- User5899Demi-dieu
Non, Cath, pas possible ici ! Il n'y a qu'"approche" qui peut être sujet.Cath a écrit:Ou tu considères que c'est "toute approche de la guerre et de ce qui s'y rapporte" qui se trouvent assimilés
- keroGrand sage
Autre question (...). Sur laquelle j'ai toujours un doute: si je veux exprimer un mot dans une forme négative, en le précédant de non-, doit-on mettre un tiret ou pas ?
Exemple: "les modalités non-marchandes de circulation des biens, comme le don, le pillage..."
Le tiret entre "non" et "marchandes" est-il correct ?
Exemple: "les modalités non-marchandes de circulation des biens, comme le don, le pillage..."
Le tiret entre "non" et "marchandes" est-il correct ?
- CarabasVénérable
Il me semble qu'on met un trait d'union entre non et un nom, et qu'on n'en met pas entre non et un adjectif.
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Terry Pratchett
- RellNiveau 6
Un doute m'habite concernant les distinctions sujet réel/sujet grammatical et leurs attributs.
"Il parvient à se repérer même s'il fait mauvais temps"
Le second "il" peut-il être considéré comme sujet grammatical, seulement ?
Il n'a ici qu'une place postiche dans la construction impersonnelle "il fait mauvais temps" mais, comme on ne peut la transformer en "*mauvais temps fait", je me pose la question.
"C'est du français"
"Du français" est sujet réel du verbe "être", mais peut-il être considéré aussi comme attribut du sujet "c'" ?
Cela me gêne parce que l'attribut du sujet indique une caractéristique du sujet et là, ça ne correspond plus à ma définition.
"Il parvient à se repérer même s'il fait mauvais temps"
Le second "il" peut-il être considéré comme sujet grammatical, seulement ?
Il n'a ici qu'une place postiche dans la construction impersonnelle "il fait mauvais temps" mais, comme on ne peut la transformer en "*mauvais temps fait", je me pose la question.
"C'est du français"
"Du français" est sujet réel du verbe "être", mais peut-il être considéré aussi comme attribut du sujet "c'" ?
Cela me gêne parce que l'attribut du sujet indique une caractéristique du sujet et là, ça ne correspond plus à ma définition.
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"Le temps était encore ténébreux et sentant l'infélicité et calamité des Goths, qui avaient mis à destruction toute bonne littérature ; mais, par la bonté divine, la lumière et dignité a esté de mon âge rendue ès lettres [...] Maintenant toutes disciplines sont restituées, les langues instaurées, grecque, sans laquelle c'est honte que une personne se die savant, Hébraïque, Chaldaïque, Latine "[...]
François Rabelais, Les Horribles et Épouvantables Faits et Prouesses du très renommé Pantagruel, chap. 8, 1532.
- CarabasVénérable
Oui, "il" impersonnel = sujet grammatical et "mauvais temps" = sujet réel.
Dans la construction en "c'est" on voit dans le groupe après le verbe un attribut du sujet "c'", bien que je le verrais davantage comme un sujet réel, sur le modèle de la construction avec "il" impersonnel.
Il y a bien un rapport d'identité entre le "c'" et le groupe après "être", d'où l'idée d'attribut, donc ça correspond assez bien.
Dans la construction en "c'est" on voit dans le groupe après le verbe un attribut du sujet "c'", bien que je le verrais davantage comme un sujet réel, sur le modèle de la construction avec "il" impersonnel.
Il y a bien un rapport d'identité entre le "c'" et le groupe après "être", d'où l'idée d'attribut, donc ça correspond assez bien.
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- RellNiveau 6
Donc le sujet réel est souvent attribut du sujet grammatical ? Du moins, dans les constructions impersonnelles ...
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- CarabasVénérable
Euh, non.
Dans une construction avec "il" impersonnel, on parle de sujet réel.sujet grammatical (ou apparent).
Dans une construction en "C'est", on parle d'attribut.
Dans une construction avec "il" impersonnel, on parle de sujet réel.sujet grammatical (ou apparent).
Dans une construction en "C'est", on parle d'attribut.
