- CaméléoneInvité
Vous qui êtes Néoprofs, souvent tout frais émoulus de votre IUFM, j’aimerais vous présenter un jeune homme de votre âge, absolument incroyable, et qui fut mon professeur au collège. J’ai failli écrire tout simplement « J’aimerais vous présenter mon Professeur », car voyez-vous, je lui dois tout, et aucun des enseignants que j’ai connus par la suite ne m’a autant enrichie que lui. Aucun, même ceux de Prépa (SURTOUT pas ceux de Prépa, devrais-je dire d’ailleurs, plus occupés à nous démolir qu’à nous enrichir - pardon Abraxas, mais la promo de mon bahut pourrait en attester, et je mentirais de façon éhontée si je disais le contraire. Mais passons… )
Ce professeur, lorsque je l’ai connu, venait de réussir le tour de force d’obtenir la même année et du premier coup le CAPES et L’Agrég. Il devait avoir 23 ans. Ca vous donne une idée du personnage. Je fus donc une de ses premières élèves. J’ai souvent entendu dire depuis, dans le métier, que les premières années d’enseignement du prof sont celles où les élèves essuient les plâtres. Moi je peux certifier une chose concernant le début de carrière de ce Maître ; non seulement je n’ai pas essuyé ses plâtres, mais encore j’ai léché goulument la crème de ses cours, -comme d’ailleurs tous mes condisciplines.
Nous faisons de la grammaire, de l’orthographe, de la conjugaison très régulièrement… mais avant toute chose, de la littérature. Même les dictées étaient l’occasion de découvrir des œuvres. En 5ème, toutes les dictées ont été extraites du Château d’Argol, de J. Gracq –œuvre que, comme beaucoup d’autres, je me suis ensuite empressée de lire.
Oui, c’était un professeur de littérature, et un Maître passionné aussi, viscéralement habité par les Lettres, par les Arts. Un type d'une culture incroyable. Superbe, en plus (il ressemblait à l'avatar de Farnace). Je l’ai rarement vu lire, pourtant : il connaissait par cœur la quasi-totalité des textes qu’il nous a fait étudier pendant deux ans, et qu’il citait très naturellement, comme s’ils étaient siens. Parfois, il nous accueillait en classe en nous racontant une histoire loufoque qui lui était arrivée la veille… et puis nous nous apercevions que l’anecdote en question était le texte qu’il souhaitait nous faire découvrir à cette séance-là.
Je ne sais pas quels étaient les programmes des classes de collège à cette époque-là, mais il est certain que nous ne les appliquions pas ! Maintenant que j’enseigne moi-même au collège, je consulte de temps en temps mes cours de l’époque (déjà au collège, j’étais consciente de vivre quelque chose de rare, et donc, je n’ai jamais jeté mes cahiers de français) : je suis effarée de constater à quel point il a su mettre à la portée des petits 5ème/4èmes que nous étions, des œuvres littéraires que jamais on n’oserait donner à lire avant la seconde aujourd’hui : Nadja, de Breton ; Capitale de la Douleur, P. Eluard ; Madame Bovary, Flaubert ; Le Rouge et le Noir, Stendhal ; Antigone, Sophocle ; Essais de Montaigne… Et nous adorions ! Tous !!! Je ne saurais vous dire comment il s’y prenait pour tout vulgariser et nous faire toucher du doigt la beauté d’un texte. Sa musique. Son charme intrinsèque. Sur ce point, il reste mon modèle.
Je me souviens d’exposés incroyables que j’ai eus à faire. Il prenait toujours de son temps pour nous guider dans nos recherches et nous aider à nous approprier les informations recueillies. Le premier que j’ai eu à traiter, en 4ème, portait sur la question suivante : "Quelle est la différence entre la tragédie et le drame ?" .....
