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- elena3Fidèle du forum
Dans ma ville, il y a un réel communautarisme parce que les Arabes (tous Maghrébins) ont justement été concentrés dans ces quartiers. Il n'est pas rare que les élèves parlent arabe entre eux alors qu'ils sont nés en France et leurs parents aussi...Vous avez des prénoms comme Oussama, Islam-Mohamed. Pas question de mettre un drapeau français au fronton de l'établissement... Voilà, c'est la réalité que je constate. L'intégration en France est un échec retentissant...
- PseudoDemi-dieu
Marcel Khrouchtchev a écrit:On les laisse en pensant qu'elles ne feront pas de vagues, ne causeront pas de soucis et s'en sortiront. Enfin, je dis ça comme ça, histoire de souligner que c'est peut-être un peu plus complexe que le seul désintérêt pour les ambitions scolaires des filles. Mais s'il faut absolument que ça ne soit que cela, pourquoi pas après tout.
Je ne me souviens plus de ce qui avait permis de tirer cette conclusion concernant la scolarisation des filles (si une enquête sérieuse avait été menée ou pas). Mais c'est ce qui ressortait en tout cas des remontées des écoles primaires. La bahut avait mauvaise réputation, les parents ne voulaient pas gâcher leurs garçons. Mais il y avait peut-être aussi une volonté de leur éviter de tomber dans la délinquance, qui menaçait moins les filles. C'est possible.
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"Il faut encore avoir du chaos en soi pour pouvoir enfanter une étoile qui danse" Nietzsche
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
Pseudo a écrit:Mais il y avait peut-être aussi une volonté de leur éviter de tomber dans la délinquance, qui menaçait moins les filles. C'est possible.
Je suis d'accord avec toi en fait Pseudo, et d'ailleurs je dirais que la délinquance semble moins menacer les filles, aux yeux des parents. Ce qui est sans doute là aussi un stéréotype.
- DwarfVénérable
Je peux témoigner que certaines familles de chez nous ont préféré envoyer le garçon plutôt que la soeur dans le privé pour des raisons de prime au sexe...Marcel Khrouchtchev a écrit:Pseudo a écrit:Les ambitions scolaires étant moins fortes pour les filles, les parent ne voyaient pas l'intérêt de payer le privé pour elles.
Peut-être aussi l'idée que les filles seraient "plus sages", non?
- DwarfVénérable
Oui, mais parce que tous les choix qui ne pouvaient que mener à la situation actuelle ont été faits par nos politiques depuis une quarantaine d'années.elena3 a écrit:Dans ma ville, il y a un réel communautarisme parce que les Arabes (tous Maghrébins) ont justement été concentrés dans ces quartiers. Il n'est pas rare que les élèves parlent arabe entre eux alors qu'ils sont nés en France et leurs parents aussi...Vous avez des prénoms comme Oussama, Islam-Mohamed. Pas question de mettre un drapeau français au fronton de l'établissement... Voilà, c'est la réalité que je constate. L'intégration en France est un échec retentissant...
Quant au communautarisme et au primat de l'arabe et consorts sur le français, j'en ai des exemples dans mon établissement (seulement portugais et turc à la maison) et dans les établissements de proches (pour l'arabe). Et à chaque fois le sentiment identitaire est très fort et ce n'est pas celui des attendus théoriques de la citoyenneté française.
- DerMaxHabitué du forum
En même temps les établissements élémentaires - même privé - recrutent localement (où alors il faut de la fratrie au niveau secondaire). Personnellement (et là je réduis l'étude en parlant de ma région), les écoles privés ne sont globalement pas dans les quartiers populaires des villes (sauf villes à forte immigration Roubaix, Tourcoing...).PauvreYorick a écrit:Quand on lit l'étude, cette remarque perd quand même beaucoup de sa pertinence: 4269 établissements testés dans toutes les académies (3023 écoles élémentaires et 1246 collèges), on est clairement très largement dans la zone de sécurité statistique. Il faudrait une distribution très inégale entre citadin/semi-rural/rural ou entre académies pour introduire un biais. Sans avoir tout vérifié ni procédé à un examen approfondi, l'étude me semble méthodologiquement relativement bétonnée.