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- User17706Bon génie
Oui, la distinction du sujet "réel" et "grammatical" évacue la notion d'attribut, pour ce que j'en comprends. (Je ne vois pas du tout quelle conception de l'attribut permettrait de dire que le sujet réel est attribut du sujet grammatical.)
- RellNiveau 6
Je comprends ce que vous dites, c'est pour cela que j'explicitais mon propos. Qu'un sujet, fût-il "réel", soit attribut d'un autre sujet paraît aberrant.
Si l'on peut remplacer "c'" par "il" impersonnel, c'est le sujet réel, sinon, c'est un attribut du sujet.
Ex. C'est très important (sujet grammatical)
Cette langue, c'est du français (attribut du s.)
Dans Fleurs d'encre 3ème, il est écrit : "une phrase peut comporter un sujet grammatical (les pronoms il ou c') et un sujet réel."
Si l'on peut remplacer "c'" par "il" impersonnel, c'est le sujet réel, sinon, c'est un attribut du sujet.
Ex. C'est très important (sujet grammatical)
Cette langue, c'est du français (attribut du s.)
Dans Fleurs d'encre 3ème, il est écrit : "une phrase peut comporter un sujet grammatical (les pronoms il ou c') et un sujet réel."
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- User17706Bon génie
Je ne comprends toujours pas. Dans «c'est très important», le sujet aussi bien réel que grammatical, c'est «c'», non?
(Mais bon, je ne suis pas grammairien, du tout.)
(Mais bon, je ne suis pas grammairien, du tout.)
- RellNiveau 6
PauvreYorick a écrit:Je ne comprends toujours pas. Dans «c'est très important», le sujet aussi bien réel que grammatical, c'est «c'», non?
(Mais bon, je ne suis pas grammairien, du tout.)
Exact. J'ai écrit plus vite que je n'ai pensé. Je viens de relire attentivement, j'ai écrit des bêtises.
"Ce n'est pas le nombre des vivants, c'est leur autorité qui meuble une maison" : "le nombre des vivants" et "leur autorité" sont attributs des sujets grammaticaux "c'".
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- NLM76Grand Maître
Fleurs d'encre a tort de parler de sujet réel quand on a "ce" comme sujet grammatical. Et Rell d'ajouter un circonflexe au présent du verbe dire.
"Qui meuble leur maison" n'est aucunement sujet réel de quoi que ce soit !
Il faut voir ces tournures comme des gallicismes et ne pas trop décortiquer. S'il fallait le faire, je pense qu'il faudrait analyser le démonstratif comme attribut, et ce qui suit le verbe comme sujet. (D'où "ce sont des raffinements excessifs"
"Qui meuble leur maison" n'est aucunement sujet réel de quoi que ce soit !
Il faut voir ces tournures comme des gallicismes et ne pas trop décortiquer. S'il fallait le faire, je pense qu'il faudrait analyser le démonstratif comme attribut, et ce qui suit le verbe comme sujet. (D'où "ce sont des raffinements excessifs"
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Sites du grip :
- http://instruire.fr
- http://grip-editions.fr
Mon site : www.lettresclassiques.fr
«Boas ne renonça jamais à la question-clé : quelle est, du point de vue de l'information, la différence entre les procédés grammaticaux observés ? Il n'entendait pas accepter une théorie non sémantique de la structure grammaticale et toute allusion défaitiste à la prétendue obscurité de la notion de sens lui paraissait elle-même obscure et dépourvue de sens.» [Roman Jakobson, Essais de linguistique générale, "La notion de signification grammaticale selon Boas" (1959)]
- RellNiveau 6
J'ai édité pour l'accent circonflexe que l'on n'ajoute qu'au passé simple, en effet.
Fleurs d'encre aurait dû préciser, peut-être, que "c'" ne peut-être sujet impersonnel que quand il peut être remplacé par "il" impersonnel.
Fleurs d'encre aurait dû préciser, peut-être, que "c'" ne peut-être sujet impersonnel que quand il peut être remplacé par "il" impersonnel.
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"Le temps était encore ténébreux et sentant l'infélicité et calamité des Goths, qui avaient mis à destruction toute bonne littérature ; mais, par la bonté divine, la lumière et dignité a esté de mon âge rendue ès lettres [...] Maintenant toutes disciplines sont restituées, les langues instaurées, grecque, sans laquelle c'est honte que une personne se die savant, Hébraïque, Chaldaïque, Latine "[...]