Comme il avait une aura incroyable, nous le suivions partout. Il sortait volontiers avec ses copains profs aussi dans le collège, et parfois il nous invitait : «Samedi, nous allons à l’Opéra pour voir Les Noces de Figaro. Si ça vous intéresse… » Et nous étions un petit groupe (sept-huit) à aller avec lui. Il nous a ainsi fait découvrir l’Opéra, l’Orchestre National de Lille, différents musées, -le tout hors temps scolaire, en nous accueillant dans sa bande et en nous faisant partager certains de ses loisirs culturels. Il nous préparait à chacune de ces sorties pour que nous puissions les apprécier vraiment. Et ce sont des moments que je n’oublierai jamais.
De loin en loin, il a continué à me suivre quand j’ai quitté le collège. Il m’a parfois aidée au lycée et a été un de ceux qui m’ont moralement soutenue. Je sais qu’il est malade, aujourd’hui ; je pense à lui très souvent. Dans certaines situations difficiles, confrontée à mes élèves, il m’arrive, par réflexe, de me dire : « Comment aurait-il réagi, LUI ? » Et ça m’aide beaucoup de prendre ce recul.
Vous avez dû –j’espère- rencontrer vous aussi des Maîtres incroyables, avec une majuscule. Racontez-nous. Je vous cède la parole. Mais avant ça, vous me permettrez, je pense, de me tourner vers mon professeur pour lui dire avec tout le respect et l’affection dont je suis capable : Merci, Maître. Et chapeau bas !
Ce professeur, lorsque je l’ai connu, venait de réussir le tour de force d’obtenir la même année et du premier coup le CAPES et L’Agrég. Il devait avoir 23 ans. Ca vous donne une idée du personnage. Je fus donc une de ses premières élèves. J’ai souvent entendu dire depuis, dans le métier, que les premières années d’enseignement du prof sont celles où les élèves essuient les plâtres. Moi je peux certifier une chose concernant le début de carrière de ce Maître ; non seulement je n’ai pas essuyé ses plâtres, mais encore j’ai léché goulument la crème de ses cours, -comme d’ailleurs tous mes condisciplines.
Nous faisons de la grammaire, de l’orthographe, de la conjugaison très régulièrement… mais avant toute chose, de la littérature. Même les dictées étaient l’occasion de découvrir des œuvres. En 5ème, toutes les dictées ont été extraites du Château d’Argol, de J. Gracq –œuvre que, comme beaucoup d’autres, je me suis ensuite empressée de lire.
Oui, c’était un professeur de littérature, et un Maître passionné aussi, viscéralement habité par les Lettres, par les Arts. Un type d'une culture incroyable. Superbe, en plus (il ressemblait à l'avatar de Farnace). Je l’ai rarement vu lire, pourtant : il connaissait par cœur la quasi-totalité des textes qu’il nous a fait étudier pendant deux ans, et qu’il citait très naturellement, comme s’ils étaient siens. Parfois, il nous accueillait en classe en nous racontant une histoire loufoque qui lui était arrivée la veille… et puis nous nous apercevions que l’anecdote en question était le texte qu’il souhaitait nous faire découvrir à cette séance-là.
Je ne sais pas quels étaient les programmes des classes de collège à cette époque-là, mais il est certain que nous ne les appliquions pas ! Maintenant que j’enseigne moi-même au collège, je consulte de temps en temps mes cours de l’époque (déjà au collège, j’étais consciente de vivre quelque chose de rare, et donc, je n’ai jamais jeté mes cahiers de français) : je suis effarée de constater à quel point il a su mettre à la portée des petits 5ème/4èmes que nous étions, des œuvres littéraires que jamais on n’oserait donner à lire avant la seconde aujourd’hui : Nadja, de Breton ; Capitale de la Douleur, P. Eluard ; Madame Bovary, Flaubert ; Le Rouge et le Noir, Stendhal ; Antigone, Sophocle ; Essais de Montaigne… Et nous adorions ! Tous !!! Je ne saurais vous dire comment il s’y prenait pour tout vulgariser et nous faire toucher du doigt la beauté d’un texte. Sa musique. Son charme intrinsèque. Sur ce point, il reste mon modèle.