Donc à en croire les chiffres on ne parle ni des LP ni des LGT.
Après le but dans un privé reste de maximiser les effectifs d'élèves donc je ne vois pas ce qui bloquerait des inscriptions. Après effectivement les inscriptions et leur paiement sont liés aux revenus des parents donc fatalement un couple de la classe moyenne qui scolarise son enfant ne financera pas autant qu'un précaire célibataire. Si bien qu'à moins d'avoir un établissement en sureffectif je vois mal un CDE refuser une inscription. Après c'est sûr que virer un élève difficile est plus dur car il faut pouvoir proposer une rescolarisation (d'ailleurs dans ce cas ça rejoindrait l'étude qui montrerait qu'inconsciemment un élève de la diversité poserait plus problème).
En tout cas pour connaitre pas mal de CDE de la région ce qu'ils recherchent avant tout ce sont des élèves qui adhèrent au règlement et veulent travailler/réussir le projet.
- JacqGuide spirituel
elena3 a écrit:Dans ma ville, il y a un réel communautarisme parce que les Arabes (tous Maghrébins) ont justement été concentrés dans ces quartiers. Il n'est pas rare que les élèves parlent arabe entre eux alors qu'ils sont nés en France et leurs parents aussi...Vous avez des prénoms comme Oussama, Islam-Mohamed. Pas question de mettre un drapeau français au fronton de l'établissement... Voilà, c'est la réalité que je constate. L'intégration en France est un échec retentissant...
Oussama est un très beau prénom. J'ai eu plein d'élèves avec ce prénom, donné à leur naissance et pas après le 11/09/01 et surtout qui souffrent de porter ce prénom, alors qu'il est très joli.
- JacqGuide spirituel
zina a écrit:Je pense que les arabes devraient aller à des écoles publiques s'ils ne sont pas de confession catholique. Que reproche-t-on aux écoles publiques, l'enseignement est le même dans tous les établissement publiques, dispensé par des enseignants diplômés. Et franchement à part le risque du communautarisme, les élèves arabes ne craignent pas grand choses dans les établissements publiques.
Donc les "arabes" ne devraient pas aller dans les écoles privées ? Qui sont les "'arabes" (on en revient à une problématique posée ici) ? Je ne vais pas défendre le privé, mais le privé s'adresse à tous ! "'Les élèves arabes ne craignent pas grand choseS dans les établissements publiQUES" ?
"A part le risque du communautarisme les élèves ne craignent pas grand chose dans les établissements publics" ??????????????? Cela veut dire quoi ? Donc les élèves "arabes", dans le public, risquent le communautarisme ? Moi y en a pas comprendre.
Et les élèves "arabes" devraient ne pas aller dans le privé ?. Privé réservé aux catho et pas aux autres ?
Moi y en a pas comprendre non plus.
- OlympiasProphète
De plus en plus de parents issus de l'immigration maghrébine ou africaine, musulmans ou non s'adressent au privé catholique pour fuir les collègues ghettos.
- DwarfVénérable
Mais nous n'avons rien de ghettos!!!!Olympias a écrit:De plus en plus de parents issus de l'immigration maghrébine ou africaine, musulmans ou non s'adressent au privé catholique pour fuir les collègues ghettos.
Plus sérieusement, ils ont malheureusement bien raison...
- OlympiasProphète
Ceux-là ont au moins saisi les enjeux de l'instruction. Mais on aimerait que la possibilité d'enseigner et d'étudier sereinement PARTOUT soit LA priorité du ministère. Mais, là, encore, le changement n'est pas pour maintenant (il ne l'était déjà pas avant... )Dwarf a écrit:Mais nous n'avons rien de ghettos!!!!Olympias a écrit:De plus en plus de parents issus de l'immigration maghrébine ou africaine, musulmans ou non s'adressent au privé catholique pour fuir les collègues ghettos.
Plus sérieusement, ils ont malheureusement bien raison...