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- tannatHabitué du forum
L'un d'entre vous sait-il si la tournure "ceux qui + verbe" sujet d'une proposition principale a un nom en grammaire ?
Ex : "ceux qui savent me répondront"
Ex : "ceux qui savent me répondront"
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« Nous naissons tous fous. Quelques-uns le demeurent. » Samuel Beckett
« C'est un malheur que les hommes ne puissent d'ordinaire posséder aucun talent sans avoir quelque envie d'abaisser les autres.» Vauvenargues
- F.LemoineÉrudit
Pour moi, il s'agit d'une construction banale.
Proposition principale : "ceux ...me répondront"
Proposition subordonnée relative : " qui savent", complément du pronom démonstratif antécédent "ceux".
Si l'on veut, on peut préciser que c'est une relative déterminative (elle permet de préciser l'antécédent) : vs "ceux-ci me répondront". Les gens qui vont répondre sont seulement ceux qui savent, et pas les autres.
Je ne vois pas de nom particulier à donner à cette structure.
Proposition principale : "ceux ...me répondront"
Proposition subordonnée relative : " qui savent", complément du pronom démonstratif antécédent "ceux".
Si l'on veut, on peut préciser que c'est une relative déterminative (elle permet de préciser l'antécédent) : vs "ceux-ci me répondront". Les gens qui vont répondre sont seulement ceux qui savent, et pas les autres.
Je ne vois pas de nom particulier à donner à cette structure.
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"La vie est mêlée de traverses. Il est bon de s'y tenir sans cesse préparé." (Molière, Les Fourberies de Scapin).
- DjinnNiveau 1
nlm76 a écrit:Fleurs d'encre a tort de parler de sujet réel quand on a "ce" comme sujet grammatical. Et Rell d'ajouter un circonflexe au présent du verbe dire.
"Qui meuble leur maison" n'est aucunement sujet réel de quoi que ce soit !
Il faut voir ces tournures comme des gallicismes et ne pas trop décortiquer. S'il fallait le faire, je pense qu'il faudrait analyser le démonstratif comme attribut, et ce qui suit le verbe comme sujet. (D'où "ce sont des raffinements excessifs"
Il me semble que dans ma grammaire le tour c'est/ce sont est appelé présentatif (donc effectivement un tour figé qu'on ne peut décortiquer) et le syntagme qui suit serait à analyser comme "régime du présentatif".
- Thalia de GMédiateur
BizarreDjinn a écrit:nlm76 a écrit:Fleurs d'encre a tort de parler de sujet réel quand on a "ce" comme sujet grammatical. Et Rell d'ajouter un circonflexe au présent du verbe dire.
"Qui meuble leur maison" n'est aucunement sujet réel de quoi que ce soit !
Il faut voir ces tournures comme des gallicismes et ne pas trop décortiquer. S'il fallait le faire, je pense qu'il faudrait analyser le démonstratif comme attribut, et ce qui suit le verbe comme sujet. (D'où "ce sont des raffinements excessifs"
Il me semble que dans ma grammaire le tour c'est/ce sont est appelé présentatif (donc effectivement un tour figé qu'on ne peut décortiquer) et le syntagme qui suit serait à analyser comme "régime du présentatif".
- Spoiler:
- Nous avons donc les mêmes références
- IphigénieProphète
Pour moi on dit dans ce cas que la relative est substantivée: mais dit-on encore cela?tannat a écrit:L'un d'entre vous sait-il si la tournure "ceux qui + verbe" sujet d'une proposition principale a un nom en grammaire ?
Ex : "ceux qui savent me répondront"
- AnacycliqueÉrudit
Iphigénie a écrit:Pour moi on dit dans ce cas que la relative est substantivée: mais dit-on encore cela?tannat a écrit:L'un d'entre vous sait-il si la tournure "ceux qui + verbe" sujet d'une proposition principale a un nom en grammaire ?
Ex : "ceux qui savent me répondront"
Oui, persque, on parle de "relative substantive". Le pb est qu'elle n'a pas d'antécédent, d'habitude => Qui sait me répond. (ex : J'aime qui m'aime mais il pourrait être rétabli J'aime (celui) qui m'aime).