Je me souviens d’exposés incroyables que j’ai eus à faire. Il prenait toujours de son temps pour nous guider dans nos recherches et nous aider à nous approprier les informations recueillies. Le premier que j’ai eu à traiter, en 4ème, portait sur la question suivante : "Quelle est la différence entre la tragédie et le drame ?" .....
Comme il avait une aura incroyable, nous le suivions partout. Il sortait volontiers avec ses copains profs aussi dans le collège, et parfois il nous invitait : «Samedi, nous allons à l’Opéra pour voir Les Noces de Figaro. Si ça vous intéresse… » Et nous étions un petit groupe (sept-huit) à aller avec lui. Il nous a ainsi fait découvrir l’Opéra, l’Orchestre National de Lille, différents musées, -le tout hors temps scolaire, en nous accueillant dans sa bande et en nous faisant partager certains de ses loisirs culturels. Il nous préparait à chacune de ces sorties pour que nous puissions les apprécier vraiment. Et ce sont des moments que je n’oublierai jamais.
De loin en loin, il a continué à me suivre quand j’ai quitté le collège. Il m’a parfois aidée au lycée et a été un de ceux qui m’ont moralement soutenue. Je sais qu’il est malade, aujourd’hui ; je pense à lui très souvent. Dans certaines situations difficiles, confrontée à mes élèves, il m’arrive, par réflexe, de me dire : « Comment aurait-il réagi, LUI ? » Et ça m’aide beaucoup de prendre ce recul.
Vous avez dû –j’espère- rencontrer vous aussi des Maîtres incroyables, avec une majuscule. Racontez-nous. Je vous cède la parole. Mais avant ça, vous me permettrez, je pense, de me tourner vers mon professeur pour lui dire avec tout le respect et l’affection dont je suis capable : Merci, Maître. Et chapeau bas !
- Reine MargotDemi-dieu
eh ben jamais je ne ferais le chateau d'argol en 5e! effectivement il faut être fort...Tu as 94 ans et c'était il y a longtemps, camélionne? :lol:
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Quand tout va mal, quand il n'y a plus aucun espoir, il nous reste Michel Sardou
La famille Bélier
- Reine MargotDemi-dieu
j'étais en 6e-5e 10 ans plus tard et on faisait pagnol....mais bon en 81-82 la loi Haby venait à peine de passer, et il y avait pas mal de filières séparant les élèves au collège, aussi.
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- roxanneOracle
la question : ce prof auj avec nos élèves il donnerait quoi? ....cependant , je suis toujours convaincue qu'il faut aller vers le plus difficile ...Quant à Pagnol , on le lisait en prmaire, et c'était bien aussi ...
- PseudoDemi-dieu
Déçu je suis J'ai cru que dans la lignée de certains posts récents on ouvrait un fil sur le BDSM. :boulet:
- roxanneOracle
j'étais sure qu'on allait poser la question .....bondage sado maso ......me demandez pas comment je le sais .....
- InvitéInvité
roxanne a écrit:la question : ce prof auj avec nos élèves il donnerait quoi?
Je sais par des collègues qu'il est toujours aussi apprécié mais depuis bien longtemps maintenant il travaille en lycée.
Je comprends que vous soyez impressionnés par les oeuvres qu'il nous faisait découvrir, mais en réalité, le plus surprenant dans l'histoire était la façon dont il nous accompagnait, sa passion communicative qui touchait jusqu'aux cancres, l'immense confiance qu'il avait dans nos capacités, son éternel émerveillement devant la beauté d'un texte.
J'ai bien du mal à exprimer tout cela. Il avait quelque chose du Capitaine du Cercle des Poètes disparus, mais aussi l'élégance et la finesse d'un dandy. Il a beaucoup marqué mon collège. D'ailleurs, aujourd'hui, quand je discute sur copainsdavant avec des élèves du même bahut, tous parlent de lui et s'enquièrent de ses nouvelles.