- DwarfVénérable
Pour ce qui est du risque de communautarisme, il faut avoir connu des établissements encalvés à 85% ou plus d'élèves issus du Maghreb pour comprendre ce que Zina veut dire... J'ai donné et je vois tout à fait de quoi elle veut parler - et c'était il y a treize ans, donc j'ose à peine imaginer ce qu'il en est aujourd'hui (surtout quand j'entends les témoignages de ce qui se passe ailleurs)...Jacq a écrit:zina a écrit:Je pense que les arabes devraient aller à des écoles publiques s'ils ne sont pas de confession catholique. Que reproche-t-on aux écoles publiques, l'enseignement est le même dans tous les établissement publiques, dispensé par des enseignants diplômés. Et franchement à part le risque du communautarisme, les élèves arabes ne craignent pas grand choses dans les établissements publiques.
Donc les "arabes" ne devraient pas aller dans les écoles privées ? Qui sont les "'arabes" (on en revient à une problématique posée ici) ? Je ne vais pas défendre le privé, mais le privé s'adresse à tous ! "'Les élèves arabes ne craignent pas grand choseS dans les établissements publiQUES" ?
"A part le risque du communautarisme les élèves ne craignent pas grand chose dans les établissements publics" ??????????????? Cela veut dire quoi ? Donc les élèves "arabes", dans le public, risquent le communautarisme ? Moi y en a pas comprendre.
Et les élèves "arabes" devraient ne pas aller dans le privé ?. Privé réservé aux catho et pas aux autres ?
Moi y en a pas comprendre non plus.
- DwarfVénérable
Oui, mais tu admettras qu'il faudrait déjà casser les ghettos tout en prenant AUSSI les mesures nécessaires à échelle nationale pour lutter contre le communautarisme.Olympias a écrit:
Ceux-là ont au moins saisi les enjeux de l'instruction. Mais on aimerait que la possibilité d'enseigner et d'étudier sereinement PARTOUT soit LA priorité du ministère. Mais, là, encore, le changement n'est pas pour maintenant (il ne l'était déjà pas avant... )
Quant aux parents en question, ils peuvent se le permettre parce qu'ils en ont tout de même les moyens. Les autres n'ont d'autre choix que de rester et de subir...
- JacqGuide spirituel
Dwarf a écrit:Pour ce qui est du risque de communautarisme, il faut avoir connu des établissements encalvés à 85% ou plus d'élèves issus du Maghreb pour comprendre ce que Zina veut dire... J'ai donné et je vois tout à fait de quoi elle veut parler - et c'était il y a treize ans, donc j'ose à peine imaginer ce qu'il en est aujourd'hui (surtout quand j'entends les témoignages de ce qui se passe ailleurs)...Jacq a écrit:zina a écrit:Je pense que les arabes devraient aller à des écoles publiques s'ils ne sont pas de confession catholique. Que reproche-t-on aux écoles publiques, l'enseignement est le même dans tous les établissement publiques, dispensé par des enseignants diplômés. Et franchement à part le risque du communautarisme, les élèves arabes ne craignent pas grand choses dans les établissements publiques.
Donc les "arabes" ne devraient pas aller dans les écoles privées ? Qui sont les "'arabes" (on en revient à une problématique posée ici) ? Je ne vais pas défendre le privé, mais le privé s'adresse à tous ! "'Les élèves arabes ne craignent pas grand choseS dans les établissements publiQUES" ?
"A part le risque du communautarisme les élèves ne craignent pas grand chose dans les établissements publics" ??????????????? Cela veut dire quoi ? Donc les élèves "arabes", dans le public, risquent le communautarisme ? Moi y en a pas comprendre.
Et les élèves "arabes" devraient ne pas aller dans le privé ?. Privé réservé aux catho et pas aux autres ?
Moi y en a pas comprendre non plus.
Oui, sauf que communautarisme veut dire se réfugier dans sa communauté, et pas y être confiné en raison de la réelle ségrégation sociale de notre société, qui est autant ethnique que sociale.
Les supposés "arabes" ne décident pas d'être entre "eux", mais sont là parce qu'ils sont confinés dans certains quartiers, et outre l'origine ethnique, ont surtout comme point commun le niveau social.
