- Blan6ineÉrudit
Chaque vendredi après-midi au lycée Aristide-Maillol de Perpignan, entre 15 heures et 17 heures, se déroule « l'atelier Sciences Po ». C'est l'un des cent établissements qui ont signé, avec Sciences Po Paris, la convention d'éducation prioritaire (CEP). Elle permet à des élèves de terminale d'accéder à la prestigieuse école par une voie spécifique : une première sélection est organisée par le lycée sur la base d'une revue de presse complétée d'une analyse, avant un grand oral à Paris. Grâce à la convention, le lycée Maillol a, depuis 2003, envoyé 43 élèves rue Saint-Guillaume. Sur une trentaine de volontaires chaque année, une dizaine sont admissibles et entre quatre et sept intègrent Sciences Po. Mais la CEP n'a pas bouleversé que la vie des admis à Sciences Po, elle a aussi transformé le climat du lycée et les relations profs-élèves.
« L'atelier » consiste en un débat libre sur des sujets d'actualité choisis par les élèves et objets de leur revue de presse. Ce vendredi, une cinquantaine d'élèves, encadrés par une dizaine d'enseignants volontaires et bénévoles, parlent de l'affaire Dieudonné, de l'antisémitisme, de l'antisionisme, de l'euthanasie.
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Article intéressant et rassurant (= "la transmission du savoir, le partage des connaissances fait du bien à tout le monde")
Mais le mot en gras ne me fait pas sourire.
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