- JohnMédiateur
Pseudo a écrit:Déçue je suis J'ai cru que dans la lignée de certains posts récents on ouvrait un fil sur le BDSM.
Je suis déçu aussi : je pensais que c'était moi "Mon Maître avec une majuscule".
Quant au BDSM, Marie, arrête de faire l'innocente !
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"Qui a construit Thèbes aux sept portes ? Dans les livres, on donne les noms des Rois. Les Rois ont-ils traîné les blocs de pierre ? [...] Quand la Muraille de Chine fut terminée, Où allèrent ce soir-là les maçons ?" (Brecht)
"La nostalgie, c'est plus ce que c'était" (Simone Signoret)
- InvitéInvité
John a écrit:Quant au BDSM, Marie, arrête de faire l'innocente !
Mais je t'assure, John, je ne connaissais pas l'abréviation!!!!
(Cette manie de tout abréger, aussi!)
Et puis tu sais, les mamies qui font dans le sado-maso, ça ne court pas les rues!
- dobolinoBanni
Allez ! Je vous parle un peu encore.
Mon professeur de mathématique de Terminale C, même profil, agrégé de 22 ou 23 ans, première année d'enseignement. Neuf heures de cours par semaine sans une seconde d'ennui de toute l'année. Un pur génie de l'enseignement. Dès la fin du premier mois de cours, il nous avait fait acquérir toutes les méthodes d'apprentissage qui nous faisaient défaut. Alors que j'avais failli redoubler la première à cause des maths, j'étais à la fin de l'année en mesure d'entrer en math sup sans souci. 100% de réussite au bac pour notre classe dont 80% sans oral de rattrapage. J'espère qu'il est devenu professeur de math spé.
Mon professeur de mathématique de Terminale C, même profil, agrégé de 22 ou 23 ans, première année d'enseignement. Neuf heures de cours par semaine sans une seconde d'ennui de toute l'année. Un pur génie de l'enseignement. Dès la fin du premier mois de cours, il nous avait fait acquérir toutes les méthodes d'apprentissage qui nous faisaient défaut. Alors que j'avais failli redoubler la première à cause des maths, j'étais à la fin de l'année en mesure d'entrer en math sup sans souci. 100% de réussite au bac pour notre classe dont 80% sans oral de rattrapage. J'espère qu'il est devenu professeur de math spé.
- InvitéInvité
Je suis curieuse de savoir s'il m'aurait réconciliée avec les maths, ton prof!
Non, quand même : à l'impossible, nul n'est tenu!
Non, quand même : à l'impossible, nul n'est tenu!
- dobolinoBanni
Si Doublecasquette passe par là, elle pourra vous parler de son jeune professeur de math de Seconde A qui l'a menée en Première D alors qu'elle était une totale bûche en math à l'entrée en seconde.Camélionne a écrit:Je suis curieuse de savoir s'il m'aurait réconciliée avec les maths, ton prof!
Non, quand même : à l'impossible, nul n'est tenu!
- DaphnéDemi-dieu
Perso, personne ne m'aurait fait appécier les maths, j'étais totalement hermétique à la chose !
- InvitéInvité
Daphné a écrit:Perso, personne ne m'aurait fait appécier les maths, j'étais totalement hermétique à la chose !
Même chose pour moi : je dé-tes-te les maths, et du reste c'est réciproque!
- DHMonarque
j'étais sure qu'on allait poser la question .....bondage sado maso
En ce moment, les hormones travaillent chez certain(e)s... et pas uniquement les hormones de grossesse
- InvitéInvité
Dr Housette a écrit:j'étais sure qu'on allait poser la question .....bondage sado maso
En ce moment, les hormones travaillent chez certain(e)s... et pas uniquement les hormones de grossesse
Dis donc, Docteur, tu n'es pas en consultation, tu sais?!! :lol:
- dobolinoBanni
Je n'y crois pas ! Quand ma fille me dit ça pour le français, je la gronde ! Du coup, elle a eu quatorze de moyenne ce trimestre et le professeur est très satisfait.Daphné a écrit:Perso, personne ne m'aurait fait appécier les maths, j'étais totalement hermétique à la chose !