Je suis dans un établissement enclavé, à 90% pour mes classes, donc je peux comprendre ce que pourrait dire Zina... mais ce n'est pas ce qu'elle (il) dit. J'enseigne en majorité à des enfants issus de l'immigration, non pas par communautarisme, mais parce que la société a mis ces élèves ici.
Ce n'est pas du communautarisme, c'est la traduction de notre société.
Tu dis : 'j'ose à peine imaginer (...) ce qu'il en est aujourd'hui". Mais qu'avons nous fait pour désenclaver ces lieux ? L'accumulation des gens issus de l'immigration est-il le fait de ces gens ?
Mes élèves sont presque tous issus de l'immigration, mais ils n'ont pas choisi cela ?
Par contre la ségrégation sociale et géographique, NOUS (les politiques, et nous) l'avons bien provoquée ?
Ce n'est pas du communautarisme, c'est de la ségrégation.
- OlympiasProphète
Je sais. Mais rien n'est fait et ça nous tue.Dwarf a écrit:Oui, mais tu admettras qu'il faudrait déjà casser les ghettos tout en prenant AUSSI les mesures nécessaires à échelle nationale pour lutter contre le communautarisme.Olympias a écrit:
Ceux-là ont au moins saisi les enjeux de l'instruction. Mais on aimerait que la possibilité d'enseigner et d'étudier sereinement PARTOUT soit LA priorité du ministère. Mais, là, encore, le changement n'est pas pour maintenant (il ne l'était déjà pas avant... )
Quant aux parents en question, ils peuvent se le permettre parce qu'ils en ont tout de même les moyens. Les autres n'ont d'autre choix que de rester et de subir...
- JacqGuide spirituel
Olympias a écrit:Je sais. Mais rien n'est fait et ça nous tue.Dwarf a écrit:Oui, mais tu admettras qu'il faudrait déjà casser les ghettos tout en prenant AUSSI les mesures nécessaires à échelle nationale pour lutter contre le communautarisme.Olympias a écrit:
Ceux-là ont au moins saisi les enjeux de l'instruction. Mais on aimerait que la possibilité d'enseigner et d'étudier sereinement PARTOUT soit LA priorité du ministère. Mais, là, encore, le changement n'est pas pour maintenant (il ne l'était déjà pas avant... )
Quant aux parents en question, ils peuvent se le permettre parce qu'ils en ont tout de même les moyens. Les autres n'ont d'autre choix que de rester et de subir...
Oui, il faudrait casser les ghettos.
Mais, au XIXe, au début XXe il y avait aussi les ghettos ouvriers, les "quartiers", "faubourgs" ont été constitués ainsi. Sauf que là on ne parlait pas de communautarisme.
- DwarfVénérable
Tu comprendras donc que je ne réponde pas à ta réponse à mes propos puisque je tiens le même discours que toi. CEPENDANT, la composante culturo-religieuse musulmane est bien plus forte (ENCORE plus forte) qu'il y a treize-quatorze ans et le communautarisme qu'elle met désormais en oeuvre (Salafistes en tête) n'a plus grand chose à voir avec la ghettoïsation passée (désolé, mais je ne peux accepter le terme ségrégation, bien trop fort pour la situation française, les citoyens étant tous considérés à égalité devant la loi malgré tout).Jacq a écrit:
Oui, il faudrait casser les ghettos.
Mais, au XIXe, au début XXe il y avait aussi les ghettos ouvriers, les "quartiers", "faubourgs" ont été constitués ainsi. Sauf que là on ne parlait pas de communautarisme.
- elena3Fidèle du forum
Oui mais les cathos n'en veulent pas. Par contre, l'Etat devrait-il financer les établissements scolaires islamiques au même titre que les catholiques ?Olympias a écrit:De plus en plus de parents issus de l'immigration maghrébine ou africaine, musulmans ou non s'adressent au privé catholique pour fuir les collègues ghettos.
