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- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Manuel CHATAIN a écrit:Il n’est d'ailleurs pas acceptable qu’un examinateur utilise son téléphone portable en cours d’examen, c’est un non-sens.
Le scandale n'est pas là. Le scandale réside dans le fait qu'il n'ait pas su en tirer une bonne réponse.
Je ne vois pas pourquoi les enseignants devraient être soumis aux mêmes règles que les élèves. Nous sommes au travail et il ne me semble pas que l'on interdise l'utilisation (modérée et raisonnée bien sûr) du téléphone aux travailleurs français.
- InvitéInvité
Je n'utilise guère mon téléphone en situation d'examen, et absolument jamais pendant des oraux. Malgré tout, la demande d'interdire son usage aux enseignants, même en situation d'examen, me paraît parfaitement déplacée.
Je comprends votre déception, Manuel, mais:
1/il existe d'autres moyens d'éviter ou sanctionner les examinateurs peu professionnels
2/ que des étudiants puissent vouloir interdire quelque chose à des enseignants me choque profondément.
Je comprends votre déception, Manuel, mais:
1/il existe d'autres moyens d'éviter ou sanctionner les examinateurs peu professionnels
2/ que des étudiants puissent vouloir interdire quelque chose à des enseignants me choque profondément.
- InviteeFVénérable
"Alors même que l’usage du « tout numérique » dans l’enseignement fait débat, il est important d’exposer ses idées et d’interpeller. "
Le tout numérique est clairement à proscrire, en effet.
"Tout un chacun compétent en enseignement sait que des informations erronées peuvent être trouvées sur internet et risqueraient d’être apportées par le jury lors de la présentation de l’élève, le déstabilisant et le menant à l’échec. Comme dans mon cas."
NON. Tout un chacun sait que des infos erronées peuvent être trouvées sur internet... et que l'enseignant doit être attentif quand il a recours à cet outil pour s'informer, que ce soit AVANT l'oral, PENDANT ou APRES, au moment de décider de la note quand le candidat est sorti.
Plus que l'interdiction de l'outil (qui ne résoudrait rien et pourrait causer des dérives, je l'ai dit dans un message précédent), il convient d'attirer l'attention des examinateurs sur ce point, car il en va de leur responsabilité.
Car après tout, si l'examinateur n'avait rien dit, mais vérifié sur son téléphone (ou son ordinateur) après votre sortie de la salle, et qu'il était arrivé à la même conclusion (id est : que vous vous trompiez), il vous aurait sanctionné de la même façon dans la notation, tout aussi à tort.
Le souci ici n'est pas le timing de l'utilisation d'Internet mais la mauvaise utilisation qui en a été faite.
Selon moi, du moins.
Et tout mon soutien car j'imagine que ce que vous vivez doit être difficile.
Le tout numérique est clairement à proscrire, en effet.
"Tout un chacun compétent en enseignement sait que des informations erronées peuvent être trouvées sur internet et risqueraient d’être apportées par le jury lors de la présentation de l’élève, le déstabilisant et le menant à l’échec. Comme dans mon cas."
NON. Tout un chacun sait que des infos erronées peuvent être trouvées sur internet... et que l'enseignant doit être attentif quand il a recours à cet outil pour s'informer, que ce soit AVANT l'oral, PENDANT ou APRES, au moment de décider de la note quand le candidat est sorti.
Plus que l'interdiction de l'outil (qui ne résoudrait rien et pourrait causer des dérives, je l'ai dit dans un message précédent), il convient d'attirer l'attention des examinateurs sur ce point, car il en va de leur responsabilité.
Car après tout, si l'examinateur n'avait rien dit, mais vérifié sur son téléphone (ou son ordinateur) après votre sortie de la salle, et qu'il était arrivé à la même conclusion (id est : que vous vous trompiez), il vous aurait sanctionné de la même façon dans la notation, tout aussi à tort.
Le souci ici n'est pas le timing de l'utilisation d'Internet mais la mauvaise utilisation qui en a été faite.
Selon moi, du moins.
Et tout mon soutien car j'imagine que ce que vous vivez doit être difficile.
- User17706Bon génie
Effectivement je pense, comme plusieurs, qu'il y a erreur de diagnostic. Ce qui est en cause n'est pas le fait d'utiliser une machine électronique connectée à internet mais, apparemment, le mauvais usage (timing douteux, résultat erroné).