Quant à mon infâme fils, j'ai tant et si bien travaillé avec lui en mai dernier qu'il a réussi à obtenir quatorze à l'épreuve anticipée de mathématique du bac L.
- doublecasquetteEnchanteur
dobolino a écrit:Si Doublecasquette passe par là, elle pourra vous parler de son jeune professeur de math de Seconde A qui l'a menée en Première D alors qu'elle était une totale bûche en math à l'entrée en seconde.Camélionne a écrit:Je suis curieuse de savoir s'il m'aurait réconciliée avec les maths, ton prof!
Non, quand même : à l'impossible, nul n'est tenu!
Ah oui ! Un maître auxiliaire, en plus ! On ne lui donnait que des classes de 2° et 1°, et lui, il disait que ça lui allait très bien car il y avait 90 % de filles, presque toutes amoureuses de lui et qui, du coup, lui foutaient une paix royale et buvaient ses paroles.
Après 2 ans avec la foldingue de 6° et 5° qui nous agrémentait la moyenne de maths de 0 obtenus à cause d'une équerre cassée ou d'un compas auquel il manquait une vis et, après une année de répit en 4°, un an avec le tortionnaire de 3° qui m'avait menée à deux doigts du conseil de discipline pour une sombre histoire d'énoncé d'exercice lu à voix trop basse selon lui, ce prof de maths fut une véritable bouffée d'oxygène.
Tout devenait lumineux avec lui et je comprenais enfin que je n'étais pas si bûche que cela en mathématiques.
Merci, Monsieur Cortier !
- InvitéInvité
dobolino a écrit:Je n'y crois pas ! Quand ma fille me dit ça pour le français, je la gronde ! Du coup, elle a eu quatorze de moyenne ce trimestre et le professeur est très satisfait.
Quant à mon infâme fils, j'ai tant et si bien travaillé avec lui en mai dernier qu'il a réussi à obtenir quatorze à l'épreuve anticipée de mathématique du bac L.
Tu me fais bien rire! Je t'assure, parfois, gronder ne sert à rien, et ce n'est pas une question de mauvaise volonté.
Je suis née dans une famille d'artistes et de matheux.
Côté arts, j'ai tout pris ; côté maths, j'ai tout laissé à mes frères... Je t'assure que j'ai travaillé énormément, je connaissais par coeur mes théorèmes et mes identités remarquables, et j'étais aussi très suivie à la maison. Je regardais avec stupeur mes frères s'amuser devant un énoncé d'algèbre ( Oui, s'amuser! :Gné: ) et moi j'étais absolument hermétique à ça. Ca m'était, ça m'est toujours étranger. Un autre monde, dans lequel je n'ai aucune place, et qui m'ennuie prodigieusement.
J'ai eu, paraît-il, d'excellents profs de maths (dixerunt mes frangins), des enseignants qui les ont passionnés mais n'ont jamais éveillé la moindre promesse d'étincelle d'intérêt pour la matière.
Donc, je comprends parfaitement Daphné!
- PseudoDemi-dieu
Finalement, avec les maths on est pas si loin que ça du BDSM
- Reine MargotDemi-dieu
plus du côté M que S d'ailleurs...
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La famille Bélier
- Un souci avec le maître de CM2 de ma fille
- Que la force soit avec toi : Maître Yoda nous invite à devenir prof !
- Quelle est la différence dans le privé entre maître contractuel et maître agréé ?
- Européennes en France : le Front national en tête avec 26 % ; l'UMP seconde avec 21 % ; le Parti Socialiste troisième avec 15 %
- Majuscule !
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