- JacqGuide spirituel
Dwarf a écrit:Tu comprendras donc que je ne réponde pas à ta réponse à mes propos puisque je tiens le même discours que toi. CEPENDANT, la composante culturo-religieuse musulmane est bien plus forte (ENCORE plus forte) qu'il y a treize-quatorze ans et le communautarisme qu'elle met désormais en oeuvre (Salafistes en tête) n'a plus grand chose à voir avec la ghettoïsation passée (désolé, mais je ne peux accepter le terme ségrégation, bien trop fort pour la situation française, les citoyens étant tous considérés à égalité devant la loi malgré tout).Jacq a écrit:
Oui, il faudrait casser les ghettos.
Mais, au XIXe, au début XXe il y avait aussi les ghettos ouvriers, les "quartiers", "faubourgs" ont été constitués ainsi. Sauf que là on ne parlait pas de communautarisme.
Sans que nous partagions tout, Naugrim(1), nous avons des points d'accord. Mais cette composant dont tu parles elle vient tout de même largement de notre ségrégation sociale, sauf qu'en plus elle peut se nourrir du communautarisme. Moi j'accepte le terme de ségrégation, parce que justement il n'est pas ethnique, mais il est social. NOre problème à l'école n'est pas ethnique, il est social ET ethnique. Mais le pire est social.
(1)PM
- JacqGuide spirituel
Dwarf a écrit:Tu comprendras donc que je ne réponde pas à ta réponse à mes propos puisque je tiens le même discours que toi. CEPENDANT, la composante culturo-religieuse musulmane est bien plus forte (ENCORE plus forte) qu'il y a treize-quatorze ans et le communautarisme qu'elle met désormais en oeuvre (Salafistes en tête) n'a plus grand chose à voir avec la ghettoïsation passée (désolé, mais je ne peux accepter le terme ségrégation, bien trop fort pour la situation française, les citoyens étant tous considérés à égalité devant la loi malgré tout).Jacq a écrit:
Oui, il faudrait casser les ghettos.
Mais, au XIXe, au début XXe il y avait aussi les ghettos ouvriers, les "quartiers", "faubourgs" ont été constitués ainsi. Sauf que là on ne parlait pas de communautarisme.
Trop fort !
- JacqGuide spirituel
Dwarf a écrit:Tu comprendras donc que je ne réponde pas à ta réponse à mes propos puisque je tiens le même discours que toi. CEPENDANT, la composante culturo-religieuse musulmane est bien plus forte (ENCORE plus forte) qu'il y a treize-quatorze ans et le communautarisme qu'elle met désormais en oeuvre (Salafistes en tête) n'a plus grand chose à voir avec la ghettoïsation passée (désolé, mais je ne peux accepter le terme ségrégation, bien trop fort pour la situation française, les citoyens étant tous considérés à égalité devant la loi malgré tout).Jacq a écrit:
Oui, il faudrait casser les ghettos.
Mais, au XIXe, au début XXe il y avait aussi les ghettos ouvriers, les "quartiers", "faubourgs" ont été constitués ainsi. Sauf que là on ne parlait pas de communautarisme.
C'est la réponse religieuse qui est trop forte, ou c'est l'indigence de la réponse politique qui est en cause ?
- CeladonDemi-dieu
La réponse religieuse est ce qu'elle est. Si la réponse politique va dans son sens, eh bien nous arrivons à ce qui s'est passé en Tunisie. Si elle résiste avec un arsenal de lois, de l'éducation des citoyens, de l'instruction civique à l'école, eh bien on peut penser qu'un 1905 est possible. Et encore, il donne lieu à des interprétations de la laïcité dont le moins qu'on puisse dire est qu'elles sont contrastées.
Et n'avez-vous pas remarqué qu'aux grand-messes "d'informations", sur les chaînes publiques, on nous sert de plus en plus souvent du pape François ? Qu'est-ce à dire ?
Et n'avez-vous pas remarqué qu'aux grand-messes "d'informations", sur les chaînes publiques, on nous sert de plus en plus souvent du pape François ? Qu'est-ce à dire ?
- JacqGuide spirituel
Que le pape François est people.
Après on ne demande pas aux journalistes de comprendre la religion, ou de comprendre tout simplement...
Après on ne demande pas aux journalistes de comprendre la religion, ou de comprendre tout simplement...
- Marcel KhrouchtchevEnchanteur
C'est une question de mode, on a bien eu une overdose de Dalaï-Lama à une époque.
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