une chaine à un bout arrimée à rien, qui fonctionne par le simple mouvement absurde de ses maillons pleins de bonne volonté mais, eux, bien attachés à chaque extrémité.
Bon, ça ira mieux demain, hein.
Bon, ça ira mieux demain, hein.
- CondorcetOracle
Malgré l'estime que je te porte, MK, je partage les interrogations de Damanhour et de Barèges (et tout particulièrement avec le dernier message de Barèges).
- barègesÉrudit
Condorcet, j'imagine un autre monde où je serais à la place du "recruteur" dans une des situations évoquées ci-dessus : que ferais-je ?
Car à part compatir (ce qui peut être mal vécu), je ne vois pas trop. Compatir en étant conscient de la violence faite ? Savoir trouver les mots ?
Honnêtement, je n'en sais rien.
Démissionner avec fracas pour protester contre cette inique fonctionnement ? Entamer une grève de la faim ? Convoquer de vraies assises pour remettre tout ça à plat ? Ne plus accepter le principe de la "recherche bénévole" faite dans l'ombre par ceux qui ne seront jamais recrutés, comme dans le livre de Pierre Jourde ? Pas de travail sans emploi, sans statut ? Fantasmes de grand soir...
Car à part compatir (ce qui peut être mal vécu), je ne vois pas trop. Compatir en étant conscient de la violence faite ? Savoir trouver les mots ?
Honnêtement, je n'en sais rien.
Démissionner avec fracas pour protester contre cette inique fonctionnement ? Entamer une grève de la faim ? Convoquer de vraies assises pour remettre tout ça à plat ? Ne plus accepter le principe de la "recherche bénévole" faite dans l'ombre par ceux qui ne seront jamais recrutés, comme dans le livre de Pierre Jourde ? Pas de travail sans emploi, sans statut ? Fantasmes de grand soir...
- CondorcetOracle
Eh bien, revenons quatre ans en arrière : au lieu de cette "ronde des obstinés", le blocage des examens et concours.
Aujourd'hui, refuser de siéger dans toute instance dirigeante de l'université et de s'associer d'une quelconque façon à la politique d'économie de moyens et de personnels (cela signifie aussi refuser la direction du département histoire).
Aujourd'hui, refuser de siéger dans toute instance dirigeante de l'université et de s'associer d'une quelconque façon à la politique d'économie de moyens et de personnels (cela signifie aussi refuser la direction du département histoire).
- barègesÉrudit
Oui, mais c'est toujours le même problème : qui ne siège pas et ne se fait pas élire pour cause de scrupules verra sa place prise par quelqu'un qui n'en a pas, et le sort fait aux précaires sera pire encore. Qui refuse d'être décisionnaire subira les décisions des autres. L'administration n'aime pas les chaises vides et les remplit, à coups de tutelle si besoin est.
D'accord pour le mouvement d'il y a quatre ans. Mais il n'y avait guère été question des précaires et des CDD.
D'accord pour le mouvement d'il y a quatre ans. Mais il n'y avait guère été question des précaires et des CDD.
- damanhourNiveau 9
barèges a écrit:Condorcet, j'imagine un autre monde où je serais à la place du "recruteur" dans une des situations évoquées ci-dessus : que ferais-je ?
Car à part compatir (ce qui peut être mal vécu), je ne vois pas trop. Compatir en étant conscient de la violence faite ? Savoir trouver les mots ?
Honnêtement, je n'en sais rien.
Réfléchir à un système de recrutement plus juste ? On décide une fois pour toute de réserver les postes d'ATER à ceux dont la thèse avance réellement ou qui ont pris la peine de passer un concours (j'en sais rien j'avoue mais j'ai entendu une fois l'argument on donne le poste à machin car lui il n'a "rien" et si on râle on se fait traiter d'élitiste de droite) ?
Remettre en cause une certaine liberté de la profession qui permet à des MCF de ne rien faire pendant 20 ans (à part 4 articles) et de ne jamais passer PU ?
Attribuer les postes en janvier pour éviter l'angoisse mortelle de février-juillet ?
Faire comprendre qu'un ATER n'est pas un secrétaire/attachéadministratif/porteurdeprojet/webmaster/machineànoterdesL1/marged'ajustementbudgétaire mais un éventuel futur collègue qui va renouveler la profession et qu'il a droit au respect ?
Manifester pour les droits des précaires ? Au moins une fois ?
- CondorcetOracle
On peut difficilement arguer de libertés universitaires si l'on accepte les lois Pécresse et Fioraso. Si on réprouve ce cadre législatif, il est au moins permis de ne pas participer à sa mise en place mortifère en refusant qui la prime d'excellence, qui la chaire d'excellence, qui la participation aux missions d'évaluation AERES/HCERES....
- barègesÉrudit
Je crois qu'on a tous les mêmes idées qui trottent dans la tête... Mais qui dans mes moments de doute, quand le ciel bas et lourd, etc., reçoivent chez moi l'étiquette "fantasmes de grand soir".
Franchement, je crois qu'un MCF qui a passé dix ans à ramer avant d'en arriver là où il est pense à autre chose et a autre chose à faire (de l'administratif, tiens). Des trucs chronophages qui empêchent de penser trop longtemps au système, et qui sont peut-être faits pour ça.
Attribuer les postes en janvier... Oui, mais en janvier, personne ne sait ce qu'il y aura à assurer comme cours, des fois en juillet ce n'est pas gagné... Et il faut voir le recrutement des PRAG (10 à 11 mois avant la rentrée), ce n'est pas idéal non plus, il y a tout le jeu des chaises musicales, des situations qui changent entretemps, du côté du recruté et du côté du recruteur...
Certains le font. A moins de gratouiller dans l'actualité universitaire, personne ne le saura jamais.