Relative déterminative plutôt, non ? (Avec antécédent, non supprimable sous peine de changer complètement le sens de la phrase et restrictive : on s'adresse à une partie seulement d'un gpe; seuls ceux qui savent sont désignés).
Sais pu. C'est malin... Va falloir que je révise.
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- CarabasVénérable
J'ai même vu "relative périphrastique" dans ce cas où l'antécédent du pronom relatif est un pronom démonstratif, pour la différencier de la substantive, qui n'a pas d'antécédent... Par contre, je n'ai pas vu ça pour un niveau collège.
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Terry Pratchett
- AnacycliqueÉrudit
Rhââaa ! Merci ! Ça revient ! Riegel fait bien des relatives périphrastiques un cas particulier de substantives.Carabas a écrit:J'ai même vu "relative périphrastique" dans ce cas où l'antécédent du pronom relatif est un pronom démonstratif, pour la différencier de la substantive, qui n'a pas d'antécédent... Par contre, je n'ai pas vu ça pour un niveau collège.
Je copie-colle une synthèse de la GMF
Les relatives périphrastiques (déf.):
Constituent l’expansion d’un démonstratif ("ce" ou "celui") de manière à former avec lui l’équivalent d’un GN (statut intermédiaire entre celui des adjectives et des substantives), peuvent être indéfinies ou non.
Pas de véritable antécédent : terme qui les introduit n’a qu’un sens très général
Les RP représentant un être humain
Introduites par "celui", variable en genre et en nombre, suivi d’un pronom relatif : "qui / que / dont" ou lequel précédé d’une préposition
[Celle que j’aime, la voici / Je vous présente celui aux livres duquel vous vous intéressez tant]
Les RP représentant un non-animé
Introduites pas "ce", invariable, suivi d’un pronom relatif "qui / que / dont" ou "quoi" précédé d’une préposition [Voilà ce que j’avais à vous dire / Il avait un compte en Suisse, ce que même sa femme ignorait]
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"Faire ce que l'on dit et dire ce que l'on fait. Passer aux actes afin de faire sa part."
- DjinnNiveau 1
Thalia de G a écrit:BizarreDjinn a écrit:nlm76 a écrit:Fleurs d'encre a tort de parler de sujet réel quand on a "ce" comme sujet grammatical. Et Rell d'ajouter un circonflexe au présent du verbe dire.
"Qui meuble leur maison" n'est aucunement sujet réel de quoi que ce soit !
Il faut voir ces tournures comme des gallicismes et ne pas trop décortiquer. S'il fallait le faire, je pense qu'il faudrait analyser le démonstratif comme attribut, et ce qui suit le verbe comme sujet. (D'où "ce sont des raffinements excessifs"
Il me semble que dans ma grammaire le tour c'est/ce sont est appelé présentatif (donc effectivement un tour figé qu'on ne peut décortiquer) et le syntagme qui suit serait à analyser comme "régime du présentatif".
- Spoiler:
Nous avons donc les mêmes références
- keroGrand sage
Doute perpétuel.
"pas un hasard si..." ou "pas un hasard que..." ?
"pas un hasard si..." ou "pas un hasard que..." ?
- NLM76Grand Maître
Intuitivement : ça dépend du propos.
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- http://grip-editions.fr
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- DjinnNiveau 1
nlm76 a écrit:Intuitivement : ça dépend du propos.
Les deux seraient corrects pour vous nlm76 ? Dans quel cas emploierait-on l'un ou l'autre ? Quelle différence de sens ?
J'aurais plutôt tendance à dire "Ce n'est pas un hasard si..." ou "ce n'est pas par hasard que..." mais je n'emploierais pas spontanément "ce n'est pas un hasard que...".
- GilbertineNeoprof expérimenté
kero a écrit:Doute perpétuel.
"pas un hasard si..." ou "pas un hasard que..." ?
Le mode qui va suivre sera différent avec tout ce que cela implique au niveau du sens.
Ce n'est pas un hasard qu'il soit arrivé en retard.
Ce n'est pas un hasard s'il est arrivé en retard.
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