Par ailleurs, c'est regrettable mais il arrive, ponctuellement, qu'un membre de jury se comporte de façon, disons, légère.
Par ailleurs, c'est regrettable mais il arrive, ponctuellement, qu'un membre de jury se comporte de façon, disons, légère.
- CasparProphète
Je dois dire que je suis toujours d'accord avec cet élève, si c'est bien lui qui a rédigé ce post, plutôt bien argumenté: les téléphones portables n'ont pas à être utilisés pendant un oral d'examen, que le renseignement trouvé à cette occasion soit exact ou pas. Je ne sais pas si je pourrais m'expliquer aussi bien que certains d'entre vous, c'est un gut feeling, ça vient des tripes. Dieu sait que j'adore mon smartphone mais ne nous laissons pas envahir partout et tout le temps par ces objets.
- InviteeFVénérable
Je ne le ferais pas non plus Caspar, mais de là à l'institutionnaliser... ensuite on interdit de boire, de prendre des notes, d'échanger un regard avec les autres examinateurs, de sourire ou de ne pas sourire ?
Terrain trop glissant pour lui donner un cadre légal selon moi.
Terrain trop glissant pour lui donner un cadre légal selon moi.
- CasparProphète
Je ne suis pas d'accord encore une fois: pas d'appareils électroniques, c'est clair, net et précis.
- InviteeFVénérable
Bon alors je fais passer l'HDA sans avoir mon ordinateur sur moi.
Si l'élève n'a pas mis son ppt au format du pc du collège, 0 sur cette partie.
Et s' il n'arrive pas à le lancer, je ne touche pas à la souris. 0 aussi sur cette partie.
conclusions: clairement, ils y perdraient...
Si l'élève n'a pas mis son ppt au format du pc du collège, 0 sur cette partie.
Et s' il n'arrive pas à le lancer, je ne touche pas à la souris. 0 aussi sur cette partie.
conclusions: clairement, ils y perdraient...
- CasparProphète
Ne me lance pas sur l'HDA, cette vaste fumisterie. Je pense que j'aurais été assez contrarié si à un oral d'examen ou de concours j'avais vu les membres du jury tripoter ses téléphones portables.
- InvitéInvité
Oui, voilà... Ce genre d'interdiction, pour moi, c'est non. Il faut être un peu raisonnable, quand même.
Un téléphone, ça s'utilise aussi pour appeler directement le chef de centre en cas de soucis (et non, y'a pas toujours quelqu'un à proximité), ce serait stupide de l'interdire.
Et nous infantiliser encore un peu plus à cause de trois-quatre collègues peu consciencieux, non merci.
Un téléphone, ça s'utilise aussi pour appeler directement le chef de centre en cas de soucis (et non, y'a pas toujours quelqu'un à proximité), ce serait stupide de l'interdire.
Et nous infantiliser encore un peu plus à cause de trois-quatre collègues peu consciencieux, non merci.
- InviteeFVénérable
Remplace HDA par oraux de stage si tu "préfères ", Caspar
- InvitéInvité
Vécu en concours, et oui, c'est plus que désagréable. Mais pas plus que celui qui fait semblant de regarder par la fenêtre ou celui qui souffle bruyamment pour montrer qu'il est le plus grossier du lot.Caspar Goodwood a écrit:Ne me lance pas sur l'HDA, cette vaste fumisterie. Je pense que j'aurais été assez contrarié si à un oral d'examen ou de concours j'avais vu les membres du jury tripoter ses téléphones portables.
- CasparProphète
On peut utiliser son téléphone en cas d'urgence à la rigueur, mais comment faisait-on avant, il n'y a pas si longtemps? Bon, nous ne serons jamais d'accord, je me drape dans ce qui mes reste de dignité et me retire du débat, vous avez gagné.
- pitchounetteExpert
mon téléphone je m'en sers de chronomètre pour les oraux. Je vois bien l'heure, l'élève zieutte aussi. Le tic-tac de ma montre est stressant. Moi même dans la journée il m'agace.Caspar Goodwood a écrit:Je ne suis pas d'accord encore une fois: pas d'appareils électroniques, c'est clair, net et précis.