Franchement, je crois qu'un MCF qui a passé dix ans à ramer avant d'en arriver là où il est pense à autre chose et a autre chose à faire (de l'administratif, tiens). Des trucs chronophages qui empêchent de penser trop longtemps au système, et qui sont peut-être faits pour ça.
Attribuer les postes en janvier... Oui, mais en janvier, personne ne sait ce qu'il y aura à assurer comme cours, des fois en juillet ce n'est pas gagné... Et il faut voir le recrutement des PRAG (10 à 11 mois avant la rentrée), ce n'est pas idéal non plus, il y a tout le jeu des chaises musicales, des situations qui changent entretemps, du côté du recruté et du côté du recruteur...
Si on réprouve ce cadre législatif, il est au moins permis de ne pas participer à sa mise en place mortifère en refusant qui la prime d'excellence, qui la chaire d'excellence, qui la participation aux missions d'évaluation AERES/HCERES....
Certains le font. A moins de gratouiller dans l'actualité universitaire, personne ne le saura jamais.
- damanhourNiveau 9
Condorcet a écrit:On peut difficilement arguer de libertés universitaires si l'on accepte les lois Pécresse et Fioraso. Si on réprouve ce cadre législatif, il est au moins permis de ne pas participer à sa mise en place mortifère en refusant qui la prime d'excellence, qui la chaire d'excellence, qui la participation aux missions d'évaluation AERES/HCERES....
Personnellement c'est la question de la non-évaluation de certains MCF qui me gêne. Comment justifier tous les sacrifices des post-docs quand ils voient des MCF de 50 ans qui n'ont rien publié et eu leur poste dans les années 80 ? (sans parler des cours...)
Comment faire cette évaluation et que faire de ces MCF qui n'ont aucun espoir et envie de devenir PU et bloquent le renouvellement des postes ?
- damanhourNiveau 9
barèges a écrit:Je crois qu'on a tous les mêmes idées qui trottent dans la tête... Mais qui dans mes moments de doute, quand le ciel bas et lourd, etc., reçoivent chez moi l'étiquette "fantasmes de grand soir".
Ah le grand soir, j'avoue que j'en rêve encore (même si ce n'est plus pour moi, mais voir des personnes dont tu estimes le travail souffrir de ce système est assez difficile)
Le truc c'est que les EC ne se rendent pas compte je trouve que le vivier de doctorants, de post-doc s'amenuise. Il n'y a qu'à voir la baisse d'inscrits en thèse à Normale sup...Maintenant passer l'ENA ou HEC devient très courant. (Il y a 10 ans ce n'était pas à ce point)
Et personnellement je ne conseille pas à mes jeunes camarades d'école de faire une thèse (ou alors s'ils ont un espoir d'enseigner en prépa)
- CondorcetOracle
Je crois quant à moi que la possession d'un grade universitaire élevé implique une responsabilité (y compris citoyenne) élevée. Il ne s'agit pas de grand soir, loin de là mais de s'assurer que les salaires sont versés, les conditions de travail décentes de chacun et la dignité de tous reconnue. Rien d'autre mais visiblement cela semble déjà trop.
- barègesÉrudit
S'ils passent PU, les postes de MCF qu'ils quittent seront supprimés : il suffit de fermer quelques groupes de TD, et le service du PU suffira bien pour le volume horaire, avec un morceau de PRAG, un doctorant et un paquet d'heures sups (le temps qu'on trouve le moyen de mutualiser la matière avec autre chose).Comment justifier tous les sacrifices des post-docs quand ils voient des MCF de 50 ans qui n'ont rien publié et eu leur poste dans les années 80 ? (sans parler des cours...)
Comment faire cette évaluation et que faire de ces MCF qui n'ont aucun espoir et envie de devenir PU et bloquent le renouvellement des postes ?
Certains MCF répugnent au "cursus honorum", par absence d'ambition sociale, et se consacrent aux étudiants, et à la recherche sans la faire valider par un avancement de grade : j'en ai connu, et, personnellement, je les estime.
Damanhour, tu parles de la baisse du vivier de doctorants, mais, est-ce que ce n'est pas le but ? Si ce vivier s'amenuise, parallèlement, les chances de chacun de ces doctorants de vivre statutairement du métier pour lequel ils se forment augmentent, non ?
- damanhourNiveau 9
barèges a écrit:
Certains MCF répugnent au "cursus honorum", par absence d'ambition sociale, et se consacrent aux étudiants, et à la recherche sans la faire valider par un avancement de grade : j'en ai connu, et, personnellement, je les estime.
Damanhour, tu parles de la baisse du vivier de doctorants, mais, est-ce que ce n'est pas le but ? Si ce vivier baisse, parallèlement, les chances de chacun de ces doctorants de vivre statutairement du métier pour lequel ils se forment augmentent, non ?
Je parle de la baisse du nombre de normaliens qui font une thèse (ce qui est un problème car c'est normalement le but de l'Ecole) et de tous les agrégés thésards qui changent de voie. Il y aura toujours des doctorants mais ensuite c'est aussi une question de niveau et malheureusement je trouve qu'il y a une baisse de qualité des thèses proposées. Les étudiants les plus brillants ou motivés délaissent de plus en plus la recherche.
Après c'est dans ma discipline que je note ce phénomène.
Pour les MCF qui répugnent au "cursus honorum", il y en a certains qui n'assurent même pas des cours de qualité et rien n'est fait malgré les plaintes des étudiants. Ensuite il faut aussi réfléchir à ses responsabilités: désormais on a trop de MCF et pas assez de PU. Pourquoi ?
Ce que je veux dire, c'est principalement que les EC titulaires sont aussi responsables de ce qui arrive à leurs collègues précaires et qu'on ne les entend pas.
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