Par contre il ne me viendrait jamais à l'idée de stopper l'élève, de regarder sur mon téléphone une info, lui dire, reprendre son oral...ça ne se fait pas bonjour la déstabilisation. Par contre oui quand l'élève a finit son oral et son entretien, j'ai voulu revérifier en lui disant "je veux ouvrir une parenthèse ça compte pas pour ton ccf mais je veux revoir un truc..."
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Le bonheur est dans le pré après 7 ans de région parisienne
- pitchounetteExpert
ou CCF d'économie droitFafnir a écrit:Remplace HDA par oraux de stage si tu "préfères ", Caspar
- BalthamosDoyen
Il me semble me souvenir des profs de prépa qui faisaient tout pour nous déstabiliser et voir notre réaction.
Dans ma prépa concours aussi ils faisaient ça avec comme arme favorite un jem'enfoutisme absolu, des papiers à lire, etc.
la lecture du sms serait ce l'étape supérieure? :p
Déjà, est ce une pratique courante chez les enseignants d'utiliser le téléphone pour combler leurs connaissances lors des oraux du secondaire?
Dans ma prépa concours aussi ils faisaient ça avec comme arme favorite un jem'enfoutisme absolu, des papiers à lire, etc.
la lecture du sms serait ce l'étape supérieure? :p
Déjà, est ce une pratique courante chez les enseignants d'utiliser le téléphone pour combler leurs connaissances lors des oraux du secondaire?
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- Spoiler:
- InviteeFVénérable
Sinon mon IPR a utilisé son smart phone pendant 40 minutes de mon inspection. J'ai été clairement lésée (il a jugé sur 10 minutes étant arrivé 10 minutes "en retard") mais de là à penser qu'il faudrait interdire à tous dans un texte de loi ce qu'un seul individu a fait... non
(Ah et ça ferait un beau sujet de CAPES pour "Agir en fonctionnaire..." dit mon mari )
(Ah et ça ferait un beau sujet de CAPES pour "Agir en fonctionnaire..." dit mon mari )
- CasparProphète
Toujours pas convaincu. Essayez encore!
Pour ce qui est d'une loi, évitons en effet, nous vivons dans la hantise du "vide juridique" dont le corollaire serait le trop-plein juridique.
Pour ce qui est d'une loi, évitons en effet, nous vivons dans la hantise du "vide juridique" dont le corollaire serait le trop-plein juridique.
- InvitéInvité
Ben c'est à dire qu'on peut pousser ton raisonnement très loin, comme ça... Mais en cas d'urgence on fait ce qu'il y a de plus pratique, en plus, on ne se demande pas "comment on faisait avant"...Caspar Goodwood a écrit:On peut utiliser son téléphone en cas d'urgence à la rigueur, mais comment faisait-on avant, il n'y a pas si longtemps? Bon, nous ne serons jamais d'accord, je me drape dans ce qui mes reste de dignité et me retire du débat, vous avez gagné.
Non, vraiment, l'interdiction, c'est non.
- Manuel CHATAINNiveau 1
Marcel Khrouchtchev a écrit:Manuel CHATAIN a écrit:Il n’est d'ailleurs pas acceptable qu’un examinateur utilise son téléphone portable en cours d’examen, c’est un non-sens.
Le scandale n'est pas là. Le scandale réside dans le fait qu'il n'ait pas su en tirer une bonne réponse.
Je ne vois pas pourquoi les enseignants devraient être soumis aux mêmes règles que les élèves. Nous sommes au travail et il ne me semble pas que l'on interdise l'utilisation (modérée et raisonnée bien sûr) du téléphone aux travailleurs français.
Justement. Vous êtes au travail. Je me marre à chaque fois d'observer des surveillants d'examens (sur les épreuves écrites), pianoter sur leur téléphone et jouer à des jeux... Il me semble que ce n'est pas tout à fait ce qui leur est demandé. M'enfin, c'est à vos employeurs de décider.
- Manuel CHATAINNiveau 1
holderfar a écrit:Je n'utilise guère mon téléphone en situation d'examen, et absolument jamais pendant des oraux. Malgré tout, la demande d'interdire son usage aux enseignants, même en situation d'examen, me paraît parfaitement déplacée.
Je comprends votre déception, Manuel, mais:
1/il existe d'autres moyens d'éviter ou sanctionner les examinateurs peu professionnels
2/ que des étudiants puissent vouloir interdire quelque chose à des enseignants me choque profondément.
Entre étudiants et enseignants, il n'y a qu'un pas. Vous l'étiez aussi un jour, je suppose ?
La vie est bien trop courte pour ne pas proposer, dès que possible, des évolutions pour la société.
- Manuel CHATAINNiveau 1
Fafnir a écrit:"Alors même que l’usage du « tout numérique » dans l’enseignement fait débat, il est important d’exposer ses idées et d’interpeller. "
Le tout numérique est clairement à proscrire, en effet.
"Tout un chacun compétent en enseignement sait que des informations erronées peuvent être trouvées sur internet et risqueraient d’être apportées par le jury lors de la présentation de l’élève, le déstabilisant et le menant à l’échec. Comme dans mon cas."
NON. Tout un chacun sait que des infos erronées peuvent être trouvées sur internet... et que l'enseignant doit être attentif quand il a recours à cet outil pour s'informer, que ce soit AVANT l'oral, PENDANT ou APRES, au moment de décider de la note quand le candidat est sorti.
Plus que l'interdiction de l'outil (qui ne résoudrait rien et pourrait causer des dérives, je l'ai dit dans un message précédent), il convient d'attirer l'attention des examinateurs sur ce point, car il en va de leur responsabilité.
Car après tout, si l'examinateur n'avait rien dit, mais vérifié sur son téléphone (ou son ordinateur) après votre sortie de la salle, et qu'il était arrivé à la même conclusion (id est : que vous vous trompiez), il vous aurait sanctionné de la même façon dans la notation, tout aussi à tort.
Le souci ici n'est pas le timing de l'utilisation d'Internet mais la mauvaise utilisation qui en a été faite.
Selon moi, du moins.
Et tout mon soutien car j'imagine que ce que vous vivez doit être difficile.
Nous avons du envoyer les rapports à nos examinateurs dans un délai de deux mois avant examens. Ce délai leur permet de lire les rapports, les analyser, les annoter, de préparer les questions à poser le jour de l'oral, et surtout, de faire toutes les recherches dont ils ont besoin. C'est leur rôle. Ils sont payés pour ça, raison de plus pour faire ce travail correctement en amont de l'examen. Et certainement pas le jour J.
Le travail bâclé, on en veut pas, et encore moins lors d'un examen.
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Manuel CHATAIN a écrit:Justement. Vous êtes au travail. Je me marre à chaque fois d'observer des surveillants d'examens (sur les épreuves écrites), pianoter sur leur téléphone et jouer à des jeux... Il me semble que ce n'est pas tout à fait ce qui leur est demandé. M'enfin, c'est à vos employeurs de décider.
Exactement Et il me semble bien que vous n'êtes pas notre employeur et que, donc, votre avis n'est pas tout à fait utile sur la question (même si vous êtes bien sûr libre de l'exprimer).
Plus sérieusement, il y a deux problèmes différents et il ne faudrait pas les mélanger: on n'a effectivement pas besoin de son téléphone ou d'un ordinateur pour surveiller des examens. Là je vous rejoins. Mais interdire d'en avoir, non (heureusement d'ailleurs que tous les employeurs de France n'empêchent pas leurs employés d'aller sur internet pendant leur temps de travail, sinon ils auraient à faire face à la gronde, et je mettrais ma main à couper que les profs ne sont pas parmi ceux qui surfent le plus pendant leur temps de travail).
L'autre problème, qui est celui que vous soulevez, est l'utilisation de ces outils pour obtenir des informations pouvant changer le déroulement d'un examen. Là, c'est différent et, encore une fois, la seule chose que j'aurais à redire dans l'attitude du collègue qui a consulté internet pour vous interroger, c'est de ne pas avoir su s'en servir correctement.
- Manuel CHATAINNiveau 1
Caspar Goodwood a écrit:Je dois dire que je suis toujours d'accord avec cet élève, si c'est bien lui qui a rédigé ce post, plutôt bien argumenté: les téléphones portables n'ont pas à être utilisés pendant un oral d'examen, que le renseignement trouvé à cette occasion soit exact ou pas. Je ne sais pas si je pourrais m'expliquer aussi bien que certains d'entre vous, c'est un gut feeling, ça vient des tripes. Dieu sait que j'adore mon smartphone mais ne nous laissons pas envahir partout et tout le temps par ces objets.
Ces arguments sont un extrait de ceux proposé à nos ministres. Des échanges de courriers depuis le 20 juin 2013, ca forge.
- GrypheMédiateur
Manuel, je n'ai pas tout lu. Dis-moi si c'est ça : étudiant brillant, tu estimes avoir été victime d'une injustice lors d'un oral pendant lequel un examinateur a vérifié une info sur son portable.
A mon avis, c’est assez stérile de ressasser ça et d'essayer d'en faire un texte règlementaire.
L'examinateur a voulu vérifier une info... Il aurait tout aussi bien pu le faire dans un dictionnaire ou un ouvrage papier à sa portée, why not.
Sur ce forum, on travaille tous, ou presque, dans l’Éducation nationale. Au préalable, on a tous passé des concours et des examens, et il y a bien toujours une épreuve qu'on a ratée et pour laquelle on estime que c'est l'examinateur qui, gnagnagna... A quoi ça sert de ressasser ça ? Si tu es doué et travailleur, ce qui semble être le cas, de toute façon tu feras un beau parcours d'études et un beau parcours professionnel, pas la peine de remuer ciel et terre pour cette épreuve, honnêtement, ça ne sert à pas grand chose...
Une énigme : tu indiques être passé par une MFR, qu'est-ce qui t'a incité à faire ce choix ? (Je me permets de poser la question car vers chez moi, les élèves qui font le choix de la MFR ont plutôt de mauvais résultats scolaires, ce n'est pas un jugement de valeur sur les personnes mais un simple constat sur les bulletins, d'où mon étonnement quant à ton parcours qui va vers une belle réussite.)
A mon avis, c’est assez stérile de ressasser ça et d'essayer d'en faire un texte règlementaire.
L'examinateur a voulu vérifier une info... Il aurait tout aussi bien pu le faire dans un dictionnaire ou un ouvrage papier à sa portée, why not.
Sur ce forum, on travaille tous, ou presque, dans l’Éducation nationale. Au préalable, on a tous passé des concours et des examens, et il y a bien toujours une épreuve qu'on a ratée et pour laquelle on estime que c'est l'examinateur qui, gnagnagna... A quoi ça sert de ressasser ça ? Si tu es doué et travailleur, ce qui semble être le cas, de toute façon tu feras un beau parcours d'études et un beau parcours professionnel, pas la peine de remuer ciel et terre pour cette épreuve, honnêtement, ça ne sert à pas grand chose...
Une énigme : tu indiques être passé par une MFR, qu'est-ce qui t'a incité à faire ce choix ? (Je me permets de poser la question car vers chez moi, les élèves qui font le choix de la MFR ont plutôt de mauvais résultats scolaires, ce n'est pas un jugement de valeur sur les personnes mais un simple constat sur les bulletins, d'où mon étonnement quant à ton parcours qui va vers une belle réussite.)
- InvitéInvité
Ah oui, mais je savais rester à ma place, même si je critiquais certaines choses.Manuel CHATAIN a écrit:holderfar a écrit:Je n'utilise guère mon téléphone en situation d'examen, et absolument jamais pendant des oraux. Malgré tout, la demande d'interdire son usage aux enseignants, même en situation d'examen, me paraît parfaitement déplacée.
Je comprends votre déception, Manuel, mais:
1/il existe d'autres moyens d'éviter ou sanctionner les examinateurs peu professionnels
2/ que des étudiants puissent vouloir interdire quelque chose à des enseignants me choque profondément.
Entre étudiants et enseignants, il n'y a qu'un pas. Vous l'étiez aussi un jour, je suppose ?
La vie est bien trop courte pour ne pas proposer, dès que possible, des évolutions pour la société.
Là, vous vous égarez. On lutte contre les pratiques de certains examinateurs de manière précise (signalement au chef de centre, qui en avisera ensuite l'inspection), certainement pas en inversant les rôles et en faisant interdire un outil qui peut nous être utiles en cas d'urgence (eh oui, c'est cool de critiquer, d'autant que des collègues prêtent volontiers le flanc à tout ceci, mais il faut aussi penser aux conséquences de ce combat qui me semble trop personnel pour être pertinent).
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